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Titre : Le cinéma enragé au Japon Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Sévéon, Auteur Editeur : Pertuis : Rouge profond Année de publication : 2010 Importance : 350 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915083-41-5 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique Koji Wakamatsu Masao Adachi Hisayasu Sato Takahisa Zeze Sogo Ishii cyberpunk Masashi Yamamoto Yoshihiko Matsui Shinya Tsukamoto Yudai Yamaguchi Kei Fujiwara Shozin Fukui I.K.U. gore ultraviolence Katsuya Matsumura Evil dead trap giallo à la pajonaise Daisuke Yamanouchi Kichiki Ian Kerkhof underground Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le Cinéma enragé au Japon s'éloigne de grandes avenues cinématographiques nippones pour s'intéresser à la création alternative, transgressive. Films extrêmes brûlots révolutionnaires érotiques, œuvres désenchantées (cyber) punk ou productions violentes et gore aux forts relents sociaux, ils sont conçus par des réalisateurs indépendants, engagés, activistes ou libertaires, parfois même hors-la-loi. S'entretenant avec certains d'entre eux, Julien Sévéon évoque des grands noms du cinéma d'exploitation et underground, souvent déviants, toujours sur la brèche. Avec Koji Wakamatsu, Masao Adachi, Sogu Ishii, Katsuya Matsumura, Shinya Tsukamoto Takahisa Zeze, Hisayasu Sato, Kei Fujiwara et ceux qui les entourent, c'est toute l'histoire de la jeunesse nippone des années 1960 à nos jours qui défile. Passionnante initiation pour les néophytes en la matière, riche source d'informations inédites pour les plus avertis, le livre parle d'un cinéma sans concession et de la société japonaise dans tous ses états. Bienvenue dans un monde de rage, de sang, de sueur et de larmes.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le cinéma enragé au Japon [texte imprimé] / Julien Sévéon, Auteur . - Pertuis : Rouge profond, 2010 . - 350 p.
ISBN : 978-2-915083-41-5
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique Koji Wakamatsu Masao Adachi Hisayasu Sato Takahisa Zeze Sogo Ishii cyberpunk Masashi Yamamoto Yoshihiko Matsui Shinya Tsukamoto Yudai Yamaguchi Kei Fujiwara Shozin Fukui I.K.U. gore ultraviolence Katsuya Matsumura Evil dead trap giallo à la pajonaise Daisuke Yamanouchi Kichiki Ian Kerkhof underground Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le Cinéma enragé au Japon s'éloigne de grandes avenues cinématographiques nippones pour s'intéresser à la création alternative, transgressive. Films extrêmes brûlots révolutionnaires érotiques, œuvres désenchantées (cyber) punk ou productions violentes et gore aux forts relents sociaux, ils sont conçus par des réalisateurs indépendants, engagés, activistes ou libertaires, parfois même hors-la-loi. S'entretenant avec certains d'entre eux, Julien Sévéon évoque des grands noms du cinéma d'exploitation et underground, souvent déviants, toujours sur la brèche. Avec Koji Wakamatsu, Masao Adachi, Sogu Ishii, Katsuya Matsumura, Shinya Tsukamoto Takahisa Zeze, Hisayasu Sato, Kei Fujiwara et ceux qui les entourent, c'est toute l'histoire de la jeunesse nippone des années 1960 à nos jours qui défile. Passionnante initiation pour les néophytes en la matière, riche source d'informations inédites pour les plus avertis, le livre parle d'un cinéma sans concession et de la société japonaise dans tous ses états. Bienvenue dans un monde de rage, de sang, de sueur et de larmes.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302670 17 H.1.04258 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
302670URL Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 10 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., [s.d.] . - 10 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303694 19 H.1.04339/25 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Goulag
Titre : Goulag Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Iossif Pasternak (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Hélène Châtelain, Auteur ; Hélène Châtelain, Narrateur ; Micky Sébastian, Narrateur ; Jean-François Priester, Narrateur Editeur : Paris [France] : Doriane Films Année de publication : 2005 Importance : 2 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (6 h Présentation : 16/9, coul. avec séquences n. et b. (PAL), son. ISBN/ISSN/EAN : 3700246900948 Note générale : Contient des images d'archives
Contient aussi : Interview de Iossif Pasternak et Hélène Châtelain, "Le génie du mal", film de Iossif Pasternak sur Alexandre L. Lokchine, filmographie des réalisateursLangues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Camps de concentration;URSS;Russie;1921-1953 CAMP DE CONCENTRATION / CONDAMNATION / DICTATURE / HISTOIRE / MORT / MUSIQUE / U.R.S.S. / COMMUNISME / EGLISE ORTHODOXE / EPOQUE CONTEMPORAINE / ETABLISSEMENT PENITENTIAIRE / MUSIQUES CLASSIQUES / REGIME POLITIQUE / RUSSIE / STALINE JOSEPH / TEMPS MODERNES / POLITIQUE / K.G.B. / PRISONNIER POLITIQUE / SERVICE SECRET / PRISONNIER Index. décimale : 116.53 Communisme Note de contenu : Ce sont des images terribles, bouleversantes. Dans ce film en quatre parties - 1920 - 1950 - des îles Solovki à la Kolyma, des extraits d’archives sont mêlés à des entretiens avec des survivants des camps. Les documents sont en noir et blanc, les témoignages contemporains en couleur.
On estime qu’un adulte sur sept est passé par les camps. soit 15 millions d’êtres humains. La moitié d’entre eux sont morts de faim, d’épuisement, sous les coups des gardiens ou les balles des policiers.
Il sera difficile désormais en France d’évoquer le Goulag sans mentionner cet admirable travail.Goulag [document projeté ou vidéo] / Iossif Pasternak (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Hélène Châtelain, Auteur ; Hélène Châtelain, Narrateur ; Micky Sébastian, Narrateur ; Jean-François Priester, Narrateur . - Paris [France] : Doriane Films, 2005 . - 2 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (6 h : 16/9, coul. avec séquences n. et b. (PAL), son.
ISSN : 3700246900948
Contient des images d'archives
Contient aussi : Interview de Iossif Pasternak et Hélène Châtelain, "Le génie du mal", film de Iossif Pasternak sur Alexandre L. Lokchine, filmographie des réalisateurs
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100175 116.53 N.1.0667 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : Les remakes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Bourdon, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2012 Collection : Comprendre et reconnaître ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-584326-5 Note générale : Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les remakes [texte imprimé] / Laurent Bourdon, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2012. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-584326-5
Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304033 17 H.1.04521 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304033URL