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7 recherche sur le mot-clé 'Clint Eastwood'
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Cinémaction, 115. Utopie et cinéma / Guy Hennebelle
Titre de série : Cinémaction, 115 Titre : Utopie et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Hennebelle, Directeur de publication Editeur : Cinemaction Année de publication : 2005 Autre Editeur : Editions Corlet ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84706-118-5 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Raod-movie tex avery clint eastwood ken loach cinéma politique roger and me 17 science-fiction dindo Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Comment le cinéma tend et parvient parfois à exprimer l'inexprimable, l'inaccessible, l'onirique, voire le non-lieu (sens étymologique d'utopie), c'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui saisit les genres road-movie, dessin animé, comédies anglaises, science-fiction, western, films de guerre, cinéma politique, documentaire ou auto-documentaire à la Michael Moore à contre-pied de la cinéphilie habituelle. Si l'utopie comme lieu ou gouvernement idéal traverse l'histoire cinématographique de Griffith à Abel Gance, de Chris Marker à Richard Dindo, elle en transforme aussi à sa façon l'écriture et la pratique.Cinémaction, 115. Utopie et cinéma [texte imprimé] / Guy Hennebelle, Directeur de publication . - Cinemaction : Editions Corlet, 2005.
ISBN : 978-2-84706-118-5
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Raod-movie tex avery clint eastwood ken loach cinéma politique roger and me 17 science-fiction dindo Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Comment le cinéma tend et parvient parfois à exprimer l'inexprimable, l'inaccessible, l'onirique, voire le non-lieu (sens étymologique d'utopie), c'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui saisit les genres road-movie, dessin animé, comédies anglaises, science-fiction, western, films de guerre, cinéma politique, documentaire ou auto-documentaire à la Michael Moore à contre-pied de la cinéphilie habituelle. Si l'utopie comme lieu ou gouvernement idéal traverse l'histoire cinématographique de Griffith à Abel Gance, de Chris Marker à Richard Dindo, elle en transforme aussi à sa façon l'écriture et la pratique.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301155 17 H.1.02691 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 10 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., [s.d.] . - 10 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303694 19 H.1.04339/25 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 549 - Septembre 2000 - Il était une fois Eastwood (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 549 - Septembre 2000 - Il était une fois Eastwood : Kippour d'Amos Gitaï : les sentiers de la guerre - Yi yi d'Edward Yang : l'alchimie des sentiments Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Clint Eastwood [n° ou bulletin] 549 - Septembre 2000 - Il était une fois Eastwood : Kippour d'Amos Gitaï : les sentiers de la guerre - Yi yi d'Edward Yang : l'alchimie des sentiments [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Clint Eastwood Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400690 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, I Titre : Le goût de l'Amérique : 50 ans de cinéma américain dans les Cahiers du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-290-5 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Howard Hawks Humphrey Bogart Orson Welles Samuel Fuller Francis Ford Coppola John Carpenter Clint Eastwood Martin Scorsese David Miller Nicolas Ray John Ford Monte Hellman George Lucas Stanley Kubrick Steven Spielberg Michael Cimino John Cassavetes Robert Kramer David Cronenberg Brian De Palma David Lynch Tim Burton Joel Coen Ethan Coen Le masque arraché Johnny Guitare Frontière chinoise Macadam à deux voies La guerre des étoiles Apocalypse Now Shining Les Aventuriers de l'arche perdue Made in USA E.T. l'extra-terrestre L'Année du Dragon Love Streams Route One USA Scanners Pulsions Invasion Los Angeles Honkytonk Man Blue Velvet Batman Miller's Crossing Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Textes réunis et présentés par Antoine de Baecque
Avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
- Petite anthologie des Cahiers du cinéma.
A l’occasion des cinquante ans de la revue, la "Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma" présente une série spéciale : "La petite anthologie des Cahiers du cinéma". Le parti pris de cette série d’anthologies (neuf ouvrages au total), au sein de la « Petite Bibliothèque des Cahiers du cinéma », est de choisir sur la durée de l’histoire de la revue une sélection de textes regroupés selon de grandes thématiques qui illustrent les idées force de la revue, ses grands choix critiques et esthétiques, représentant un large éventail de signatures.Note de contenu :
Petite anthologie des Cahiers du cinéma.Petite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique : 50 ans de cinéma américain dans les Cahiers du cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-290-5
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Howard Hawks Humphrey Bogart Orson Welles Samuel Fuller Francis Ford Coppola John Carpenter Clint Eastwood Martin Scorsese David Miller Nicolas Ray John Ford Monte Hellman George Lucas Stanley Kubrick Steven Spielberg Michael Cimino John Cassavetes Robert Kramer David Cronenberg Brian De Palma David Lynch Tim Burton Joel Coen Ethan Coen Le masque arraché Johnny Guitare Frontière chinoise Macadam à deux voies La guerre des étoiles Apocalypse Now Shining Les Aventuriers de l'arche perdue Made in USA E.T. l'extra-terrestre L'Année du Dragon Love Streams Route One USA Scanners Pulsions Invasion Los Angeles Honkytonk Man Blue Velvet Batman Miller's Crossing Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Textes réunis et présentés par Antoine de Baecque
Avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
- Petite anthologie des Cahiers du cinéma.
A l’occasion des cinquante ans de la revue, la "Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma" présente une série spéciale : "La petite anthologie des Cahiers du cinéma". Le parti pris de cette série d’anthologies (neuf ouvrages au total), au sein de la « Petite Bibliothèque des Cahiers du cinéma », est de choisir sur la durée de l’histoire de la revue une sélection de textes regroupés selon de grandes thématiques qui illustrent les idées force de la revue, ses grands choix critiques et esthétiques, représentant un large éventail de signatures.Note de contenu :
Petite anthologie des Cahiers du cinéma.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302373 17 H.1.01918 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le western / Clélia Cohen
Titre : Le western Type de document : texte imprimé Auteurs : Clélia Cohen, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-397-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : John Wayne James Stewart Gary Cooper John Ford Henry Fonda Raoul Walsh Anthony Mann Clint Eastwood Western cinéma américain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'auteur explore les codes et les grandes thématiques du western tout en proposant une réflexion sur la nature du cinéma comme art et sur toute son histoire.Le western [texte imprimé] / Clélia Cohen, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-397-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : John Wayne James Stewart Gary Cooper John Ford Henry Fonda Raoul Walsh Anthony Mann Clint Eastwood Western cinéma américain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'auteur explore les codes et les grandes thématiques du western tout en proposant une réflexion sur la nature du cinéma comme art et sur toute son histoire.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302392 17 H.1.02673 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
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