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Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
Supplément de Sicko / Michael Moore
Titre : Dossier pédagogique de "Sicko" Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Jessica Brunetto Daniel Cuthbert Nick Houy Josh Kanuck Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Kari Giron Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Sicko / Michael Moore
Dossier pédagogique de "Sicko" [texte imprimé] / Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, [s.d.] . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Jessica Brunetto Daniel Cuthbert Nick Houy Josh Kanuck Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Kari Giron Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303688 19 H.1.04339/17 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Jean-Pierre Piquemal
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Titre : 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 1978 Importance : 1 vol. (223 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
USA
Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
(autre)
ARMSTRONG Charlotte
(autre)
BACHMANN Lawrence Paul
(autre)
BALL John
(autre)
BEAUMONT Charles
(autre)
BEHN Noël
(autre)
BLOCH Robert
(autre)
BRESLIN Howard
(autre)
BRESLIN Jimmy
(autre)
BREWER Gil
(autre)
BROOKS Richard
(autre)
BURNETT William Riley
(autre)
BURNS Robert Elliorr
(autre)
CAIN James
(autre)
CARR John Dickson
(autre)
CASPARY Vera
(autre)
CHAMBERS Whitman
(autre)
CHANDLER Raymond
(autre)
CONDON Richard
(autre)
CRICHTON Michael
(autre)
DEMARIS Ovid
(autre)
DWYER K.R.
(autre)
ELY David
(autre)
FAIRBAIRN Douglas
(autre)
FARRELL Henry
(autre)
FAST Howard
(autre)
FERRIS Wally
(autre)
FISHER Steve
(autre)
FLEISCHMAN Albert Sidney
(autre)
FLETCHER Lucille
(autre)
FULLER Samuel
(autre)
GEARON John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GORDON Mildred et Gordon
(autre)
GRUBB Davis
(autre)
GUNN James
(autre)
HAMILTON Donald
(autre)
HAMMETT Dashiell
(autre)
HAWKINS John et Ward
(autre)
HAYES Joseph
(autre)
HELSETH Henry E.
(autre)
HELVICK James
(autre)
HIGHSMITH Patricia
(autre)
HITCHENS Dolorès
(autre)
HOLLAND Marty
(autre)
HUGGINS Roy
(autre)
HUGHES Dorothy B.
(autre)
HUNTER Evan
(autre)
IRISH William
(autre)
JACKS Jeff
(autre)
JUDD Harrison
(autre)
KANTOR Mc Kinlay
(autre)
KEENE Day
(autre)
KING Rufus
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
Auteur : DOUCHET Jean
MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
OGIER Daniel
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CAUBÈRE Philippe
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Promenade au pays de la vieillesse
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Bartleby
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Je suis à prendre
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
(critique, article sur un film)
Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
(critique, article sur un film)
Matamore (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cool
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
(autre)
Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A [texte imprimé] / Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 1978 . - 1 vol. (223 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
USA
Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
(autre)
ARMSTRONG Charlotte
(autre)
BACHMANN Lawrence Paul
(autre)
BALL John
(autre)
BEAUMONT Charles
(autre)
BEHN Noël
(autre)
BLOCH Robert
(autre)
BRESLIN Howard
(autre)
BRESLIN Jimmy
(autre)
BREWER Gil
(autre)
BROOKS Richard
(autre)
BURNETT William Riley
(autre)
BURNS Robert Elliorr
(autre)
CAIN James
(autre)
CARR John Dickson
(autre)
CASPARY Vera
(autre)
CHAMBERS Whitman
(autre)
CHANDLER Raymond
(autre)
CONDON Richard
(autre)
CRICHTON Michael
(autre)
DEMARIS Ovid
(autre)
DWYER K.R.
(autre)
ELY David
(autre)
FAIRBAIRN Douglas
(autre)
FARRELL Henry
(autre)
FAST Howard
(autre)
FERRIS Wally
(autre)
FISHER Steve
(autre)
FLEISCHMAN Albert Sidney
(autre)
FLETCHER Lucille
(autre)
FULLER Samuel
(autre)
GEARON John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GORDON Mildred et Gordon
(autre)
GRUBB Davis
(autre)
GUNN James
(autre)
HAMILTON Donald
(autre)
HAMMETT Dashiell
(autre)
HAWKINS John et Ward
(autre)
HAYES Joseph
(autre)
HELSETH Henry E.
(autre)
HELVICK James
(autre)
HIGHSMITH Patricia
(autre)
HITCHENS Dolorès
(autre)
HOLLAND Marty
(autre)
HUGGINS Roy
(autre)
HUGHES Dorothy B.
(autre)
HUNTER Evan
(autre)
IRISH William
(autre)
JACKS Jeff
(autre)
JUDD Harrison
(autre)
KANTOR Mc Kinlay
(autre)
KEENE Day
(autre)
KING Rufus
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
Auteur : DOUCHET Jean
MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
OGIER Daniel
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CAUBÈRE Philippe
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
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Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Promenade au pays de la vieillesse
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Bartleby
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Je suis à prendre
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
(critique, article sur un film)
Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
(critique, article sur un film)
Matamore (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
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Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
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Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cool
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
(autre)
Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400908 236/237 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Jeanne Moreau
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Moreau (1928-....), Auteur Année de publication : 1964 Importance : 1 vol. (64 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre [texte imprimé] / Jeanne Moreau (1928-....), Auteur . - 1964 . - 1 vol. (64 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301687 19 H.1.01420 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 624 - Février 2013 - Dossier : Theo Angelopoulos, de La Reconstitution à La Poussière du temps (Bulletin de Positif) / Theodoros Angelopoulos
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[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 624 - Février 2013 - Dossier : Theo Angelopoulos, de La Reconstitution à La Poussière du temps Type de document : texte imprimé Auteurs : Theodoros Angelopoulos (1935-2012), Personne honorée Année de publication : 2013 Note générale : Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n624.html Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Quentin Tarentino Django unchained Daniel Day-Lewis Lincoln Blancanieves Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Theo Angelopoulos, de La Reconstitution à La Poussière du temps
86 La Poussière du temps : Le temps tombe en poussière, Alain Masson
88 Entretien avec Theo Angelopoulos : L’histoire ne se fait pas dans un seul pays, Michel Ciment
92 Pour une esthétique de la mémoire, Pierre Mertens
98 Éloge de la lenteur, Yannick Lemarié
102 L’exil et le royaume, Sylvie Rollet
106 La compagnie des morts : Un aspect de cinéma de Theo Angelopoulos, Philippe Fraisse
110 L’Autre Mer ou comment Angelopoulos est entré dans son dernier film, Élodie Lélu[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
624 - Février 2013 - Dossier : Theo Angelopoulos, de La Reconstitution à La Poussière du temps [texte imprimé] / Theodoros Angelopoulos (1935-2012), Personne honorée . - 2013.
Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n624.html
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Quentin Tarentino Django unchained Daniel Day-Lewis Lincoln Blancanieves Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Theo Angelopoulos, de La Reconstitution à La Poussière du temps
86 La Poussière du temps : Le temps tombe en poussière, Alain Masson
88 Entretien avec Theo Angelopoulos : L’histoire ne se fait pas dans un seul pays, Michel Ciment
92 Pour une esthétique de la mémoire, Pierre Mertens
98 Éloge de la lenteur, Yannick Lemarié
102 L’exil et le royaume, Sylvie Rollet
106 La compagnie des morts : Un aspect de cinéma de Theo Angelopoulos, Philippe Fraisse
110 L’Autre Mer ou comment Angelopoulos est entré dans son dernier film, Élodie LéluExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400793 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400793.jpgImage JpegLe cinéma vers son deuxième siècle / Collectif
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302328 17 H.1.01261 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Les classiques du cinéma fantastique / Jean-Marie Sabatier
Titre : Les classiques du cinéma fantastique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Sabatier, Auteur Editeur : Balland Année de publication : 1973 Importance : 1 vol. ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : cinéma fantastique Peter Chshing Christopher Lee Boris Karloff Terence Fisher John Carradine Bud Abbott Lou Costello Robert Aldrich Irving Allen Samuel Z. Arkoff Jack Arnold Jack Asher Roy Ashton Lionel Atwill Robert S. Baker Monty Berman Roy Ward Baker Lex Barker Mario Bava William Beaudine Ford L. Beebe Spencer Gordon Bennet Ingmar Bergman James Bernard Edward Bernds Robert Bloch Charles J. Bradin John Brahm Arthur Brauner Tod Browning Luis Bunuel Edward L. Cahn Mario Caino Gianna Maria Canale Richard Carlson Michael Carreras Henry Cass William Castle Lon Chaney Lon Chaney Junior Benjamin Christensen René Clair Jean Cocteau Herman J. Cohen Roger Corman Vittorio Cottafavi Hazel Court Larry Crabbe Arthur Crabtree Flod Crosby Michael Curtiz Robert Day Ennio de Concini William Dieterle Karin Dor Gordon Douglas Carl Theodor Dreyer Arthur Edeson Maurice Elvey Giorgio Ferroni Louis Feuillade Robert Florey Freddie Francis Jesus Franco Georges Franju Riccardo Freda Karl Freund Dwight Frye John P. Fulton Henryk Galeen Giacomo Gentilomo John Gilling Don Glut Bert I. Gordon Arthur Grant Michael Gough Nick Grinde Val Guest Daniel Haller Victor Halperin Ray Harryhausen Byron Haskin Sidney Hayers Brigitte Helm Gordon Hessler Lambert Hillyer Anthony Hinds Alfred Hitchcock Inoshiro Honda Rupert Julian Nathan Juran Sam Katzman Erle C. Kenton Klaus Kinski Masaki Kobayshi Elsa Lanchester Lew Landers Fritz Lang Charles Laughton Reginald Le Borg Rowland V. Lee Paul Leni Albert Lewin Herschell Gordon Lewis Val Lewton Herbert Lom Peter Lorre Joseph Losey Eugène Lourié Arthur Lubin Bela Lugosi Antonio Margheriti Richard Matheson Georges Méliès Fernando Mendez William Cameron Menzies Friedrich-Wilhem Murnau John Carrol Naish Roy William Neill Kurt Newmann Sam Newfield William Nigh Arch Oboler Willis O'Brien Warner Oland Richard Oswald George Pal Domenico Paolla David Peel Irving Pichel Harry Piel Jack Pierce Roman Polanski Michael Powell Wolfgang Preiss Vincent Price Claude Rains Basil Rathbone Oliver Reed Steve Reeves Harald Reinl Wolf Rilla Bernard Robinson George Robinson German Roblès Mark Robson Jean Rollin George A. Roméro Phil Rosen Jimmy Sangster Peter Sasdy Ernest Beaumont Schoedsack Max Schreck Gordon Scott Fred F. Sears Don Sharp Barbara Shelley Curt Siomak Robert Siodmak Tod Slaughter Edward van Sloan Barbara Steele Robert Stevenson Glenn Strange Erich von Stroheim Milton Subotsky Jeremy Summers Duccio Tessari Jacques Tourneur Roger Vadim Conrad Veidt Howard Vernon Alfred Vohrer Hermann Warm Paul Wegener Jonny Weismuller Bud Westmore James Whale Robert Wiene Robert Wise William Witney Fay Wray Jean Yarbrough George Worthing Yates George Zucco Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Voici un livre sur le cinéma qui, à bien des égards, peut être considéré comme un évènement.
Cet ouvrage, par sa précision et sa clarté, ravira et étonnera les cinéphiles. Après une approche, ardente mais lucide, où l'auteur va aux racines mêmes d'un art méconnu, voire ignoré, suit la présentation de tous ceux qui contribuèrent à 'faire' le cinéma fantastique.Les classiques du cinéma fantastique [texte imprimé] / Jean-Marie Sabatier, Auteur . - [S.l.] : Balland, 1973 . - 1 vol. ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : cinéma fantastique Peter Chshing Christopher Lee Boris Karloff Terence Fisher John Carradine Bud Abbott Lou Costello Robert Aldrich Irving Allen Samuel Z. Arkoff Jack Arnold Jack Asher Roy Ashton Lionel Atwill Robert S. Baker Monty Berman Roy Ward Baker Lex Barker Mario Bava William Beaudine Ford L. Beebe Spencer Gordon Bennet Ingmar Bergman James Bernard Edward Bernds Robert Bloch Charles J. Bradin John Brahm Arthur Brauner Tod Browning Luis Bunuel Edward L. Cahn Mario Caino Gianna Maria Canale Richard Carlson Michael Carreras Henry Cass William Castle Lon Chaney Lon Chaney Junior Benjamin Christensen René Clair Jean Cocteau Herman J. Cohen Roger Corman Vittorio Cottafavi Hazel Court Larry Crabbe Arthur Crabtree Flod Crosby Michael Curtiz Robert Day Ennio de Concini William Dieterle Karin Dor Gordon Douglas Carl Theodor Dreyer Arthur Edeson Maurice Elvey Giorgio Ferroni Louis Feuillade Robert Florey Freddie Francis Jesus Franco Georges Franju Riccardo Freda Karl Freund Dwight Frye John P. Fulton Henryk Galeen Giacomo Gentilomo John Gilling Don Glut Bert I. Gordon Arthur Grant Michael Gough Nick Grinde Val Guest Daniel Haller Victor Halperin Ray Harryhausen Byron Haskin Sidney Hayers Brigitte Helm Gordon Hessler Lambert Hillyer Anthony Hinds Alfred Hitchcock Inoshiro Honda Rupert Julian Nathan Juran Sam Katzman Erle C. Kenton Klaus Kinski Masaki Kobayshi Elsa Lanchester Lew Landers Fritz Lang Charles Laughton Reginald Le Borg Rowland V. Lee Paul Leni Albert Lewin Herschell Gordon Lewis Val Lewton Herbert Lom Peter Lorre Joseph Losey Eugène Lourié Arthur Lubin Bela Lugosi Antonio Margheriti Richard Matheson Georges Méliès Fernando Mendez William Cameron Menzies Friedrich-Wilhem Murnau John Carrol Naish Roy William Neill Kurt Newmann Sam Newfield William Nigh Arch Oboler Willis O'Brien Warner Oland Richard Oswald George Pal Domenico Paolla David Peel Irving Pichel Harry Piel Jack Pierce Roman Polanski Michael Powell Wolfgang Preiss Vincent Price Claude Rains Basil Rathbone Oliver Reed Steve Reeves Harald Reinl Wolf Rilla Bernard Robinson George Robinson German Roblès Mark Robson Jean Rollin George A. Roméro Phil Rosen Jimmy Sangster Peter Sasdy Ernest Beaumont Schoedsack Max Schreck Gordon Scott Fred F. Sears Don Sharp Barbara Shelley Curt Siomak Robert Siodmak Tod Slaughter Edward van Sloan Barbara Steele Robert Stevenson Glenn Strange Erich von Stroheim Milton Subotsky Jeremy Summers Duccio Tessari Jacques Tourneur Roger Vadim Conrad Veidt Howard Vernon Alfred Vohrer Hermann Warm Paul Wegener Jonny Weismuller Bud Westmore James Whale Robert Wiene Robert Wise William Witney Fay Wray Jean Yarbrough George Worthing Yates George Zucco Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Voici un livre sur le cinéma qui, à bien des égards, peut être considéré comme un évènement.
Cet ouvrage, par sa précision et sa clarté, ravira et étonnera les cinéphiles. Après une approche, ardente mais lucide, où l'auteur va aux racines mêmes d'un art méconnu, voire ignoré, suit la présentation de tous ceux qui contribuèrent à 'faire' le cinéma fantastique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301152 17 H.1.03987 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : La direction d'acteur : Carnation, incarnation Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sojcher, Auteur Editeur : Editions du Rocher Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-268-06693-6 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Acteur direction d'acteur Olivier Assayas Patrice Chéreau Michel Deville Karim Dridi Bruno Dumont Claude Lelouch Daniel Mesguich Yves Afonso Michel Archimbaud N.T. Binh Luc Dellisse Jean Mottet Jacqueline Nacache Luis Rego Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La "direction d'acteur" pose problème. Pourquoi y a-t-il si peu d'ouvrages sur la question? Entre acteurs et metteurs en scène, quelle émulation, quels rapports de force? Les cinéastes vampirisent-ils leurs acteurs, et inversement? Olivier Assayas, Patrice Chéreau, Michel Deville, Karim Dridi, Bruno Dumont, Claude Lelouch, Daniel Mesguich nous racontent leurs manières de travailler avec les acteurs, la différence entre jouer au théâtre et pour la caméra. S'ils nous donnent chacun une approche personnelle, ils s'accordent sur plusieurs points, notamment pour dire qu'il y a "direction" en l'absence des acteurs, à la table de montage. Serge Regourd évoque les incidences du financement des films sur le casting, en France, aujourd'hui. Il dénonce la fausse valeur des acteurs "bankables". Yves Afonso, Michel Archimbaud, N.T. Binh, Luc Dellisse, Jean Mottet, Jacqueline Nacache, Luis Rego participent également au volume, en apportant leurs réflexions et leurs expériences sur la direction d'acteur. Les débats reproduits sont passionnants, car ils nous entraînent au cœur de la création cinématographique. Le coordinateur du livre, Frédéric Sojcher, est cinéaste et responsable du Master professionnel en scénario, réalisation et production de l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.La direction d'acteur : Carnation, incarnation [texte imprimé] / Frédéric Sojcher, Auteur . - [S.l.] : Editions du Rocher, 2008 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-268-06693-6
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Acteur direction d'acteur Olivier Assayas Patrice Chéreau Michel Deville Karim Dridi Bruno Dumont Claude Lelouch Daniel Mesguich Yves Afonso Michel Archimbaud N.T. Binh Luc Dellisse Jean Mottet Jacqueline Nacache Luis Rego Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La "direction d'acteur" pose problème. Pourquoi y a-t-il si peu d'ouvrages sur la question? Entre acteurs et metteurs en scène, quelle émulation, quels rapports de force? Les cinéastes vampirisent-ils leurs acteurs, et inversement? Olivier Assayas, Patrice Chéreau, Michel Deville, Karim Dridi, Bruno Dumont, Claude Lelouch, Daniel Mesguich nous racontent leurs manières de travailler avec les acteurs, la différence entre jouer au théâtre et pour la caméra. S'ils nous donnent chacun une approche personnelle, ils s'accordent sur plusieurs points, notamment pour dire qu'il y a "direction" en l'absence des acteurs, à la table de montage. Serge Regourd évoque les incidences du financement des films sur le casting, en France, aujourd'hui. Il dénonce la fausse valeur des acteurs "bankables". Yves Afonso, Michel Archimbaud, N.T. Binh, Luc Dellisse, Jean Mottet, Jacqueline Nacache, Luis Rego participent également au volume, en apportant leurs réflexions et leurs expériences sur la direction d'acteur. Les débats reproduits sont passionnants, car ils nous entraînent au cœur de la création cinématographique. Le coordinateur du livre, Frédéric Sojcher, est cinéaste et responsable du Master professionnel en scénario, réalisation et production de l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300470 17 H.1.03923 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300470URLDossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" / Vincent Malausa
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Titre : Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Malausa, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" [texte imprimé] / Vincent Malausa, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303678 19 H.1.04339/5 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
Supplément de Goodbye Lenin! / Wolfgang Becker
Titre : Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 44 pp. Note générale :
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et +
Supplément de Goodbye Lenin! / Wolfgang Becker
Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2004 . - 44 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303780 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 303781 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Persépolis" / Carole Wrona
Supplément de Persepolis / Marjane Satrapi
Titre : Dossier pédagogique de "Persépolis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Wrona, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 27 pp. Note générale : Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Persepolis / Marjane Satrapi
Dossier pédagogique de "Persépolis" [texte imprimé] / Carole Wrona, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 27 pp.
Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302675 19 H.1.04339/10 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) / Collectif
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 103 Titre : Solo (de Jean-Pierre Mocky) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302209 19 H.1.01437 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) / Collectif
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 80 Titre : Mouchette (de Robert Bresson) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302219 19 H.1.01426 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Cinémaction, 81. Jean Rouch ou le ciné-plaisir / René Prédal
Titre de série : Cinémaction, 81 Titre : Jean Rouch ou le ciné-plaisir Type de document : texte imprimé Auteurs : René Prédal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean Rouch, Personne honorée Editeur : Cinemaction Année de publication : 1996 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85480-897-1 Note générale : Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jaguar finalisé Les Fils de l'eau Moi un noir La Pyramide humaine Chronique d'un été Edgar Morin La Chasse au lion à l'arc Les Fêtes du Sigui Petit à petit Cocorico Monsieur Poulet Babatou les trois conseils Bougo les funérailles du vieil Anaï Folie ordinaire d'une fille de Cham Philippe Costantini Jenny Alpha Sylvie Laporte Catherine Rougelin Julius Amédée Laou Daniel Mesguich Le Rêve plus fort que la mort Bernard Surugue Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Cinémaction, 81. Jean Rouch ou le ciné-plaisir [texte imprimé] / René Prédal, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean Rouch, Personne honorée . - [S.l.] : Cinemaction, 1996.
ISBN : 978-2-85480-897-1
Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jaguar finalisé Les Fils de l'eau Moi un noir La Pyramide humaine Chronique d'un été Edgar Morin La Chasse au lion à l'arc Les Fêtes du Sigui Petit à petit Cocorico Monsieur Poulet Babatou les trois conseils Bougo les funérailles du vieil Anaï Folie ordinaire d'une fille de Cham Philippe Costantini Jenny Alpha Sylvie Laporte Catherine Rougelin Julius Amédée Laou Daniel Mesguich Le Rêve plus fort que la mort Bernard Surugue Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302119 18 H.1.01363 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Sorti jusqu'au 20/09/2017