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L'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 86 Titre : René Clair : Entr'acte - A nous la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale : ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
L'avant-scène cinéma, 86. René Clair : Entr'acte - A nous la liberté [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302216 19 H.1.01429 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 732 - Avril 2017 - Entretiens avec la nouvelle génération: jeunes acteurs français (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 732 - Avril 2017 - Entretiens avec la nouvelle génération: jeunes acteurs français Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Importance : 98 p. Note générale : Tout ce que nous faisons à la rédaction mois après mois, c’est mettre en valeur les puissances du cinéma, de les rendre remarquables. De la lumière, de la musique, de la fiction, du jeu ! Le cinéma ne se réduit pas à cette peau de chagrin tachée de café qu’est un scénario. Un mauvais film s’entend tout de suite : on feuillette ses plans comme on tourne les pages d’un script, toutes les puissances du cinéma sont mises en berne derrière l’histoire à raconter. Celui qui en fait le plus directement, et le plus cruellement, les frais est l’acteur : porte-manteau, porte-parole, porte-plume.
Nous sommes allés voir les jeunes acteurs français pour comprendre comment ils évoluent dans un système où les tournages et les temps de préparation sont toujours plus courts, le scénario roi, la concurrence rude, avec un phénomène de concentration sur les mêmes têtes. Car cette nouvelle génération est pleine d’acteurs que l’on « repère », comme on dit, que l’on suit, que l’on aime, que l’on veut revoir. Et on sent, à la vision des films, et encore plus à les entendre parler, à quel point ils ont envie de jouer, envie de responsabilité, de liberté et de création.
L’idée de ce dossier est née de la rencontre le mois dernier avec la toute jeune Garance Marillier, actrice de Grave de Julia Ducournau, faisant état d’une nouvelle génération plus sauvage, plus corporelle, plus physique, citant comme modèles Soko et Adèle Exarchopoulos. Et à lister les noms, on s’aperçoit que le cinéma français est riche de figures insituables et inspirées : Soko, entre musique et films, France et États-Unis ; Stacy Martin, révélée par Nymphomaniac et qu’on peine encore à voir comme française ; Raph, l’actrice-mystère de Ma Loute, qui vit toujours dans le Nord et se lance dans le métier. Qu’est-ce que le cinéma français va faire de ces apparitions spectaculaires ? C’est une question plus importante que de savoir le pitch du prochain projet d’untel. Même question pour Adèle Exarchopoulos après La Vie d’Adèle, ou pour les deux acteurs remarquables du dernier film d’Arnaud Desplechin. Que deviennent-ils ? Comment le cinéma français les accueille-t-il ? Ce dossier est aussi l’occasion d’avoir des nouvelles du travail de Lars von Trier, de Desplechin, de Dumont, de Kechiche, qui ont tous le génie du casting. Mais une fois qu’il est découvert ou lancé, que devient l’acteur ? Quelle capacité de désidentification de ces acteurs ont les réalisateurs (qui oublient parfois qu’ils sont avant tout « directors ») ? La parole des acteurs est souvent trop en retrait ou trop brève alors qu’ils ont beaucoup à nous dire sur l’état du cinéma. Mais aussi les agents, les écoles ou les directeurs de casting, sans lesquels on ne peut comprendre ce qu’est le métier aujourd’hui.
Le César obtenu par Niels Schneider pour son grand rôle dans Diamant noir est un bon signe, le signe qu’on veut du jeu. De la métamorphose, du travestissement, du maquillage. De la composition, de la concentration, de la conviction. Niels Schneider dit : « Il faut que l’acteur y laisse quelque chose ». Damien Chapelle appelle à la démesure. Ce que rejettent ces acteurs, c’est l’idéologie dominante du « naturel ». S’en remettre au seul naturel, c’est en rester à une mobilisation paresseuse du charme. Et c’est dévoyer la tradition réaliste, de Renoir à la Nouvelle Vague et Pialat, qui est moins celle du naturel que celle des « natures » (Jean-Pierre Léaud, Bernadette Lafont, Sandrine Bonnaire) qui jouent totalement. Nicholas Ray, se souvenant des conseils d’Elia Kazan, mettait en garde : « Don’t fuck with a natural ! » Si vous tombez sur une « nature », ne l’abîmez pas. Que ce soit James Dean ou un vagabond. Les aimer, c’est aimer les gestes, les expressions, les intonations : la visibilité totale de l’acteur. L’alchimie moderne (Bergman, Cassavetes) est l’équilibre entre l’amour d’une personne, l’attention à ses moindres gestes, le respect de sa nature, et d’un autre côté la possibilité donnée à l’acteur de jouer, de résister, d’inventer. C’est ce privilège d’être le premier partenaire de jeu que l’acteur revendique à raison, celui qui fait la transitivité foncière de l’incarnation : on filme d’abord quelqu’un, et nous, spectateurs, regardons avant tout des acteurs. C’est leur conviction qui fera notre émotion. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma Mots-clés : acteurs français entretiens Note de contenu : Éditorial
Être acteur aujourd’hui par Stéphane Delorme
Événement
Jeunes acteurs français
Soko et Garance Marillier « Pourquoi c’est vital »
Adèle Exarchopoulos « J’ai peur de décevoir »
Stacy Martin « L’action vient avant la pensée »
Raph « Vous inquiétez pas, vous me reverrez ! »
Lou Roy-Lecollinet « Je découvre un monde »
Zita Hanrot « J’aime bien travailler sur la colère »
Jenna Thiam « J’ai arrêté de croire qu’on ne contrôle rien »
Manal Issa « Comme une perle dans ma vie »
Diane Rouxel « Je prends le jeu dans sa dimension ludique »
Sarah-Megan Allouch « Être un petit fantôme »
Guslagie Malanda « L’expérience d’un vertige »
Niels Schneider « Il faut y laisser quelque chose »
Rabah Naït Oufella « Ni doute ni peur »
Jonathan Genet « Pour jouer, il faut vivre »
Quentin Dolmaire « J’ai envie qu’on me demande beaucoup »
Jonas Bloquet « Marre d’attendre »
Damien Chapelle « On manque de possédés »
Basile Meilleurat et Rémi Taffanel Les garçons du Sud
Alain Demaria Le plongeon
Au jeu des écoles le Conservatoire, le Cours Florent, L’École du jeu – par Cyril Béghin
Les agents et leurs talents entretiens avec Isabelle de La Pattellière et Grégory Weill, agents – par Stéphane Delorme
Les entremetteurs entretien avec Sarah Teper et Stéphane Batut, directeurs de casting – par Jean-Sébastien Chauvin & Jean-Philippe Tessé
Acteurs documentaires ? Rencontre avec les acteurs de Swagger, Pas comme des loups et Gorge cœur ventre par Mathis Badin & Florence Maillard
Cahier critique
Sayonara de Koji Fukada – par Stéphane du Mesnildot
Au revoir l’humanité entretien avec Koji Fukada – par Stéphane du Mesnildot
Après la tempête de Hirokazu Kore-eda – par Vincent Malausa
Pas comme des loups de Vincent Pouplard – par Camille Bui
Notes sur d’autres films 11 minutes (Jerzy Skolimowski) – 14 ans, premier amour (Andreï Zaytsev) – Adieu Mandalay (Midi Z) – La Belle Occasion (Isild Le Besco & Nicolas Hidiroglou) – La Consolation (Cyril Mennegun) – Corporate (Nicolas Silhol) – Django (Étienne Comar) – Emily Dickinson, a Quiet Passion (Terence Davies) – Heis (Chroniques) (Anaïs Volpé) – Je danserai si je veux (Maysaloun Hamoud) – Mister Universo (Tizza Covi & Rainer Frimmel) – L’Opéra (Jean-Stéphane Bron) – Paris est une fête (Sylvain George) – Retour à Forbach (Régis Sauder) – Revenger (Walter Hill) – Tunnel (Kim Seong-hun)
Journal
Rétrospective Hailé Gerima, l’Africain américain
Festival Tanger-Rennes dream
Distribution Des nouvelles d’Abounaddara
Tournage Le chagrin sans fin du « han » coréen : Jeon Soo-il en tournage
Rétrospective SF à l’Est
Reprise Rivière Fango, rives excentralistes (Au long de rivière Fango de Sotha)
DVD Elem et Larissa (coffret Klimov / Cheptiko)
DVD Visite ou mémoires et confessions de Manoel de Oliveira
DVD Ornette , Made in America de Shirley Clarke
Livre Jeu d’acteurs : corps et gestes au cinéma de Christophe Damour (dir.) / Montgomery Clift : premier acteur moderne de Christophe Damour
Livre Brakhage en entier
Internet Godard, jeune voix
News internationales
Disparitions Jean-Christophe Averty, Nikos Koúndouros, Bill Paxton, Brunella Bovo, Miriam Colón
Hommage
Seijun Suzuki
Le maître Seijun est retourné dans le plafond par Shinji Aoyama
Réplique
Stephen Bannon, une filmographie par Cyril Béghin
Cinéma retrouvé
Jacques Becker
En attendant Becker par Stéphane du Mesnildot
Antonio Pietrangeli
Les masques sceptiques d’Antonio Pietrangeli par Esther Hallé
Une jeune actrice entretien avec Stefania Sandrelli – par Esther Hallé
BD
Misfits par Luz[n° ou bulletin] 732 - Avril 2017 - Entretiens avec la nouvelle génération: jeunes acteurs français [texte imprimé] . - 2017 . - 98 p.
Tout ce que nous faisons à la rédaction mois après mois, c’est mettre en valeur les puissances du cinéma, de les rendre remarquables. De la lumière, de la musique, de la fiction, du jeu ! Le cinéma ne se réduit pas à cette peau de chagrin tachée de café qu’est un scénario. Un mauvais film s’entend tout de suite : on feuillette ses plans comme on tourne les pages d’un script, toutes les puissances du cinéma sont mises en berne derrière l’histoire à raconter. Celui qui en fait le plus directement, et le plus cruellement, les frais est l’acteur : porte-manteau, porte-parole, porte-plume.
Nous sommes allés voir les jeunes acteurs français pour comprendre comment ils évoluent dans un système où les tournages et les temps de préparation sont toujours plus courts, le scénario roi, la concurrence rude, avec un phénomène de concentration sur les mêmes têtes. Car cette nouvelle génération est pleine d’acteurs que l’on « repère », comme on dit, que l’on suit, que l’on aime, que l’on veut revoir. Et on sent, à la vision des films, et encore plus à les entendre parler, à quel point ils ont envie de jouer, envie de responsabilité, de liberté et de création.
L’idée de ce dossier est née de la rencontre le mois dernier avec la toute jeune Garance Marillier, actrice de Grave de Julia Ducournau, faisant état d’une nouvelle génération plus sauvage, plus corporelle, plus physique, citant comme modèles Soko et Adèle Exarchopoulos. Et à lister les noms, on s’aperçoit que le cinéma français est riche de figures insituables et inspirées : Soko, entre musique et films, France et États-Unis ; Stacy Martin, révélée par Nymphomaniac et qu’on peine encore à voir comme française ; Raph, l’actrice-mystère de Ma Loute, qui vit toujours dans le Nord et se lance dans le métier. Qu’est-ce que le cinéma français va faire de ces apparitions spectaculaires ? C’est une question plus importante que de savoir le pitch du prochain projet d’untel. Même question pour Adèle Exarchopoulos après La Vie d’Adèle, ou pour les deux acteurs remarquables du dernier film d’Arnaud Desplechin. Que deviennent-ils ? Comment le cinéma français les accueille-t-il ? Ce dossier est aussi l’occasion d’avoir des nouvelles du travail de Lars von Trier, de Desplechin, de Dumont, de Kechiche, qui ont tous le génie du casting. Mais une fois qu’il est découvert ou lancé, que devient l’acteur ? Quelle capacité de désidentification de ces acteurs ont les réalisateurs (qui oublient parfois qu’ils sont avant tout « directors ») ? La parole des acteurs est souvent trop en retrait ou trop brève alors qu’ils ont beaucoup à nous dire sur l’état du cinéma. Mais aussi les agents, les écoles ou les directeurs de casting, sans lesquels on ne peut comprendre ce qu’est le métier aujourd’hui.
Le César obtenu par Niels Schneider pour son grand rôle dans Diamant noir est un bon signe, le signe qu’on veut du jeu. De la métamorphose, du travestissement, du maquillage. De la composition, de la concentration, de la conviction. Niels Schneider dit : « Il faut que l’acteur y laisse quelque chose ». Damien Chapelle appelle à la démesure. Ce que rejettent ces acteurs, c’est l’idéologie dominante du « naturel ». S’en remettre au seul naturel, c’est en rester à une mobilisation paresseuse du charme. Et c’est dévoyer la tradition réaliste, de Renoir à la Nouvelle Vague et Pialat, qui est moins celle du naturel que celle des « natures » (Jean-Pierre Léaud, Bernadette Lafont, Sandrine Bonnaire) qui jouent totalement. Nicholas Ray, se souvenant des conseils d’Elia Kazan, mettait en garde : « Don’t fuck with a natural ! » Si vous tombez sur une « nature », ne l’abîmez pas. Que ce soit James Dean ou un vagabond. Les aimer, c’est aimer les gestes, les expressions, les intonations : la visibilité totale de l’acteur. L’alchimie moderne (Bergman, Cassavetes) est l’équilibre entre l’amour d’une personne, l’attention à ses moindres gestes, le respect de sa nature, et d’un autre côté la possibilité donnée à l’acteur de jouer, de résister, d’inventer. C’est ce privilège d’être le premier partenaire de jeu que l’acteur revendique à raison, celui qui fait la transitivité foncière de l’incarnation : on filme d’abord quelqu’un, et nous, spectateurs, regardons avant tout des acteurs. C’est leur conviction qui fera notre émotion. 
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma Mots-clés : acteurs français entretiens Note de contenu : Éditorial
Être acteur aujourd’hui par Stéphane Delorme
Événement
Jeunes acteurs français
Soko et Garance Marillier « Pourquoi c’est vital »
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Lou Roy-Lecollinet « Je découvre un monde »
Zita Hanrot « J’aime bien travailler sur la colère »
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Sarah-Megan Allouch « Être un petit fantôme »
Guslagie Malanda « L’expérience d’un vertige »
Niels Schneider « Il faut y laisser quelque chose »
Rabah Naït Oufella « Ni doute ni peur »
Jonathan Genet « Pour jouer, il faut vivre »
Quentin Dolmaire « J’ai envie qu’on me demande beaucoup »
Jonas Bloquet « Marre d’attendre »
Damien Chapelle « On manque de possédés »
Basile Meilleurat et Rémi Taffanel Les garçons du Sud
Alain Demaria Le plongeon
Au jeu des écoles le Conservatoire, le Cours Florent, L’École du jeu – par Cyril Béghin
Les agents et leurs talents entretiens avec Isabelle de La Pattellière et Grégory Weill, agents – par Stéphane Delorme
Les entremetteurs entretien avec Sarah Teper et Stéphane Batut, directeurs de casting – par Jean-Sébastien Chauvin & Jean-Philippe Tessé
Acteurs documentaires ? Rencontre avec les acteurs de Swagger, Pas comme des loups et Gorge cœur ventre par Mathis Badin & Florence Maillard
Cahier critique
Sayonara de Koji Fukada – par Stéphane du Mesnildot
Au revoir l’humanité entretien avec Koji Fukada – par Stéphane du Mesnildot
Après la tempête de Hirokazu Kore-eda – par Vincent Malausa
Pas comme des loups de Vincent Pouplard – par Camille Bui
Notes sur d’autres films 11 minutes (Jerzy Skolimowski) – 14 ans, premier amour (Andreï Zaytsev) – Adieu Mandalay (Midi Z) – La Belle Occasion (Isild Le Besco & Nicolas Hidiroglou) – La Consolation (Cyril Mennegun) – Corporate (Nicolas Silhol) – Django (Étienne Comar) – Emily Dickinson, a Quiet Passion (Terence Davies) – Heis (Chroniques) (Anaïs Volpé) – Je danserai si je veux (Maysaloun Hamoud) – Mister Universo (Tizza Covi & Rainer Frimmel) – L’Opéra (Jean-Stéphane Bron) – Paris est une fête (Sylvain George) – Retour à Forbach (Régis Sauder) – Revenger (Walter Hill) – Tunnel (Kim Seong-hun)
Journal
Rétrospective Hailé Gerima, l’Africain américain
Festival Tanger-Rennes dream
Distribution Des nouvelles d’Abounaddara
Tournage Le chagrin sans fin du « han » coréen : Jeon Soo-il en tournage
Rétrospective SF à l’Est
Reprise Rivière Fango, rives excentralistes (Au long de rivière Fango de Sotha)
DVD Elem et Larissa (coffret Klimov / Cheptiko)
DVD Visite ou mémoires et confessions de Manoel de Oliveira
DVD Ornette , Made in America de Shirley Clarke
Livre Jeu d’acteurs : corps et gestes au cinéma de Christophe Damour (dir.) / Montgomery Clift : premier acteur moderne de Christophe Damour
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Internet Godard, jeune voix
News internationales
Disparitions Jean-Christophe Averty, Nikos Koúndouros, Bill Paxton, Brunella Bovo, Miriam Colón
Hommage
Seijun Suzuki
Le maître Seijun est retourné dans le plafond par Shinji Aoyama
Réplique
Stephen Bannon, une filmographie par Cyril Béghin
Cinéma retrouvé
Jacques Becker
En attendant Becker par Stéphane du Mesnildot
Antonio Pietrangeli
Les masques sceptiques d’Antonio Pietrangeli par Esther Hallé
Une jeune actrice entretien avec Stefania Sandrelli – par Esther Hallé
BD
Misfits par LuzExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401125 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
401125.jpgImage Jpeg
Titre : 1900 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Bernardo Bertolucci, Metteur en scène, réalisateur ; Robert De Niro, Acteur ; Gérard Depardieu (1948-....), Acteur Editeur : Metro Goldwyn Mayer Année de publication : 1975 Importance : 2 dvd Présentation : 325 min ISBN/ISSN/EAN : 3700259815390 Note générale : La réussite du "Dernier tango à Paris" permet à Bertolucci d'entreprendre cette fresque avec les moyens d'une superproduction américaine. Fresque de 45 années d'histoire italienne, des luttes sociales à la montée du fascisme.
Burt Lancaster, Robert De Niro, Dominique Sanda et Gérard Depardieu entre autres, constituent un casting volontairement prestigieux et international, poussant les spectateurs de tous horizons à une identification.
Il s'essaie à la narration de sa vision personnelle de l'histoire du communisme italien et de la société rurale entre 1900 et la Libération. À travers l'opposition de deux hommes que leur classe sociale sépare irrémédiablement, il trace un portrait de l'Italie au moment crucial du passage de la société terrienne à la société industrielle. Burt Lancaster, Robert De Niro, Dominique Sanda et Gérard Depardieu entre autres, constituent un casting volontairement prestigieux et international, poussant les spectateurs de tous horizons à une identification.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : ENTRE DEUX GUERRES Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Dans l'Italie du vingtième siècle naissant, deux enfants voient le jour dans la région d'Emilie, sur les terres du maître Berlinghieri. Le premier, Alfredo Berlinghieri, est le fils du riche propriétaire. Le second, Omo Dalco, est celui du contremaître. Ces deux enfants, unis par leur amitié mais séparés par leurs origines, vont être les témoins et les acteurs de 45 années d'histoire de l'Italie, des luttes sociales à l'inexorable montée du fascisme... Genre : Drame historique, drame Pays : Italie, France, Allemagne 1900 [document projeté ou vidéo] / Bernardo Bertolucci, Metteur en scène, réalisateur ; Robert De Niro, Acteur ; Gérard Depardieu (1948-....), Acteur . - Metro Goldwyn Mayer, 1975 . - 2 dvd : 325 min.
ISSN : 3700259815390
La réussite du "Dernier tango à Paris" permet à Bertolucci d'entreprendre cette fresque avec les moyens d'une superproduction américaine. Fresque de 45 années d'histoire italienne, des luttes sociales à la montée du fascisme.
Burt Lancaster, Robert De Niro, Dominique Sanda et Gérard Depardieu entre autres, constituent un casting volontairement prestigieux et international, poussant les spectateurs de tous horizons à une identification.
Il s'essaie à la narration de sa vision personnelle de l'histoire du communisme italien et de la société rurale entre 1900 et la Libération. À travers l'opposition de deux hommes que leur classe sociale sépare irrémédiablement, il trace un portrait de l'Italie au moment crucial du passage de la société terrienne à la société industrielle. Burt Lancaster, Robert De Niro, Dominique Sanda et Gérard Depardieu entre autres, constituent un casting volontairement prestigieux et international, poussant les spectateurs de tous horizons à une identification.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : ENTRE DEUX GUERRES Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Dans l'Italie du vingtième siècle naissant, deux enfants voient le jour dans la région d'Emilie, sur les terres du maître Berlinghieri. Le premier, Alfredo Berlinghieri, est le fils du riche propriétaire. Le second, Omo Dalco, est celui du contremaître. Ces deux enfants, unis par leur amitié mais séparés par leurs origines, vont être les témoins et les acteurs de 45 années d'histoire de l'Italie, des luttes sociales à l'inexorable montée du fascisme... Genre : Drame historique, drame Pays : Italie, France, Allemagne Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100426 92.1 N.1.0610 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100426URL
Titre : L'acteur de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Nacache, Auteur Editeur : Nathan Année de publication : 2000 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-191177-9 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Acteur figurant Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Vedette ou second rôle, silencieux ou volubile, distant ou familier, l'acteur est ce par quoi le film de fiction nous parle, nous émeut, nous fascine. Au centre de la mise en scène, il contribue de façon essentielle à la richesse des représentations filmiques. Tout film se nourrit d'une relation spécifique entre le comédien et son personnage ; tous les grands moments de la création cinématographique se sont accompagnés d'une réflexion sur l'acteur. Depuis ses origines, le cinéma ne cesse d'inventer de nouveaux modes de jeu et de présence. De la scène à l'écran, des théories soviétiques à l'Actors Studio, du naturel américain à la vérité brute de non-professionnel, l'acteur est l'une des grandes aventures d'un siècle de cinéma.L'acteur de cinéma [texte imprimé] / Jacqueline Nacache, Auteur . - Nathan, 2000 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-09-191177-9
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Acteur figurant Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Vedette ou second rôle, silencieux ou volubile, distant ou familier, l'acteur est ce par quoi le film de fiction nous parle, nous émeut, nous fascine. Au centre de la mise en scène, il contribue de façon essentielle à la richesse des représentations filmiques. Tout film se nourrit d'une relation spécifique entre le comédien et son personnage ; tous les grands moments de la création cinématographique se sont accompagnés d'une réflexion sur l'acteur. Depuis ses origines, le cinéma ne cesse d'inventer de nouveaux modes de jeu et de présence. De la scène à l'écran, des théories soviétiques à l'Actors Studio, du naturel américain à la vérité brute de non-professionnel, l'acteur est l'une des grandes aventures d'un siècle de cinéma.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301254 17 H.1.02388 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : L'acteur au cinéma Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 2008 Collection : L'Eden CINEMA Importance : 2 dvd + 1 livret Présentation : 248 min ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-02654-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et + L'acteur au cinéma [document projeté ou vidéo] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, . - Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2008 . - 2 dvd + 1 livret : 248 min. - (L'Eden CINEMA) .
ISBN : 978-2-240-02654-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et + ContenuContientExemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104757 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104759 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 101921 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Valise pédagogique : éducation aux médias de la maternelle au secondaire (Isabelle) Disponible Documents numériques
101921URL PermalinkPermalinkAndré Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
PermalinkAnthologie du cinéma / Jacques G. Perret
PermalinkPermalinkPermalinkPermalink28 - Juin 1958 - Cinéma 28 (Bulletin de Cinéma) / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Permalink78 - Juillet-août 1963 - Cinéma 78 - L'acteur, son personnage, son rôle, son mythe (Bulletin de Cinéma) / Pierre Billard
PermalinkPermalinkCinéma du réel / Claire Devarrieux
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkCréation d’une PME / Alexandre Podolski
Permalink591 - Mai 2010 - Dossier "acteurs français, de la scène à l'écran: de Gérard Philipe à Marina Hands" (Bulletin de Positif)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkDVD 1. Morceaux de conversations avec Jean-Luc Godard / Visite de l'exposition "Voyage(s) en utopie avec Dominique Païni / Alain Fleischer
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkEsthétique de la mise en scène / René Prédal
PermalinkPermalinkDES FEMMES AU GOUVERNEMENT. UNE FÉMINISATION DE L’EXERCICE DU POUVOIR ? in Questions de communication, 7 (2005)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkJouer Ponette + La direction d'acteur par Jean Renoir / Alain Bergala
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa mise en scène / Jacques Aumont
PermalinkLa mise en scène de l'acteur dans "Partie de campagne" + L'acteur dans le cinéma moderne / Alain Bergala
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