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Architectures volume 3 / Collectif
Titre : Architectures volume 3 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 2000-2003 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ARCHITECTURE / BARCELONE / MUSEE / PARIS / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / BERLIN / CONSTRUCTION / FINLANDE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / JUDAISME / LE CORBUSIER / OPERA / HISTOIRE DE L’ART / CHICAGO / HABITATION / EDIFICE RELIGIEUX / SULLIVAN LOUIS HENRY / ADLER DANKMAR / GAUDI ANTONIO / LIEBESKIND DAMEL / GARNIER CHARLES / AALTO ALVAR / SULLIVAN LOUIS H. / OTT CARLOS Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "Le musée juif de Berlin", Daniel Liebeskind (R. Copans, S. Neumann) - 2. "L'opéra Garnier", Charles Garnier (S. Neumann) - 3. "Le couvent de la Tourette", Le Corbusier (R. Copans) - 4. "La Casa Milà", Antonio Gaudi (F. Compain) - 5. "L'auditorium Building de Chicago", Louis H. Sullivan et Dankmar Adler (S. Neumann) - 6. "Le centre municipal de Säynätsalo", Alvar Aalto (R. Copans). Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 3 [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 2000-2003 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102705 96 N.1.1390/3 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York [n° ou bulletin] 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York Est accompagné deExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
Titre : Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyril Beghin, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale : Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) [texte imprimé] / Cyril Beghin, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302676 19 H.1.04339/21 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Histoire du western / Charles Ford
Titre : Histoire du western Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Ford, Auteur Editeur : Pierre Horay Année de publication : 1964 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Thomas H. Ince William Hart Tom Mix Cow-boy John Ford Hopalong Cassidy Far-West Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La conquête de L'Ouest s'achève quand le western paraît, en 1903, à l'aube du cinéma américain. Véhicule idéal du mythe glorieux de la conquête, le western magnifie l'aventure héroïque des pionniers en marche vers la Terre promise et exalte la genèse de la nation américaine. D'emblée, il fascine la foule de ses spectateurs et suscite l'enthousiasme de fanatiques qui se recruteront aussi bien aux États-Unis qu'en Europe (où il est diffusé massivement dès 1919), en Asie et en Afrique. Car, bien que fait à l'origine par et pour les Américains, le western se révélera vite une passion géographiquement prospère. Un engouement qui, jusqu'à aujourd'hui et malgré quelques éclipses passagères, ne s'est pas démenti et qui fait du western une des passions les plus universelles de ce siècle et un phénomène unique dans l'histoire du cinéma.
Histoire du western [texte imprimé] / Charles Ford, Auteur . - Pierre Horay, 1964.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Thomas H. Ince William Hart Tom Mix Cow-boy John Ford Hopalong Cassidy Far-West Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La conquête de L'Ouest s'achève quand le western paraît, en 1903, à l'aube du cinéma américain. Véhicule idéal du mythe glorieux de la conquête, le western magnifie l'aventure héroïque des pionniers en marche vers la Terre promise et exalte la genèse de la nation américaine. D'emblée, il fascine la foule de ses spectateurs et suscite l'enthousiasme de fanatiques qui se recruteront aussi bien aux États-Unis qu'en Europe (où il est diffusé massivement dès 1919), en Asie et en Afrique. Car, bien que fait à l'origine par et pour les Américains, le western se révélera vite une passion géographiquement prospère. Un engouement qui, jusqu'à aujourd'hui et malgré quelques éclipses passagères, ne s'est pas démenti et qui fait du western une des passions les plus universelles de ce siècle et un phénomène unique dans l'histoire du cinéma.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302348 17 H.1.01167 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkPrint the legend / Giorgio Gosetti
PermalinkTout Truffaut : 23 films pour comprendre l'homme et le cinéaste / Anne Gillain
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