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Mulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
Titre : Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Aubron, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 19 H.1.03158 Note générale :
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me [texte imprimé] / Hervé Aubron, Auteur . - Crisnée [Belgique] : Yellow Now, 2006.
ISSN : 19 H.1.03158
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301752 19 H.1.03158 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Un an après, le Japon bouleversé... Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Guillaume Bression, Metteur en scène, réalisateur ; Marie Linton, Metteur en scène, réalisateur Editeur : France 24 Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météoMots-clés : Japon tsunami séisme catastrophe naturelle danger catastrophe nucléaire Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : De Tokyo à Ogatsu, plongez dans le Japon de l'après-catastrophe. Un an après le séisme du 11 mars 2011, le tsunami qui a ravagé ses côtes et l'accident nucléaire de Fukushima qu'il a engendré, le Japon continue de panser ses plaies. Genre : webdocumentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://webdoc.france24.com/fukushima/index.html Un an après, le Japon bouleversé... [document projeté ou vidéo] / Guillaume Bression, Metteur en scène, réalisateur ; Marie Linton, Metteur en scène, réalisateur . - France 24, 2012.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météoMots-clés : Japon tsunami séisme catastrophe naturelle danger catastrophe nucléaire Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : De Tokyo à Ogatsu, plongez dans le Japon de l'après-catastrophe. Un an après le séisme du 11 mars 2011, le tsunami qui a ravagé ses côtes et l'accident nucléaire de Fukushima qu'il a engendré, le Japon continue de panser ses plaies. Genre : webdocumentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://webdoc.france24.com/fukushima/index.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Architectures volume 3 / Collectif
Titre : Architectures volume 3 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 2000-2003 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ARCHITECTURE / BARCELONE / MUSEE / PARIS / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / BERLIN / CONSTRUCTION / FINLANDE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / JUDAISME / LE CORBUSIER / OPERA / HISTOIRE DE L’ART / CHICAGO / HABITATION / EDIFICE RELIGIEUX / SULLIVAN LOUIS HENRY / ADLER DANKMAR / GAUDI ANTONIO / LIEBESKIND DAMEL / GARNIER CHARLES / AALTO ALVAR / SULLIVAN LOUIS H. / OTT CARLOS Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "Le musée juif de Berlin", Daniel Liebeskind (R. Copans, S. Neumann) - 2. "L'opéra Garnier", Charles Garnier (S. Neumann) - 3. "Le couvent de la Tourette", Le Corbusier (R. Copans) - 4. "La Casa Milà", Antonio Gaudi (F. Compain) - 5. "L'auditorium Building de Chicago", Louis H. Sullivan et Dankmar Adler (S. Neumann) - 6. "Le centre municipal de Säynätsalo", Alvar Aalto (R. Copans). Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 3 [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 2000-2003 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102705 96 N.1.1390/3 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Architectures volume 6 / Richard Copans
Titre : Architectures volume 6 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 2009 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 6 [document projeté ou vidéo] / Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 2009 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
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Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102707 96 N.1.1390/6 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Exclu du prêt L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkPermalinkPermalinkC'est la faute aux médias! / Yves Mamou
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