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Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300020.gifImage GIF Architectures volume 6 / Richard Copans
Titre : Architectures volume 6 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 2009 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 6 [document projeté ou vidéo] / Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 2009 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102707 96 N.1.1390/6 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Exclu du prêt
Titre : Compilation de films courts sur la deuxième guerre mondiale Type de document : document projeté ou vidéo Editeur : Bruxelles [Belgique] : Cinematek Importance : Plus de 40 vidéos Note générale : Encore plus de vidéos sur l'European fim gateway : http://www.europeanfilmgateway.eu/about_efg/EFG1914collections Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 14-18Mots-clés : Grande guerre Index. décimale : 116.54 Guerre 14-18 En ligne : https://www.youtube.com/playlist?list=PLZCm3ZUYUHvQEPWR_KjeXdsIE56cr24Uv Compilation de films courts sur la deuxième guerre mondiale [document projeté ou vidéo] . - Bruxelles [Belgique] : Cinematek, [s.d.] . - Plus de 40 vidéos.
Encore plus de vidéos sur l'European fim gateway : http://www.europeanfilmgateway.eu/about_efg/EFG1914collections
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 14-18Mots-clés : Grande guerre Index. décimale : 116.54 Guerre 14-18 En ligne : https://www.youtube.com/playlist?list=PLZCm3ZUYUHvQEPWR_KjeXdsIE56cr24Uv Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
Titre : Dossier pédagogique de "Petit à petit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Beelen, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Dossier pédagogique de "Petit à petit" [texte imprimé] / Clara Beelen, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
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1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Exemplaires (1)
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