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116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Fernando Arrabal
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernando Arrabal, Auteur Année de publication : 1971 Importance : 1 vol. (50 p.) Présentation : ill. Note générale : Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte [texte imprimé] / Fernando Arrabal, Auteur . - 1971 . - 1 vol. (50 p.) : ill.
Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301686 19 H.1.01446 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 24 - 1987 - Jacques Brel, cinéaste et comédien (Bulletin de Revue Belge du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
Titre : 24 - 1987 - Jacques Brel, cinéaste et comédien Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:MusiqueMots-clés : Jacques Brel montage musiques de films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs [n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
24 - 1987 - Jacques Brel, cinéaste et comédien [texte imprimé] . - 2010.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:MusiqueMots-clés : Jacques Brel montage musiques de films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302142 18 H.1.00960 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 271/272 - Juillet-août 1981 - Cinéma 271/272 - Spécial Jacques Demy (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Titre : 271/272 - Juillet-août 1981 - Cinéma 271/272 - Spécial Jacques Demy Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 1981 Importance : 1 vol. (128 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jacques Demy Résumé : Dossier
DEMY Jacques (article d'ensemble)
DEMY Jacques
À bientôt Jacques Demy ! (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
DEMY Jacques
(filmographie)
DEMY Jacques
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
DEMY Jacques
à propos de : Parapluies de Cherbourg (Les)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Lady Oscar
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Model shop
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Lola
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Demoiselles de Rochefort (Les)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Baie des Anges (La)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Joueur de flûte (Le)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
Jacques Demy film et son temps (article d'ensemble)
Auteur : PRÉDAL René
Naissance du jour (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : PRÉDAL René
DENEUVE Catherine
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Catherine Deneuve (autre)
Auteurs : HAUSTRATE Gaston , LE PAVEC Jean-Pierre
LEGRAND Michel
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Michel Legrand (autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
ÉVEIN Bernard
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Bernard Evein (autre)
Auteur : BERTHOMÉ Jean-Pierre
DEMY Jacques
(entretien)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
MANKIEWICZ Joseph L.
Le temps et la parole (article d'ensemble)
Auteur : CARBONNIER Alain
MANKIEWICZ Joseph L.
(filmographie)
BLIER Bertrand
(entretien)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
BLIER Bertrand
(filmographie)
BLIER Bertrand
Les raisins verts de la colère (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
BLIER Bertrand
à propos de : Si j'étais un espion
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Valseuses (Les)
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Calmos
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Préparez vos mouchoirs
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Buffet froid
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Beau-père
Les raisins verts de la colère (autre)
Cannes 1981
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Tragédie d'un homme ridicule (La)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Méphisto
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Groupe sanguin zéro
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Regards et sourires
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Fantasmes de Madame Jordan (Les)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Peau (La)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Homme de fer (L')
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Patrimonio nacional
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Passion d'amour
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Anges de fer (Les)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Cœur de feu
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : This is Elvis
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : De Mao à Mozart : Isaac Stern en Chine
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Symphonie fantastique
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Noces de sang
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Qui chante là-bas ?
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Dios los cria
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Moment de bonheur (Un)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Mille petits baisers
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Homme au-delà de la surface (L')
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Memoirs of a survivor
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Eu te amo
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Mur murs
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Témoin (Le)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Let there be light
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Malou
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Papillon de nuit
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Mémoire fertile (La)
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Fil, fond, fosfor
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : She dances alone
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Er ist kalt in Brandenburg (Hitler toten)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Fille offerte (La)
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Francisca
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Vautour (Le)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Ato de violencia
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Tell me
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Bona
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Il était une fois des gens heureux... les Plouffe
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Desperado City
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Seuls
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Americana
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Qu'est-ce qui met Albert Pinto en colère ?
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Moi, l'autre
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Alligator shoes
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Bolivar, sinfonia tropical
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Cercle vicieux
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Marque de la bête (La)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Memorias do medo
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Marteau-piqueur (Le)
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Skinoussa, paysage avec la chute d'Icare
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Prends 10 000 balles et casse-toi
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Chronique indienne
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz (Les)
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Juliette du côté des hommes
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Dernier été
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Blues plein la tête (Du)
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Jardinier (Le)
(festival)
Auteur : ROY Jean
DEPARDON Raymond
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Reporters
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Charulata
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Âge d'or (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Maudits, je vous aimerai
(critique, article sur un film)
Auteur : DEPUYPER Christian
Comme au bon vieux temps
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Policeman (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : TACONET Catherine
In girum imus nocte et consumimur igni
(critique, article sur un film)
Auteur : PAÏNI Dominique
Docteur Jekyll et les femmes
(critique, article sur un film)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
Faucons de la nuit (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Terror eyes
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Troisième wagon (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Guepiot (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Solitaire (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Pourquoi pas nous ?
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Noces (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
Citizen Kane
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
LEWIS Jerry
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Volpone
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jack l'éventreur
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Carrefour de la mort (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Quelque part dans la nuit
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Messager (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Arbre aux sabots (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Padre padrone
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
ALLIO René
Reconquérir sa propre parole (texte de la personnalité)
Fontblanche 1981
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
France
Pour un projet socialiste du cinéma (cinéma & société)
Auteur : MITTERRAND François
Lille 1981
(festival)
Auteur : MORIN Jacques
Musique et cinéma
Musique du film - Disques reçus (et écoutés) (autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Florence
(festival)
Auteur : MONTEBELLO Martine
Femmes et cinéma
(festival)
Auteur : MONTEBELLO Martine
Bienne 1981
(festival)
Auteur : MORDER Joseph
Encyclopédie du cinéma (L') (Roger Boussinot) (livre)
Auteur : MAGNY Joël
MINNELLI Vincente
Tous en scène (Vincente Minnelli) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Actualités du cinéma différent (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
271/272 - Juillet-août 1981 - Cinéma 271/272 - Spécial Jacques Demy [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 1981 . - 1 vol. (128 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jacques Demy Résumé : Dossier
DEMY Jacques (article d'ensemble)
DEMY Jacques
À bientôt Jacques Demy ! (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
DEMY Jacques
(filmographie)
DEMY Jacques
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
DEMY Jacques
à propos de : Parapluies de Cherbourg (Les)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Lady Oscar
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Model shop
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Lola
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Demoiselles de Rochefort (Les)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Baie des Anges (La)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
à propos de : Joueur de flûte (Le)
Jacques Demy film à film et dans le désordre (article d'ensemble)
DEMY Jacques
Jacques Demy film et son temps (article d'ensemble)
Auteur : PRÉDAL René
Naissance du jour (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : PRÉDAL René
DENEUVE Catherine
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Catherine Deneuve (autre)
Auteurs : HAUSTRATE Gaston , LE PAVEC Jean-Pierre
LEGRAND Michel
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Michel Legrand (autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
ÉVEIN Bernard
(entretien)
DEMY Jacques
Entretien avec Bernard Evein (autre)
Auteur : BERTHOMÉ Jean-Pierre
DEMY Jacques
(entretien)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
MANKIEWICZ Joseph L.
Le temps et la parole (article d'ensemble)
Auteur : CARBONNIER Alain
MANKIEWICZ Joseph L.
(filmographie)
BLIER Bertrand
(entretien)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
BLIER Bertrand
(filmographie)
BLIER Bertrand
Les raisins verts de la colère (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
BLIER Bertrand
à propos de : Si j'étais un espion
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Valseuses (Les)
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Calmos
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Préparez vos mouchoirs
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Buffet froid
Les raisins verts de la colère (autre)
BLIER Bertrand
à propos de : Beau-père
Les raisins verts de la colère (autre)
Cannes 1981
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Tragédie d'un homme ridicule (La)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Méphisto
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Groupe sanguin zéro
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Regards et sourires
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Fantasmes de Madame Jordan (Les)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Peau (La)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Homme de fer (L')
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Patrimonio nacional
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Passion d'amour
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Anges de fer (Les)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Cœur de feu
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : This is Elvis
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : De Mao à Mozart : Isaac Stern en Chine
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Symphonie fantastique
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Noces de sang
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Qui chante là-bas ?
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Dios los cria
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Moment de bonheur (Un)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Mille petits baisers
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Homme au-delà de la surface (L')
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Memoirs of a survivor
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Eu te amo
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Mur murs
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Témoin (Le)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Let there be light
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Malou
(festival)
Auteur : CERVONI Albert
Cannes 1981
à propos de : Papillon de nuit
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Mémoire fertile (La)
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Fil, fond, fosfor
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : She dances alone
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Er ist kalt in Brandenburg (Hitler toten)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Fille offerte (La)
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Francisca
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Vautour (Le)
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Ato de violencia
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Tell me
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Bona
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Il était une fois des gens heureux... les Plouffe
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Desperado City
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1981
à propos de : Seuls
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Americana
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Qu'est-ce qui met Albert Pinto en colère ?
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Moi, l'autre
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Alligator shoes
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Bolivar, sinfonia tropical
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Cercle vicieux
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Marque de la bête (La)
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Memorias do medo
(festival)
Auteur : ROY Jean
Cannes 1981
à propos de : Marteau-piqueur (Le)
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Skinoussa, paysage avec la chute d'Icare
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Prends 10 000 balles et casse-toi
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Chronique indienne
(festival)
Auteur : PRÉDAL René
Cannes 1981
à propos de : Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz (Les)
(festival)
Auteur : UHMANN Daniel
Cannes 1981
à propos de : Juliette du côté des hommes
(festival)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Cannes 1981
à propos de : Dernier été
(festival)
Auteur : PAÏNI Dominique
Cannes 1981
à propos de : Blues plein la tête (Du)
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1981
à propos de : Jardinier (Le)
(festival)
Auteur : ROY Jean
DEPARDON Raymond
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Reporters
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Charulata
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Âge d'or (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Maudits, je vous aimerai
(critique, article sur un film)
Auteur : DEPUYPER Christian
Comme au bon vieux temps
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Policeman (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : TACONET Catherine
In girum imus nocte et consumimur igni
(critique, article sur un film)
Auteur : PAÏNI Dominique
Docteur Jekyll et les femmes
(critique, article sur un film)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
Faucons de la nuit (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Terror eyes
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Troisième wagon (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Guepiot (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Solitaire (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Pourquoi pas nous ?
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Noces (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
Citizen Kane
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
LEWIS Jerry
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Volpone
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jack l'éventreur
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Carrefour de la mort (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Quelque part dans la nuit
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Messager (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Arbre aux sabots (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Padre padrone
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
ALLIO René
Reconquérir sa propre parole (texte de la personnalité)
Fontblanche 1981
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
France
Pour un projet socialiste du cinéma (cinéma & société)
Auteur : MITTERRAND François
Lille 1981
(festival)
Auteur : MORIN Jacques
Musique et cinéma
Musique du film - Disques reçus (et écoutés) (autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Florence
(festival)
Auteur : MONTEBELLO Martine
Femmes et cinéma
(festival)
Auteur : MONTEBELLO Martine
Bienne 1981
(festival)
Auteur : MORDER Joseph
Encyclopédie du cinéma (L') (Roger Boussinot) (livre)
Auteur : MAGNY Joël
MINNELLI Vincente
Tous en scène (Vincente Minnelli) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Actualités du cinéma différent (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400905 271/272 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 28 - Juin 1958 - Cinéma 28 (Bulletin de Cinéma) / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Titre : 28 - Juin 1958 - Cinéma 28 Type de document : texte imprimé Auteurs : Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France), Auteur Année de publication : 1958 Importance : 1 vol. (144 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Le festival de Cannes Entretien avec Jacques Tati En visite chez mon Oncle Visconti Dostoievski Résumé : Cannes 1958
(festival)
Auteurs : BENAYOUN Robert , BILLARD Pierre , KYROU Ado , MARCORELLES Louis
Arc et la flûte (L')
(festival)
Désir sous les ormes (Le)
(festival)
Neuf vies
(festival)
Eau vive (L')
(festival)
Rosaura à dix heures
(festival)
Pierre philosophale (La)
(festival)
Fleur de fer (La)
(festival)
Au seuil de la vie
(festival)
Quand passent les cigognes
(festival)
Fin de crédit
(festival)
Mon oncle
(festival)
Goha le simple
(festival)
Frères Karamazov (Les)
(festival)
Jeunes maris (Les)
(festival)
Uomo di paglia (L')
(festival)
Vengeance (La)
(festival)
Crique oubliée (La)
(festival)
Chardons du Baragan (Les)
(festival)
Pays de neige
(festival)
Feux de l'été (Les)
(festival)
Auberge du Spessart (L')
(festival)
Amants du faubourg (Les)
(festival)
Voyage des trois mers (Le)
(festival)
Visages de bronze
(festival)
Ordre de tuer
(festival)
Jongleur de Notre-Dame (Le)
(festival)
Harlem Wednesday
(festival)
Histoire d'un astérisque (L')
(festival)
Sept arts
(festival)
Homme seul (Un)
(festival)
Il était une fois
(festival)
Maison (La)
(festival)
Little island (The)
(festival)
Vaisseau fantôme (Le)
(festival)
TATI Jacques
à propos de : Mon oncle
(entretien)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Cinéma expérimental - Cinéma d'avant-garde
Mort de l'avant-garde (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BILLARD Pierre
Bruxelles 1958
(festival)
Nuits blanches
À propos de "Les Nuits blanches" (Renzo Renzi) (critique, article sur un film)
RENZI Renzo
À propos de "Les Nuits blanches" (texte de la personnalité)
MASOUR Sacha
(article d'ensemble)
Critique
Pleins feux sur la critique (cinéma & société)
Auteur : ESNAULT Philippe
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PHILIPPE Pierre
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Lune sur la rivière (La)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Brise argentée (La)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Nuits de septembre (Les)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Vendredi matin
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Voyage de Jeannot (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Petit cinématographe modèle de Hasek (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Classe 21
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Enfants perdus (Les)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Petit parapluie (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
VADIM Roger
(entretien)
Auteurs : CHOUBLIER Claude , HERMAN Jean
LADMIRAL Nicole
(nécrologie)
France
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : MARCORELLES Louis
France
à propos de : Charlotte et son jules
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : Bel indifférent (Le)
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : Auditorium
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : André Malraux
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
Censure
La critique est aisée.... (cinéma & société)
Grande-Bretagne
Premier cinéma d'Angleterre : le National Film Theatre (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : MARCORELLES Louis
BUFFET Bernard
Ruée sur le Buffet (autre)
Bruxelles
Expo 58 sous le signe du cinéma (autre)
Auteur : BILLARD Pierre
BERNARD Paul
(nécrologie)
Auteur : BEYLIE Claude
Mon oncle
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Barrage contre le Pacifique
(critique, article sur un film)
Auteur : GILSON René
Bijoutiers du clair de lune (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Bijoutiers du clair de lune (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BEYLIE Claude
Septième sceau (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Jeux d'été
(critique, article sur un film)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Sayonara
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Chatte (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Temps des œufs durs (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : BILLARD Pierre
Ni vu, ni connu
(critique, article sur un film)
Chéri, fais-moi peur
(critique, article sur un film)
Auteur : BEYLIE Claude
Naïf aux quarante enfants (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : DELAHAYE Michel
Justicier solitaire (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : DELAHAYE Michel
Spoutniks (Les)
(brève)
Hommes en guerre
(brève)
Tchouk et Gek
(brève)
Chose surgit des ténèbres (La)
(brève)
Septième ciel (Le)
(brève)
Cage aux hommes (La)
(brève)
Passager clandestin (Le)
(brève)
Valse royale (La)
(brève)
Mayerling
(brève)
Joe Dakota
(brève)
Espionnage à Tokyo
(brève)
Vraie garce (Une)
(brève)
Aventuriers du Mékong (Les)
(brève)
Désert de Pigalle (Le)
(brève)
Aventures de Perri (Les)
(brève)
Kitty
(brève)
Cet homme est armé
(brève)
Incognito
(brève)
Homme invisible (L')
(brève)
Short vision (A)
(brève)
Marque (La)
(brève)
Manoir du mystère (Le)
(brève)
Amours de vacances
(brève)
Terre sans pardon
(brève)
Je vous adore
(brève)
Sept merveilles du monde (Les)
(brève)
Homme se penche sur son passé (Un)
(brève)
Tendre piège (Le)
(brève)
Trois jours à vivre
(brève)
Certain monsieur Jo (Un)
(brève)
Journée des violents (La)
(brève)
Adam et Ève
(brève)
Frontière dangereuse
(brève)
À Paris tous les deux
(brève)
Désir mène les hommes (Le)
(brève)
Frères Rico (Les)
(brève)
Sept tonnerres (Les)
(brève)
Sois belle et tais-toi
(brève)
Piroschka
(brève)
Livres de cinéma
Les écrits restent (autre)
Auteur : ESNAULT Philippe
HITCHCOCK Alfred
Hitchcock (Claude Chabrol et Éric Rohmer) (livre)
Auteur : ESNAULT PhilippeWELLES Orson
Orson Welles (Peter Noble) (livre)
Auteur : ESNAULT Philippe
Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement secondaire supérieur et enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
28 - Juin 1958 - Cinéma 28 [texte imprimé] / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France), Auteur . - 1958 . - 1 vol. (144 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Le festival de Cannes Entretien avec Jacques Tati En visite chez mon Oncle Visconti Dostoievski Résumé : Cannes 1958
(festival)
Auteurs : BENAYOUN Robert , BILLARD Pierre , KYROU Ado , MARCORELLES Louis
Arc et la flûte (L')
(festival)
Désir sous les ormes (Le)
(festival)
Neuf vies
(festival)
Eau vive (L')
(festival)
Rosaura à dix heures
(festival)
Pierre philosophale (La)
(festival)
Fleur de fer (La)
(festival)
Au seuil de la vie
(festival)
Quand passent les cigognes
(festival)
Fin de crédit
(festival)
Mon oncle
(festival)
Goha le simple
(festival)
Frères Karamazov (Les)
(festival)
Jeunes maris (Les)
(festival)
Uomo di paglia (L')
(festival)
Vengeance (La)
(festival)
Crique oubliée (La)
(festival)
Chardons du Baragan (Les)
(festival)
Pays de neige
(festival)
Feux de l'été (Les)
(festival)
Auberge du Spessart (L')
(festival)
Amants du faubourg (Les)
(festival)
Voyage des trois mers (Le)
(festival)
Visages de bronze
(festival)
Ordre de tuer
(festival)
Jongleur de Notre-Dame (Le)
(festival)
Harlem Wednesday
(festival)
Histoire d'un astérisque (L')
(festival)
Sept arts
(festival)
Homme seul (Un)
(festival)
Il était une fois
(festival)
Maison (La)
(festival)
Little island (The)
(festival)
Vaisseau fantôme (Le)
(festival)
TATI Jacques
à propos de : Mon oncle
(entretien)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Cinéma expérimental - Cinéma d'avant-garde
Mort de l'avant-garde (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BILLARD Pierre
Bruxelles 1958
(festival)
Nuits blanches
À propos de "Les Nuits blanches" (Renzo Renzi) (critique, article sur un film)
RENZI Renzo
À propos de "Les Nuits blanches" (texte de la personnalité)
MASOUR Sacha
(article d'ensemble)
Critique
Pleins feux sur la critique (cinéma & société)
Auteur : ESNAULT Philippe
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PHILIPPE Pierre
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Lune sur la rivière (La)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Brise argentée (La)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Nuits de septembre (Les)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Vendredi matin
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Voyage de Jeannot (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Petit cinématographe modèle de Hasek (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Classe 21
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Enfants perdus (Les)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
Tchécoslovaquie, République Tchèque, Slovaquie
à propos de : Petit parapluie (Le)
À l'est du nouveau (cinémas nationaux ou genre)
VADIM Roger
(entretien)
Auteurs : CHOUBLIER Claude , HERMAN Jean
LADMIRAL Nicole
(nécrologie)
France
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : MARCORELLES Louis
France
à propos de : Charlotte et son jules
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : Bel indifférent (Le)
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : Auditorium
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
France
à propos de : André Malraux
Les jeunes lions du court-métrage (cinémas nationaux ou genre)
Censure
La critique est aisée.... (cinéma & société)
Grande-Bretagne
Premier cinéma d'Angleterre : le National Film Theatre (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : MARCORELLES Louis
BUFFET Bernard
Ruée sur le Buffet (autre)
Bruxelles
Expo 58 sous le signe du cinéma (autre)
Auteur : BILLARD Pierre
BERNARD Paul
(nécrologie)
Auteur : BEYLIE Claude
Mon oncle
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Barrage contre le Pacifique
(critique, article sur un film)
Auteur : GILSON René
Bijoutiers du clair de lune (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Bijoutiers du clair de lune (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BEYLIE Claude
Septième sceau (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Jeux d'été
(critique, article sur un film)
Auteur : CHARDÈRE Bernard
Sayonara
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Chatte (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : MARTIN Marcel
Temps des œufs durs (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : BILLARD Pierre
Ni vu, ni connu
(critique, article sur un film)
Chéri, fais-moi peur
(critique, article sur un film)
Auteur : BEYLIE Claude
Naïf aux quarante enfants (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : DELAHAYE Michel
Justicier solitaire (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : DELAHAYE Michel
Spoutniks (Les)
(brève)
Hommes en guerre
(brève)
Tchouk et Gek
(brève)
Chose surgit des ténèbres (La)
(brève)
Septième ciel (Le)
(brève)
Cage aux hommes (La)
(brève)
Passager clandestin (Le)
(brève)
Valse royale (La)
(brève)
Mayerling
(brève)
Joe Dakota
(brève)
Espionnage à Tokyo
(brève)
Vraie garce (Une)
(brève)
Aventuriers du Mékong (Les)
(brève)
Désert de Pigalle (Le)
(brève)
Aventures de Perri (Les)
(brève)
Kitty
(brève)
Cet homme est armé
(brève)
Incognito
(brève)
Homme invisible (L')
(brève)
Short vision (A)
(brève)
Marque (La)
(brève)
Manoir du mystère (Le)
(brève)
Amours de vacances
(brève)
Terre sans pardon
(brève)
Je vous adore
(brève)
Sept merveilles du monde (Les)
(brève)
Homme se penche sur son passé (Un)
(brève)
Tendre piège (Le)
(brève)
Trois jours à vivre
(brève)
Certain monsieur Jo (Un)
(brève)
Journée des violents (La)
(brève)
Adam et Ève
(brève)
Frontière dangereuse
(brève)
À Paris tous les deux
(brève)
Désir mène les hommes (Le)
(brève)
Frères Rico (Les)
(brève)
Sept tonnerres (Les)
(brève)
Sois belle et tais-toi
(brève)
Piroschka
(brève)
Livres de cinéma
Les écrits restent (autre)
Auteur : ESNAULT Philippe
HITCHCOCK Alfred
Hitchcock (Claude Chabrol et Éric Rohmer) (livre)
Auteur : ESNAULT PhilippeWELLES Orson
Orson Welles (Peter Noble) (livre)
Auteur : ESNAULT Philippe
Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement secondaire supérieur et enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400852 28 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 289 - Janvier 1983 - Cinéma 289 - Spécial Jacques Tati : Etaix, Nichetti, Jean l'Hôte, le court métrage, Danielle Darrieux (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Titre : 289 - Janvier 1983 - Cinéma 289 - Spécial Jacques Tati : Etaix, Nichetti, Jean l'Hôte, le court métrage, Danielle Darrieux Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 1983 Importance : 1 vol. (160 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Jacques Tati Résumé :
Éditorial - Les combats qui nous attendent (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Le sablier du ciné-moi (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cinéma expérimental - Cinéma d'avant-garde
Un autre cinéma (autre)
Auteur : SUDRE Alain Alcide
HUSTON John
Huston par Huston (John Huston) (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
USA
Western (Le) (Christian Viviani) (livre)
Auteur : TARQUI Anne
FONDA Henry
Ma vie (Henry Fonda et Howard Teichman) (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
PETRI Elio
(nécrologie)
Auteur : ROY Jean
ZURLINI Valerio
(nécrologie)
Auteur : ROY Jean
Dossier
TATI Jacques (article d'ensemble)
TATI Jacques
Portrait public (autre)
TATI Jacques
Nichetti face à Tati (autre)
NICHETTI Maurizio
Nichetti face à Tati (entretien)
TATI Jacques
Entretien avec Pierre Étaix (autre)
ÉTAIX Pierre
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
L'HÔTE Jean
La leçon de Tati (entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
TATI Jacques
La leçon de Tati (Jean L'Hôte) (autre)
TATI Jacques
À propos de Jacques Tati (Woddy Allen) (autre)
ALLEN Woody
À propos de Jacques Tati (entretien)
Auteur : COURSODON Jean-Pierre
TATI Jacques
Les absences de M. Hulot (article d'ensemble)
Auteur : MAGNY Joël
TATI Jacques
La résistance de l'ange hurluberlu (article d'ensemble)
Auteur : MAHÉO Michel
TATI Jacques
La joie qui rend éternel (article d'ensemble)
Auteur : AMIEL Mireille
TATI Jacques
Jacques Tati dixit (texte de la personnalité)
TATI Jacques
(filmographie)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Court métrage
L'agence du court métrage : une interview de François Ode (cinémas nationaux ou genre)
Épinay 1982
(festival)
Auteur : COURCIER Jacques
Épinay 1982
à propos de : Point d'eau (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : À la recherche du bonheur
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Arménie 1900
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Je demain
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Tigre du Jardin des Plantes (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Pastore d'Oghje
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Quelle belle époque
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Temps des crises (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Tranche de vie d'artiste
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Celles de la terre
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Plaine aux busards (La)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Par le train du soir
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Pour vivre libre, il faut avoir du talent
(festival)
Villeurbanne 1982
(festival)
Auteur : LIATARD Alain
Albi 1982
(festival)
Auteur : ÉGRET Marie-Françoise
Albi 1982
à propos de : Bouchée de pain (La)
(festival)
Albi 1982
à propos de : Dimanche à Herzeele (Un)
(festival)
Albi 1982
à propos de : Parking
(festival)
Albi 1982
à propos de : Filles de l'égalité (Les)
(festival)
De nuits en nuit
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Que vive les amateurs
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Bluff
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Apache (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Peine perdue
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
On les aura !
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Intérieurs
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Pan pan
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Jamais de la vie
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Grande traversée (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Voix d'eau
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Saisie (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Danton
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Annie
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Firefox, l'arme absolue
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Quatre cavaliers de l'Apocalypse (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Travail au noir
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Ne t'en fais pas !
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Mutant
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Guerre d'un seul homme (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Premier amour (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Diner
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Subway riders
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Dragon du lac de feu (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Avec les compliments de l'auteur
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Philadelphia security
(critique, article sur un film)
Auteur : DUMONT Pascal
Tueur dans la ville (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Officier et gentleman
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Sérénade à trois
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Règlement de comptes
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nosferatu, fantôme de la nuit
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dracula
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Cent dollars pour un shérif
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Soif du mal (La)
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Frankenstein
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Nuit du chasseur (La)
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Corbeau (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Douceur de vivre (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Chinatown
(autre)
Auteur : PETAT Jacques
DARRIEUX Danielle
(article d'ensemble)
Auteur : SELLIER Geneviève
Locarno 1982
(festival)
Auteur : CHARMATZ Jacques
Locarno 1982
à propos de : Letzte Loch (Das)
(festival)
Locarno 1982
à propos de : Ce lieu sans limites
(festival)
Marcigny 1982
(festival)
Auteur : COLPART Gilles
Paris (fantastique) 1982
(festival)
Auteur : CARON Évelyne
Courrier
Courrier du cinéma (autre)
As des as (L')
(courrier)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
289 - Janvier 1983 - Cinéma 289 - Spécial Jacques Tati : Etaix, Nichetti, Jean l'Hôte, le court métrage, Danielle Darrieux [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 1983 . - 1 vol. (160 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Jacques Tati Résumé :
Éditorial - Les combats qui nous attendent (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Le sablier du ciné-moi (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cinéma expérimental - Cinéma d'avant-garde
Un autre cinéma (autre)
Auteur : SUDRE Alain Alcide
HUSTON John
Huston par Huston (John Huston) (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
USA
Western (Le) (Christian Viviani) (livre)
Auteur : TARQUI Anne
FONDA Henry
Ma vie (Henry Fonda et Howard Teichman) (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
PETRI Elio
(nécrologie)
Auteur : ROY Jean
ZURLINI Valerio
(nécrologie)
Auteur : ROY Jean
Dossier
TATI Jacques (article d'ensemble)
TATI Jacques
Portrait public (autre)
TATI Jacques
Nichetti face à Tati (autre)
NICHETTI Maurizio
Nichetti face à Tati (entretien)
TATI Jacques
Entretien avec Pierre Étaix (autre)
ÉTAIX Pierre
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
L'HÔTE Jean
La leçon de Tati (entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
TATI Jacques
La leçon de Tati (Jean L'Hôte) (autre)
TATI Jacques
À propos de Jacques Tati (Woddy Allen) (autre)
ALLEN Woody
À propos de Jacques Tati (entretien)
Auteur : COURSODON Jean-Pierre
TATI Jacques
Les absences de M. Hulot (article d'ensemble)
Auteur : MAGNY Joël
TATI Jacques
La résistance de l'ange hurluberlu (article d'ensemble)
Auteur : MAHÉO Michel
TATI Jacques
La joie qui rend éternel (article d'ensemble)
Auteur : AMIEL Mireille
TATI Jacques
Jacques Tati dixit (texte de la personnalité)
TATI Jacques
(filmographie)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Court métrage
L'agence du court métrage : une interview de François Ode (cinémas nationaux ou genre)
Épinay 1982
(festival)
Auteur : COURCIER Jacques
Épinay 1982
à propos de : Point d'eau (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : À la recherche du bonheur
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Arménie 1900
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Je demain
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Tigre du Jardin des Plantes (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Pastore d'Oghje
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Quelle belle époque
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Temps des crises (Le)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Tranche de vie d'artiste
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Celles de la terre
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Plaine aux busards (La)
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Par le train du soir
(festival)
Épinay 1982
à propos de : Pour vivre libre, il faut avoir du talent
(festival)
Villeurbanne 1982
(festival)
Auteur : LIATARD Alain
Albi 1982
(festival)
Auteur : ÉGRET Marie-Françoise
Albi 1982
à propos de : Bouchée de pain (La)
(festival)
Albi 1982
à propos de : Dimanche à Herzeele (Un)
(festival)
Albi 1982
à propos de : Parking
(festival)
Albi 1982
à propos de : Filles de l'égalité (Les)
(festival)
De nuits en nuit
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Que vive les amateurs
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Bluff
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Apache (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Peine perdue
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
On les aura !
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Intérieurs
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Pan pan
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Jamais de la vie
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Grande traversée (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Voix d'eau
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Saisie (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LIATARD Alain
Danton
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Annie
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Firefox, l'arme absolue
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Quatre cavaliers de l'Apocalypse (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Travail au noir
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Ne t'en fais pas !
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Mutant
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Guerre d'un seul homme (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Premier amour (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Diner
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Subway riders
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Dragon du lac de feu (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Avec les compliments de l'auteur
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Philadelphia security
(critique, article sur un film)
Auteur : DUMONT Pascal
Tueur dans la ville (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Officier et gentleman
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Sérénade à trois
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Règlement de comptes
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nosferatu, fantôme de la nuit
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dracula
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Cent dollars pour un shérif
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Soif du mal (La)
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Frankenstein
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Nuit du chasseur (La)
(autre)
Auteur : CARBONNIER Alain
Corbeau (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Douceur de vivre (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Chinatown
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Auteur : PETAT Jacques
DARRIEUX Danielle
(article d'ensemble)
Auteur : SELLIER Geneviève
Locarno 1982
(festival)
Auteur : CHARMATZ Jacques
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à propos de : Letzte Loch (Das)
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Locarno 1982
à propos de : Ce lieu sans limites
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Auteur : COLPART Gilles
Paris (fantastique) 1982
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Auteur : CARON Évelyne
Courrier
Courrier du cinéma (autre)
As des as (L')
(courrier)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400863 289 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 427 - Janvier 1990 - Doillon: La vengeance d'une femme. Otar iosseliani: Lumière d'Afrique. De Palma et le Viêt-Nam (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
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Titre : 427 - Janvier 1990 - Doillon: La vengeance d'une femme. Otar iosseliani: Lumière d'Afrique. De Palma et le Viêt-Nam Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Jacques Doillon Otar Iosseliani Brian de Palma La vengeance d'une femme Lumière d'Afrique Casualties of war Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
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427 - Janvier 1990 - Doillon: La vengeance d'une femme. Otar iosseliani: Lumière d'Afrique. De Palma et le Viêt-Nam [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 90 p.
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Jacques Doillon Otar Iosseliani Brian de Palma La vengeance d'une femme Lumière d'Afrique Casualties of war Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
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Titre : 429 - Mars 1990 - Sandrine Bonnaire, Depardon et le désert. Renouveau: La campagne de Cicéron de Jacques Davila. Visconti aujourd'hui. Kieslowski: Le décalogue Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Raymond Depardon Jacques Davila Luchino Visconti Krysztof Kieslowski La captive du désert Le Décalogue La campagne de Cicéron Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
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429 - Mars 1990 - Sandrine Bonnaire, Depardon et le désert. Renouveau: La campagne de Cicéron de Jacques Davila. Visconti aujourd'hui. Kieslowski: Le décalogue [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 90 p.
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Raymond Depardon Jacques Davila Luchino Visconti Krysztof Kieslowski La captive du désert Le Décalogue La campagne de Cicéron Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
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Titre : 438 - Décembre 1990 - Spécial Jacques Demy Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Jacques Demy Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
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438 - Décembre 1990 - Spécial Jacques Demy [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 90 p.
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Jacques Demy Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400490 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Acteurs / Collectif
Titre : Acteurs : Des héros fragiles Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur ; Arlette Namiand, Directeur de la recherche Editeur : Editions Autrement Année de publication : 1985 Collection : Collection Mutations, ISSN [1290-7332] num. 70 Importance : 250 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-086-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Arletty Louise Brooks Isabelle Huppert Niels Arestrup Gérard Depardieu Fanny Ardant Michel Bouquet Christine Boisson Pascale Ogier Richard Bohringer Tcheky Karyo Ariane Mnouchkine Françoise Carré Bulle Ogier Jacques Rivette Maurice Bénichou Gérard Lenne Marguerite Duras Serge Rousseau Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Acteurs. Des visages, des voix, des corps projetés à l'infini sur les écrans, les scènes de théâtre et dans notre imaginaire. Acteurs. Formidables réceptacles et véhicules de nos passions, nos tragédies, nos bouffonneries, nos fantasmes. Acteurs. Ceux qu'on oublie, ceux qui font les couvertures des magazines. Les "bons", les "beaux", les "grands", les stars et les autres ... tous ceux qui incarnent corps et âme l'homme et la femme dont chaque époque projette le rêve inaccessible.
Tous font ce rôle de métier: jouer.
L'ambition de cet ouvrage est de rendre aux acteurs ce qui leur appartient: leur métier. Dévoiler un peu l'alchimie secrète et complexe de leur art, bonheurs, peurs, angoisses et sueurs comprises. Voyager avec eux au milieu des héros, des amoureux, des traîtres, des femmes fatales et des paumés, tous ces personnages qui les hantent pendant des semaines ou des mois et qui leur laissent des traces ...
50 acteurs français de théâtre et de cinéma écrivent, parlent de leur passion et nous font partager leurs exigences, leurs moments forts, leurs doutes, leurs rencontres exceptionnelles.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Acteurs : Des héros fragiles [texte imprimé] / Collectif, Auteur ; Arlette Namiand, Directeur de la recherche . - Editions Autrement, 1985 . - 250 p. : ill., couv. ill. ; 25 cm. - (Collection Mutations, ISSN [1290-7332]; 70) .
ISBN : 978-2-86260-086-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Arletty Louise Brooks Isabelle Huppert Niels Arestrup Gérard Depardieu Fanny Ardant Michel Bouquet Christine Boisson Pascale Ogier Richard Bohringer Tcheky Karyo Ariane Mnouchkine Françoise Carré Bulle Ogier Jacques Rivette Maurice Bénichou Gérard Lenne Marguerite Duras Serge Rousseau Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Acteurs. Des visages, des voix, des corps projetés à l'infini sur les écrans, les scènes de théâtre et dans notre imaginaire. Acteurs. Formidables réceptacles et véhicules de nos passions, nos tragédies, nos bouffonneries, nos fantasmes. Acteurs. Ceux qu'on oublie, ceux qui font les couvertures des magazines. Les "bons", les "beaux", les "grands", les stars et les autres ... tous ceux qui incarnent corps et âme l'homme et la femme dont chaque époque projette le rêve inaccessible.
Tous font ce rôle de métier: jouer.
L'ambition de cet ouvrage est de rendre aux acteurs ce qui leur appartient: leur métier. Dévoiler un peu l'alchimie secrète et complexe de leur art, bonheurs, peurs, angoisses et sueurs comprises. Voyager avec eux au milieu des héros, des amoureux, des traîtres, des femmes fatales et des paumés, tous ces personnages qui les hantent pendant des semaines ou des mois et qui leur laissent des traces ...
50 acteurs français de théâtre et de cinéma écrivent, parlent de leur passion et nous font partager leurs exigences, leurs moments forts, leurs doutes, leurs rencontres exceptionnelles.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302302 17 H.1.00933 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le besoin de croyance et le besoin de vérité + Les intellectuels et les médias Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Gilles L'Hôte, Metteur en scène, réalisateur ; Jacques Bouveresse, Auteur Editeur : Paris [France] : Doriane Films Année de publication : 2008 Importance : 1 DVD Présentation : 238 min ISBN/ISSN/EAN : 3700246903635 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Communication d'entreprise:Publicité et enseignement
Education aux médias:Communication d'entreprise:Publicité et marketing
Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel:Audiovisuel et médias
Education aux médias:Ouvrages généraux:Sociologie/Interculturalisme
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Jacques Bouveresse Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Les politiques, publicitaires, experts, journalistes, philosophes et autres nous racontent des histoires à propos desquelles il est légitime de se demander si on doit les croire. Doit-on croire que de passer de l’opposition à la majorité n’est qu’une mise à disposition des compétences ? Que la berline qui roule en silence sur une petite routé d’Ecosse n’a qu’à être désirée ? Qu’il faut boire deux litres d’eau minérale par jour ? Que le marché du travail n’existe que pour permettre aux gens de se réaliser ? Que l’Amour gouverne le monde ? Qu’il ya une vie après la mort ? Que réduire l’impôt des riches va relancer la croissance ? Où est la vérité et quel poids lui reste-t-il ? Mais tenons-nous vraiment à la connaître ? Le faux et l’erreur ne seraient-ils pas plus importants pour nous que la vérité, à laquelle nous sommes censés tenir passionnément ? Nietzsche a même dit que la naissance d’une illusion a été une exigence de la vie. Cependant…les dangers de l’illusion sont bien réels. Ces questions et bien d’autres du même genre sont traitées dans ces deux films par Jacques Bouveresse. Influencé à Wittgenstein, le Cercle de Vienne et la philosophie analytique, Jacques Bouveresse plaide pour une forme de rationalisme que l’on pourrait appeler « satirique ». Il a étudié aussi bien les œuvres d’écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus que celles de la philosophie de la logique et du langage, de la philosophie mathématiques et de la philosophie des sciences. Il est aussi connu pour des ouvrages critiques sur les impostures issues d’une partie de la philosophie française des années 1970-1990 et sur celles de la presse, en particulier du journalisme philosophique à sensation. Il est aujourd’hui Professeur au Collège de France, où il occupe la chaire de Philosophie du langage et de la connaissance, succédant à un de ses maîtres et amis, Jules Vuillemin. Note de contenu : Bonus :
Pierre Bourdieu et le regard méchant de la science
La liste du journaliste
Le savoir libère-t-il ?
Croyance et marchéLe besoin de croyance et le besoin de vérité + Les intellectuels et les médias [document projeté ou vidéo] / Gilles L'Hôte, Metteur en scène, réalisateur ; Jacques Bouveresse, Auteur . - Paris (France) : Doriane Films, 2008 . - 1 DVD : 238 min.
ISSN : 3700246903635
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Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Jacques Bouveresse Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Les politiques, publicitaires, experts, journalistes, philosophes et autres nous racontent des histoires à propos desquelles il est légitime de se demander si on doit les croire. Doit-on croire que de passer de l’opposition à la majorité n’est qu’une mise à disposition des compétences ? Que la berline qui roule en silence sur une petite routé d’Ecosse n’a qu’à être désirée ? Qu’il faut boire deux litres d’eau minérale par jour ? Que le marché du travail n’existe que pour permettre aux gens de se réaliser ? Que l’Amour gouverne le monde ? Qu’il ya une vie après la mort ? Que réduire l’impôt des riches va relancer la croissance ? Où est la vérité et quel poids lui reste-t-il ? Mais tenons-nous vraiment à la connaître ? Le faux et l’erreur ne seraient-ils pas plus importants pour nous que la vérité, à laquelle nous sommes censés tenir passionnément ? Nietzsche a même dit que la naissance d’une illusion a été une exigence de la vie. Cependant…les dangers de l’illusion sont bien réels. Ces questions et bien d’autres du même genre sont traitées dans ces deux films par Jacques Bouveresse. Influencé à Wittgenstein, le Cercle de Vienne et la philosophie analytique, Jacques Bouveresse plaide pour une forme de rationalisme que l’on pourrait appeler « satirique ». Il a étudié aussi bien les œuvres d’écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus que celles de la philosophie de la logique et du langage, de la philosophie mathématiques et de la philosophie des sciences. Il est aussi connu pour des ouvrages critiques sur les impostures issues d’une partie de la philosophie française des années 1970-1990 et sur celles de la presse, en particulier du journalisme philosophique à sensation. Il est aujourd’hui Professeur au Collège de France, où il occupe la chaire de Philosophie du langage et de la connaissance, succédant à un de ses maîtres et amis, Jules Vuillemin. Note de contenu : Bonus :
Pierre Bourdieu et le regard méchant de la science
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101595URLLe blanc des origines / Alain Philippon
Titre : Le blanc des origines : Ecrits de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Philippon, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2002 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87340-163-4 Note générale :
Critique aux Cahiers du cinéma dans les années 80, Alain Philippon était un cinéphile sensible et mélancolique, hanté par l’enfance et la mort. Ses textes sont désormais réunis au sein d’un recueil.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Nicholas Ray Stanley Kubrick Martin Scorsese John Sayles Brian de Palma Jerry Lewis Win Wenders Michelangelo Antonioni Jean Eustache Chantal Akerman Philippe Garrel André Téchiné Jacques Doillon Paolo Taviani Vittorio Taviani Satyajit Ray Andreï Tarkovski Bernardo Bertolucci Jean Cocteau Leos Careax Jean-Pierre Limosin Alain Cavalier Maurice Pialat Christina Laurent Nanni Moretti Eric Romer Straub Huillet Alain Resnais Victor Erice Ruy Gurra Marco Bellocchio Nagisa Oshima Mikio Naruse Akira Kurosawa Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La publication chez Yellow Now de textes d’Alain Philippon, critique aux Cahiers du cinéma et auteur d’ouvrages sur Pialat, Eustache, Téchiné et Doillon, est l’occasion de visiter une bien belle maison-cinéma. En traversant, au fil de ses écrits, les espaces et les temps de cet art qui l’a habité et qu’il a habité, on pénètre les lieux d’une pensée profonde et sensible. Qu’elle porte sur des films tirés de l’actualité qu’il suivait et analysait (pendant les années 80 et 90) ou sur des œuvres plus anciennes, sa réflexion nous amène régulièrement, presque obsessionnellement, à explorer cette contrée perdue et secrète qu’est l’enfance (Shining de Kubrick, L’Enfant secret de Garrel, Bigger than Life de Ray).
Car, pour lui, la cinéphilie trouve son point d’ancrage “dans des fantasmes très archaïques, le rapport complexe de l’amour du cinéma à l’enfance et à la mort”. D’où le titre de ce recueil, Le Blanc des origines, celui d’un commencement et d’une fin entièrement inclus dans cette image “virginale” et “mortifère” qu’est l’écran blanc. L’enfance et la mort, la terreur et la séduction, ainsi que la figure du père sont convoquées avec le souci d’interroger à la fois la forme cinématographique, son histoire et son devenir.
“Le cinéma ne peut être contemporain qu’à condition de s’inscrire dans l’histoire des formes et de résister à la versatilité de l’époque”, écrit Alain Philippon. Mais la mort rôde autour du cinéma : “Ce qu’on nous fourgue, et qu’on va vraisemblablement nous demander de fourguer de plus en plus, c’est soit de l’image (qui n’est pas le plan), soit du scénario-béton.”
Pointant, dans une écriture méticuleuse et caressante, la charge symbolique et la part sensitive des films, il colle au plus près de leur épiderme cinématographique et fait un admirable passeur, sachant les faire vivre tout en préservant leur part de mystère : “Je ne connais pas de meilleure définition de la grâce cinématographique : la part qui précisément ne se laisse pas définir…”
Parmi ses plus beaux textes, ceux sur Antonioni et Wenders, Eustache et Pialat, on lira la pertinence d’un regard apte à saisir les temps morts d’un film, ses faiblesses, ses “mises en risque” en tant que forces, “événements dramaturgiques”, et à remonter le fil d’une quête secrète qui nous ramènerait à la “nuit d’avant le cinéma”. Nuit qu’Alain Philippon a rejointe (il s’est suicidé il y a quatre ans), suivant le mouvement même du cinéma tel qu’il le voyait, en pleine extinction de ses feux.
On saisit alors toute la portée intimement funèbre de ces mots : “On ne sait au juste de quoi ou de qui mourut le cinéma. On désigna plusieurs suspects. Toujours est-il qu’il mourut, comme tout le monde, d’un arrêt du cœur.”Le blanc des origines : Ecrits de cinéma [texte imprimé] / Alain Philippon, Auteur . - Crisnée (15 rue François Gilon, 4367, Belgique) : Yellow Now, 2002.
ISBN : 978-2-87340-163-4
Critique aux Cahiers du cinéma dans les années 80, Alain Philippon était un cinéphile sensible et mélancolique, hanté par l’enfance et la mort. Ses textes sont désormais réunis au sein d’un recueil.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Nicholas Ray Stanley Kubrick Martin Scorsese John Sayles Brian de Palma Jerry Lewis Win Wenders Michelangelo Antonioni Jean Eustache Chantal Akerman Philippe Garrel André Téchiné Jacques Doillon Paolo Taviani Vittorio Taviani Satyajit Ray Andreï Tarkovski Bernardo Bertolucci Jean Cocteau Leos Careax Jean-Pierre Limosin Alain Cavalier Maurice Pialat Christina Laurent Nanni Moretti Eric Romer Straub Huillet Alain Resnais Victor Erice Ruy Gurra Marco Bellocchio Nagisa Oshima Mikio Naruse Akira Kurosawa Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La publication chez Yellow Now de textes d’Alain Philippon, critique aux Cahiers du cinéma et auteur d’ouvrages sur Pialat, Eustache, Téchiné et Doillon, est l’occasion de visiter une bien belle maison-cinéma. En traversant, au fil de ses écrits, les espaces et les temps de cet art qui l’a habité et qu’il a habité, on pénètre les lieux d’une pensée profonde et sensible. Qu’elle porte sur des films tirés de l’actualité qu’il suivait et analysait (pendant les années 80 et 90) ou sur des œuvres plus anciennes, sa réflexion nous amène régulièrement, presque obsessionnellement, à explorer cette contrée perdue et secrète qu’est l’enfance (Shining de Kubrick, L’Enfant secret de Garrel, Bigger than Life de Ray).
Car, pour lui, la cinéphilie trouve son point d’ancrage “dans des fantasmes très archaïques, le rapport complexe de l’amour du cinéma à l’enfance et à la mort”. D’où le titre de ce recueil, Le Blanc des origines, celui d’un commencement et d’une fin entièrement inclus dans cette image “virginale” et “mortifère” qu’est l’écran blanc. L’enfance et la mort, la terreur et la séduction, ainsi que la figure du père sont convoquées avec le souci d’interroger à la fois la forme cinématographique, son histoire et son devenir.
“Le cinéma ne peut être contemporain qu’à condition de s’inscrire dans l’histoire des formes et de résister à la versatilité de l’époque”, écrit Alain Philippon. Mais la mort rôde autour du cinéma : “Ce qu’on nous fourgue, et qu’on va vraisemblablement nous demander de fourguer de plus en plus, c’est soit de l’image (qui n’est pas le plan), soit du scénario-béton.”
Pointant, dans une écriture méticuleuse et caressante, la charge symbolique et la part sensitive des films, il colle au plus près de leur épiderme cinématographique et fait un admirable passeur, sachant les faire vivre tout en préservant leur part de mystère : “Je ne connais pas de meilleure définition de la grâce cinématographique : la part qui précisément ne se laisse pas définir…”
Parmi ses plus beaux textes, ceux sur Antonioni et Wenders, Eustache et Pialat, on lira la pertinence d’un regard apte à saisir les temps morts d’un film, ses faiblesses, ses “mises en risque” en tant que forces, “événements dramaturgiques”, et à remonter le fil d’une quête secrète qui nous ramènerait à la “nuit d’avant le cinéma”. Nuit qu’Alain Philippon a rejointe (il s’est suicidé il y a quatre ans), suivant le mouvement même du cinéma tel qu’il le voyait, en pleine extinction de ses feux.
On saisit alors toute la portée intimement funèbre de ces mots : “On ne sait au juste de quoi ou de qui mourut le cinéma. On désigna plusieurs suspects. Toujours est-il qu’il mourut, comme tout le monde, d’un arrêt du cœur.”Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302405 17 H.1.02481 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le burlesque / Jean-Philippe Tessé
Titre : Le burlesque Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-472-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Charles Chaplin Buster Keaton Harold Lloyd Harry Langdon Laurel et Hardy Marx Brothers Jacques Tati Jerry Lewis Peter Sellers comédie Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès que l'on pense au burlesque, vient immédiatement à l'esprit une succession de gags visuels, d'acrobaties physiques, de poursuites frénétiques, d'événements incongrus et surprenants, de situations à la limite de l'absurde qui déclenchent inévitablement le rire du spectateur. Cet ouvrage offre une mise en perspective historique du burlesque comme genre. Issu de la comédie mais possédant ses propres caractéristiques bien spécifiques, le burlesque est un comique de ravage et de tartes à la crème qui explose les conventions sociales et les barrières de la bienséance puritaine, engendre le désordre du monde. Il naît en même temps que le cinéma et c'est à Hollywood, clans les années dix, qu'il définit son esthétique. Le burlesque a ses maîtres et ses stars que l'on retrouve ici à l'apogée de leur art : Chaplin, Keaton, Harold Lloyd, Harry Langdon, Laurel et Hardy, les Marx Brothers. Sans oublier plus récemment Jacques Tati, Jerry Lewis, Peter Sellers... Et pour l'auteur la définition du burlesque va bien au-delà de la simple opération du rire. C'est même une affaire très sérieuse, une vision de l'homme face à ses faiblesses et à son environnement, magnifiquement relayée par le cinéma des premiers temps. C'est enfin un genre qui s'illustre aussi bien dans la littérature que dans l'art contemporain et aujourd'hui encore, il inspire de grands moments de cinéma aux plus grands réalisateurs, tels David Lynch ou Takeshi Kitano.Le burlesque [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2007. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-472-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Charles Chaplin Buster Keaton Harold Lloyd Harry Langdon Laurel et Hardy Marx Brothers Jacques Tati Jerry Lewis Peter Sellers comédie Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès que l'on pense au burlesque, vient immédiatement à l'esprit une succession de gags visuels, d'acrobaties physiques, de poursuites frénétiques, d'événements incongrus et surprenants, de situations à la limite de l'absurde qui déclenchent inévitablement le rire du spectateur. Cet ouvrage offre une mise en perspective historique du burlesque comme genre. Issu de la comédie mais possédant ses propres caractéristiques bien spécifiques, le burlesque est un comique de ravage et de tartes à la crème qui explose les conventions sociales et les barrières de la bienséance puritaine, engendre le désordre du monde. Il naît en même temps que le cinéma et c'est à Hollywood, clans les années dix, qu'il définit son esthétique. Le burlesque a ses maîtres et ses stars que l'on retrouve ici à l'apogée de leur art : Chaplin, Keaton, Harold Lloyd, Harry Langdon, Laurel et Hardy, les Marx Brothers. Sans oublier plus récemment Jacques Tati, Jerry Lewis, Peter Sellers... Et pour l'auteur la définition du burlesque va bien au-delà de la simple opération du rire. C'est même une affaire très sérieuse, une vision de l'homme face à ses faiblesses et à son environnement, magnifiquement relayée par le cinéma des premiers temps. C'est enfin un genre qui s'illustre aussi bien dans la littérature que dans l'art contemporain et aujourd'hui encore, il inspire de grands moments de cinéma aux plus grands réalisateurs, tels David Lynch ou Takeshi Kitano.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302416 17 H.1.03064 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Les classiques du cinéma fantastique / Jean-Marie Sabatier
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301152 17 H.1.03987 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La comédie musicale / Michel Chion
Titre : La comédie musicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Chion (1947-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-336-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Comédie musicale Broadway Moulin Rouge Dancer in the Dark Busby Berkeley Fred Astaire Gene Kelly Judy Garland Elvis Presley Jacques Demy Chantons sous la pluie Tous en scène Une étoile est née West Side Story The Blues Brothers a Mélodie du bonheur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Qui dit " comédie musicale ", aujourd'hui, pense en général : " comédie musicale hollywoodienne des années 40 et 50 " - un âge d'or auquel cet ouvrage fait la place d'honneur qui lui revient. Mais le genre a toute une histoire depuis le musical de Broadway, jusqu'aux films contemporains tels que Moulin Rouge ! ou Dancer in the Dark, qui montrent que la comédie musicale n'est pas terminée. Dans cette synthèse, l'auteur analyse la comédie musicale comme genre, évoque ses principaux fleurons, aux USA et dans le reste du monde, en particulier en France, et montre comment elle se situe entre la féerie et le mélodrame, le rêve et la réalité - ce qui en fait un des genres les plus complets. C'est aussi un voyage à travers les générations, où l'histoire d'un siècle se raconte avec Busby Berkeley, Fred Astaire, Gene Kelly, Judy Garland, Elvis Presley, Jacques Demy, Chantons sous la pluie, Tous en scène, Une étoile est née, West Side Story, The Blues Brothers, mais aussi La Mélodie du bonheur, et tant d'autres titres et d'autres stars.La comédie musicale [texte imprimé] / Michel Chion (1947-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2002. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-336-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Comédie musicale Broadway Moulin Rouge Dancer in the Dark Busby Berkeley Fred Astaire Gene Kelly Judy Garland Elvis Presley Jacques Demy Chantons sous la pluie Tous en scène Une étoile est née West Side Story The Blues Brothers a Mélodie du bonheur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Qui dit " comédie musicale ", aujourd'hui, pense en général : " comédie musicale hollywoodienne des années 40 et 50 " - un âge d'or auquel cet ouvrage fait la place d'honneur qui lui revient. Mais le genre a toute une histoire depuis le musical de Broadway, jusqu'aux films contemporains tels que Moulin Rouge ! ou Dancer in the Dark, qui montrent que la comédie musicale n'est pas terminée. Dans cette synthèse, l'auteur analyse la comédie musicale comme genre, évoque ses principaux fleurons, aux USA et dans le reste du monde, en particulier en France, et montre comment elle se situe entre la féerie et le mélodrame, le rêve et la réalité - ce qui en fait un des genres les plus complets. C'est aussi un voyage à travers les générations, où l'histoire d'un siècle se raconte avec Busby Berkeley, Fred Astaire, Gene Kelly, Judy Garland, Elvis Presley, Jacques Demy, Chantons sous la pluie, Tous en scène, Une étoile est née, West Side Story, The Blues Brothers, mais aussi La Mélodie du bonheur, et tant d'autres titres et d'autres stars.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302393 17 H.1.02668 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 302408 17 H.1.02668 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - [S.l.] : Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Derrida Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Kirby Dick, Metteur en scène, réalisateur ; Amy Ziering Kofman, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Blaq out Année de publication : 2002 Importance : 85 min (sans les suppléments) ISBN/ISSN/EAN : 3512391735340 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : CULTURE / LITTÉRATURE / PHILOSOPHIE / PORTRAIT / POLITIQUE / DERRIDA JACQUES Index. décimale : 111 Morale/Philosophie/Religion Résumé : Et si nous pouvions observer Descartes ou Spinoza au travail, à la maison, dans leur quotidien? Peut-être les aborderions-nous différemment? Peut-être les comprendrions-nous mieux?... Pendant cinq ans, les réalisateurs Amy Ziering Kofman et Kirby Dick ont suivi l'un des plus visionnaires, influents et controversés penseurs du XXème siècle, un homme qui a changé la façon dont nous appréhendons l'art, l'histoire, le langage: Jacques Derrida, père de la "déconstruction".
Le film se propose de découvrir l'homme, derrière le penseur, et, par lui, entrer dans l'oeuvre, l'objectif étant d'expérimenter la déconstruction comme procédé de réalisation à part entière. Bien loin de faire un film académique et fastidieux, les réalisateurs se sont ainsi essayés à "déconstruire" le philosophe dans sa vie de tous les jours: d'homme public, d'enseignant, de mari. Drôle, inattendu, loin de l'intellectualisme attendu, le film est rafraîchissant, ludique et sans prétention pédagogique, un film résolument accessible et dont la bande originale est signée Ryuichi Sakamoto.
Note: Le film a remporté un vif succès dans nombre de festivals internationaux, de Sundance à Venise, en passant par Rotterdam, Locarno ou encore Sao Paolo.Note de contenu : Bonus DVD: Entretien avec Jacques Derrida par Bernard Stiegler (14') - Extrait du film. Genre : Documentaire Pays : USA Niveau : secondaire supérieur et + Derrida [document projeté ou vidéo] / Kirby Dick, Metteur en scène, réalisateur ; Amy Ziering Kofman, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Blaq out, 2002 . - 85 min (sans les suppléments).
ISSN : 3512391735340
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : CULTURE / LITTÉRATURE / PHILOSOPHIE / PORTRAIT / POLITIQUE / DERRIDA JACQUES Index. décimale : 111 Morale/Philosophie/Religion Résumé : Et si nous pouvions observer Descartes ou Spinoza au travail, à la maison, dans leur quotidien? Peut-être les aborderions-nous différemment? Peut-être les comprendrions-nous mieux?... Pendant cinq ans, les réalisateurs Amy Ziering Kofman et Kirby Dick ont suivi l'un des plus visionnaires, influents et controversés penseurs du XXème siècle, un homme qui a changé la façon dont nous appréhendons l'art, l'histoire, le langage: Jacques Derrida, père de la "déconstruction".
Le film se propose de découvrir l'homme, derrière le penseur, et, par lui, entrer dans l'oeuvre, l'objectif étant d'expérimenter la déconstruction comme procédé de réalisation à part entière. Bien loin de faire un film académique et fastidieux, les réalisateurs se sont ainsi essayés à "déconstruire" le philosophe dans sa vie de tous les jours: d'homme public, d'enseignant, de mari. Drôle, inattendu, loin de l'intellectualisme attendu, le film est rafraîchissant, ludique et sans prétention pédagogique, un film résolument accessible et dont la bande originale est signée Ryuichi Sakamoto.
Note: Le film a remporté un vif succès dans nombre de festivals internationaux, de Sundance à Venise, en passant par Rotterdam, Locarno ou encore Sao Paolo.Note de contenu : Bonus DVD: Entretien avec Jacques Derrida par Bernard Stiegler (14') - Extrait du film. Genre : Documentaire Pays : USA Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103542 111 N.1.1802 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
103542URLDossier pédagogique de "Bamako" / Florence Salé
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Titre : Dossier pédagogique de "Bamako" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Importance : 7 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Bamako est un film franco-américano-malien d'Abderrahmane Sissako sorti en 2006.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Abderrahmane Sissako Denis Freyd Danny Glover Arnaud Louvet François Sauvagnargues Maji-da Abdi Joslyn Barnes Archipel 33 Chinguitty Films Mali Images arte France Cinéma Louverture Films Jacques Besse Nadia Ben Rachid Mahamadou Kouyaté Maji-da Abdi Aïssa Maïga Tiècoura Traoré Hélène Diarra Habib Dembélé Djénéba Koné Hamadoun Kassogué Hamèye Mahalmadane Cinéma Malien Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Melé est une chanteuse de bar et son mari, Chaka, au chômage s'enfonce dans le silence. Malgré une fille qui les unit, leur couple s'émiette petit à petit. Ils vivent dans une maison qu'ils partagent avec plusieurs familles. Dans la cour, se tient un étonnant événement : le procès de la société civile africaine contre la Banque mondiale et le FMI !
Note de contenu :
* Ce film mélange une partie de fiction scénarisée par Sissako et un procès improvisé par de vrais avocats, (dont les Français William Bourdon et Roland Rappaport), président du jury et témoins. Les divers "acteurs" du procès ont donc élaboré leurs propres arguments et plaidoiries, donnant une vision intéressante de la mondialisation et de ses conséquences en Afrique.
* Lors d'une scène où des personnages regardent la télévision malienne, cette dernière diffuse un faux film qui est une parodie de western spaghetti, "Death in Timbuktu", ironisant sur le monde actuel et montrant la complexité des choses: Blancs et Noirs tuant des Noirs, symbole d'une corresponsabilité des effets négatifs de la mondialisation actuelle dans les pays du Sud. Les cow-boys sont joués par Sissako lui-même, Danny Glover (qui est co-producteur du film) et d'autres amis personnels de Sissako, tous ayant accepté de jouer cette partie gratuitement.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Dossier pédagogique de "Bamako" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, s.d. . - 7 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Bamako est un film franco-américano-malien d'Abderrahmane Sissako sorti en 2006.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Abderrahmane Sissako Denis Freyd Danny Glover Arnaud Louvet François Sauvagnargues Maji-da Abdi Joslyn Barnes Archipel 33 Chinguitty Films Mali Images arte France Cinéma Louverture Films Jacques Besse Nadia Ben Rachid Mahamadou Kouyaté Maji-da Abdi Aïssa Maïga Tiècoura Traoré Hélène Diarra Habib Dembélé Djénéba Koné Hamadoun Kassogué Hamèye Mahalmadane Cinéma Malien Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Melé est une chanteuse de bar et son mari, Chaka, au chômage s'enfonce dans le silence. Malgré une fille qui les unit, leur couple s'émiette petit à petit. Ils vivent dans une maison qu'ils partagent avec plusieurs familles. Dans la cour, se tient un étonnant événement : le procès de la société civile africaine contre la Banque mondiale et le FMI !
Note de contenu :
* Ce film mélange une partie de fiction scénarisée par Sissako et un procès improvisé par de vrais avocats, (dont les Français William Bourdon et Roland Rappaport), président du jury et témoins. Les divers "acteurs" du procès ont donc élaboré leurs propres arguments et plaidoiries, donnant une vision intéressante de la mondialisation et de ses conséquences en Afrique.
* Lors d'une scène où des personnages regardent la télévision malienne, cette dernière diffuse un faux film qui est une parodie de western spaghetti, "Death in Timbuktu", ironisant sur le monde actuel et montrant la complexité des choses: Blancs et Noirs tuant des Noirs, symbole d'une corresponsabilité des effets négatifs de la mondialisation actuelle dans les pays du Sud. Les cow-boys sont joués par Sissako lui-même, Danny Glover (qui est co-producteur du film) et d'autres amis personnels de Sissako, tous ayant accepté de jouer cette partie gratuitement.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303683 19 H.1.04339/12 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" / Vincent Malausa
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Titre : Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Malausa, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" [texte imprimé] / Vincent Malausa, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303678 19 H.1.04339/5 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Titre : Dossier pédagogique de "Le parfum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Metropolitan Films Importance : 19 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Dossier pédagogique de "Le parfum" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Metropolitan Films, s.d. . - 19 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303686 19 H.1.04339/15 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Titre : Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyril Beghin, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale : Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) [texte imprimé] / Cyril Beghin, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302676 19 H.1.04339/21 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Accompagne Germinal / Claude Berri
Titre : Germinal : L'aventure d'un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Assouline (1953-....), Auteur Editeur : [Paris] : Fayard Année de publication : 1993 Importance : 394 p.-[24] p. de pl. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-03152-1 Note générale :
Vers la fin du XIXe siècle, Étienne Lantier, manœuvre au chômage, arrive à la mine « Le Voreux », dans le nord de la France. Après la mort d'une mineuse du nom de Fleurance, il est engagé. Il est envoyé dans un petit groupe dirigé par Toussaint Maheu, qui deviendra son ami. La famille Maheu compte dix personnes : Maheu, mineur, son père, travaillant également à la mine, sa femme, la Maheude, et leurs enfants. Zacharie, Catherine et Jeanlin, les ainés, travaillent également à la mine ; Alezire, bossue, garde le lit ; Léonore, Henri et le petit dernier sont trop petits pour encore travailler.
« Le Voreux » est dirigée par Hennebeau, dont le neveu, Paul Négrel, est le principal ingénieur. Cette mine appartient à des actionnaires, « qui habitent Paris ». La mine « Jean Bart », elle, appartient et est dirigée par Victor Deneulin. La famille Grégoire, dont la femme est la sœur de Deneulin, organise le mariage de leur fille, Cécile, avec Paul Négrel. Paul est poussé à ce mariage par sa tante et amante, Madame Hennebeau.
Logé par le cabaretier du village, Rasseneur, Étienne se plonge rapidement dans les discussions politiques concernant le travail dans la mine. Rasseneur, d'opinion socialiste, et Souvarine, anarchiste, s'opposent dans leur vision des actions à mener pour faire comprendre à la direction les conditions de travail de plus en plus dures des mineurs. Étienne, même s'il comprend les visions de Rasseneur, qui prône l'adhésion à l'AIT, nouvellement créée, préfère monter auprès de ses camarades une caisse de prévoyance, qui servirait en cas de grève. Les familles des mineurs sont déjà toutes fortement endettées auprès de l'épicier du coin, Maigrat.
Dans le même temps, Zacharie, le fils aîné de Maheu, se marie. Le fils cadet, Jeanlin, se brise une jambe lors d'un éboulement, et ne peut plus être employé par la mine à plein régime. Afin de pouvoir continuer à avoir un revenu correct, la famille Maheu prend Étienne en pension. Celui-ci ne tarde pas à tomber amoureux de Catherine, la fille aînée, qui n'est pas non plus insensible à sa présence. Elle est hélas ! « fiancée » de Chaval, mineur lui-aussi au Voreux, puis à la mine voisine, Jean Bart.
Lorsque la direction du Voreux impose une baisse du prix de la berline de charbon, ainsi que le paiement du boisage à part, entraînant alors une baisse de la paye des mineurs, ceux-ci se mettent en grève, après avoir tenté de raisonner Monsieur Hennebeau. Au bout d'un mois, la grève dure toujours au Voreux. Catherine habite désormais avec Chaval, et est méprisée par sa mère qui lui reproche d'être partie avec sa paye. Durant une réunion, Maheu et Étienne apostrophent Chaval, venu en spectateur, lui reprochant d'être un traître. Chaval les enjoint de venir le lendemain à Jean Bart, déclarant que les mineurs de là-bas vont également se mettre en grève pour les soutenir.
Mais le lendemain, Chaval, après avoir tenté d'organiser la grève, cède devant l'offre de Deneulin qui lui propose d'être porion. Il descend donc, avec Catherine, alors qu'Étienne et les gens du Voreux se sont mis en route. Une fois à Jean Bart, ceux-ci et les grévistes de Jean Bart saccagent et brûlent les locaux ; Maheu coupe lui-même à la hache le câble de l'ascenseur. La ruine de Deneulin est signée.
Lorsque Chaval et Catherine remontent à la surface par les échelles, ils sont accueillis par des injures et des horions de la part des grévistes. Étienne manque de s'emporter et de tuer Chaval ; Catherine s'interpose. Reprenant ses esprits, Étienne et ses troupes rentrent au Voreux, où ils assiègent l'épicerie de Maigrat. Celui-ci, prenant peur, tente de fuir par les toits, mais tombe et se tue. Sur ce, les gendarmes arrivent pour imposer à nouveau le calme. Étienne, désigné comme meneur, est obligé de se cacher.
Lorsque les gendarmes sont persuadés qu'il est passé en Belgique, il peut enfin sortir de sa cachette, et apprend par Rasseneur que la direction du Voreux a fait appel à des mineurs belges. Chaval, qui a quitté Catherine et est revenu au Voreux, les conduira, et l'armée sera chargée de la protection de la mine. Alzire Maheu meurt. Le jour de l'arrivée des Belges, les mineurs français forment un attroupement pour convaincre la troupe de les laisser passer. La discussion dégénère et l'officier commandant le bataillon est blessé : les soldats font feu sur les mineurs. Maheu est tué. Étienne est à nouveau obligé de se cacher.
Il finit par sortir pour rejoindre le travail et abandonner la grève. Accompagné de Catherine, il descend à nouveau au fond. Mais Souvarine a mis ses intentions à exécution : il a saboté les structures qui empêchent l'eau de noyer la mine. Les mineurs tentent de sortir par des anciennes cheminées d'aération, mais Catherine, Chaval et Étienne sont piégés dans un cul-de-sac. Étienne lors d'une bagarre tue Chaval ; Catherine finit par reconnaitre ses sentiments et se donne à lui, pensant qu'ils vont mourir.
Les secours, organisés par Négrel, tentent de localiser les derniers survivants. Zacharie, aidant aux recherches, est tué par l'explosion d'une poche de grisou. Le père Maheu, lui, perd la raison et étrangle Cécile Hennebeau, venue avec ses parents faire la charité. Lorsque les secours pénètrent dans le cul-de-sac, seul Étienne est encore en vie. Dehors, la Maheu, voit le cadavre de sa fille et invective durement Étienne.
Celui-ci finit par repartir du Voreux. Il se rend une dernière fois à l'entrée de la mine, pour dire au revoir à ses anciens camarades. Il croise la Maheude, qui retourne elle-aussi au fond : elle s'excuse de l'avoir rendu responsable de ses malheurs. Elle lui apprend également que le père Maheu est toujours chez elle, mais que sa pension d'ancien mineur a été annulée. Elle prévoit que, bientôt, ses trois derniers enfants rejoindront les rangs des travailleurs, comme elle et Jeanlin. Étienne quitte le Voreux, pensant que son combat n'a pas été complètement vain.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Germinal Claude Berri Arlette Langmann Émile Zola Pierre Grunstein Jean-Louis Roques Miou-Miou Renaud Gérard Depardieu Jean Carmet Judith Henry Jean-Roger Milo Laurent Terzieff Bernard Fresson Jean-Pierre Bisson Jacques Dacqmine Anny Duperey Frédéric van den Driessche cinéma français cinéma belge cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une fois n'est pas coutume, un réalisateur-producteur a accepté de donner carte blanche à un journaliste pour mener son enquête derrière le décor de la plus excitante machine de cinéma mise à la disposition d'un seul homme au cours de ces dernières années.
Pendant près de deux ans, l'auteur a suivi les trois grandes étapes du film: avant, pendant et après le tournage. Il raconte tout du montage financier et du choix des comédiens, de la fabrication des costumes et de la construction des décors, de la mise au point des effets spéciaux et de l'adaptation du livre de Zola, mais aussi des doutes et des certitudes d'une équipe, des angoisses et des espoirs de Claude Berri, un cinéaste qui s'est laissé guider par son seul instinct avant de se lancer dans l'aventure de Germinal, un film qui arrive sur les écrans déjà précédé de sa légende.
Accompagne Germinal / Claude Berri
Germinal : L'aventure d'un film [texte imprimé] / Pierre Assouline (1953-....), Auteur . - [Paris] : Fayard, 1993 . - 394 p.-[24] p. de pl. : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-213-03152-1
Vers la fin du XIXe siècle, Étienne Lantier, manœuvre au chômage, arrive à la mine « Le Voreux », dans le nord de la France. Après la mort d'une mineuse du nom de Fleurance, il est engagé. Il est envoyé dans un petit groupe dirigé par Toussaint Maheu, qui deviendra son ami. La famille Maheu compte dix personnes : Maheu, mineur, son père, travaillant également à la mine, sa femme, la Maheude, et leurs enfants. Zacharie, Catherine et Jeanlin, les ainés, travaillent également à la mine ; Alezire, bossue, garde le lit ; Léonore, Henri et le petit dernier sont trop petits pour encore travailler.
« Le Voreux » est dirigée par Hennebeau, dont le neveu, Paul Négrel, est le principal ingénieur. Cette mine appartient à des actionnaires, « qui habitent Paris ». La mine « Jean Bart », elle, appartient et est dirigée par Victor Deneulin. La famille Grégoire, dont la femme est la sœur de Deneulin, organise le mariage de leur fille, Cécile, avec Paul Négrel. Paul est poussé à ce mariage par sa tante et amante, Madame Hennebeau.
Logé par le cabaretier du village, Rasseneur, Étienne se plonge rapidement dans les discussions politiques concernant le travail dans la mine. Rasseneur, d'opinion socialiste, et Souvarine, anarchiste, s'opposent dans leur vision des actions à mener pour faire comprendre à la direction les conditions de travail de plus en plus dures des mineurs. Étienne, même s'il comprend les visions de Rasseneur, qui prône l'adhésion à l'AIT, nouvellement créée, préfère monter auprès de ses camarades une caisse de prévoyance, qui servirait en cas de grève. Les familles des mineurs sont déjà toutes fortement endettées auprès de l'épicier du coin, Maigrat.
Dans le même temps, Zacharie, le fils aîné de Maheu, se marie. Le fils cadet, Jeanlin, se brise une jambe lors d'un éboulement, et ne peut plus être employé par la mine à plein régime. Afin de pouvoir continuer à avoir un revenu correct, la famille Maheu prend Étienne en pension. Celui-ci ne tarde pas à tomber amoureux de Catherine, la fille aînée, qui n'est pas non plus insensible à sa présence. Elle est hélas ! « fiancée » de Chaval, mineur lui-aussi au Voreux, puis à la mine voisine, Jean Bart.
Lorsque la direction du Voreux impose une baisse du prix de la berline de charbon, ainsi que le paiement du boisage à part, entraînant alors une baisse de la paye des mineurs, ceux-ci se mettent en grève, après avoir tenté de raisonner Monsieur Hennebeau. Au bout d'un mois, la grève dure toujours au Voreux. Catherine habite désormais avec Chaval, et est méprisée par sa mère qui lui reproche d'être partie avec sa paye. Durant une réunion, Maheu et Étienne apostrophent Chaval, venu en spectateur, lui reprochant d'être un traître. Chaval les enjoint de venir le lendemain à Jean Bart, déclarant que les mineurs de là-bas vont également se mettre en grève pour les soutenir.
Mais le lendemain, Chaval, après avoir tenté d'organiser la grève, cède devant l'offre de Deneulin qui lui propose d'être porion. Il descend donc, avec Catherine, alors qu'Étienne et les gens du Voreux se sont mis en route. Une fois à Jean Bart, ceux-ci et les grévistes de Jean Bart saccagent et brûlent les locaux ; Maheu coupe lui-même à la hache le câble de l'ascenseur. La ruine de Deneulin est signée.
Lorsque Chaval et Catherine remontent à la surface par les échelles, ils sont accueillis par des injures et des horions de la part des grévistes. Étienne manque de s'emporter et de tuer Chaval ; Catherine s'interpose. Reprenant ses esprits, Étienne et ses troupes rentrent au Voreux, où ils assiègent l'épicerie de Maigrat. Celui-ci, prenant peur, tente de fuir par les toits, mais tombe et se tue. Sur ce, les gendarmes arrivent pour imposer à nouveau le calme. Étienne, désigné comme meneur, est obligé de se cacher.
Lorsque les gendarmes sont persuadés qu'il est passé en Belgique, il peut enfin sortir de sa cachette, et apprend par Rasseneur que la direction du Voreux a fait appel à des mineurs belges. Chaval, qui a quitté Catherine et est revenu au Voreux, les conduira, et l'armée sera chargée de la protection de la mine. Alzire Maheu meurt. Le jour de l'arrivée des Belges, les mineurs français forment un attroupement pour convaincre la troupe de les laisser passer. La discussion dégénère et l'officier commandant le bataillon est blessé : les soldats font feu sur les mineurs. Maheu est tué. Étienne est à nouveau obligé de se cacher.
Il finit par sortir pour rejoindre le travail et abandonner la grève. Accompagné de Catherine, il descend à nouveau au fond. Mais Souvarine a mis ses intentions à exécution : il a saboté les structures qui empêchent l'eau de noyer la mine. Les mineurs tentent de sortir par des anciennes cheminées d'aération, mais Catherine, Chaval et Étienne sont piégés dans un cul-de-sac. Étienne lors d'une bagarre tue Chaval ; Catherine finit par reconnaitre ses sentiments et se donne à lui, pensant qu'ils vont mourir.
Les secours, organisés par Négrel, tentent de localiser les derniers survivants. Zacharie, aidant aux recherches, est tué par l'explosion d'une poche de grisou. Le père Maheu, lui, perd la raison et étrangle Cécile Hennebeau, venue avec ses parents faire la charité. Lorsque les secours pénètrent dans le cul-de-sac, seul Étienne est encore en vie. Dehors, la Maheu, voit le cadavre de sa fille et invective durement Étienne.
Celui-ci finit par repartir du Voreux. Il se rend une dernière fois à l'entrée de la mine, pour dire au revoir à ses anciens camarades. Il croise la Maheude, qui retourne elle-aussi au fond : elle s'excuse de l'avoir rendu responsable de ses malheurs. Elle lui apprend également que le père Maheu est toujours chez elle, mais que sa pension d'ancien mineur a été annulée. Elle prévoit que, bientôt, ses trois derniers enfants rejoindront les rangs des travailleurs, comme elle et Jeanlin. Étienne quitte le Voreux, pensant que son combat n'a pas été complètement vain.
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Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Germinal Claude Berri Arlette Langmann Émile Zola Pierre Grunstein Jean-Louis Roques Miou-Miou Renaud Gérard Depardieu Jean Carmet Judith Henry Jean-Roger Milo Laurent Terzieff Bernard Fresson Jean-Pierre Bisson Jacques Dacqmine Anny Duperey Frédéric van den Driessche cinéma français cinéma belge cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une fois n'est pas coutume, un réalisateur-producteur a accepté de donner carte blanche à un journaliste pour mener son enquête derrière le décor de la plus excitante machine de cinéma mise à la disposition d'un seul homme au cours de ces dernières années.
Pendant près de deux ans, l'auteur a suivi les trois grandes étapes du film: avant, pendant et après le tournage. Il raconte tout du montage financier et du choix des comédiens, de la fabrication des costumes et de la construction des décors, de la mise au point des effets spéciaux et de l'adaptation du livre de Zola, mais aussi des doutes et des certitudes d'une équipe, des angoisses et des espoirs de Claude Berri, un cinéaste qui s'est laissé guider par son seul instinct avant de se lancer dans l'aventure de Germinal, un film qui arrive sur les écrans déjà précédé de sa légende.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300852 19 H.1.00584 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300852URLJacques Tati / Stéphane Goudet
Titre : Jacques Tati Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Goudet, Auteur ; Jacques Tati (1907-1982), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 9872866423405 Note générale : Jacques Tati, né Jacques Tatischeff le 9 octobre 1907 au Pecq (Yvelines), près du square portant à présent son nom et mort le 4 novembre 1982 à Paris, est un réalisateur et acteur français. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma français burlesque Jacques tati Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Pour faire connaître l'un des plus grands cinéastes français, une rétrospective des œuvres cinématographiques de Jacques Tati, illustrée d'une centaine de photographies prises sur les tournages. Jacques Tati [texte imprimé] / Stéphane Goudet, Auteur ; Jacques Tati (1907-1982), Personne honorée . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2002. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866423405
Jacques Tati, né Jacques Tatischeff le 9 octobre 1907 au Pecq (Yvelines), près du square portant à présent son nom et mort le 4 novembre 1982 à Paris, est un réalisateur et acteur français.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma français burlesque Jacques tati Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Pour faire connaître l'un des plus grands cinéastes français, une rétrospective des œuvres cinématographiques de Jacques Tati, illustrée d'une centaine de photographies prises sur les tournages. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302104 18 H.1.02672 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Jacques Tati / Armand J. Cauliez
Titre : Jacques Tati Type de document : texte imprimé Auteurs : Armand J. Cauliez, Auteur ; Jacques Tati (1907-1982), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1968 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jacques Tati, né Jacques Tatischeff le 9 octobre 1907 au Pecq (Yvelines), près du square portant à présent son nom et mort le 4 novembre 1982 à Paris, est un réalisateur et acteur français.
Malgré l'apparente absence de dialogue dans ses films, Jacques Tati porte un soin méticuleux aux bandes-son. Il existe ainsi des versions anglaises de plusieurs de ses films, dont Les Vacances de monsieur Hulot, et Mon oncle, dont la version anglaise My Uncle est sortie en France en 2005.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Gai dimanche Jacques Berr L'École des facteurs Jour de fête Les Vacances de Monsieur Hulot Mon oncle Playtime monsieur Hulot cinéma français comédie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jacques Tati [texte imprimé] / Armand J. Cauliez, Auteur ; Jacques Tati (1907-1982), Personne honorée . - Editions Seghers, 1968. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jacques Tati, né Jacques Tatischeff le 9 octobre 1907 au Pecq (Yvelines), près du square portant à présent son nom et mort le 4 novembre 1982 à Paris, est un réalisateur et acteur français.
Malgré l'apparente absence de dialogue dans ses films, Jacques Tati porte un soin méticuleux aux bandes-son. Il existe ainsi des versions anglaises de plusieurs de ses films, dont Les Vacances de monsieur Hulot, et Mon oncle, dont la version anglaise My Uncle est sortie en France en 2005.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Gai dimanche Jacques Berr L'École des facteurs Jour de fête Les Vacances de Monsieur Hulot Mon oncle Playtime monsieur Hulot cinéma français comédie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302174 18 H.1.00068 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Jean-Luc Godard / Jean Collet
Titre : Jean-Luc Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean-Luc Godard [texte imprimé] / Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302168 18 H.1.00076 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Accompagne La Jetée / Chris Marker
Titre : La Jetée. Ciné-Roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Editions de l'Eclat Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84162-165-1 Note générale : La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux Jean Négroni André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
Accompagne La Jetée / Chris Marker
La Jetée. Ciné-Roman [texte imprimé] / Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Editions de l'Eclat, [s.d.] . - 1 vol.
ISBN : 978-2-84162-165-1
La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux Jean Négroni André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300011 19 H.1.03186 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300011.gifImage GIFMicrocosmos / Michel Condé
Accompagne Microcosmos, le peuple de l'herbe / Claude Nuridsany
Titre : Microcosmos : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1996 Importance : 1 vol. (32 p.) Note générale : Microcosmos : Le Peuple de l'herbe est un film français de 1996 consacré aux insectes. Il est filmé à l'aide de caméras macro spécialement créées pour l'occasion.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Enseignement et animation:Usages scolaires des médias
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animaleMots-clés : Microcosmos Claude Nuridsany Marie Pérennou Hughes Ryffel Thierry Machado Marie-Josèphe Yoyotte Bruno Coulais Jacques Perrin cinéma français documentaire entomologie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Avant même de commencer le tournage, il a été nécessaire d'inventer des outils sur mesure pour filmer les "personnages" du film, les insectes, comme sont filmés les acteurs dans les films de fiction : pouvoir accompagner leurs actions avec des travellings, mouvements de grue et autres panoramiques, de façon à leur donner la stature de véritables protagonistes. Après deux ans d'efforts, un "motion control" (robot commandant à distance tous les mouvements de caméra) révolutionnaire a pu être enfin opérationnel. Une grosse caméra 35 mm guidée du bout des doigts avec une précision au dixième de millimètre et sans vibrations. Cette machine de 300 kilos fut accrochée au plafond en béton du studio de prises de vues construit spécialement pour le film dans une zone sauvage du centre de l'Aveyron, le plateau du Lévézou. Plus des trois quarts du film ont été ainsi filmés en studio, mais un studio situé en plein champ. Presque chaque scène du film est un mélange de plans tournés en extérieur, tout autour du studio et de plans effectués à l'aide du "motion control".
L'univers sonore du film, très élaboré, est un mélange entre des sons réels, captés sur le terrain avec des microphones spéciaux, et des sons créés par le "sound designer" et monteur son Laurent Quaglio, lors du montage du film, après discussions avec les réalisateurs. Bruno Coulais, compositeur de la musique, a travaillé en concertation étroite avec le monteur son de telle sorte que souvent, on ne sait si les sons entendus sont dus à des instruments de musique ou aux insectes.
Présenté Hors Compétition à Cannes, Microcosmos en est ressorti avec les honneurs du Prix Vulcain de l'Artiste Technicien de la Commission supérieure technique de l'image et du son. Il a reçu un bel accueil en Allemagne, en Suisse, en Belgique, au Japon, en Corée du Sud et même aux États-Unis. En France, le film, vu en salle par 3 500 000 spectateurs, glana cinq prix aux Césars 1997 (photographie, montage, son, musique et producteur).
Microcosmos a nécessité deux ans d'écriture pour le scénario, 2 ans de préparation, 3 ans de tournage et 9 mois de montage et mixage.
Claude Nuridsany et Marie Pérennou, les réalisateurs de Microcosmos, ont ensuite réalisé Genesis (sorti en 2004), un "conte naturel" dans lequel un griot africain raconte la création du monde, la naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du "paradis terrestre". Ils tournent ensuite La Clé des champs (sorti en 2011).
Note de contenu : Originaires du plateau granitique du Lévézou, au centre de l'Aveyron, les « acteurs » du film sont, par ordre d'apparition à l'écran :
* La Coccinelle à sept points
* Le papillon Machaon
* La Chenille arpenteuse
* L'abeille butinant la fleur de sauge
* La chenille de la Grande Queue Fourchue
* Les Escargots de Bourgogne
* Les chenilles nouveau-nées du papillon Jason
* L'araignée Argiope
* Le Bombyle
* Les Chenilles processionnaires
* Les Fourmis rousses
* Les Fourmis moissonneuses
* Les guêpes Polistes
* Le Scarabée sacré
* Le Faisan
* Les Araignées d'eau
* Les Notonectes
* L'araignée Argyronète
* Les libellules Agrions jouvencelles
* L'abeille Eucera amoureuse de l'Orchidée Ophrys
* La plante carnivore Drosera
* Le Scarabée rhinocéros
* L'Iule
* Les Lucanes Cerfs-Volants
* Les chenilles Bucéphales
* Le Diablotin
* Le papillon Grand paon de nuit
* Le moustique Cousin achevant sa métamorphose
Accompagne Microcosmos, le peuple de l'herbe / Claude Nuridsany
Microcosmos : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 1996 . - 1 vol. (32 p.).
Microcosmos : Le Peuple de l'herbe est un film français de 1996 consacré aux insectes. Il est filmé à l'aide de caméras macro spécialement créées pour l'occasion.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Enseignement et animation:Usages scolaires des médias
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animaleMots-clés : Microcosmos Claude Nuridsany Marie Pérennou Hughes Ryffel Thierry Machado Marie-Josèphe Yoyotte Bruno Coulais Jacques Perrin cinéma français documentaire entomologie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Avant même de commencer le tournage, il a été nécessaire d'inventer des outils sur mesure pour filmer les "personnages" du film, les insectes, comme sont filmés les acteurs dans les films de fiction : pouvoir accompagner leurs actions avec des travellings, mouvements de grue et autres panoramiques, de façon à leur donner la stature de véritables protagonistes. Après deux ans d'efforts, un "motion control" (robot commandant à distance tous les mouvements de caméra) révolutionnaire a pu être enfin opérationnel. Une grosse caméra 35 mm guidée du bout des doigts avec une précision au dixième de millimètre et sans vibrations. Cette machine de 300 kilos fut accrochée au plafond en béton du studio de prises de vues construit spécialement pour le film dans une zone sauvage du centre de l'Aveyron, le plateau du Lévézou. Plus des trois quarts du film ont été ainsi filmés en studio, mais un studio situé en plein champ. Presque chaque scène du film est un mélange de plans tournés en extérieur, tout autour du studio et de plans effectués à l'aide du "motion control".
L'univers sonore du film, très élaboré, est un mélange entre des sons réels, captés sur le terrain avec des microphones spéciaux, et des sons créés par le "sound designer" et monteur son Laurent Quaglio, lors du montage du film, après discussions avec les réalisateurs. Bruno Coulais, compositeur de la musique, a travaillé en concertation étroite avec le monteur son de telle sorte que souvent, on ne sait si les sons entendus sont dus à des instruments de musique ou aux insectes.
Présenté Hors Compétition à Cannes, Microcosmos en est ressorti avec les honneurs du Prix Vulcain de l'Artiste Technicien de la Commission supérieure technique de l'image et du son. Il a reçu un bel accueil en Allemagne, en Suisse, en Belgique, au Japon, en Corée du Sud et même aux États-Unis. En France, le film, vu en salle par 3 500 000 spectateurs, glana cinq prix aux Césars 1997 (photographie, montage, son, musique et producteur).
Microcosmos a nécessité deux ans d'écriture pour le scénario, 2 ans de préparation, 3 ans de tournage et 9 mois de montage et mixage.
Claude Nuridsany et Marie Pérennou, les réalisateurs de Microcosmos, ont ensuite réalisé Genesis (sorti en 2004), un "conte naturel" dans lequel un griot africain raconte la création du monde, la naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du "paradis terrestre". Ils tournent ensuite La Clé des champs (sorti en 2011).
Note de contenu : Originaires du plateau granitique du Lévézou, au centre de l'Aveyron, les « acteurs » du film sont, par ordre d'apparition à l'écran :
* La Coccinelle à sept points
* Le papillon Machaon
* La Chenille arpenteuse
* L'abeille butinant la fleur de sauge
* La chenille de la Grande Queue Fourchue
* Les Escargots de Bourgogne
* Les chenilles nouveau-nées du papillon Jason
* L'araignée Argiope
* Le Bombyle
* Les Chenilles processionnaires
* Les Fourmis rousses
* Les Fourmis moissonneuses
* Les guêpes Polistes
* Le Scarabée sacré
* Le Faisan
* Les Araignées d'eau
* Les Notonectes
* L'araignée Argyronète
* Les libellules Agrions jouvencelles
* L'abeille Eucera amoureuse de l'Orchidée Ophrys
* La plante carnivore Drosera
* Le Scarabée rhinocéros
* L'Iule
* Les Lucanes Cerfs-Volants
* Les chenilles Bucéphales
* Le Diablotin
* Le papillon Grand paon de nuit
* Le moustique Cousin achevant sa métamorphose
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302196 19 H.1.01960 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : La mort aux trousses Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Du Mesnildot, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
La mort aux trousses [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2007 . - 95 p.. - (Les petits cahiers) .
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301270 19 H.1.04022 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
La_mort_aux_troussesURLLes nuits fauves / Michel Condé
Accompagne Les nuits fauves / Cyril Collard
Titre : Les nuits fauves : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1993 Note générale :
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Cyril Collard Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Cyril Collard Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter René-Marc Bini Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Accompagne Les nuits fauves / Cyril Collard
Les nuits fauves : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 1993.
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Cyril Collard Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Cyril Collard Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter René-Marc Bini Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302191 19 H.1.01090 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La politique des auteurs / Jean-Luc Godard
Titre : La politique des auteurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur ; André Bazin, Auteur ; Claude Chabrol ; François Truffaut ; Jacques Rivette Editeur : Paris : Ramsay Année de publication : 1972 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85956-903-7 Note générale : Initialement publié en 1972, ce livre regroupe des entretiens réalisés entre 1954 et 1965 avec ceux qui incarnent exemplairement cette notion d'auteur : Fritz Lang, Jean Renoir, Roberto Rosselini, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Fritz Lang Jean Renoir Roberto Rosselini Howard Hawks Alfred Hitchcock Luis Bunuel Orson Welles Carl T. Dreyer Robert Bresson Michelangelo Antonioni Claude Chabrol Jean-Luc Godard Jacques Rivette Eric Rohmer François Truffaut Nouvelle Vague cinéma français cinéma allemand cinéma américain cinéma italien cinéma anglais cinéma suédois Cahiers du Cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Au début des années 50, les jeunes collaborateurs des Cahiers du Cinéma, et parmi eux Claude Chabrol, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Eric Rohmer, François Truffaut, la future Nouvelle Vague engagent la bataille de LA POLITIQUE DES AUTEURS.
Contre un ordre établi, la qualité française et une histoire du cinéma jugée trop officielle, ils affirment passionnément leurs préférences, et n'hésitent pas à présenter des cinéastes comme Alfred Hitchcock et Howard Hawks comme des auteurs à par entière.Note de contenu :
Entretiens avec Fritz Lang, Jean Renoir, Roberto Rosselini, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo AntonioniLa politique des auteurs [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur ; André Bazin, Auteur ; Claude Chabrol ; François Truffaut ; Jacques Rivette . - Paris : Ramsay, 1972.
ISBN : 978-2-85956-903-7
Initialement publié en 1972, ce livre regroupe des entretiens réalisés entre 1954 et 1965 avec ceux qui incarnent exemplairement cette notion d'auteur : Fritz Lang, Jean Renoir, Roberto Rosselini, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Fritz Lang Jean Renoir Roberto Rosselini Howard Hawks Alfred Hitchcock Luis Bunuel Orson Welles Carl T. Dreyer Robert Bresson Michelangelo Antonioni Claude Chabrol Jean-Luc Godard Jacques Rivette Eric Rohmer François Truffaut Nouvelle Vague cinéma français cinéma allemand cinéma américain cinéma italien cinéma anglais cinéma suédois Cahiers du Cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Au début des années 50, les jeunes collaborateurs des Cahiers du Cinéma, et parmi eux Claude Chabrol, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Eric Rohmer, François Truffaut, la future Nouvelle Vague engagent la bataille de LA POLITIQUE DES AUTEURS.
Contre un ordre établi, la qualité française et une histoire du cinéma jugée trop officielle, ils affirment passionnément leurs préférences, et n'hésitent pas à présenter des cinéastes comme Alfred Hitchcock et Howard Hawks comme des auteurs à par entière.Note de contenu :
Entretiens avec Fritz Lang, Jean Renoir, Roberto Rosselini, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo AntonioniExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302143 18 H.1.00927 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Strip-tease vol 8 : 8 films
contenu dans Strip-tease vol. 7-8-9
Titre : Strip-tease vol 8 : 8 films Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique Editeur : Paris [France] : MK2 Année de publication : 2007 Importance : 1 dvd Note générale : En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vin vignoble vinification kasher juif judaïsme agriculture Jacques Villeneuve Michael Shumacher formule 1 circuit courses automobiles folie hôpital psychiatrique traitements de chocs électrochocs mariages mixtes synagogue mosquée église handicap handicapé agriculteur paysan vache folle Europe directives européennes cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : • Les vignes du seigneur (17’) - Éric Cardot
• Le beau Jacques (14’) - Stéphane Thibault
• Pas si fou(15’) - Manu Bonmariage
• Mazel tov (16’) - Dominique Fichbach
• Mon prince charmant (14’) - Laure Pradal
• Putain qu’il a grandi... (13’) - Laure Pradal
• Néness fait du foin (15’) - Marie Ka
• Madame est servie (13’) - André FrançoisGenre : Documentaire Pays : Belgique
contenu dans Strip-tease vol. 7-8-9
Strip-tease vol 8 : 8 films [document projeté ou vidéo] / Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique . - Paris (55 rue Traversière, 75012, France) : MK2, 2007 . - 1 dvd.
En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vin vignoble vinification kasher juif judaïsme agriculture Jacques Villeneuve Michael Shumacher formule 1 circuit courses automobiles folie hôpital psychiatrique traitements de chocs électrochocs mariages mixtes synagogue mosquée église handicap handicapé agriculteur paysan vache folle Europe directives européennes cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : • Les vignes du seigneur (17’) - Éric Cardot
• Le beau Jacques (14’) - Stéphane Thibault
• Pas si fou(15’) - Manu Bonmariage
• Mazel tov (16’) - Dominique Fichbach
• Mon prince charmant (14’) - Laure Pradal
• Putain qu’il a grandi... (13’) - Laure Pradal
• Néness fait du foin (15’) - Marie Ka
• Madame est servie (13’) - André FrançoisGenre : Documentaire Pays : Belgique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100278 93.2 N.1.0662 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible L'avant-scène cinéma, 101. Les choses de la vie (de Claude Sautet) / Collectif
Accompagne Les choses de la vie / Claude Sautet
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 101 Titre : Les choses de la vie (de Claude Sautet) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Les Choses de la vie est un film français réalisé par Claude Sautet et sorti en 1970. Il s'agit d'une adaptation du roman homonyme Les Choses de la vie de Paul Guimard datant de 1967. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Choses de la vie Claude Sautet Jean-Loup Dabadie Paul Guimard Raymond Danon Jean Bolvary Roland Girard Lira Films Sonocam Fida Cinematografica C.F.D.C Philippe Sarde La chanson d'Hélène Jean Boffety Claude Vital André Piltant Jacques Cottin Jacqueline Thiédot Marie-Claude Sarnak René Longuet Michel Piccoli Romy Schneider Lea Massari Jean Bouise Gérard Lartigau cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pierre (Michel Piccoli), architecte d'une quarantaine d'années, est victime d'un accident de voiture. Éjecté du véhicule, dans le coma, au bord de la route, il revoit son passé et les deux femmes qui comptent dans sa vie, Catherine (Léa Massari) dont il est séparé et avec qui il a eu un fils, et Hélène (Romy Schneider), avec qui sa relation amoureuse est à un tournant...
C'est ce coma qui constitue l'argument du film : sans aucune conscience de la mort qu'il est en train de rencontrer, et naïvement obsédé par sa fatigue, le monologue intérieur du blessé rabâche la nécessité de ne surtout pas laisser traîner la lettre qui donnerait un sens tout autre à son rapport aux autres.
Au moment de l'accident de voiture qui le laisse mortellement blessé, il revoit sa vie en accéléré. Il réalise alors l'importance de ces multitudes de petites choses de l'existence, ces joies et ces peines qui constituent le bonheur de toute une vie.
Accompagne Les choses de la vie / Claude Sautet
L'avant-scène cinéma, 101. Les choses de la vie (de Claude Sautet) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Les Choses de la vie est un film français réalisé par Claude Sautet et sorti en 1970. Il s'agit d'une adaptation du roman homonyme Les Choses de la vie de Paul Guimard datant de 1967.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Choses de la vie Claude Sautet Jean-Loup Dabadie Paul Guimard Raymond Danon Jean Bolvary Roland Girard Lira Films Sonocam Fida Cinematografica C.F.D.C Philippe Sarde La chanson d'Hélène Jean Boffety Claude Vital André Piltant Jacques Cottin Jacqueline Thiédot Marie-Claude Sarnak René Longuet Michel Piccoli Romy Schneider Lea Massari Jean Bouise Gérard Lartigau cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pierre (Michel Piccoli), architecte d'une quarantaine d'années, est victime d'un accident de voiture. Éjecté du véhicule, dans le coma, au bord de la route, il revoit son passé et les deux femmes qui comptent dans sa vie, Catherine (Léa Massari) dont il est séparé et avec qui il a eu un fils, et Hélène (Romy Schneider), avec qui sa relation amoureuse est à un tournant...
C'est ce coma qui constitue l'argument du film : sans aucune conscience de la mort qu'il est en train de rencontrer, et naïvement obsédé par sa fatigue, le monologue intérieur du blessé rabâche la nécessité de ne surtout pas laisser traîner la lettre qui donnerait un sens tout autre à son rapport aux autres.
Au moment de l'accident de voiture qui le laisse mortellement blessé, il revoit sa vie en accéléré. Il réalise alors l'importance de ces multitudes de petites choses de l'existence, ces joies et ces peines qui constituent le bonheur de toute une vie.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302210 19 H.1.01436 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) / Collectif
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 103 Titre : Solo (de Jean-Pierre Mocky) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302209 19 H.1.01437 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 104. Zazie dans le métro (de Louis Malle) / Collectif
Accompagne Zazie dans le métro / Louis Malle
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 104 Titre : Zazie dans le métro (de Louis Malle) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale :
Zazie dans le métro est une comédie burlesque française de Louis Malle tournée et sortie en 1960, d'après le roman éponyme de Raymond Queneau.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Zazie dans le métro Louis Malle Jean-Paul Rappeneau Raymond Queneau William Klein Philippe Collin Olivier Gérard Richard Bigottini Henri Raichi Jean Charvein André Du Breuil
Kenout Peltier Yvette Bertrand Claudine Merlin André Pontin Fiorenzo Carpi Jacques Météhen Charles Mérangel Marc Doelnitz
Aïda Carange André Hervée Bernard Evein Marc Frédérix Sylvette Baudrot Jean-Louis Castelli Les Nouvelles Éditions de Films Napoléon Murat Irénée Leriche Hubert Mérial Consortium Pathé Catherine Demongeot Vittorio Caprioli Philippe Noiret Hubert Deschamps Antoine Roblot Annie Fratellini Carla Marlier Yvonne Clech Nicolas Bataille
Odette Picquet Jacques Dufilho cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Zazie, une gamine de dix ans aux manières délurées et au langage vulgaire, arrive de province, impatiente de découvrir le métro parisien. Son oncle Gabriel l'attend à la gare et, à sa grande déception, la jette directement dans un taxi conduit par son ami Charles et la dépose au café Turandot. Là, elle fait la connaissance de Mado P'tits Pieds, une servante au grand cœur, de sa tante Albertine, ménagère modèle, et d'autres figures truculentes. Zazie s'échappe pour enfin se promener en métro, mais quand elle se rend compte qu'il est fermé pour cause de grève des poinçonneurs, elle se met à pleurer. Chacun va désormais vaquer à ses propres occupations. L'oncle se travestit en danseuse espagnole dans un café-concert, Charles déclare sa flamme à Mado pendant que Zazie découvre le marché aux puces en compagnie de l'agent Trouscaillon. Après deux jours de folie parisienne, Zazie emprunte enfin le métro pour se rendre à la gare et repartir. Mais Zazie, endormie dans les bras de sa tante, n'a toujours pas vu le métro …
Note de contenu :
Sorti le 28 octobre 1960, le film n'eut aucun succès, ni auprès du public, ni auprès des critiques. Toutefois lors de la première du film quelques artistes comme François Truffaut, Eugène Ionesco ou Charlie Chaplin ont immédiatement exprimé leur enthousiasme.
Accompagne Zazie dans le métro / Louis Malle
L'avant-scène cinéma, 104. Zazie dans le métro (de Louis Malle) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Zazie dans le métro est une comédie burlesque française de Louis Malle tournée et sortie en 1960, d'après le roman éponyme de Raymond Queneau.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Zazie dans le métro Louis Malle Jean-Paul Rappeneau Raymond Queneau William Klein Philippe Collin Olivier Gérard Richard Bigottini Henri Raichi Jean Charvein André Du Breuil
Kenout Peltier Yvette Bertrand Claudine Merlin André Pontin Fiorenzo Carpi Jacques Météhen Charles Mérangel Marc Doelnitz
Aïda Carange André Hervée Bernard Evein Marc Frédérix Sylvette Baudrot Jean-Louis Castelli Les Nouvelles Éditions de Films Napoléon Murat Irénée Leriche Hubert Mérial Consortium Pathé Catherine Demongeot Vittorio Caprioli Philippe Noiret Hubert Deschamps Antoine Roblot Annie Fratellini Carla Marlier Yvonne Clech Nicolas Bataille
Odette Picquet Jacques Dufilho cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Zazie, une gamine de dix ans aux manières délurées et au langage vulgaire, arrive de province, impatiente de découvrir le métro parisien. Son oncle Gabriel l'attend à la gare et, à sa grande déception, la jette directement dans un taxi conduit par son ami Charles et la dépose au café Turandot. Là, elle fait la connaissance de Mado P'tits Pieds, une servante au grand cœur, de sa tante Albertine, ménagère modèle, et d'autres figures truculentes. Zazie s'échappe pour enfin se promener en métro, mais quand elle se rend compte qu'il est fermé pour cause de grève des poinçonneurs, elle se met à pleurer. Chacun va désormais vaquer à ses propres occupations. L'oncle se travestit en danseuse espagnole dans un café-concert, Charles déclare sa flamme à Mado pendant que Zazie découvre le marché aux puces en compagnie de l'agent Trouscaillon. Après deux jours de folie parisienne, Zazie emprunte enfin le métro pour se rendre à la gare et repartir. Mais Zazie, endormie dans les bras de sa tante, n'a toujours pas vu le métro …
Note de contenu :
Sorti le 28 octobre 1960, le film n'eut aucun succès, ni auprès du public, ni auprès des critiques. Toutefois lors de la première du film quelques artistes comme François Truffaut, Eugène Ionesco ou Charlie Chaplin ont immédiatement exprimé leur enthousiasme.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302208 19 H.1.01438 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 108. Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 108 Titre : Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Charles mort ou vif est un film suisse réalisé par Alain Tanner, sorti en 1970. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Charles mort ou vif Alain Tanner Groupe 5 Jacques Olivier Renato Berta Silva Bachmann François Simon Marcel Robert Marie-Claire Dufour André Schmidt Maya Simon Michéle Martel Jo Excoffier Walter Schochli Jean-Pierre Moriaud Jean-Luc Bideau Francis Reusser cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Charles Dé, quinquagénaire, dirige une petite entreprise familiale, une fabrique de pièces de montres qu'il a hérité de son père et de son grand-père. S'il a accepté cette succession quand il avait 20 ans, c'est pour des raisons familiales alors qu'il rêvait d'un autre avenir. Mais, arrivé au bilan de sa vie, sa réussite lui parait dérisoire, c'est une véritable compromission. Il a laissé sa vie, triste et vide, il n'a pas pris le temps de vivre, de s'épanouir.
Charles décide alors de rompre avec cette vie qu'il mène et de choisir la liberté, sa liberté. Il plaque tout, la famille, l'entreprise et va loger dans un hôtel. Un peu plus tard, il se liera d'amitié avec un jeune couple (Paul et Adeline) et ira partager leur vie de bohème, en s'installant chez eux. Il changera de nom, Charles s'appellera Carlo.
Si sa fille, Marianne, le comprend dans sa démarche, son fils Pierre, mobilise contre lui avocat et détective. Bien qu'on tente de le faire taire et de l'enfermer dans une clinique psychiatrique, Carlo s'obstine.L'avant-scène cinéma, 108. Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Charles mort ou vif est un film suisse réalisé par Alain Tanner, sorti en 1970.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Charles mort ou vif Alain Tanner Groupe 5 Jacques Olivier Renato Berta Silva Bachmann François Simon Marcel Robert Marie-Claire Dufour André Schmidt Maya Simon Michéle Martel Jo Excoffier Walter Schochli Jean-Pierre Moriaud Jean-Luc Bideau Francis Reusser cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Charles Dé, quinquagénaire, dirige une petite entreprise familiale, une fabrique de pièces de montres qu'il a hérité de son père et de son grand-père. S'il a accepté cette succession quand il avait 20 ans, c'est pour des raisons familiales alors qu'il rêvait d'un autre avenir. Mais, arrivé au bilan de sa vie, sa réussite lui parait dérisoire, c'est une véritable compromission. Il a laissé sa vie, triste et vide, il n'a pas pris le temps de vivre, de s'épanouir.
Charles décide alors de rompre avec cette vie qu'il mène et de choisir la liberté, sa liberté. Il plaque tout, la famille, l'entreprise et va loger dans un hôtel. Un peu plus tard, il se liera d'amitié avec un jeune couple (Paul et Adeline) et ira partager leur vie de bohème, en s'installant chez eux. Il changera de nom, Charles s'appellera Carlo.
Si sa fille, Marianne, le comprend dans sa démarche, son fils Pierre, mobilise contre lui avocat et détective. Bien qu'on tente de le faire taire et de l'enfermer dans une clinique psychiatrique, Carlo s'obstine.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302206 19 H.1.01440 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 118. La maison des Bories (de Jacques Doniol-Valcroze) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 118 Titre : La maison des Bories (de Jacques Doniol-Valcroze) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1971 Note générale : La Maison des bories est un film français de Jacques Doniol-Valcroze, sorti en 1970. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Maison des bories Jacques Doniol-Valcroze Anne Tromelin Simone Ratel Mozart Ghislain Cloquet Sophie Bhaud Claude Pignot André Hervée Mag Bodard Parc Films Philippe Dussart Marie Dubois Maurice Garrel Mathieu Carrière Hélène Vallier Claude Titre Madeleine Barbulée Jean-François Vlérick Marie-Véronique Maurin cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Julien Durras est un professeur d'université géologue, qui décide de passer une année en Haute-Provence avec sa femme Isabelle et ses deux enfants avec lesquels il est un époux et un père sévère et intransigeant. Il accueille un étudiant allemand en géologie, Carl-Stephan, qui doit l'aider à traduire ses travaux et qui apporte légèreté et détente à la maisonnée. Un déplacement de Julien à Paris est l'occasion de déroger aux contraintes et rythmes habituels.
L'avant-scène cinéma, 118. La maison des Bories (de Jacques Doniol-Valcroze) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1971.
La Maison des bories est un film français de Jacques Doniol-Valcroze, sorti en 1970.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Maison des bories Jacques Doniol-Valcroze Anne Tromelin Simone Ratel Mozart Ghislain Cloquet Sophie Bhaud Claude Pignot André Hervée Mag Bodard Parc Films Philippe Dussart Marie Dubois Maurice Garrel Mathieu Carrière Hélène Vallier Claude Titre Madeleine Barbulée Jean-François Vlérick Marie-Véronique Maurin cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Julien Durras est un professeur d'université géologue, qui décide de passer une année en Haute-Provence avec sa femme Isabelle et ses deux enfants avec lesquels il est un époux et un père sévère et intransigeant. Il accueille un étudiant allemand en géologie, Carl-Stephan, qui doit l'aider à traduire ses travaux et qui apporte légèreté et détente à la maisonnée. Un déplacement de Julien à Paris est l'occasion de déroger aux contraintes et rythmes habituels.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302200 19 H.1.01448 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) / Collectif
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 80 Titre : Mouchette (de Robert Bresson) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302219 19 H.1.01426 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 81. Marcel Carné / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 81 Titre : Marcel Carné : Nogent, Eldorado du dimanche, Les jeunes loups Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
Les Jeunes Loups est un film français de Marcel Carné, sorti en 1968.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Jeunes Loups Marcel Carné Stéphane Iscovesco Benoît Jacquot SNC West-Films Claude Accursi Jacques Robin Jack Arel Cyril Azzam Guy Magenta René Gillet Haydée Politoff Yves Beneyton Christian Hay Roland Lesaffre Maurice Garrel Élizabeth Teissier du Cros Gamil Ratib Bernard Dhéran Élina Labourdette Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Alain, jeune gigolo aussi élégant qu'ambitieux, se fait entretenir par une riche princesse étrangère. Il séduit aussi la jeune et candide Sylvie, qui feint de céder au cynisme ambiant en matière de mœurs sans s'avouer ses inclinations romantiques. Désespérée de sa propre déchéance, elle se reprend en se liant avec Chris, un beatnik de la rue de la Huchette.
Le scénario paraît inspiré de Manon Lescaut, si ce n'est que la relation homme-femme est inversée. On peut aussi y voir une réactualisation de thèmes que Carné avait abordés dix ans plus tôt dans Les Tricheurs.
Note de contenu :
Les Jeunes Loups aurait pu entrer dans l'histoire comme un témoignage d'époque, comme le pendant continental des grandes comédies pop tournées au même moment en Grande-Bretagne, mais il est né sous une mauvaise étoile. Sa réalisation a donné lieu à des querelles incessantes avec la production. La censure a exigé des coupures qui auraient dénaturé l'œuvre au point que Marcel Carné l'a désavouée et a refusé d'assister à la première.
Sorti en avril 1968, le film a été éclipsé par les événements du mois suivant et n'a même pas profité du grand succès obtenu par la chanson la plus marquante de sa bande son, I'll Never Leave You, interprétée par Nicole Croisille. Ce film oublié n'a jamais été diffusé à la télévision ni édité en VHS ou DVD, et les pellicules originales seraient dans un état avancé de dégradation.
L'avant-scène cinéma, 81. Marcel Carné : Nogent, Eldorado du dimanche, Les jeunes loups [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
Les Jeunes Loups est un film français de Marcel Carné, sorti en 1968.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Jeunes Loups Marcel Carné Stéphane Iscovesco Benoît Jacquot SNC West-Films Claude Accursi Jacques Robin Jack Arel Cyril Azzam Guy Magenta René Gillet Haydée Politoff Yves Beneyton Christian Hay Roland Lesaffre Maurice Garrel Élizabeth Teissier du Cros Gamil Ratib Bernard Dhéran Élina Labourdette Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Alain, jeune gigolo aussi élégant qu'ambitieux, se fait entretenir par une riche princesse étrangère. Il séduit aussi la jeune et candide Sylvie, qui feint de céder au cynisme ambiant en matière de mœurs sans s'avouer ses inclinations romantiques. Désespérée de sa propre déchéance, elle se reprend en se liant avec Chris, un beatnik de la rue de la Huchette.
Le scénario paraît inspiré de Manon Lescaut, si ce n'est que la relation homme-femme est inversée. On peut aussi y voir une réactualisation de thèmes que Carné avait abordés dix ans plus tôt dans Les Tricheurs.
Note de contenu :
Les Jeunes Loups aurait pu entrer dans l'histoire comme un témoignage d'époque, comme le pendant continental des grandes comédies pop tournées au même moment en Grande-Bretagne, mais il est né sous une mauvaise étoile. Sa réalisation a donné lieu à des querelles incessantes avec la production. La censure a exigé des coupures qui auraient dénaturé l'œuvre au point que Marcel Carné l'a désavouée et a refusé d'assister à la première.
Sorti en avril 1968, le film a été éclipsé par les événements du mois suivant et n'a même pas profité du grand succès obtenu par la chanson la plus marquante de sa bande son, I'll Never Leave You, interprétée par Nicole Croisille. Ce film oublié n'a jamais été diffusé à la télévision ni édité en VHS ou DVD, et les pellicules originales seraient dans un état avancé de dégradation.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302218 19 H.1.01427 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
Accompagne A nous la liberté / René Clair
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 86 Titre : René Clair : Entr'acte - A nous la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale : ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
Accompagne A nous la liberté / René Clair
L'avant-scène cinéma, 86. René Clair : Entr'acte - A nous la liberté [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
ENTR'ACTE :
Entr'acte est un film réalisé par René Clair qui est diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de Relâche, ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté est un film français réalisé par René Clair en 1931.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Entr'acte René Clair Francis Picabia Jimmy Berliet Erik Satie cinéma muet À nous la liberté Franck Clifford Georges Périnal Georges Raulet René Hubert Georges Auric Henri Marchand Raymond Cordy Rolla France Paul Ollivier Jacques Shelly André Michaud court-métrage cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : ENTR'ACTE :
Le film est une suite d'images surréalistes, comme une poursuite folle d'un corbillard ou une danseuse barbue filmée par en dessous.
Voici la note écrite par Francis Picabia qui servit de fil directeur au film :
* Assaut de boxe par des gants blancs sur écran noir.
* Partie d'échecs entre Duchamps et Man Ray.
* Jet d'eau manœuvré par Picabia balayant le jeu.
* Jongleur et Père La Colique.
* Chasseur tirant sur un œuf d'autruche sur jet d'eau, de l'œuf sort une colombe. Elle vient se poser sur la tête du chasseur. Un deuxième tirant sur elle tue le premier chasseur. Il tombe. L'oiseau s'envole.
* Onze personnes couchées sur le dos présentent le dessous de leurs pieds.
* Danseuse sur une glace transparente, cinématographiée par en dessous.
* Gonflage de ballons et de paravents en caoutchouc sur lesquels seront dessinées des figures accompagnées d'inscriptions.
* Un enterrement : corbillard traîné par un chameau. Etc.
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À NOUS LA LIBERTÉ :
Deux amis détenus, Émile et Louis, tentent de s'évader. Louis réussit grâce à Émile qui fait diversion. Dehors, Louis se lance dans le commerce de disques puis de phonographes. Il devient petit patron puis, son commerce prospérant, se retrouve à la tête d'usines de plus en plus gigantesques. Émile libéré de prison demeure vagabond, se prélasse au soleil. Un jour il aperçoit la nièce du comptable de l'usine de Louis et tombe amoureux de la jeune fille. Il la suit jusque dans l'usine et, presque malgré lui, est embauché. Les deux anciens amis se retrouvent ...
Note de contenu : ENTR'ACTE :
Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie fut composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », disait Picabia ou, comme l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler ».
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À NOUS LA LIBERTÉ :
À nous la liberté a été un film culte qui devint une sorte de slogan pour la jeunesse lettrée au cours des années 1930. Un contemporain écrira : « Combien de fois avons-nous vu Sous les toits de Paris et ce spectacle amer et enchanté, avec ses Luna-Park où chantent les oiseaux mécaniques, sa poésie de papier doré et de romances, qu'est À nous la liberté ? Je ne saurais le dire, mais c'était pour nous le symbole de ce temps heureux, où les dangers restaient l'américanisme, la surproduction, et non la grève et la misère, et où, pour finir, deux vagabonds gagnaient en chantant, eux aussi, les routes joyeuses du destin. Ainsi l'écran nous donnait-il des nouvelles de l'univers. Ainsi apprenions-nous de René Clair à connaître Paris comme nous l'apprenions de Baudelaire, de Balzac. »
Ce film de René Clair, avec Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, a fait figure de symbole pour la jeunesse intellectuelle française des années trente.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302216 19 H.1.01429 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 92. La femme infidèle (de Claude Chabrol) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 92 Titre : La femme infidèle (de Claude Chabrol) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : La Femme infidèle est un film français réalisé par Claude Chabrol et sorti en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Claude Chabrol Jacques Fansten André Génovès Les Films de La Boétie Cinegai S.p.A. Pierre Jansen Dominique Zardi Jean Rabier Claude Zidi Jacques Gaillard Stéphane Audran Michel Bouquet Maurice Ronet Stéphane di Napoli Michel Duchaussoy Henri Marteau Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Charles Desvallées a de bonnes raisons de croire à l'infidélité de sa femme. Afin d'en avoir la certitude, il engage un détective. Apprenant l'identité de l'amant, l'écrivain Victor Pégala, il se rend chez lui. Après une courte conversation franche, il le tue. Sans que rien ne soit dit entre les deux époux, Hélène devine ce qui s'est passé, et, lorsque la police est de retour, sans que l'on sache si c'est pour arrêter son mari, Hélène échange avec son époux un long regard lourd de sens.L'avant-scène cinéma, 92. La femme infidèle (de Claude Chabrol) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
La Femme infidèle est un film français réalisé par Claude Chabrol et sorti en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Claude Chabrol Jacques Fansten André Génovès Les Films de La Boétie Cinegai S.p.A. Pierre Jansen Dominique Zardi Jean Rabier Claude Zidi Jacques Gaillard Stéphane Audran Michel Bouquet Maurice Ronet Stéphane di Napoli Michel Duchaussoy Henri Marteau Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Charles Desvallées a de bonnes raisons de croire à l'infidélité de sa femme. Afin d'en avoir la certitude, il engage un détective. Apprenant l'identité de l'amant, l'écrivain Victor Pégala, il se rend chez lui. Après une courte conversation franche, il le tue. Sans que rien ne soit dit entre les deux époux, Hélène devine ce qui s'est passé, et, lorsque la police est de retour, sans que l'on sache si c'est pour arrêter son mari, Hélène échange avec son époux un long regard lourd de sens.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302214 19 H.1.01431 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 98. Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) / Collectif
Accompagne Ma nuit chez Maud / Eric Rohmer
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 98 Titre : Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Ma nuit chez Maud est un film français d'Éric Rohmer, sorti en 1969. Il constitue le troisième volet des Six contes moraux du réalisateur. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Ma nuit chez Maud Éric Rohmer Nestor Almendros Philippe Rousselot Barbet Schroeder Pierre Cottrell Les Films du Losange Cécile Decugis Nicole Rachline Jacques Maumont Jean-Pierre Ruh Alain Sempé Jean-Louis Trintignant Françoise Fabian Marie-Christine Barrault Antoine Vitez Leonid Kogan Guy Léger Anne Dubot Marie Becker Marie-Claude Rauzier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Clermont-Ferrand, quelques jours avant Noël. Un jeune ingénieur, récemment revenu de l'étranger, remarque à la messe une jeune femme blonde et décide qu'elle sera sa femme. Il retrouve par hasard Vidal, un ancien ami communiste, qui l'invite à un dîner le soir de Noël chez une amie divorcée, Maud. La soirée se passe en longues discussions sur le mariage, la morale, la religion, Pascal, à trois, puis à deux, mariant également sincérité et séduction, mais au terme de laquelle la barrière platonique ne sera pas franchie. Le lendemain, l'ingénieur aborde la jeune femme blonde, Françoise. À quelque temps de là, il lui propose de l'épouser mais celle-ci se rebiffe car elle vient de sortir d'une liaison avec un homme marié. Cinq ans plus tard, sur la plage, Maud, Françoise et l'ingénieur se croisent, échangent des banalités, avant que quelques vérités ne se mettent en place.
Note de contenu : Ce troisième opus de la série « Contes moraux » (troisième dans l'ordre des contes écrits par Rohmer) tranche avec les marivaudages élaborés et agréables qui l'ont précédé ou suivi dans l'œuvre de Rohmer. Ici, point de jeunes filles légères sous les rayons du soleil, mais un film en noir et blanc, profond sans être aride.
L'opposition entre un ingénieur catholique et une femme libre donne lieu à des dialogues sur la religion (y compris le pari de Pascal) et l'amour. Ces dialogues au sujet de Pascal que Jean-Louis entretient avec Vidal son camarade de lycée et Maud sont directement inspirés de l'entretien datant de 1965 entre Brice Parain et le Père dominicain Dominique Dubarle.
Intéressantes considérations aussi sur les probabilités et le hasard des rencontres : celle d'abord de l'ami du personnage principal, puis bien entendu en filigrane celle de la femme de sa vie; une troisième rencontre, celle avec Maud quelques années plus tard, achève de structurer la construction.
Les thèmes du hasard et de Pascal seront réutilisés par Rohmer dans son film Conte d'hiver en 1992.
* Prix Méliès en 1969
* nomination a Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1970
Accompagne Ma nuit chez Maud / Eric Rohmer
L'avant-scène cinéma, 98. Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
Ma nuit chez Maud est un film français d'Éric Rohmer, sorti en 1969. Il constitue le troisième volet des Six contes moraux du réalisateur.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Ma nuit chez Maud Éric Rohmer Nestor Almendros Philippe Rousselot Barbet Schroeder Pierre Cottrell Les Films du Losange Cécile Decugis Nicole Rachline Jacques Maumont Jean-Pierre Ruh Alain Sempé Jean-Louis Trintignant Françoise Fabian Marie-Christine Barrault Antoine Vitez Leonid Kogan Guy Léger Anne Dubot Marie Becker Marie-Claude Rauzier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Clermont-Ferrand, quelques jours avant Noël. Un jeune ingénieur, récemment revenu de l'étranger, remarque à la messe une jeune femme blonde et décide qu'elle sera sa femme. Il retrouve par hasard Vidal, un ancien ami communiste, qui l'invite à un dîner le soir de Noël chez une amie divorcée, Maud. La soirée se passe en longues discussions sur le mariage, la morale, la religion, Pascal, à trois, puis à deux, mariant également sincérité et séduction, mais au terme de laquelle la barrière platonique ne sera pas franchie. Le lendemain, l'ingénieur aborde la jeune femme blonde, Françoise. À quelque temps de là, il lui propose de l'épouser mais celle-ci se rebiffe car elle vient de sortir d'une liaison avec un homme marié. Cinq ans plus tard, sur la plage, Maud, Françoise et l'ingénieur se croisent, échangent des banalités, avant que quelques vérités ne se mettent en place.
Note de contenu : Ce troisième opus de la série « Contes moraux » (troisième dans l'ordre des contes écrits par Rohmer) tranche avec les marivaudages élaborés et agréables qui l'ont précédé ou suivi dans l'œuvre de Rohmer. Ici, point de jeunes filles légères sous les rayons du soleil, mais un film en noir et blanc, profond sans être aride.
L'opposition entre un ingénieur catholique et une femme libre donne lieu à des dialogues sur la religion (y compris le pari de Pascal) et l'amour. Ces dialogues au sujet de Pascal que Jean-Louis entretient avec Vidal son camarade de lycée et Maud sont directement inspirés de l'entretien datant de 1965 entre Brice Parain et le Père dominicain Dominique Dubarle.
Intéressantes considérations aussi sur les probabilités et le hasard des rencontres : celle d'abord de l'ami du personnage principal, puis bien entendu en filigrane celle de la femme de sa vie; une troisième rencontre, celle avec Maud quelques années plus tard, achève de structurer la construction.
Les thèmes du hasard et de Pascal seront réutilisés par Rohmer dans son film Conte d'hiver en 1992.
* Prix Méliès en 1969
* nomination a Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1970
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302211 19 H.1.01434 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II Titre : Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-289-9 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-289-9
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302374 17 H.1.01919 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III Titre : La Nouvelle Vague Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-223-3 Note générale : Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jacques Rivette Claude Chabrol François Truffaut Alain Resnais Jean-Luc Godard Claude Chabrol Eric Rohmer Jacques Demy André S. Labarthe Le Coup du berger Le Beau Serge Les Quatre Cents Coups Hiroshima mon amour Les Bonnes Femmes L'Année dernière à Marienbad Une femme est une femme Le Signe du lion Vivre sa vie Les Parapluies de Cherbourg Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les cinéastes de la Nouvelle Vague, comme chacun sait, ont fait leurs premières armes comme critiques au sein d’une même revue, les Cahiers du cinéma. C’est là qu’ils ont forgé leur conception du cinéma, ont inventé la « Politique des Auteurs », affûté leurs armes avant de se lancer dans la réalisation.
Comment la revue rend-elle compte de ce mouvement ? Si l’on retrouve bien les premiers films de Truffaut (Les Quatre Cents Coups), Godard (A bout de souffle, Une femme est une femme, Vivre sa vie), Chabrol (Le Beau Serge, Les Bonnes femmes), Rivette (Paris nous appartient), Rohmer (Le Signe du lion)… dans les pages du Cahier critique, si la réflexion sur la situation du cinéma français est à l’ordre du jour, elle n’y est pas toujours synchrone avec le mouvement en marche… les « jeunes turcs » sont au front, tournent ou se préparent à tourner leurs films.
Fin 1962, les Cahiers décident (enfin ?) de faire un numéro spécial Nouvelle Vague. Au sommaire trois entretiens en forme de manifeste : Godard, Chabrol, Truffaut. Ensuite, viendront deux nouveaux entretiens, avec Rohmer, puis Rivette.
La réédition en poche de ces textes et rencontres constitue un document de référence sur un moment essentiel pour comprendre l’histoire du cinéma. L’ensemble est précédé d’un entretien avec André S. Labarthe
Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-223-3
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jacques Rivette Claude Chabrol François Truffaut Alain Resnais Jean-Luc Godard Claude Chabrol Eric Rohmer Jacques Demy André S. Labarthe Le Coup du berger Le Beau Serge Les Quatre Cents Coups Hiroshima mon amour Les Bonnes Femmes L'Année dernière à Marienbad Une femme est une femme Le Signe du lion Vivre sa vie Les Parapluies de Cherbourg Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les cinéastes de la Nouvelle Vague, comme chacun sait, ont fait leurs premières armes comme critiques au sein d’une même revue, les Cahiers du cinéma. C’est là qu’ils ont forgé leur conception du cinéma, ont inventé la « Politique des Auteurs », affûté leurs armes avant de se lancer dans la réalisation.
Comment la revue rend-elle compte de ce mouvement ? Si l’on retrouve bien les premiers films de Truffaut (Les Quatre Cents Coups), Godard (A bout de souffle, Une femme est une femme, Vivre sa vie), Chabrol (Le Beau Serge, Les Bonnes femmes), Rivette (Paris nous appartient), Rohmer (Le Signe du lion)… dans les pages du Cahier critique, si la réflexion sur la situation du cinéma français est à l’ordre du jour, elle n’y est pas toujours synchrone avec le mouvement en marche… les « jeunes turcs » sont au front, tournent ou se préparent à tourner leurs films.
Fin 1962, les Cahiers décident (enfin ?) de faire un numéro spécial Nouvelle Vague. Au sommaire trois entretiens en forme de manifeste : Godard, Chabrol, Truffaut. Ensuite, viendront deux nouveaux entretiens, avec Rohmer, puis Rivette.
La réédition en poche de ces textes et rencontres constitue un document de référence sur un moment essentiel pour comprendre l’histoire du cinéma. L’ensemble est précédé d’un entretien avec André S. Labarthe
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302375 17 H.1.01920 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible