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L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 117 Titre : Easy rider (de Dennis Hopper) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1971 Note générale :
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1971.
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302201 19 H.1.01447 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 10 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., [s.d.] . - 10 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303694 19 H.1.04339/25 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
Titre : Dossier pédagogique de "Sicko" Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Daniel Cuthbert Nick Houy Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Sicko" [texte imprimé] / Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur . - Zérodeconduite.net, [s.d.] . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Daniel Cuthbert Nick Houy Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303688 19 H.1.04339/17 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Les grands réalisateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 240 p. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les grands réalisateurs [texte imprimé] / Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 240 p.. - (Comprendre et reconnaître) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303948 18 H.1.0443 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303948URL L'homme de la plaine / Bernard Benoliel
Titre : L'homme de la plaine : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Benoliel, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 9872866423962 Note générale :
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
L'homme de la plaine : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Bernard Benoliel, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2004. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866423962
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302232 19 H.1.02669 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkAcuerdos
PermalinkAlain Resnais, arpenteur de l'imaginaire / Robert Benayoun
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
PermalinkPermalinkAmsterdam Global Village / Johan van der Keuken
PermalinkAndré Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
Permalink614 - Juillet-août 2006 - Années Hollywood, du neuf dans le système. Tournage avec Oliveira sur la trace de Bunuel. Réplique: dessiner Hiroshima. Kitano déchire. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkAntonioni / Roger Tailleur
Permalink558 - Juin 2001 - Apocalypses : le cinéma s'en va en guerre (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkL'aurore / Joël Magny
PermalinkPermalinkL'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkBuena Vista Social Club / Wim Wenders
PermalinkPermalinkPermalink463 - Janvier 1993 - Cela s'appelle l'horreur: Corman, Zemeckis, Craven, Coppola, Raimi. Retour à Mizoguchi: entretiens inédits. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkPermalinkCharlot / David Robinson
PermalinkCharlot et la "Fabulation" chaplinesque / Jean Mitry
PermalinkPermalinkLes cinéastes noirs américains et le rêve hollywoodien / Anne Crémieux
Permalink132 - Janvier 1969 - Cinéma 132 - Spécial U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Marcel Martin
Permalink178/179 - Juillet-août 1973 - Cinéma 178/179 - Le cinéma américain des années soixante (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
Permalink236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Jean-Pierre Piquemal
PermalinkLe cinéma en Amérique Latine : le miroir éclaté. Historiographie et comparatisme / Paulo Antonio Paranaguá
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