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9 recherche sur le mot-clé 'El Ángel Exterminador'
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L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Les grands réalisateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 240 p. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les grands réalisateurs [texte imprimé] / Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 240 p.. - (Comprendre et reconnaître) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303948 18 H.1.0443 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303948URL Luchino Visconti, cinéaste / Alain Sanzio
Titre : Luchino Visconti, cinéaste Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Sanzio, Auteur ; Paul-Louis Thirard, Auteur ; Luchino Visconti, Personne honorée Mention d'édition : Edition définitive Editeur : Paris : Ramsay Année de publication : 1984 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85956-527-5 Note générale : Descendant d'une grande famille milanaise – son père est duc de Modrone –, Luchino Visconti se passionne dans sa jeunesse pour les chevaux. C'est pourtant dans la décoration et le cinéma que le jeune aristocrate, aux idées progressistes par ailleurs malvenues dans l'Italie mussolinienne, décide de faire carrière. Parti en France, il travaille avec Jean Renoir : assistant de ce dernier pour Toni (1935) puis pour les Bas-fonds (1936), il crée les costumes de Partie de campagne (id.), avant que la Seconde Guerre mondiale ne les sépare.
De retour en Italie, Visconti collabore à la revue Cinema et devient sympathisant communiste. En tant que scénariste, il participe à Tosca (1941), film – commencé par Renoir et terminé par Karl Koch (1892-1963) après la déclaration de guerre de l'Italie en 1940 – qui présage de son attirance pour l'opéra. C'est en 1943 qu'il réalise Ossessione, d'après le roman Le facteur sonne toujours deux fois de James Cain. Il donne alors l'impulsion à ce qui va devenir le néoréalisme – courant qui aura une influence majeure sur le cinéma italien et qu'illustreront notamment Rossellini et De Sica. Ossessione, qui montre le quotidien du petit peuple, fait scandale par son non-conformisme : son exploitation est interdite presque partout par les autorités fascistes. Dans la même veine, La terre tremble (1948, d'après le roman de Giovanni Verga, les Malavoglia) et Rocco et ses frères (1960) brosseront le portrait sociologique de l'Italie des pauvres, de ses violences ambiguës et de ses migrations vers l'illusion.
Après-guerre, développant un autre pan de sa sensibilité, Visconti donne au cinéma une magistrale leçon d'esthétique et de raffinement. S'appuyant sur une galerie de figures exemplaires, il pose un regard poétique sur la civilisation et sur les hommes : Bellissima (1951), Senso (1954), le Guépard (1963, d'après Tomasi di Lampedusa), Sandra (1965), l'Étranger (1967, d'après Camus), les Damnés (1969), Mort à Venise (1971, d'après Thomas Mann), le Crépuscule des dieux ou Ludwig (1re version 1973 ; version intégrale 1983), Violence et passion (1974), l'Innocent (1976, d'après D'Annunzio). L'ampleur et la perfection plastique de son art atteignent alors à une magnifique plénitude. Servi par de fastueuses reconstitutions d'époque ainsi que par des acteurs tels que Burt Lancaster, Dirk Bogarde, Alain Delon, Anna Magnani ou Claudia Cardinale, le cinéaste connaît un succès mondial, tant public que critique.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Luchino Visconti cinéma italien adaptation Alain Delon ALIDA Angelica Aschenbach Bellissima Burt Lancaster c'était chose cinéma cinématographique Ciro Clara Calamai CLAUDIA CARDINALE comtesse Serpieri conti d'Ossessione Damnés Décors dialogue dire Don Calogero Enrico Medioli Essenbeck façon familial famille Fellini femme film Franz frère Gianni Gino Giovanna Giuseppe Guépard Helmut Berger héros viscontien histoire homme Interprétation italien Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Luchino Visconti, cinéaste [texte imprimé] / Alain Sanzio, Auteur ; Paul-Louis Thirard, Auteur ; Luchino Visconti, Personne honorée . - Edition définitive . - Paris : Ramsay, 1984.
ISBN : 978-2-85956-527-5
Descendant d'une grande famille milanaise – son père est duc de Modrone –, Luchino Visconti se passionne dans sa jeunesse pour les chevaux. C'est pourtant dans la décoration et le cinéma que le jeune aristocrate, aux idées progressistes par ailleurs malvenues dans l'Italie mussolinienne, décide de faire carrière. Parti en France, il travaille avec Jean Renoir : assistant de ce dernier pour Toni (1935) puis pour les Bas-fonds (1936), il crée les costumes de Partie de campagne (id.), avant que la Seconde Guerre mondiale ne les sépare.
De retour en Italie, Visconti collabore à la revue Cinema et devient sympathisant communiste. En tant que scénariste, il participe à Tosca (1941), film – commencé par Renoir et terminé par Karl Koch (1892-1963) après la déclaration de guerre de l'Italie en 1940 – qui présage de son attirance pour l'opéra. C'est en 1943 qu'il réalise Ossessione, d'après le roman Le facteur sonne toujours deux fois de James Cain. Il donne alors l'impulsion à ce qui va devenir le néoréalisme – courant qui aura une influence majeure sur le cinéma italien et qu'illustreront notamment Rossellini et De Sica. Ossessione, qui montre le quotidien du petit peuple, fait scandale par son non-conformisme : son exploitation est interdite presque partout par les autorités fascistes. Dans la même veine, La terre tremble (1948, d'après le roman de Giovanni Verga, les Malavoglia) et Rocco et ses frères (1960) brosseront le portrait sociologique de l'Italie des pauvres, de ses violences ambiguës et de ses migrations vers l'illusion.
Après-guerre, développant un autre pan de sa sensibilité, Visconti donne au cinéma une magistrale leçon d'esthétique et de raffinement. S'appuyant sur une galerie de figures exemplaires, il pose un regard poétique sur la civilisation et sur les hommes : Bellissima (1951), Senso (1954), le Guépard (1963, d'après Tomasi di Lampedusa), Sandra (1965), l'Étranger (1967, d'après Camus), les Damnés (1969), Mort à Venise (1971, d'après Thomas Mann), le Crépuscule des dieux ou Ludwig (1re version 1973 ; version intégrale 1983), Violence et passion (1974), l'Innocent (1976, d'après D'Annunzio). L'ampleur et la perfection plastique de son art atteignent alors à une magnifique plénitude. Servi par de fastueuses reconstitutions d'époque ainsi que par des acteurs tels que Burt Lancaster, Dirk Bogarde, Alain Delon, Anna Magnani ou Claudia Cardinale, le cinéaste connaît un succès mondial, tant public que critique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Luchino Visconti cinéma italien adaptation Alain Delon ALIDA Angelica Aschenbach Bellissima Burt Lancaster c'était chose cinéma cinématographique Ciro Clara Calamai CLAUDIA CARDINALE comtesse Serpieri conti d'Ossessione Damnés Décors dialogue dire Don Calogero Enrico Medioli Essenbeck façon familial famille Fellini femme film Franz frère Gianni Gino Giovanna Giuseppe Guépard Helmut Berger héros viscontien histoire homme Interprétation italien Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302157 18 H.1.00525 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Et maintenant, une page de pub ! : Une histoire morale de la publicité à la télévision française, 1968-2008 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Parasie, Auteur Editeur : [Bry-sur-Marne] : INA Année de publication : 2009 Collection : Médias Essais Importance : 265 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86938-183-4 Note générale : Bibliogr. p. 253-259. Index Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise
Education aux médias:Communication d'entreprise:Publicité et marketingMots-clés : Publicit?e t?el?evis?ee Aspect social France Histoire Index. décimale : 51 Publicité et marketing Résumé : En 1968, la publicité fait son apparition à la télévision française, conformément au souhait de Georges Pompidou qui affirme alors la « nécessité d'installer solidement l'ORTF dans la publicité télévisée ». Quarante ans plus tard, en janvier 2008, le président Nicolas Sarkozy juge la publicité contraire aux missions du service public et annonce sa suppression de France Télévisions.
Un thème central est souvent éclipsé des débats qui ont entouré la suppression : la relation intime qui s'est tissée durant ces quatre décennies entre les Français et les spots publicitaires. À travers l'étude du contrôle des publicités télévisées, cette enquête reconstitue pas à pas la manière dont les contemporains ont imposé des contraintes à des spots publicitaires qui ont sans cesse joué avec les normes d'une société française en pleine transformation.
Ce qui se dégage de cette histoire, c'est que la publicité n'a pas été qu'un obstacle entre les téléspectateurs et leur télévision. Élément à part entière de la culture audiovisuelle, elle a permis à des publicitaires, à des professionnels de la télévision, mais aussi à des militants et aux pouvoirs publics d'explorer le public de la télévision.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Et maintenant, une page de pub ! : Une histoire morale de la publicité à la télévision française, 1968-2008 [texte imprimé] / Sylvain Parasie, Auteur . - [Bry-sur-Marne] : INA, 2009 . - 265 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Médias Essais) .
ISBN : 978-2-86938-183-4
Bibliogr. p. 253-259. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise
Education aux médias:Communication d'entreprise:Publicité et marketingMots-clés : Publicit?e t?el?evis?ee Aspect social France Histoire Index. décimale : 51 Publicité et marketing Résumé : En 1968, la publicité fait son apparition à la télévision française, conformément au souhait de Georges Pompidou qui affirme alors la « nécessité d'installer solidement l'ORTF dans la publicité télévisée ». Quarante ans plus tard, en janvier 2008, le président Nicolas Sarkozy juge la publicité contraire aux missions du service public et annonce sa suppression de France Télévisions.
Un thème central est souvent éclipsé des débats qui ont entouré la suppression : la relation intime qui s'est tissée durant ces quatre décennies entre les Français et les spots publicitaires. À travers l'étude du contrôle des publicités télévisées, cette enquête reconstitue pas à pas la manière dont les contemporains ont imposé des contraintes à des spots publicitaires qui ont sans cesse joué avec les normes d'une société française en pleine transformation.
Ce qui se dégage de cette histoire, c'est que la publicité n'a pas été qu'un obstacle entre les téléspectateurs et leur télévision. Élément à part entière de la culture audiovisuelle, elle a permis à des publicitaires, à des professionnels de la télévision, mais aussi à des militants et aux pouvoirs publics d'explorer le public de la télévision.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303958 51 H.1.04461 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303958URL Mulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique / Antoine de Baecque
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