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36 recherche sur le mot-clé 'Cryptogames -- Manche (mer)'
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Mousses, algues et lichens / Charles Godefroid
Titre : Mousses, algues et lichens Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Charles Godefroid, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur Editeur : Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française Année de publication : 1983 Collection : La télévision scolaire Importance : 1 vidéocassette (VHS) Présentation : 20 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences:Biologie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : Lichens -- Manche (mer) Cryptogames -- Manche (mer) Mousses -- Manche (mer) Algues -- Manche (mer) Sciences -- 108.3 Botanique/Minéralogie Index. décimale : 108.3 Biologie végétale/minérale Résumé : Ce reportage présente les différents types d’algues, de lichens et de mousses rencontrés notamment sur les côtes marines de la Manche. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : primaire Mousses, algues et lichens [document projeté ou vidéo] / Charles Godefroid, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur . - Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française, 1983 . - 1 vidéocassette (VHS) : 20 min. - (La télévision scolaire) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences:Biologie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : Lichens -- Manche (mer) Cryptogames -- Manche (mer) Mousses -- Manche (mer) Algues -- Manche (mer) Sciences -- 108.3 Botanique/Minéralogie Index. décimale : 108.3 Biologie végétale/minérale Résumé : Ce reportage présente les différents types d’algues, de lichens et de mousses rencontrés notamment sur les côtes marines de la Manche. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : primaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition 2015 Editeur : Bruxelles [Belgique] : Cinematek Année de publication : 1992 - 1993 - 2000 Autre Editeur : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles Importance : 1 DVD (86' - 57' - 46') Note générale : "Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel. Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille [document projeté ou vidéo] / Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur . - Edition 2015 . - Bruxelles [Belgique] : Cinematek : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 1992 - 1993 - 2000 . - 1 DVD (86' - 57' - 46').
"Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104861 92.2 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104829 92.7 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104827.jpgImage Jpeg L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
Accompagne
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - Editions du Céfal, 2007.
Accompagne
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Chaos sur la planète : Quand la nature reprend ses droits Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : M6 Vidéo Année de publication : 2006 Importance : 2 DVD ISBN/ISSN/EAN : 3545020009482 Note générale : Cette série de documentaires fictions scientifiques tente de montrer ce que nous pourrions subir si les accidents climatiques que nous connaissons aujourd'hui atteignaient des proportions inconnues jusqu'ici.
Chaque film présente les circonstances dans lesquelles nos grandes villes et nos campagnes pourraient être frappées par ces catastrophes: Londres victime d'une inondation, Sydney ravagée par un incendie équivalent à ceux que nous connaissons chaque été en Europe, ou Montréal paralysée par une tempête de glace. Pour ces réalisations (plus proches des films "catastrophes" que des documentaires), les techniques les plus modernes ont été utilisées - images de synthèse et 3D de dernière génération. Pour la première fois, les plus grands scientifiques, spécialistes du climat, nous expliquent de façon simple et compréhensible par tous, les dérèglements climatiques présentés.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo Mots-clés : CLIMAT / EAU / ENVIRONNEMENT / GEOGRAPHIE / INCENDIE / MER / PHYSIQUE / SOLEIL / CATASTROPHE NATURELLE / CLIMATOLOGIE / ERUPTION VOLCANIQUE / GEOGRAPHIE PHYSIQUE / GLACIER / HYDROGRAPHIE / INONDATION / RESSOURCE NATURELLE / SCIENCE / PLANETE TERRE / TREMBLEMENT DE TERRE / RAZ-DE-MAREE / CYCLONE / *ENR / DOCUMENTAIRE FICTION Index. décimale : 117.24 Phénomènes naturels, climat et météo Niveau : secondaire supérieur et + Chaos sur la planète : Quand la nature reprend ses droits [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - M6 Vidéo, 2006 . - 2 DVD.
ISSN : 3545020009482
Cette série de documentaires fictions scientifiques tente de montrer ce que nous pourrions subir si les accidents climatiques que nous connaissons aujourd'hui atteignaient des proportions inconnues jusqu'ici.
Chaque film présente les circonstances dans lesquelles nos grandes villes et nos campagnes pourraient être frappées par ces catastrophes: Londres victime d'une inondation, Sydney ravagée par un incendie équivalent à ceux que nous connaissons chaque été en Europe, ou Montréal paralysée par une tempête de glace. Pour ces réalisations (plus proches des films "catastrophes" que des documentaires), les techniques les plus modernes ont été utilisées - images de synthèse et 3D de dernière génération. Pour la première fois, les plus grands scientifiques, spécialistes du climat, nous expliquent de façon simple et compréhensible par tous, les dérèglements climatiques présentés.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo Mots-clés : CLIMAT / EAU / ENVIRONNEMENT / GEOGRAPHIE / INCENDIE / MER / PHYSIQUE / SOLEIL / CATASTROPHE NATURELLE / CLIMATOLOGIE / ERUPTION VOLCANIQUE / GEOGRAPHIE PHYSIQUE / GLACIER / HYDROGRAPHIE / INONDATION / RESSOURCE NATURELLE / SCIENCE / PLANETE TERRE / TREMBLEMENT DE TERRE / RAZ-DE-MAREE / CYCLONE / *ENR / DOCUMENTAIRE FICTION Index. décimale : 117.24 Phénomènes naturels, climat et météo Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102962 117.24 N.1.1502 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102962URL
Titre : Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Antxon Salvador, Auteur Editeur : Rome [Italie] : Gremese Année de publication : 2011 Importance : 282 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-88-7301-739-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours [texte imprimé] / Antxon Salvador, Auteur . - Rome [Italie] : Gremese, 2011 . - 282 p.
ISBN : 978-88-7301-739-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303961 17 H.1.04460 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303961URL Citizen Kane / Jean Roy
PermalinkPermalinkPermalinkDossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
PermalinkDVD 1. Free cinema
PermalinkDVD 2. Free cinema 6 : Les derniers films
PermalinkDVD 3. Le Free cinema, et après : d'autres films inspirés de ce mouvement
PermalinkDVD 3. Les grandes plaines, À la surface des mers, Les jungles / BBC
PermalinkDVD 4. Les saisons en forêt, Les fonds marins / BBC
PermalinkPermalinkPermalinkGeorges Méliès / Georges Sadoul
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkJean Epstein / Pierre Leprohon
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPlanète Terre / Alastair Fothergill
PermalinkPermalinkLe procès / Jean-Philippe Trias
PermalinkPermalinkSjöström / René Jeanne
PermalinkStrip-tease vol 2 : 7 films
PermalinkStrip-tease vol 5 : 8 films
PermalinkVie quotidienne au Moyen âge : les Mérovingiens / Jean Govaers
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