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Titre : La Jetée. Ciné-Roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Editions de l'Eclat Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84162-165-1 Note générale : La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
La Jetée. Ciné-Roman [texte imprimé] / Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur . - Editions de l'Eclat, [s.d.] . - 1 vol.
ISBN : 978-2-84162-165-1
La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300011 19 H.1.03186 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300011.gifImage GIF La Chartreuse de Parme / Christian Jaque
Titre : La Chartreuse de Parme Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Christian Jaque, Metteur en scène, réalisateur ; Stendhal, Auteur Editeur : René Château Vidéo Année de publication : 1947 Importance : 1 DVD Présentation : 230 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : adaptation cinématographique femme romantisme Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Aventures, duels, chevauchées et intrigues... Le roman de Stendhal est ici ressuscité avec tout le charme et le luxe qui le caractérisait. Coproduction franco-italienne soutenue par André Paulvé, "La chartreuse de Parme" a bénéficié de l'aide de Pierre Véry pour l'adaptation et les dialogues. Gérard Philipe et Maria Casarès sont rayonnants de jeunesse et de beauté. Genre : Drame psychologique, drame Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + La Chartreuse de Parme [document projeté ou vidéo] / Christian Jaque, Metteur en scène, réalisateur ; Stendhal, Auteur . - René Château Vidéo, 1947 . - 1 DVD : 230 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : adaptation cinématographique femme romantisme Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Aventures, duels, chevauchées et intrigues... Le roman de Stendhal est ici ressuscité avec tout le charme et le luxe qui le caractérisait. Coproduction franco-italienne soutenue par André Paulvé, "La chartreuse de Parme" a bénéficié de l'aide de Pierre Véry pour l'adaptation et les dialogues. Gérard Philipe et Maria Casarès sont rayonnants de jeunesse et de beauté. Genre : Drame psychologique, drame Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100854 92.1 N.1.0391 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Como agua para chocolate / Alfonso Arau
Titre : Como agua para chocolate Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alfonso Arau, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Videoteca de Madrid Année de publication : 1994 Importance : 1 cassette vidéo Présentation : 116 min Langues : Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman de Laura Esquivel "Como agua para chocolate" Index. décimale : 84 Espagnol Résumé : Tita est amoureuse de Pedro. Mais étant la cadette de la famille, elle doit rester, comme le veut la tradition, avec sa mère jusqu'à ce que celle-ci meure. Pedro décide alors d'épouser la soeur de sa bien-aimée pour être plus près d'elle. Mais surveillée de près par sa mère dure et méchante, Tita n'a qu'une façon d'exprimer ses sentiments et sa passion : à travers la nourriture. Genre : Comédie dramatique Pays : Mexique Niveau : secondaire supérieur et + Como agua para chocolate [document projeté ou vidéo] / Alfonso Arau, Metteur en scène, réalisateur . - Videoteca de Madrid, 1994 . - 1 cassette vidéo : 116 min.
Langues : Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman de Laura Esquivel "Como agua para chocolate" Index. décimale : 84 Espagnol Résumé : Tita est amoureuse de Pedro. Mais étant la cadette de la famille, elle doit rester, comme le veut la tradition, avec sa mère jusqu'à ce que celle-ci meure. Pedro décide alors d'épouser la soeur de sa bien-aimée pour être plus près d'elle. Mais surveillée de près par sa mère dure et méchante, Tita n'a qu'une façon d'exprimer ses sentiments et sa passion : à travers la nourriture. Genre : Comédie dramatique Pays : Mexique Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) / Anne Marquez
Titre : Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Marquez, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : s.d. Importance : 22 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) [texte imprimé] / Anne Marquez, Auteur . - Paris : CNC, s.d. . - 22 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303691 19 H.1.04339/20 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Lettres d'Iwo Jima Titre original : Letters from Iwo Jima Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Clint Eastwood (1930-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Warner Bros Année de publication : 2007 Importance : 2 dvd Présentation : 139 min Accompagnement : 1 dvd de bonus ISBN/ISSN/EAN : 7321996146668 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman de Tadamichi Kuribayashi (1992). Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : En 1945, les armées américaine et japonaise s'affrontèrent sur l'île d'Iwo Jima. Quelques décennies plus tard, des centaines de lettres furent extraites de cette terre aride, permettant enfin de donner un nom, un visage, une voix à ces hommes ainsi qu'à leur extraordinaire commandant.
Les soldats japonais qu'on envoyait à Iwo Jima savaient que leurs chances de survie étaient quasi nulles. Animé d'une volonté implacable, leur chef, le général Kuribayashi, exploita ingénieusement la nature du terrain, transformant ainsi la défaite éclair annoncée en 40 jours d'héroïques combats.
De nombreux soldats américains et japonais ont perdu la vie à Iwo Jima. Leur sang s'est depuis longtemps perdu dans les profondeurs du sable noir, mais leurs sacrifices, leur courage et leur compassion ont survécu dans ces Lettres.Lettres d'Iwo Jima = Letters from Iwo Jima [document projeté ou vidéo] / Clint Eastwood (1930-....), Metteur en scène, réalisateur . - Warner Bros, 2007 . - 2 dvd : 139 min + 1 dvd de bonus.
ISSN : 7321996146668
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman de Tadamichi Kuribayashi (1992). Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : En 1945, les armées américaine et japonaise s'affrontèrent sur l'île d'Iwo Jima. Quelques décennies plus tard, des centaines de lettres furent extraites de cette terre aride, permettant enfin de donner un nom, un visage, une voix à ces hommes ainsi qu'à leur extraordinaire commandant.
Les soldats japonais qu'on envoyait à Iwo Jima savaient que leurs chances de survie étaient quasi nulles. Animé d'une volonté implacable, leur chef, le général Kuribayashi, exploita ingénieusement la nature du terrain, transformant ainsi la défaite éclair annoncée en 40 jours d'héroïques combats.
De nombreux soldats américains et japonais ont perdu la vie à Iwo Jima. Leur sang s'est depuis longtemps perdu dans les profondeurs du sable noir, mais leurs sacrifices, leur courage et leur compassion ont survécu dans ces Lettres.SupplémentsEst accompagné deExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100463 92.1 N.1.0551 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
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