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Architectures volume 1 / Collectif
Titre : Architectures volume 1 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 1995-2000 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:UrbanismeMots-clés : ARCHITECTURE / BAUHAUS / PARIS / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / CONSTRUCTION / ESPACE URBAIN / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / GARD / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / LOGEMENT SOCIAL / NIMES / POLITIQUE DU LOGEMENT / HISTOIRE DE L’ART / GROPIUS WALTER / BEAUBOURG / PORTO / VIENNE / WAGNER OTTO / HABITATION / AISNE / GUISE / DESSAU / NOUVEL JEAN / *DVD VIDEO / SIZA ALVARO / GODIN ANDRE / PIANO RENZO / ROGERS RICHARD Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "Le Bauhaus de Dessau", Walter Gropius. (F. Compain) - 2. "L'Ecole de Siza", Alvaro Siza. (R. Copans, S. Neumann) - 3. "Le Familistère de Guise, une cité radieuse au XIXe", André Godin. (C. Adda) - 4. "Némausus 1, une H.L.M. des années 80", Jean Nouvel. (R. Copans, S. Neumann) - 5. "Le Centre Georges-Pompidou", Renzo Piano et Richard Rogers. (R. Copans) - 6. "La Caisse d'Epargne de Vienne", Otto Wagner. (S. Neumann) Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 1 [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 1995-2000 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102703 96 N.1.1390/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 86 Titre : René Clair : Entr'acte - A nous la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale : ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
L'avant-scène cinéma, 86. René Clair : Entr'acte - A nous la liberté [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302216 19 H.1.01429 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles Ciment[n° ou bulletin] 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles CimentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400798 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400798.jpgImage Jpeg Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
PermalinkDossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
PermalinkDossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
PermalinkDossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
PermalinkEchos d'Ivan le terrible / Jean-Louis Leutrat
PermalinkLe Film Noir / Noël Simsolo
PermalinkPermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
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