Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Détail de l'indexation
114 : Economie |
Ouvrages de la bibliothèque en indexation 114 (31)
trié(s) par (Année d'édition décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Bernard Stiegler / Quentin Van De Velde
Titre : Bernard Stiegler Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Quentin Van De Velde, Metteur en scène, réalisateur Editeur : CLAV / CAL (Centre laïque de l'audiovisuel / Centre d'action laïque) Année de publication : 2013 Collection : Les entretiens Importance : 1 DVD (25 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionIndex. décimale : 114 Economie Résumé : Jean Cornil nous propose une rencontre avec le philosophe français Bernard Stiegler.
Ce philosophe a connu un parcours singulier et a écrit sur des sujets aussi différents que la lutte contre le capitalisme, la question de l’analyse de la télévision, les réseaux numériques…
Il est l’auteur de « Réenchanter le monde » qui est un manifeste contre le capitalisme.Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Bernard Stiegler [document projeté ou vidéo] / Quentin Van De Velde, Metteur en scène, réalisateur . - CLAV / CAL (Centre laïque de l'audiovisuel / Centre d'action laïque), 2013 . - 1 DVD (25 min). - (Les entretiens) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionIndex. décimale : 114 Economie Résumé : Jean Cornil nous propose une rencontre avec le philosophe français Bernard Stiegler.
Ce philosophe a connu un parcours singulier et a écrit sur des sujets aussi différents que la lutte contre le capitalisme, la question de l’analyse de la télévision, les réseaux numériques…
Il est l’auteur de « Réenchanter le monde » qui est un manifeste contre le capitalisme.Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104577 114 N.1.2254 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : Le loup de Wall Street Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Martin Scorsese (1942-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Metropolitan film & video Année de publication : 2013 Importance : 1 dvd (172 min.) ISBN/ISSN/EAN : 3512391392123 Note générale : Interdit aux moins de 12 ans. Adaptation du livre de Jordan Belfort Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : audiodescription disponible Index. décimale : 114 Economie Résumé : L’histoire de Jordan Belfort, courtier en Bourse à New York à la fin des années 80. Du rêve américain à l’avidité sans scrupule du monde des affaires, il va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et à une vie de corruption et d’excès. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succès et sa fortune colossale alors qu’il avait à peine plus de vingt ans ont valu à Belfort le surnom de « Loup de Wall Street ».L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…
Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Le loup de Wall Street [document projeté ou vidéo] / Martin Scorsese (1942-....), Metteur en scène, réalisateur . - Metropolitan film & video, 2013 . - 1 dvd (172 min.).
ISSN : 3512391392123
Interdit aux moins de 12 ans. Adaptation du livre de Jordan Belfort
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : audiodescription disponible Index. décimale : 114 Economie Résumé : L’histoire de Jordan Belfort, courtier en Bourse à New York à la fin des années 80. Du rêve américain à l’avidité sans scrupule du monde des affaires, il va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et à une vie de corruption et d’excès. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succès et sa fortune colossale alors qu’il avait à peine plus de vingt ans ont valu à Belfort le surnom de « Loup de Wall Street ».L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…
Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104831 114 N.1.2340 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104831.jpgImage Jpeg La parabole des Tuileries ou pourquoi l’économie de la culture a ses propres règles / David Castello-Lopes
Titre : La parabole des Tuileries ou pourquoi l’économie de la culture a ses propres règles Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : David Castello-Lopes, Metteur en scène, réalisateur ; Léonard Cohen, Metteur en scène, réalisateur Editeur : [Paris] : Le Monde Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Sciences humaines:EconomieMots-clés : économie culture Index. décimale : 114 Economie Résumé : Les mécanismes économiques à l'œuvre dans le champ culturel se distinguent des règles courantes. En quoi ? Démonstration. Genre : webdocumentaire Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.lemonde.fr/culture/video/2012/03/09/la-parabole- des-tuileries-ou-pou [...] La parabole des Tuileries ou pourquoi l’économie de la culture a ses propres règles [document projeté ou vidéo] / David Castello-Lopes, Metteur en scène, réalisateur ; Léonard Cohen, Metteur en scène, réalisateur . - [Paris] : Le Monde, 2012.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Sciences humaines:EconomieMots-clés : économie culture Index. décimale : 114 Economie Résumé : Les mécanismes économiques à l'œuvre dans le champ culturel se distinguent des règles courantes. En quoi ? Démonstration. Genre : webdocumentaire Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.lemonde.fr/culture/video/2012/03/09/la-parabole- des-tuileries-ou-pou [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre de série : Le Dessous des Cartes Titre : Richesse et pauvreté des nations Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Christophe Victor, Présentateur Editeur : Arte éditions Année de publication : 2011 Importance : 1 dvd Présentation : 200 min ISBN/ISSN/EAN : 3453277200371 Note générale : Au travers d’exemples régionaux, Le Dessous des Cartes met en évidence le fait que l’économie internationale est fondée sur la richesse et la pauvreté des nations et que les objectifs du millénaire pour le développement sont loin d’être atteints.
En partant du constat majeur que le Nord et le Sud se déplacent et qu’en ce début de XXIème siècle, un basculement de la richesse s’opère du Nord vers l’Asie, Jean-Christophe Victor vous propose un voyage dans la nouvelle cartographie de l’économie mondiale.
Cette série, articulée autour de plusieurs grands axes, donne des clefs pour mieux comprendre l’économie internationale en s’intéressant à la fois aux instances de régulation que sont l’OMC et le FMI mais aussi aux paradis fiscaux ou encore aux mafias. Elle propose également une vision critique des instruments statistiques de mesure de la richesse et la pauvreté.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheIndex. décimale : 114 Economie Note de contenu : APPROCHE THÉMATIQUE
- Le Nord et le Sud se déplacent
Il s’agit là de se repérer dans la jungle des indicateurs de mesure de la richesse : PIB, RNB, IDH…et de comprendre que si la pauvreté a reculé dans le monde, on le doit beaucoup à la croissance asiatique. De même, s’il y a de moins en moins de pauvres, il y a aussi de plus en plus de riches et de très riches, ce qui accroit mécaniquement les inégalités. Le choix méthodologique de se baser sur la projection cartographique de Peters plutôt que celle de Mercator est justifié pour que le Sud ne paraisse pas si restreint face au Nord.
- Le basculement de la richesse
Difficile toujours de définir quels peuvent être les nouveaux États qui entreraient dans une catégorie de pays riches. Les BRIC font consensus grâce à leur stabilité politique et à leur potentiel de croissance mais d’autres regroupements existent : BRICS avec l’Afrique du Sud ou BASIC sans la Russie, les CIVETS…La question environnementale est pointée d’emblée sur cette émission introductive pour montrer le gros décalage entre les pays « Annexe 1 » et les pays « Hors Annexe » qui estiment légitimement que le Nord est historiquement responsables des dégradations écologiques.
- Le Fonds Monétaire International
Suite à la conférence de Bretton Woods, l’idée de réguler le système monétaire mondial a vu naître le FMI qui regroupe presque la totalité des États de la planète. L’organisme prête, contrôle la politique de ses membres mais au prix d’un coût social parfois élevé comme le montrent les deux exemples retenus ici, celui de la Grèce et celui de l’Irlande.
- L’Organisation Mondiale du Commerce
Basée à Genève, l’OMC régule les échanges entre ses 153 membres qui représentent 90 % des flux commerciaux mondiaux. Les subventions faussent l’équilibre Nord/Sud et servent les enjeux politiques et électoraux en ne contribuant que très peu au PIB. L’agriculture semble le point le plus délicat à réguler.
- A quoi servent les fonds souverains ?
Il s’agit là de réserves publiques que l’on trouve massivement dans des pays à forte croissance, possédant du pétrole et bénéficiant de rentes minières ou encore de rentes salariales. La mauvaise réputation de ces Etats a nécessité la création d’un code de bonne conduite même si ces fonds reste d’un faible volume par rapport aux fonds privés.
- Les paradis fiscaux
La notion est difficile à cerner puisqu’elle est toute relative. Anciennes zones de transit et non de production, ces territoires sont essentiellement insulaires et attirent les riches pour la faible imposition qui y règne mais aussi les organisations criminelles. Leur réduction semble effective (50 en 2000 pour 7 en 2005) mais ne se base que sur des promesses qui ne sont qu’une simple condition pour être retiré de la liste.
- Mafias, une géoéconomie invisible
Les mafias se définissent par leur ancrage territorial (4 des 10 mafias mondiales sont italiennes), leur ancienneté (plus de deux siècles), une hiérarchie très pyramidale et une multiplicité des terrains d’action (racket, jeu, drogue, prostitution…). Elle naissent lors d’un vide de pouvoir et témoigne d’énormes capacités d’adaptation et de capacités à corrompre. Le secret et la seule motivation économique les différencient des mouvement terroristes qui se veulent visibles et motivés par des revendications politiques.
- Terres agricoles, une autre délocalisation ?
Des États peuvent décider de s’échanger des terres, qu’elles soient proches ou non, pour faire face aux hausses de prix et aux baisses des exportations. Des émeutes de la faim peuvent émerger. Le problème est marqué lorsqu’il y a partition et spécialisation d’un territoire (cas de la Corée). Les intérêts se croisent cependant car les pays loueurs, assez peu peuplés, se font financer par les pays acquéreurs pour les équiper mais quid des exploitants locaux n’ayant pas de titre de propriété ?
- Pêche : la fin de l’abondance ?
Les changements alimentaires (hausse de la consommation de poisson), l’industrialisation de la pêche et la pratique d’une pêche plus profonde sont les raisons d’une surexploitation de la ressource à laquelle s’ajoute la pêche illégale. Les convoitises des territoires marins sont nombreuses à l’image des volontés d’extension des ZEE. La solution privilégiée est l’aquaculture mais nécessite de nourrir les poissons et donc d’en pêcher d’autres massivement (cas des anchois du Pérou).
- 2015, les objectifs du millénaire
Il est question ici de 8 objectifs thématiques (santé, éducation, environnement…) mais foncièrement interdépendants fixés par l’ONU en 2000. Le bilan à plus de la moitié du parcours est très mitigé : les BRIC affichent quelques bons résultats mais la réduction de la pauvreté n’est le fait que de la croissance asiatique. Le rôle des États doit s’accompagner d’autres formes de soutien mais l’offre est désordonnée.
- Le pic pétrolier, c’est maintenant
On le nomme « pic oil » et il se situe entre 2010 et 2050. La fourchette est large mais les énormes enjeux portant sur la ressource en pétrole expliquent les différences d’estimation entre les États et les experts. Les solutions passent par la recherche d’un pétrole offshore, d’un pétrole non conventionnel et d’un pétrole en milieu arctique, le réchauffement climatique et la fonte de la banquise facilitant le passage pour les exploitants.
- L’empreinte écologique
Il s’agit là d’une mesure un peu complexe, exprimée par surface à l’aide de « l’hectare global » se déclinant à toutes les échelles. On voit très nettement que si tout le monde consommait comme les États Unis ou les Émirats Arabes Unis, une seule Terre ne serait pas suffisante…
APPROCHE RÉGIONALE
- Chine, lendemains de croissance
La fulgurante croissance chinoise est à surveiller dans les années à venir car l’évolution de la structure par âge (hausse des plus jeunes et des plus âgés) sera une explication de sa fragilisation. Le poids des traditions familiales (prise en charge des enfants, des parents et des grands-parents) risque d’amener une population qui deviendra vieille avant d’être riche.
- Que fait la Chine en Afrique ?
La Chine est très présente en Afrique (voyages officiels notamment) pour des enjeux commerciaux (mais les échanges africains ne représentent que 3 % des échanges avec la Chine) mais surtout diplomatiques (pour s’afficher contre les États Unis et contre le Japon). Cette stratégie est critiquable car la Chine soutient les régimes dictatoriaux et corrompus, fournissant même des armes à certains de ces États.
- Russie, moyenne puissance
Les États satellites de la Russie se sont tournés vers l’Union Européenne et l’OTAN vus comme des rivaux. Les relations sont moins tendues avec la Chine avec qui la Russie trouve des intérêts communs (exploitation de certaines ressources aux abords de la frontière). Le grand enjeu d’avenir passe par la contrôle de la zone arctique revendiquée aussi par le Danemark et le Canada.
- Retours d’Afrique
Il s’agit là d’un bilan mitigé du NEPAD (nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique). La vision des choses en cinq grandes zones régionales et non en États a permis quelques réalisations concluantes mais les financements ont été faibles et la société civile peu impliquée.
- Nigéria, état riche pays pauvre
C’est un exemple marqué d’écart entre les forts revenus générés par le pétrole et l’absence d’investissement dans le développement même du pays. Corruption et enlèvements sont légion et pourtant les investissements se maintiennent comme si Shell ou Total avaient plus de poids que l’ONU.
- Mondialisation culturelle dans le Golfe Persique
Ces États préparent l’ère de l’après-pétrole en proposant des projets à la fois originaux et démesurés. La concurrence est forte entre la construction de tours, l’ouverture de musées, l’implantation d’universités (dont la Sorbonne)…Des photos de ces projets, au sol ou aériennes, amènent un peu de fraicheur dans l’analyse.Genre : Reportage télévisé Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le Dessous des Cartes. Richesse et pauvreté des nations [document projeté ou vidéo] / Jean-Christophe Victor, Présentateur . - Arte éditions, 2011 . - 1 dvd : 200 min.
ISSN : 3453277200371
Au travers d’exemples régionaux, Le Dessous des Cartes met en évidence le fait que l’économie internationale est fondée sur la richesse et la pauvreté des nations et que les objectifs du millénaire pour le développement sont loin d’être atteints.
En partant du constat majeur que le Nord et le Sud se déplacent et qu’en ce début de XXIème siècle, un basculement de la richesse s’opère du Nord vers l’Asie, Jean-Christophe Victor vous propose un voyage dans la nouvelle cartographie de l’économie mondiale.
Cette série, articulée autour de plusieurs grands axes, donne des clefs pour mieux comprendre l’économie internationale en s’intéressant à la fois aux instances de régulation que sont l’OMC et le FMI mais aussi aux paradis fiscaux ou encore aux mafias. Elle propose également une vision critique des instruments statistiques de mesure de la richesse et la pauvreté.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheIndex. décimale : 114 Economie Note de contenu : APPROCHE THÉMATIQUE
- Le Nord et le Sud se déplacent
Il s’agit là de se repérer dans la jungle des indicateurs de mesure de la richesse : PIB, RNB, IDH…et de comprendre que si la pauvreté a reculé dans le monde, on le doit beaucoup à la croissance asiatique. De même, s’il y a de moins en moins de pauvres, il y a aussi de plus en plus de riches et de très riches, ce qui accroit mécaniquement les inégalités. Le choix méthodologique de se baser sur la projection cartographique de Peters plutôt que celle de Mercator est justifié pour que le Sud ne paraisse pas si restreint face au Nord.
- Le basculement de la richesse
Difficile toujours de définir quels peuvent être les nouveaux États qui entreraient dans une catégorie de pays riches. Les BRIC font consensus grâce à leur stabilité politique et à leur potentiel de croissance mais d’autres regroupements existent : BRICS avec l’Afrique du Sud ou BASIC sans la Russie, les CIVETS…La question environnementale est pointée d’emblée sur cette émission introductive pour montrer le gros décalage entre les pays « Annexe 1 » et les pays « Hors Annexe » qui estiment légitimement que le Nord est historiquement responsables des dégradations écologiques.
- Le Fonds Monétaire International
Suite à la conférence de Bretton Woods, l’idée de réguler le système monétaire mondial a vu naître le FMI qui regroupe presque la totalité des États de la planète. L’organisme prête, contrôle la politique de ses membres mais au prix d’un coût social parfois élevé comme le montrent les deux exemples retenus ici, celui de la Grèce et celui de l’Irlande.
- L’Organisation Mondiale du Commerce
Basée à Genève, l’OMC régule les échanges entre ses 153 membres qui représentent 90 % des flux commerciaux mondiaux. Les subventions faussent l’équilibre Nord/Sud et servent les enjeux politiques et électoraux en ne contribuant que très peu au PIB. L’agriculture semble le point le plus délicat à réguler.
- A quoi servent les fonds souverains ?
Il s’agit là de réserves publiques que l’on trouve massivement dans des pays à forte croissance, possédant du pétrole et bénéficiant de rentes minières ou encore de rentes salariales. La mauvaise réputation de ces Etats a nécessité la création d’un code de bonne conduite même si ces fonds reste d’un faible volume par rapport aux fonds privés.
- Les paradis fiscaux
La notion est difficile à cerner puisqu’elle est toute relative. Anciennes zones de transit et non de production, ces territoires sont essentiellement insulaires et attirent les riches pour la faible imposition qui y règne mais aussi les organisations criminelles. Leur réduction semble effective (50 en 2000 pour 7 en 2005) mais ne se base que sur des promesses qui ne sont qu’une simple condition pour être retiré de la liste.
- Mafias, une géoéconomie invisible
Les mafias se définissent par leur ancrage territorial (4 des 10 mafias mondiales sont italiennes), leur ancienneté (plus de deux siècles), une hiérarchie très pyramidale et une multiplicité des terrains d’action (racket, jeu, drogue, prostitution…). Elle naissent lors d’un vide de pouvoir et témoigne d’énormes capacités d’adaptation et de capacités à corrompre. Le secret et la seule motivation économique les différencient des mouvement terroristes qui se veulent visibles et motivés par des revendications politiques.
- Terres agricoles, une autre délocalisation ?
Des États peuvent décider de s’échanger des terres, qu’elles soient proches ou non, pour faire face aux hausses de prix et aux baisses des exportations. Des émeutes de la faim peuvent émerger. Le problème est marqué lorsqu’il y a partition et spécialisation d’un territoire (cas de la Corée). Les intérêts se croisent cependant car les pays loueurs, assez peu peuplés, se font financer par les pays acquéreurs pour les équiper mais quid des exploitants locaux n’ayant pas de titre de propriété ?
- Pêche : la fin de l’abondance ?
Les changements alimentaires (hausse de la consommation de poisson), l’industrialisation de la pêche et la pratique d’une pêche plus profonde sont les raisons d’une surexploitation de la ressource à laquelle s’ajoute la pêche illégale. Les convoitises des territoires marins sont nombreuses à l’image des volontés d’extension des ZEE. La solution privilégiée est l’aquaculture mais nécessite de nourrir les poissons et donc d’en pêcher d’autres massivement (cas des anchois du Pérou).
- 2015, les objectifs du millénaire
Il est question ici de 8 objectifs thématiques (santé, éducation, environnement…) mais foncièrement interdépendants fixés par l’ONU en 2000. Le bilan à plus de la moitié du parcours est très mitigé : les BRIC affichent quelques bons résultats mais la réduction de la pauvreté n’est le fait que de la croissance asiatique. Le rôle des États doit s’accompagner d’autres formes de soutien mais l’offre est désordonnée.
- Le pic pétrolier, c’est maintenant
On le nomme « pic oil » et il se situe entre 2010 et 2050. La fourchette est large mais les énormes enjeux portant sur la ressource en pétrole expliquent les différences d’estimation entre les États et les experts. Les solutions passent par la recherche d’un pétrole offshore, d’un pétrole non conventionnel et d’un pétrole en milieu arctique, le réchauffement climatique et la fonte de la banquise facilitant le passage pour les exploitants.
- L’empreinte écologique
Il s’agit là d’une mesure un peu complexe, exprimée par surface à l’aide de « l’hectare global » se déclinant à toutes les échelles. On voit très nettement que si tout le monde consommait comme les États Unis ou les Émirats Arabes Unis, une seule Terre ne serait pas suffisante…
APPROCHE RÉGIONALE
- Chine, lendemains de croissance
La fulgurante croissance chinoise est à surveiller dans les années à venir car l’évolution de la structure par âge (hausse des plus jeunes et des plus âgés) sera une explication de sa fragilisation. Le poids des traditions familiales (prise en charge des enfants, des parents et des grands-parents) risque d’amener une population qui deviendra vieille avant d’être riche.
- Que fait la Chine en Afrique ?
La Chine est très présente en Afrique (voyages officiels notamment) pour des enjeux commerciaux (mais les échanges africains ne représentent que 3 % des échanges avec la Chine) mais surtout diplomatiques (pour s’afficher contre les États Unis et contre le Japon). Cette stratégie est critiquable car la Chine soutient les régimes dictatoriaux et corrompus, fournissant même des armes à certains de ces États.
- Russie, moyenne puissance
Les États satellites de la Russie se sont tournés vers l’Union Européenne et l’OTAN vus comme des rivaux. Les relations sont moins tendues avec la Chine avec qui la Russie trouve des intérêts communs (exploitation de certaines ressources aux abords de la frontière). Le grand enjeu d’avenir passe par la contrôle de la zone arctique revendiquée aussi par le Danemark et le Canada.
- Retours d’Afrique
Il s’agit là d’un bilan mitigé du NEPAD (nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique). La vision des choses en cinq grandes zones régionales et non en États a permis quelques réalisations concluantes mais les financements ont été faibles et la société civile peu impliquée.
- Nigéria, état riche pays pauvre
C’est un exemple marqué d’écart entre les forts revenus générés par le pétrole et l’absence d’investissement dans le développement même du pays. Corruption et enlèvements sont légion et pourtant les investissements se maintiennent comme si Shell ou Total avaient plus de poids que l’ONU.
- Mondialisation culturelle dans le Golfe Persique
Ces États préparent l’ère de l’après-pétrole en proposant des projets à la fois originaux et démesurés. La concurrence est forte entre la construction de tours, l’ouverture de musées, l’implantation d’universités (dont la Sorbonne)…Des photos de ces projets, au sol ou aériennes, amènent un peu de fraicheur dans l’analyse.Genre : Reportage télévisé Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103705 114 N.1.1859 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
103705URL
Titre : La face cachée du low-cost Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Enrico Porsia, Metteur en scène, réalisateur Editeur : UGICT-CGT Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : Ryanair low-cost enquête transports aériens Index. décimale : 114 Economie Résumé : Vous penser aimer le lowcost, mais savez vous quel est le vrai coût du bas prix ? Diffusée par « Options », le journal de l'UGICT-CGT, cette enquête exclusive décortique le modèle économique de la compagnie à "bas coût" Ryanair et son chantage aux subventions publiques déguisées. On y découvre comment Ryanair exerce une pression permanente sur des collectivités territoriales et passe outre le code du travail, sur fond de directive Bolkestein et de distorsion de concurrence. Genre : webdocumentaire Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://verite-lowcost.com/index.php? option=com_k2&view=item&layout=item&id=7&It [...] La face cachée du low-cost [document projeté ou vidéo] / Enrico Porsia, Metteur en scène, réalisateur . - UGICT-CGT, 2011.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : Ryanair low-cost enquête transports aériens Index. décimale : 114 Economie Résumé : Vous penser aimer le lowcost, mais savez vous quel est le vrai coût du bas prix ? Diffusée par « Options », le journal de l'UGICT-CGT, cette enquête exclusive décortique le modèle économique de la compagnie à "bas coût" Ryanair et son chantage aux subventions publiques déguisées. On y découvre comment Ryanair exerce une pression permanente sur des collectivités territoriales et passe outre le code du travail, sur fond de directive Bolkestein et de distorsion de concurrence. Genre : webdocumentaire Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://verite-lowcost.com/index.php? option=com_k2&view=item&layout=item&id=7&It [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkMain basse sur le riz / Jean Crépu
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLe beurre et l'argent du beurre / Philippe Baqué
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkCréation d’une PME / Alexandre Podolski
PermalinkLe système monétaire européen / Paulo Van den Hove
PermalinkLa dévaluation / Alexandre Podolski
PermalinkL'économie japonaise / Guy Vial
PermalinkLe rôle de l'état dans l'économie / Geneviève Delire
PermalinkPermalink