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Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
Titre : Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 44 pp. Note générale :
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 44 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303780 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 303781 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
Titre : Dossier pédagogique de "Sicko" Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Daniel Cuthbert Nick Houy Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Sicko" [texte imprimé] / Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur . - Zérodeconduite.net, [s.d.] . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Daniel Cuthbert Nick Houy Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303688 19 H.1.04339/17 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le septième sceau : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Edmond Grandgeorge, Auteur Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2005 Collection : Synopsis num. 12 Importance : 1 vol. (127 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-34348-4 Note générale :
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
Le septième sceau : Ingmar Bergman [texte imprimé] / Edmond Grandgeorge, Auteur . - Paris [France] : Armand Colin, 2005 . - 1 vol. (127 p.) : ill., couv. ill. ; 18 cm. - (Synopsis; 12) .
ISBN : 978-2-200-34348-4
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300355 19 H.1.03866 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300355URL Sjöström / René Jeanne
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302179 18 H.1.00062 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible