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Titre : Alfred Hitchcock Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 25 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-521-0 Note générale : Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Alfred Hitchcock [texte imprimé] / Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 25) .
ISBN : 978-2-86642-521-0
Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300016 18 H.1.03183 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300016.jpgImage Jpeg L'analyse du film / Raymond Bellour
Titre : L'analyse du film Type de document : texte imprimé Auteurs : Raymond Bellour (1939-....), Auteur Editeur : Albatros Année de publication : 1979 Collection : Ça-cinéma, ISSN 0339-2074 Importance : 1 vol (310 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : analyse filmique Alfred Hitchcock Fritz Lang Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : L'analyse du film, ou comment la passion du cinéma en vient à se choisir comme objet. Prenant délibérément le parti de traiter le film comme un texte susceptible d'analyses rigoureuses, Raymond Bellour s'emploie, dans ce livre fondateur, à débrouiller l'écheveau des significations et des formes, dans ces grands films que sont Les Oiseaux, La Mort aux trousses, Psychose, Marnie. L'Analyse du film est d'abord un livre sur Hitchcock. Mais c'est aussi un livre sur le fonctionnement narratif du cinéma hollywoodien et sur la place qu'il réserve à la femme. C'est, enfin, un livre qui ne cesse de s'interroger sur l'analyse comme pratique singulière. Ces livres se rassemblent et se relancèrent en un volume unique tournant tout entier autour de l'éblouissement qui le provoque : l'amour du cinéma. L'analyse du film [texte imprimé] / Raymond Bellour (1939-....), Auteur . - Albatros, 1979 . - 1 vol (310 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm.. - (Ça-cinéma, ISSN 0339-2074) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : analyse filmique Alfred Hitchcock Fritz Lang Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : L'analyse du film, ou comment la passion du cinéma en vient à se choisir comme objet. Prenant délibérément le parti de traiter le film comme un texte susceptible d'analyses rigoureuses, Raymond Bellour s'emploie, dans ce livre fondateur, à débrouiller l'écheveau des significations et des formes, dans ces grands films que sont Les Oiseaux, La Mort aux trousses, Psychose, Marnie. L'Analyse du film est d'abord un livre sur Hitchcock. Mais c'est aussi un livre sur le fonctionnement narratif du cinéma hollywoodien et sur la place qu'il réserve à la femme. C'est, enfin, un livre qui ne cesse de s'interroger sur l'analyse comme pratique singulière. Ces livres se rassemblent et se relancèrent en un volume unique tournant tout entier autour de l'éblouissement qui le provoque : l'amour du cinéma. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302075 21 H.1.00389 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le Film Noir / Noël Simsolo
Titre : Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-402-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort La Dame de Shanghai Règlement de compte Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-402-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort La Dame de Shanghai Règlement de compte Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302386 17 H.1.02784 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Hollywood classique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Berthomieu, Auteur Editeur : Pertuis : Rouge profond Année de publication : 2009 Importance : 609 p. Présentation : Nombreuse reproductions de photogrammes ISBN/ISSN/EAN : 17 H.1.04175 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma hollywoodien Michael Curtiz Clarence Brown David O. Selznick John Ford Henry King Cecil B. De Mille Howard Hawks Alfred Hitchcock George Stevens King Vidor Robert Wise Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le cinéma d'Hollywood est un art de la plénitude : ses histoires embrassent le monde, ses images sidèrent et transportent, ses créateurs ne s'imposent aucune limite, tous les genres sont représentés et la démangeaison d'infini y est permanente. Ignorant la hiérarchie culturelle, Pierre Berthomieu propose dans ce premier volume, allant des origines aux années 1960, une histoire inédite de l'art hollywoodien : histoire des formes, des styles, histoire des artistes (acteurs, réalisateurs, scénaristes, décorateurs, musiciens). Hollvwood est à l'origine de codes et de genres précis (le film biblique, le film historique et romantique comme Autant en emporte le vent, les musicals...), d'esthétiques sans cesse enrichies, d'échanges artistiques (théâtre, opéra, musique, cinéma, animation, télévision), mais aussi d'icônes (King Kong, Marilyn Monroe...), d'inventions (le Technicolor, le Scope), d'oeuvres d'auteurs à part entière (Cecil B. DeMille, Michael Curtiz, Clarence Brown, John Ford, Alfred Hitchcock, Orson Welles, George Stevens, King Vidor, Robert Wise...). Feuilletoniste à sa façon, l'auteur reconstitue la saga hollywoodienne, avec ses familles et ses rituels, ses héritages et ses révolutions, alternant parcours chronologiques et approches transversales, privilégiant les filiations (échos, écarts), les transferts d'un cinéaste à l'autre, d'une forme à l'autre, les persistances ou infléchissements thématiques. Il saisit les liens de l'intérieur de la création, en remontant aux sources : il recourt à d'abondants documents visuels - près de trois mille illustrations -, à des propos d'artistes publiés pour la première fois en France.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Hollywood classique [texte imprimé] / Pierre Berthomieu, Auteur . - Pertuis : Rouge profond, 2009 . - 609 p. : Nombreuse reproductions de photogrammes.
ISSN : 17 H.1.04175
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma hollywoodien Michael Curtiz Clarence Brown David O. Selznick John Ford Henry King Cecil B. De Mille Howard Hawks Alfred Hitchcock George Stevens King Vidor Robert Wise Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le cinéma d'Hollywood est un art de la plénitude : ses histoires embrassent le monde, ses images sidèrent et transportent, ses créateurs ne s'imposent aucune limite, tous les genres sont représentés et la démangeaison d'infini y est permanente. Ignorant la hiérarchie culturelle, Pierre Berthomieu propose dans ce premier volume, allant des origines aux années 1960, une histoire inédite de l'art hollywoodien : histoire des formes, des styles, histoire des artistes (acteurs, réalisateurs, scénaristes, décorateurs, musiciens). Hollvwood est à l'origine de codes et de genres précis (le film biblique, le film historique et romantique comme Autant en emporte le vent, les musicals...), d'esthétiques sans cesse enrichies, d'échanges artistiques (théâtre, opéra, musique, cinéma, animation, télévision), mais aussi d'icônes (King Kong, Marilyn Monroe...), d'inventions (le Technicolor, le Scope), d'oeuvres d'auteurs à part entière (Cecil B. DeMille, Michael Curtiz, Clarence Brown, John Ford, Alfred Hitchcock, Orson Welles, George Stevens, King Vidor, Robert Wise...). Feuilletoniste à sa façon, l'auteur reconstitue la saga hollywoodienne, avec ses familles et ses rituels, ses héritages et ses révolutions, alternant parcours chronologiques et approches transversales, privilégiant les filiations (échos, écarts), les transferts d'un cinéaste à l'autre, d'une forme à l'autre, les persistances ou infléchissements thématiques. Il saisit les liens de l'intérieur de la création, en remontant aux sources : il recourt à d'abondants documents visuels - près de trois mille illustrations -, à des propos d'artistes publiés pour la première fois en France.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301628 17 H.1.04175 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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