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41 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Jean Martinelli' 



Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
Titre : Dossier pédagogique de "Le guépard" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 7 pp. Note générale :
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Le guépard" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 7 pp.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303687 19 H.1.04339/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le procès / Jean-Philippe Trias
AccompagneLe Procès / Orson Welles
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
AccompagneLe Procès / Orson Welles Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 32-33 Titre : Le guépard (de Luchino Visconti) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1963 Note générale : Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1963.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302225 19 H.1.01419 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 18 - Hiver 86 - Jean-Claude Carrière scénariste, ou le voyage à Bruxelles (Bulletin de Revue Belge du Cinéma) / Jean-Claude Carrière
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
Titre : 18 - Hiver 86 - Jean-Claude Carrière scénariste, ou le voyage à Bruxelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Carrière (1931-....), Personne honorée Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jean-Claude Carrière Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs [n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
18 - Hiver 86 - Jean-Claude Carrière scénariste, ou le voyage à Bruxelles [texte imprimé] / Jean-Claude Carrière (1931-....), Personne honorée . - 2010.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jean-Claude Carrière Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400272 18 H.1.00541 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 22/23 - Jean-Luc Godard (Bulletin de Revue Belge du Cinéma, 22/23 [10/09/2010]) / Jean-Luc Godard
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
Titre : 22/23 - Jean-Luc Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : nouvelle vague Jean-Luc Godard Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs [n° ou bulletin]
est un bulletin de Revue Belge du Cinéma / Josette Debacker
22/23 - Jean-Luc Godard [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - 2010.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : nouvelle vague Jean-Luc Godard Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400269 18 H.1.00694 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
Titre : 244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Joël Magny, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 1979 Importance : 1 vol. (112 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jean Renoir Résumé : Télévision
Tournez, S.F.P. ! (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Dossier
RENOIR Jean (article d'ensemble)
RENOIR Jean
Au numéro 1273 de Leona drive (autre)
Auteur : ROY Jean
RENOIR Jean
Renoir et les dogmes (autre)
Auteur : MAGNY Joël
ROHMER Éric
à propos de : Petit théâtre de Jean Renoir (Le)
Notes sur "Le Petit théâtre de Jean Renoir" (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
Un cadre éclaté (autre)
Auteur : DOUCHET Jean
VECCHIALI Paul
À l'abri du risque (sur Jean Renoir) (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
À l'abri du risque (Paul Vecchiali) (autre)
Exploitation
Résultats chiffrés de 1978 (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
FLEISCHER Richard
(entretien)
Auteurs : COLLIN Philippe , RABOURDIN Dominique
Musique, théâtre, cinéma - La part du cinéma (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
MALLE Louis
Louis Malle par Louis Malle (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
Invasion des profanateurs (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Monstres sont toujours vivants (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Madriguera (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Bleu des origines (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Marie pour mémoire
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Allegro non troppo
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Furie
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Écoute voir
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Drôle d'embrouille
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Esprit de famille (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
BLANC Jean-Pierre
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
California hotel
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Si joli village (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Terre au ventre (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Slow dancing
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Châteaux de rêves
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Messidor
(critique, article sur un film)
Auteur : PETAT Jacques
Voyage au bout de l'enfer
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Maître-nageur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Opération traquenard
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Cap Horn
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Et la tendresse ?... bordel !
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Halloween
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Filles du régiment (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Pot de vin (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Martin et Léa
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Superman
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Limeuses (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Grande cuisine (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Cavaleur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Roi des gitans (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Cible étoilée (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Frisée aux lardons (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Je vous ferai aimer la vie
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Accident de chasse (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Sgt. Pepper's lonely hearts club band
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Mouette (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Un pays, deux regards, deux films
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Chiens (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Homme en colère (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Jules et Jim
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Femme de Jean (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Il faut marier papa
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Toile d'araignée (La)
(autre)
Auteur : RENAUD Tristan
Conquérants d'un nouveau monde (Les)
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Diamants sur canapé
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vieille fille (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Miracle des loups (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
En cas de malheur
(autre)
Auteur : MAILER Norman
Horloger de Saint-Paul (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nana
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Chute de l'Empire Romain (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
SIRK Douglas
Douglas Sirk (Cinémathèque française) (livre)
MUSIDORA
Musidora, la dixième muse (livre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Condition humaine (Michel Estève) (livre)
Judy et ses nabots (Stuart Kaminsky) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Enseignement du cinéma
Vincennes ou Le désir d'apprendre (livre)
Auteur : ALLEZAUD RobertGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cinéma / Fédération Française des Ciné-club (1946-....; Paris, France)
244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Joël Magny, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 1979 . - 1 vol. (112 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jean Renoir Résumé : Télévision
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Au numéro 1273 de Leona drive (autre)
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ROHMER Éric
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Notes sur "Le Petit théâtre de Jean Renoir" (texte de la personnalité)
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Un cadre éclaté (autre)
Auteur : DOUCHET Jean
VECCHIALI Paul
À l'abri du risque (sur Jean Renoir) (texte de la personnalité)
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À l'abri du risque (Paul Vecchiali) (autre)
Exploitation
Résultats chiffrés de 1978 (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
FLEISCHER Richard
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Auteurs : COLLIN Philippe , RABOURDIN Dominique
Musique, théâtre, cinéma - La part du cinéma (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
MALLE Louis
Louis Malle par Louis Malle (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
Invasion des profanateurs (L')
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Monstres sont toujours vivants (Les)
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Madriguera (La)
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Bleu des origines (Le)
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Drôle d'embrouille
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Esprit de famille (L')
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California hotel
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Terre au ventre (La)
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Slow dancing
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Châteaux de rêves
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Messidor
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Auteur : PETAT Jacques
Voyage au bout de l'enfer
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Maître-nageur (Le)
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Auteur : AMIEL Mireille
Opération traquenard
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Auteur : CANNIÈRE Patrick
Cap Horn
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Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Et la tendresse ?... bordel !
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Halloween
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Auteur : GRANT Jacques
Filles du régiment (Les)
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Pot de vin (Le)
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Martin et Léa
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Superman
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Auteur : RENAUD Tristan
Limeuses (Les)
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Grande cuisine (La)
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Cavaleur (Le)
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Roi des gitans (Le)
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Auteur : FUENTE Leonardo de la
Cible étoilée (La)
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Auteur : RENAUD Tristan
Frisée aux lardons (La)
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Je vous ferai aimer la vie
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Auteur : RENAUD Tristan
Accident de chasse (Un)
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Auteur : RENAUD Tristan
Sgt. Pepper's lonely hearts club band
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Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Mouette (La)
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(autre)
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Toile d'araignée (La)
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Conquérants d'un nouveau monde (Les)
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Diamants sur canapé
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vieille fille (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Miracle des loups (Le)
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En cas de malheur
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Auteur : MAILER Norman
Horloger de Saint-Paul (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nana
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Auteur : MAGNY Joël
Chute de l'Empire Romain (La)
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Auteur : MAGNY Joël
SIRK Douglas
Douglas Sirk (Cinémathèque française) (livre)
MUSIDORA
Musidora, la dixième muse (livre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Condition humaine (Michel Estève) (livre)
Judy et ses nabots (Stuart Kaminsky) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Enseignement du cinéma
Vincennes ou Le désir d'apprendre (livre)
Auteur : ALLEZAUD RobertGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400910 244 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 425 - Novembre 1989 Titre original : Nanni Moretti: Palombella Rossa, l'Italie, la politique, le cinéma. Emir Kusturica: Le temps des gitans. Les partis pris de Cocteau. Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Emir Kusturica Nanni Moretti Jean Cocteau Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
425 - Novembre 1989 = Nanni Moretti: Palombella Rossa, l'Italie, la politique, le cinéma. Emir Kusturica: Le temps des gitans. Les partis pris de Cocteau. [texte imprimé] . - 2011 . - 90 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
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Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Emir Kusturica Nanni Moretti Jean Cocteau Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400479 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
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Titre : 434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : un Week-end sur deux Nicole Garcia cinéma américain Jean-Baptiste Mondino Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
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434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 90 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : un Week-end sur deux Nicole Garcia cinéma américain Jean-Baptiste Mondino Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400486 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 565 - Février 2002 - Jean-François Stévenin : retour d'un cinéaste culte (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 565 - Février 2002 - Jean-François Stévenin : retour d'un cinéaste culte Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Jeux vidéos Mots-clés : cinéma et jeux vidéos l'Atalante de Jean Vigo [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
565 - Février 2002 - Jean-François Stévenin : retour d'un cinéaste culte [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Jeux vidéos Mots-clés : cinéma et jeux vidéos l'Atalante de Jean Vigo Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400704 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
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est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 163 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 163 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305216 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400008 08.1 H.1.03233 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
400008.jpgImage JpegAndré Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
Titre : André Delvaux ou le réalisme magique Type de document : texte imprimé Auteurs : Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée Editeur : Editions du Cerf Année de publication : 2006 Autre Editeur : Editions Corlet Collection : 7e ART ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08065-1 Note générale : André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers Johan Daisne De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. André Delvaux ou le réalisme magique [texte imprimé] / Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée . - Editions du Cerf : [S.l.] : Editions Corlet, 2006. - (7e ART) .
ISBN : 978-2-204-08065-1
André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers Johan Daisne De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302095 18 H.1.02850 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Architectures volume 1 / Collectif
contenu dans Coffret Architectures / Collectif
Titre : Architectures volume 1 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 1995-2000 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:UrbanismeMots-clés : ARCHITECTURE / BAUHAUS / PARIS / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / CONSTRUCTION / ESPACE URBAIN / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / GARD / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / LOGEMENT SOCIAL / NIMES / POLITIQUE DU LOGEMENT / HISTOIRE DE L’ART / GROPIUS WALTER / BEAUBOURG / PORTO / VIENNE / WAGNER OTTO / HABITATION / AISNE / GUISE / DESSAU / NOUVEL JEAN / *DVD VIDEO / SIZA ALVARO / GODIN ANDRE / PIANO RENZO / ROGERS RICHARD Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "Le Bauhaus de Dessau", Walter Gropius. (F. Compain) - 2. "L'Ecole de Siza", Alvaro Siza. (R. Copans, S. Neumann) - 3. "Le Familistère de Guise, une cité radieuse au XIXe", André Godin. (C. Adda) - 4. "Némausus 1, une H.L.M. des années 80", Jean Nouvel. (R. Copans, S. Neumann) - 5. "Le Centre Georges-Pompidou", Renzo Piano et Richard Rogers. (R. Copans) - 6. "La Caisse d'Epargne de Vienne", Otto Wagner. (S. Neumann) Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
contenu dans Coffret Architectures / Collectif
Architectures volume 1 [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : arte vidéo, 1995-2000 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:UrbanismeMots-clés : ARCHITECTURE / BAUHAUS / PARIS / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / CONSTRUCTION / ESPACE URBAIN / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / GARD / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / LOGEMENT SOCIAL / NIMES / POLITIQUE DU LOGEMENT / HISTOIRE DE L’ART / GROPIUS WALTER / BEAUBOURG / PORTO / VIENNE / WAGNER OTTO / HABITATION / AISNE / GUISE / DESSAU / NOUVEL JEAN / *DVD VIDEO / SIZA ALVARO / GODIN ANDRE / PIANO RENZO / ROGERS RICHARD Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "Le Bauhaus de Dessau", Walter Gropius. (F. Compain) - 2. "L'Ecole de Siza", Alvaro Siza. (R. Copans, S. Neumann) - 3. "Le Familistère de Guise, une cité radieuse au XIXe", André Godin. (C. Adda) - 4. "Némausus 1, une H.L.M. des années 80", Jean Nouvel. (R. Copans, S. Neumann) - 5. "Le Centre Georges-Pompidou", Renzo Piano et Richard Rogers. (R. Copans) - 6. "La Caisse d'Epargne de Vienne", Otto Wagner. (S. Neumann) Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102703 96 N.1.1390/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Cinéma d'avant-garde / Peter Weiss
Titre : Cinéma d'avant-garde Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur Editeur : Paris [France] : L'Arche éditeur Année de publication : 1989 Importance : 171 p. Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-243-8 Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Cinéma d'avant-garde [texte imprimé] / Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur . - Paris (France) : L'Arche éditeur, 1989 . - 171 p. : ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-85181-243-8
Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302290 17 H.1.00822 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne / Jean-François Tefnin
Titre : Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée Editeur : Communauté Française de Belgique Année de publication : 2005 Note générale : Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie [texte imprimé] / Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée . - Belgique : Communauté Française de Belgique, 2005.
Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302098 18 H.1.02798 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - [S.l.] : Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
Supplément de Indigènes / Rachid Bouchareb
Titre : Dossier pédagogique de "Indigènes" Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Marcon, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Agence Cinéma Education Importance : 20 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Indigènes / Rachid Bouchareb
Dossier pédagogique de "Indigènes" [texte imprimé] / Valérie Marcon, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Agence Cinéma Education, s.d. . - 20 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303684 19 H.1.04339/13 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Titre : Dossier pédagogique de "Le parfum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Metropolitan Films Importance : 19 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Dossier pédagogique de "Le parfum" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Metropolitan Films, s.d. . - 19 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303686 19 H.1.04339/15 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Titre : Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyril Beghin, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale : Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) [texte imprimé] / Cyril Beghin, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302676 19 H.1.04339/21 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Supplément de The Truman Show / Peter Weir
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de The Truman Show / Peter Weir
Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303675 19 H.1.04339/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Esthétique de la mise en scène / René Prédal
Titre : Esthétique de la mise en scène Type de document : texte imprimé Auteurs : René Prédal, Auteur Editeur : Editions du Cerf Année de publication : 2007 Autre Editeur : Editions Corlet Collection : 7e ART Importance : 1 vol. (790 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08386-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : néoréalisme cinéma vérité cinéma réel cinéma moderne classicisme autobiographie direction d'acteurs baroque symbolisme formalisme plan séquence montage Van der Keuken Jean Rouch Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : A l'heure où les recherches sociologiques, économiques, communicationnelles, historiques, proposent des regards éclatés sur les études cinématographiques, cet ouvrage recentre au contraire l'attention sur l'essence même de l'oeuvre filmique. Art du récit, mais aussi de l'agencement d'images et de sons, le cinéma nous parle et suscite des émotions, en animant la beauté de formes créées par la mise en scène. Esthétique de la mise en scène [texte imprimé] / René Prédal, Auteur . - Editions du Cerf : [S.l.] : Editions Corlet, 2007 . - 1 vol. (790 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - (7e ART) .
ISBN : 978-2-204-08386-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : néoréalisme cinéma vérité cinéma réel cinéma moderne classicisme autobiographie direction d'acteurs baroque symbolisme formalisme plan séquence montage Van der Keuken Jean Rouch Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : A l'heure où les recherches sociologiques, économiques, communicationnelles, historiques, proposent des regards éclatés sur les études cinématographiques, cet ouvrage recentre au contraire l'attention sur l'essence même de l'oeuvre filmique. Art du récit, mais aussi de l'agencement d'images et de sons, le cinéma nous parle et suscite des émotions, en animant la beauté de formes créées par la mise en scène. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301955 21 H.1.03056 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 301958 21 H.1.03056 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : L'histoire de France racontée par le cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Dimitri Casali, Auteur ; Céline Bathias, Auteur Editeur : François Bourin Année de publication : 2011 Importance : 288 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84941-266-4 Note générale : Rédigé par deux historiens, cet ouvrage présente des films mettant en scène des événements historiques, de Vercingétorix à l'élection de François Mitterand. Avec 4 pages par film en moyenne, ils présentent le cadre historique et le pitch du film.
Très nombreuses illustrations en couleurs.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Antiquité (-3000 à 600)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Autres (chronologies, critique historique...)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Boom économique
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Colonisation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Communisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Décolonisation / postcolonialisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Dépression
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 14-18
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Révolution industrielle
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):XXIème siècle
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Moyen Age (600 à 1492)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Préhistoire (-2,9 Ma à -3000)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Temps Modernes (1492 à 1789)Mots-clés : Cinéma et histoire France Cinéma français cinéma américain assassinat du duc de guise Attila fléau de Dieu Austerlitz bon voyage Charlemagne-le prince à cheval Danton Désirée Du Guesclin Entrevue de Napoléon et du Pape Exécution de Jeanne d'Arc François 1er Guerre et Paix Henry IV Henry V Hiver 54-l'Abbé Pierre Inglorious Basterds Jeanne d'Arc Jeanne la pucelle Joan the Woman Kindom of Heaven L'affaire Drefus L'armée des ombres L'homme au masque de fer La 317ème section la bataille d'Alger la chanson de Roland la commune la Marseillaise la passion Béatrice la passion de Jeanne d'arc la reine Margot la révolution française la vie est nous Lacombe Lucien le bon roi Dagobert le crime de monsieur lange le grand Charles le jour le plus long le lion en hiver le procès de jeanne d'arc le promeneur du champs de mars le roi danse le septième sceau le silence de la mer les brigades du tigre les cathares les misérables les perles de la couronne les rois maudits les sentiers de la gloire les trois mousquetaires les viking les visiteurs louis-enfant roi Marie Waleewska Marie-Antoinette Milou en mai mourir à 30 ans napoléon nés en 68 papy fait de la résistance Paris brûle-t-il ? Pasteur Ridicule Saint Jeanne Si Versailles m'était conté Une affaire de femme Vatel Vercingétorix-la légende du druide roi violettes impériales vive Henri IV-vive l'amour Waterloo Week-end à Zuydcoote Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Source inépuisable d’inspiration pour les réalisateurs français ou étrangers, l’histoire de France a fait l’objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Le septième art s’est emparé de la vie privée des rois, des affaires judiciaires célèbres, des scandales politiques, des héros connus ou méconnus, des rébellions et autres révolutions, des hauts faits militaires…
Comment le cinéma exploite-t-il et adapte-t-il la réalité historique pour en faire du grand spectacle ? Quelles libertés prend-il avec les faits ? Quels événements, quels personnages inspirent les metteurs en scène ? Lesquels, au contraire sont-ils passés sous silence ? Autant de questions que cet ouvrage richement illustré aborde avec bonheur.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire L'histoire de France racontée par le cinéma [texte imprimé] / Dimitri Casali, Auteur ; Céline Bathias, Auteur . - France : François Bourin, 2011 . - 288 p.
ISBN : 978-2-84941-266-4
Rédigé par deux historiens, cet ouvrage présente des films mettant en scène des événements historiques, de Vercingétorix à l'élection de François Mitterand. Avec 4 pages par film en moyenne, ils présentent le cadre historique et le pitch du film.
Très nombreuses illustrations en couleurs.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Antiquité (-3000 à 600)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Autres (chronologies, critique historique...)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Boom économique
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Colonisation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Communisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Décolonisation / postcolonialisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Dépression
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 14-18
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Révolution industrielle
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):XXIème siècle
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Moyen Age (600 à 1492)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Préhistoire (-2,9 Ma à -3000)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Temps Modernes (1492 à 1789)Mots-clés : Cinéma et histoire France Cinéma français cinéma américain assassinat du duc de guise Attila fléau de Dieu Austerlitz bon voyage Charlemagne-le prince à cheval Danton Désirée Du Guesclin Entrevue de Napoléon et du Pape Exécution de Jeanne d'Arc François 1er Guerre et Paix Henry IV Henry V Hiver 54-l'Abbé Pierre Inglorious Basterds Jeanne d'Arc Jeanne la pucelle Joan the Woman Kindom of Heaven L'affaire Drefus L'armée des ombres L'homme au masque de fer La 317ème section la bataille d'Alger la chanson de Roland la commune la Marseillaise la passion Béatrice la passion de Jeanne d'arc la reine Margot la révolution française la vie est nous Lacombe Lucien le bon roi Dagobert le crime de monsieur lange le grand Charles le jour le plus long le lion en hiver le procès de jeanne d'arc le promeneur du champs de mars le roi danse le septième sceau le silence de la mer les brigades du tigre les cathares les misérables les perles de la couronne les rois maudits les sentiers de la gloire les trois mousquetaires les viking les visiteurs louis-enfant roi Marie Waleewska Marie-Antoinette Milou en mai mourir à 30 ans napoléon nés en 68 papy fait de la résistance Paris brûle-t-il ? Pasteur Ridicule Saint Jeanne Si Versailles m'était conté Une affaire de femme Vatel Vercingétorix-la légende du druide roi violettes impériales vive Henri IV-vive l'amour Waterloo Week-end à Zuydcoote Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Source inépuisable d’inspiration pour les réalisateurs français ou étrangers, l’histoire de France a fait l’objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Le septième art s’est emparé de la vie privée des rois, des affaires judiciaires célèbres, des scandales politiques, des héros connus ou méconnus, des rébellions et autres révolutions, des hauts faits militaires…
Comment le cinéma exploite-t-il et adapte-t-il la réalité historique pour en faire du grand spectacle ? Quelles libertés prend-il avec les faits ? Quels événements, quels personnages inspirent les metteurs en scène ? Lesquels, au contraire sont-ils passés sous silence ? Autant de questions que cet ouvrage richement illustré aborde avec bonheur.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URLL'homosexualité au cinéma / Didier Roth-Bettoni
Titre : L'homosexualité au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Roth-Bettoni, Auteur Editeur : La Musardine Année de publication : 2007 Importance : 1 vol., 747 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84271-271-6 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Lesbiennes Gay Homosexualité Mort à Venise L'Homme blessé Victor Victoria Le Secret de Brokeback Mountain érotisme Greta Garbo Rainer Werner Fassbinder Rock Hudson Barbara Hammer Wong Kar-wai Youssef Chahine Jean Cocteau Gus Van Sant Pedro Almodovar François Ozon Pier Paolo Pasolini cinéma asiatique sexe censure stéréotype queen Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Quand le cinéma fait son coming-out... De l'aube du cinéma à aujourd'hui, l'histoire des représentations des gays et des lesbiennes détaillée par grandes périodes et par pays. Ce livre propose également des encadrés sur des personnalités, des genres spécifiques, des films, des phénomènes ou des approches singulières de ce 'genre' cinématographique.
Unique en son genre, ce livre offre un panorama très complet des multiples représentations des gays et des lesbiennes dans le 7e art, de son invention à nos jours. Un tour d'horizon qui ne se limite pas au cinéma gay ni aux grands films parlant d'homosexualité (Mort à Venise, L'Homme blessé, Victor Victoria, Le Secret de Brokeback Mountain...) mais qui englobe des genres plus secrets (le western, le flirt noir) ou plus inattendus (les duos comiques à la Laurel et Hardy, les comédies franchouillardes, le cinéma d'horreur), sans oublier l'érotisme. La manière dont le cinéma parle d'homosexualité est tout sauf neutre : que les homosexuels soient réprimés ou tolérés, les films en portent la trace. C'est cette histoire complexe, où se mêlent des aspects purement cinématographiques et d'autres de nature plus politique, que cet ouvrage s'efforce de retracer. Greta Garbo, Rainer Werner Fassbinder, Rock Hudson, Barbara Hammer, Wong Kar-wai, Youssef Chahine, Jean Cocteau, Gus Van Sant, Pedro Almodovar, François Ozon, Pier Paolo Pasolini et Rose Troche font partie de ce voyage à la fois chronologique et géographique à travers plus de 5 000 films et 600 photographies.Pays : France L'homosexualité au cinéma [texte imprimé] / Didier Roth-Bettoni, Auteur . - [S.l.] : La Musardine, 2007 . - 1 vol., 747 p. : ill., couv. ill. en coul.
ISBN : 978-2-84271-271-6
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Lesbiennes Gay Homosexualité Mort à Venise L'Homme blessé Victor Victoria Le Secret de Brokeback Mountain érotisme Greta Garbo Rainer Werner Fassbinder Rock Hudson Barbara Hammer Wong Kar-wai Youssef Chahine Jean Cocteau Gus Van Sant Pedro Almodovar François Ozon Pier Paolo Pasolini cinéma asiatique sexe censure stéréotype queen Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Quand le cinéma fait son coming-out... De l'aube du cinéma à aujourd'hui, l'histoire des représentations des gays et des lesbiennes détaillée par grandes périodes et par pays. Ce livre propose également des encadrés sur des personnalités, des genres spécifiques, des films, des phénomènes ou des approches singulières de ce 'genre' cinématographique.
Unique en son genre, ce livre offre un panorama très complet des multiples représentations des gays et des lesbiennes dans le 7e art, de son invention à nos jours. Un tour d'horizon qui ne se limite pas au cinéma gay ni aux grands films parlant d'homosexualité (Mort à Venise, L'Homme blessé, Victor Victoria, Le Secret de Brokeback Mountain...) mais qui englobe des genres plus secrets (le western, le flirt noir) ou plus inattendus (les duos comiques à la Laurel et Hardy, les comédies franchouillardes, le cinéma d'horreur), sans oublier l'érotisme. La manière dont le cinéma parle d'homosexualité est tout sauf neutre : que les homosexuels soient réprimés ou tolérés, les films en portent la trace. C'est cette histoire complexe, où se mêlent des aspects purement cinématographiques et d'autres de nature plus politique, que cet ouvrage s'efforce de retracer. Greta Garbo, Rainer Werner Fassbinder, Rock Hudson, Barbara Hammer, Wong Kar-wai, Youssef Chahine, Jean Cocteau, Gus Van Sant, Pedro Almodovar, François Ozon, Pier Paolo Pasolini et Rose Troche font partie de ce voyage à la fois chronologique et géographique à travers plus de 5 000 films et 600 photographies.Pays : France Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301762 17 H.1.02981 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : L'imaginaire du complot. Discours d'extrême-droite en France et aux Etats-Unis Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Jamin, Auteur Editeur : Amsterdam University Press Année de publication : 2009 Collection : IMISCOE (International Migration, Integration and Social Cohesion in Europe) Importance : 350 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-90-89640-48-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Communication d'entreprise:Relations publiquesMots-clés : communication politique parti politique front national FN Jean-Marie Le Pen conspirationnisme complotisme populisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Le nationalisme, la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, l’opposition aux élites, la stigmatisation des étrangers, les discours anti-immigrés, mais aussi l’autoritarisme, l'idéologie 'loi et ordre' (Law and Order), l’antiparlementarisme et l’anticommunisme constituent quelques-uns des termes les plus souvent utilisés dans la littérature consacrée au populisme et à l’extrême droite. En fonction des partis politiques concernés, des contextes institutionnels et des particularités nationales et géographiques, ils prennent une dimension centrale ou secondaire. Sur la base d’une comparaison entre la France et les Etats-Unis, l’ouvrage vise à démontrer que l’ensemble de ces concepts entretiennent tous à des degrés divers un rapport fondamental avec un “imaginaire du complot”, c'est-à-dire avec un monde de significations structuré et cohérent qui privilégie la théorie du complot pour expliquer la politique et l’histoire. Note de contenu : Table des matières
Remerciements 6
Introduction 7
Questions et enjeux de la question 13
Règles de citations, mode de référence et normes bibliographiques 14
Méthodologie générale 16
1. Le cadre conceptuel 18
Le conspirationnisme 18
L’imaginaire 20
Le populisme et l’extrême droite 23
2. Une construction idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 24
3. L’analyse des données par déduction théorique et induction empirique 25
4. L’objet d’étude choisi 26
5. L’approche théorique 29
6. L’approche empirique 30
Etats-Unis et France 32
I. Le conspirationnisme dans les discours politiques 38
1. Conspirationnisme, populisme et extrême droite 39
2. Complot et théorie du complot 39
3. Le schéma narratif idéal de la théorie du complot 41
3.1. La première catégorie d’acteurs 41
Diabolisation 44
Préjugés et stéréotypes 44
La logique du bouc émissaire 45
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 48
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 49
4. Les exemples paradigmatiques du discours conspirationniste 52
4.1. Les illuminés de Bavière et le complot maçonnique 53
4.2. Le complot juif, judéo-maçonnique et judéo-bolchevique 55
Les Protocoles des Sages de Sion 56
Nazisme et antisémitisme 59
Antisémitisme et négationnisme 62
4.3. Le complot mondialiste et américano-sioniste 65
5. Epistémologie et fondements métaphysiques de la théorie du complot 70
5.1. Les postulats et les fondements ontologiques 72
5.2. L’herméneutique de la suspicion 74
5.3. Une nouvelle théorie de la connaissance : des principes et des causalités radicales 77
6. Les enjeux de la théorie du complot 81
Un monde complexe mais cohérent 82
Religion, démonologie et diabolectique 85
7. La formulation idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 87
II. Approche déductive et théorique 89
A : Qu’est-ce que le populisme ? 90
1. Populisme : définition générale 91
2. Populisme : caractéristiques idéologiques 93
2.1. Le peuple 94
Une majorité plébéienne 95
Un peuple homogène 96
Un peuple laborieux 97
Métaphysique du peuple : essai d’interprétation 101
2.2. Les élites 103
Une minorité élitiste 103
Une élite cosmopolite 104
Une minorité usurière 105
Métaphysique de l’élite : essai d’interprétation 106
2.3. La tension entre le peuple et les élites 108
Une vision duale du combat social et politique 108
Une interprétation polémique du combat politique 109
Des identités négatives 110
2.4. Le guide charismatique 111
Un homme du peuple 112
Un homme providentiel 114
Un leader charismatique 114
2.5. Eclipser le politique 116
Un appel à la démocratie 116
Réduire la distance entre le peuple et le pouvoir 117
Eclipser le temps et la politique 118
B. Qu’est-ce que le producérisme ? 120
1. Le producérisme : définition théorique 121
2. Producérisme et politique 123
2.1. Le peuple des producteurs 124
2.2. Le peuple et les parasites 125
2.3. Les parasites : une alliance objective 126
3. Producérisme et populisme 129
3.1. Le peuple des producteurs 130
3.2. Les "parasites d’en haut" 130
3.3. Les "parasites d’en bas" 131
3.4. Métaphysique du peuple et des "parasites" 132
C. Qu’est-ce que l’extrême droite ? 135
1. Etudier l’extrême droite 136
1.1. Les multiples facettes d’une catégorie d’analyse 138
1.2. La droite et la gauche 139
1.3. L’extrémisme politique 141
2. Définir l’extrême droite 142
3. L’univers idéologique de l’extrême droite 143
3.1. L’inégalitarisme 144
3.1.1. Inégalitarisme biologisant 147
3.1.2. Inégalitarisme culturel 149
3.1.3. Conclusions sur l’inégalitarisme 153
3.2. Le nationalisme 156
3.2.1. Nationalisme et phobies 160
3.2.2. Conclusions sur le nationalisme 163
3.3. Le radicalisme 164
3.3.1. L’anti-isme 165
3.3.2. Radicalisme et démocratie 167
3.3.3. L’idéologie Law and Order 169
4. Tradition et modernité 170
D. Conclusion partielle 175
1. Populisme, producérisme et conspirationnisme 176
2. Extrême droite et conspirationnisme 178
3. Les discours étudiés et le tableau idéal 180
4. Considérations finales 183
III. Approche inductive et empirique 185
A. Méthodologie 186
1. L’objet d’étude choisi 187
2. Choix du terrain 187
2.1. Qu’est-ce qu’un discours politique ? 189
2.2. Le choix des sources 191
2.2.1. Le premier type de données 192
2.2.2. Le deuxième type de données 195
2.2.3. Le troisième type de données 196
2.3. La collecte des sources 197
3. L’analyse quantitative et qualitative 199
4. L’identification et le classement des données 201
5. Le traitement et l’analyse des données 205
6. L’idéaltype et son caractère structurant 208
B. L’imaginaire conspirationniste chez Pat Buchanan et Jean Marie Le Pen 209
1. Pat Buchanan 210
1.1. Biographie 210
1.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 212
1.2.1. Populisme 212
1.2.2. Extrême droite 215
1.2.3. Conclusions 222
2. Jean-Marie Le Pen 223
2.1. Biographie 223
2.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 226
2.2.1. Populisme 226
2.2.2. Extrême droite 228
2.2.3. Conclusions 233
3. L’imaginaire conspirationniste 233
3.1. La première catégorie d’acteurs 234
3.1.1. Buchanan, les agents de la révolution et le Nouvel ordre mondial (New World Order) 234
- Le catéchisme de la révolution 243
- L’idéologie : L’humanisme individualiste et athée 244
- Tuer la "race" blanche 249
- Démanteler les frontières : Buchanan et les "vandales du multiculturalisme" 252
- L’Islam et le "Nouvel ordre mondial" 259
3.1.2. Le Pen, l’Etablissement et le "Nouvel ordre mondial" 260
- La nouvelle religion 269
- Tuer la "race" blanche 272
- Démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 274
3.1.3. Approche comparative : la première catégorie d’acteurs 286
- Le catéchisme de la révolution et la nouvelle religion 291
- Tuer la "race" blanche, démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 291
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 296
3.2.1. Buchanan et l’Amérique blanche et chrétienne 296
3.2.2. Le Pen, la France et les Français 298
3.2.3. Approche comparative : la deuxième catégorie d’acteurs 299
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 300
3.3.1. Buchanan et ses adeptes 300
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 301
3.3.2. Le Pen et ses adeptes 304
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 305
3.3.3. Approche comparative : la troisième catégorie d’acteurs 308
4. La place du conspirationnisme dans le terrain étudié 309
4.1. L’imaginaire conspirationniste chez Buchanan 309
4.2. L’imaginaire conspirationniste chez Le Pen 313
4.3. La dimension structurante du conspirationnis me dans le terrain étudié 317
C. Conclusion partielle 322
Conclusion générale 328Genre : Essai Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universaitaire L'imaginaire du complot. Discours d'extrême-droite en France et aux Etats-Unis [texte imprimé] / Jérôme Jamin, Auteur . - Amsterdam University Press, 2009 . - 350 p.. - (IMISCOE (International Migration, Integration and Social Cohesion in Europe)) .
ISBN : 978-90-89640-48-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Communication d'entreprise:Relations publiquesMots-clés : communication politique parti politique front national FN Jean-Marie Le Pen conspirationnisme complotisme populisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Le nationalisme, la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, l’opposition aux élites, la stigmatisation des étrangers, les discours anti-immigrés, mais aussi l’autoritarisme, l'idéologie 'loi et ordre' (Law and Order), l’antiparlementarisme et l’anticommunisme constituent quelques-uns des termes les plus souvent utilisés dans la littérature consacrée au populisme et à l’extrême droite. En fonction des partis politiques concernés, des contextes institutionnels et des particularités nationales et géographiques, ils prennent une dimension centrale ou secondaire. Sur la base d’une comparaison entre la France et les Etats-Unis, l’ouvrage vise à démontrer que l’ensemble de ces concepts entretiennent tous à des degrés divers un rapport fondamental avec un “imaginaire du complot”, c'est-à-dire avec un monde de significations structuré et cohérent qui privilégie la théorie du complot pour expliquer la politique et l’histoire. Note de contenu : Table des matières
Remerciements 6
Introduction 7
Questions et enjeux de la question 13
Règles de citations, mode de référence et normes bibliographiques 14
Méthodologie générale 16
1. Le cadre conceptuel 18
Le conspirationnisme 18
L’imaginaire 20
Le populisme et l’extrême droite 23
2. Une construction idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 24
3. L’analyse des données par déduction théorique et induction empirique 25
4. L’objet d’étude choisi 26
5. L’approche théorique 29
6. L’approche empirique 30
Etats-Unis et France 32
I. Le conspirationnisme dans les discours politiques 38
1. Conspirationnisme, populisme et extrême droite 39
2. Complot et théorie du complot 39
3. Le schéma narratif idéal de la théorie du complot 41
3.1. La première catégorie d’acteurs 41
Diabolisation 44
Préjugés et stéréotypes 44
La logique du bouc émissaire 45
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 48
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 49
4. Les exemples paradigmatiques du discours conspirationniste 52
4.1. Les illuminés de Bavière et le complot maçonnique 53
4.2. Le complot juif, judéo-maçonnique et judéo-bolchevique 55
Les Protocoles des Sages de Sion 56
Nazisme et antisémitisme 59
Antisémitisme et négationnisme 62
4.3. Le complot mondialiste et américano-sioniste 65
5. Epistémologie et fondements métaphysiques de la théorie du complot 70
5.1. Les postulats et les fondements ontologiques 72
5.2. L’herméneutique de la suspicion 74
5.3. Une nouvelle théorie de la connaissance : des principes et des causalités radicales 77
6. Les enjeux de la théorie du complot 81
Un monde complexe mais cohérent 82
Religion, démonologie et diabolectique 85
7. La formulation idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 87
II. Approche déductive et théorique 89
A : Qu’est-ce que le populisme ? 90
1. Populisme : définition générale 91
2. Populisme : caractéristiques idéologiques 93
2.1. Le peuple 94
Une majorité plébéienne 95
Un peuple homogène 96
Un peuple laborieux 97
Métaphysique du peuple : essai d’interprétation 101
2.2. Les élites 103
Une minorité élitiste 103
Une élite cosmopolite 104
Une minorité usurière 105
Métaphysique de l’élite : essai d’interprétation 106
2.3. La tension entre le peuple et les élites 108
Une vision duale du combat social et politique 108
Une interprétation polémique du combat politique 109
Des identités négatives 110
2.4. Le guide charismatique 111
Un homme du peuple 112
Un homme providentiel 114
Un leader charismatique 114
2.5. Eclipser le politique 116
Un appel à la démocratie 116
Réduire la distance entre le peuple et le pouvoir 117
Eclipser le temps et la politique 118
B. Qu’est-ce que le producérisme ? 120
1. Le producérisme : définition théorique 121
2. Producérisme et politique 123
2.1. Le peuple des producteurs 124
2.2. Le peuple et les parasites 125
2.3. Les parasites : une alliance objective 126
3. Producérisme et populisme 129
3.1. Le peuple des producteurs 130
3.2. Les "parasites d’en haut" 130
3.3. Les "parasites d’en bas" 131
3.4. Métaphysique du peuple et des "parasites" 132
C. Qu’est-ce que l’extrême droite ? 135
1. Etudier l’extrême droite 136
1.1. Les multiples facettes d’une catégorie d’analyse 138
1.2. La droite et la gauche 139
1.3. L’extrémisme politique 141
2. Définir l’extrême droite 142
3. L’univers idéologique de l’extrême droite 143
3.1. L’inégalitarisme 144
3.1.1. Inégalitarisme biologisant 147
3.1.2. Inégalitarisme culturel 149
3.1.3. Conclusions sur l’inégalitarisme 153
3.2. Le nationalisme 156
3.2.1. Nationalisme et phobies 160
3.2.2. Conclusions sur le nationalisme 163
3.3. Le radicalisme 164
3.3.1. L’anti-isme 165
3.3.2. Radicalisme et démocratie 167
3.3.3. L’idéologie Law and Order 169
4. Tradition et modernité 170
D. Conclusion partielle 175
1. Populisme, producérisme et conspirationnisme 176
2. Extrême droite et conspirationnisme 178
3. Les discours étudiés et le tableau idéal 180
4. Considérations finales 183
III. Approche inductive et empirique 185
A. Méthodologie 186
1. L’objet d’étude choisi 187
2. Choix du terrain 187
2.1. Qu’est-ce qu’un discours politique ? 189
2.2. Le choix des sources 191
2.2.1. Le premier type de données 192
2.2.2. Le deuxième type de données 195
2.2.3. Le troisième type de données 196
2.3. La collecte des sources 197
3. L’analyse quantitative et qualitative 199
4. L’identification et le classement des données 201
5. Le traitement et l’analyse des données 205
6. L’idéaltype et son caractère structurant 208
B. L’imaginaire conspirationniste chez Pat Buchanan et Jean Marie Le Pen 209
1. Pat Buchanan 210
1.1. Biographie 210
1.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 212
1.2.1. Populisme 212
1.2.2. Extrême droite 215
1.2.3. Conclusions 222
2. Jean-Marie Le Pen 223
2.1. Biographie 223
2.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 226
2.2.1. Populisme 226
2.2.2. Extrême droite 228
2.2.3. Conclusions 233
3. L’imaginaire conspirationniste 233
3.1. La première catégorie d’acteurs 234
3.1.1. Buchanan, les agents de la révolution et le Nouvel ordre mondial (New World Order) 234
- Le catéchisme de la révolution 243
- L’idéologie : L’humanisme individualiste et athée 244
- Tuer la "race" blanche 249
- Démanteler les frontières : Buchanan et les "vandales du multiculturalisme" 252
- L’Islam et le "Nouvel ordre mondial" 259
3.1.2. Le Pen, l’Etablissement et le "Nouvel ordre mondial" 260
- La nouvelle religion 269
- Tuer la "race" blanche 272
- Démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 274
3.1.3. Approche comparative : la première catégorie d’acteurs 286
- Le catéchisme de la révolution et la nouvelle religion 291
- Tuer la "race" blanche, démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 291
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 296
3.2.1. Buchanan et l’Amérique blanche et chrétienne 296
3.2.2. Le Pen, la France et les Français 298
3.2.3. Approche comparative : la deuxième catégorie d’acteurs 299
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 300
3.3.1. Buchanan et ses adeptes 300
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 301
3.3.2. Le Pen et ses adeptes 304
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 305
3.3.3. Approche comparative : la troisième catégorie d’acteurs 308
4. La place du conspirationnisme dans le terrain étudié 309
4.1. L’imaginaire conspirationniste chez Buchanan 309
4.2. L’imaginaire conspirationniste chez Le Pen 313
4.3. La dimension structurante du conspirationnis me dans le terrain étudié 317
C. Conclusion partielle 322
Conclusion générale 328Genre : Essai Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304871 51.1 H.1.04878 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304871.jpgImage JpegJean-Luc Godard par Jean-Luc Godard / Jean-Luc Godard
Titre : Jean-Luc Godard par Jean-Luc Godard : Articles, essais, entretiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur Editeur : Paris : Pierre Belfond Année de publication : 1968 Collection : Collection des Cahiers du Cinéma Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, Deux ou trois choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 à la mostra de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jean-Luc Godard nouvelle vague cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
'Godard par Godard', série en trois tomes retracent la carrière du réalisateur. Les années 50 et 60, période marquée par la nouvelle vague et mai 68. Puis viennent les années 1984-1998 dans le deuxième volet, analyse et évolution de son œuvre. Et enfin, le dernier tome, 'Des années Mao aux années 80', livre la réflexion du réalisateur sur l'évolution de sa carrière.Jean-Luc Godard par Jean-Luc Godard : Articles, essais, entretiens [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur . - Pierre Belfond, 1968. - (Collection des Cahiers du Cinéma) .
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, Deux ou trois choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 à la mostra de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jean-Luc Godard nouvelle vague cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
'Godard par Godard', série en trois tomes retracent la carrière du réalisateur. Les années 50 et 60, période marquée par la nouvelle vague et mai 68. Puis viennent les années 1984-1998 dans le deuxième volet, analyse et évolution de son œuvre. Et enfin, le dernier tome, 'Des années Mao aux années 80', livre la réflexion du réalisateur sur l'évolution de sa carrière.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302135 18 H.1.01156 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Accompagne La Jetée / Chris Marker
Titre : La Jetée. Ciné-Roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Editions de l'Eclat Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84162-165-1 Note générale : La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux Jean Négroni André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
Accompagne La Jetée / Chris Marker
La Jetée. Ciné-Roman [texte imprimé] / Chris Marker (1921-....), Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Editions de l'Eclat, [s.d.] . - 1 vol.
ISBN : 978-2-84162-165-1
La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d'une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d'œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait, si l'on excepte une courte séquence filmée, un diaporama de photographies en noir et blanc (un « photo-roman » selon le générique), commentées par un narrateur unique et accompagnées d'une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu'on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : La Jetée Chris Marker Jean-César Chiabaut Antoine Bonfanti Trevor Duncan Piotr Gontcharov Jean Négroni Jean Ravel Argos Films Hélène Châtelain Davos Hanich Jacques Ledoux Jean Négroni André Heinrich Ligia Branice Court-métrage Cinéma français Roman photo Ciné-roman Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : « Ceci est l'histoire d'un homme marqué par un souvenir d'enfance ». Enfant, le héros se rend souvent avec ses parents à l'aéroport d'Orly. Un jour, il assiste à un événement dramatique qui va le marquer, mais qu'il ne comprendra que plus tard. Un homme meurt sous les yeux d'une femme dont il gardera en mémoire les traits. Puis la Troisième Guerre mondiale survient qui détruit toute la surface de la Terre. À Paris, les survivants se réfugient dans les sous-sols.
Le héros, prisonnier dans un camp souterrain sous Chaillot, est alors le cobaye de scientifiques qui cherchent à l'envoyer dans le passé pour établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie, bref d'« appeler le passé et l'avenir au secours du présent ». Il a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle et de l'image très forte et présente du traumatisme qu'il a connu sur la jetée d'Orly. Ce souvenir empêchera que le transport temporel ne le rende fou.
Renvoyé à plusieurs reprises dans le passé, l'homme retrouve la femme de ses souvenirs. Au fur et à mesure de ses visites temporelles, il entame une liaison avec elle. Une fois le succès du retour vers le passé confirmé, les scientifiques du camp envoient leur cobaye dans le futur, opération plus délicate. Le héros y retrouve des hommes de l'avenir, qui lui confient un générateur susceptible de sauver l'époque d'où il vient. Comme eux aussi voyagent dans le temps, l'homme demande à retourner définitivement à l'époque qui précédait la guerre. Il est envoyé à Orly, le jour de son souvenir. Il se précipite pour rejoindre la femme, mais est tué par un des hommes du camp qui le retenait prisonnier. Il comprend alors que le souvenir d'enfance qui l'avait marqué n'était autre que celui de sa propre mort.
Note de contenu : Ce court-métrage réalisé en 1962 valut à son auteur une renommée internationale (Terry Giliam s’en inspira plus tard pour son « Armée des 12 singes »). Véritable « photo-roman », « La Jetée » se situe, à Paris, après la troisième guerre mondiale, et la destruction de la Terre. Des scientifiques réfugiés sous terre cherchent à établir un corridor temporel afin de permettre aux hommes du futur de changer d’époque. Un cobaye a été choisi en raison de sa très bonne mémoire visuelle : il garde une image très forte d’un événement vécu pendant son enfance, sur la jetée de l’aéroport d’Orly…
« La Jetée » paraît aujourd’hui sous forme d’un livre qui reprend l’ensemble des photographies et le texte dans sa version intégrale.
Le film a reçu 21 voix parmi celles des 78 critiques qui ont établi en 2008 une liste des 100 films pour une cinémathèque idéale, ouvrage dirigé par Claude-Jean Philippe pour les Cahiers du cinéma. Par ailleurs, il a été classé en 2010 à la 37e position des Essential 100, les cent meilleurs films de l'histoire du cinéma selon le Festival international du film de Toronto. Le magazine The Village Voice, dans son classement établi en 2000, le classe quant à lui en 66e position. Selon un classement réalisé par la Online Film Critics Society en 2002, il s'agit du 24e meilleur film de science-fiction. En 2003, Steven Jay Schneider, dans ses 1001 films qu'il faut voir avant de mourir (1001 Movies You Must See Before You Die), le place à la 369e place. Enfin, le Time Magazine en fait en 2010 le meilleur film de voyage dans le temps.
Enfant, Chris Marker utilisait un Pathéorama, une visionneuse dans laquelle il se projette des images de films. « Chaque image représentait une scène différente, de sorte que le spectacle s'apparentait plus à une lecture de diapositives qu'à du home-cinéma, mais ces scènes étaient des plans magnifiquement reproduits, de films célèbres, Chaplin, Ben-Hur, le Napoléon d'Abel Gance… ». L'enfant s'amuse alors à joindre à ses images des photos personnelles. Il s'agit peut-être là d'une source d'inspiration pour La Jetée.
La Jetée a été inspiré par Sueurs froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, plusieurs séquences y font explicitement référence, notamment celle du tronc d'arbre symbolisant le Temps. Terry Gilliam est encore plus démonstratif dans L'Armée des douze singes : la scène originale de Vertigo est projetée lorsque James Cole et le Dr. Kathryn Railly se cachent dans un cinéma.
Parmi les autres influences reçues par Chris Marker, il faut citer celle du film Traité de bave et d'éternité (1951) de Isidore Isou qui par l'autonomisation du son avait pour but de le faire s'épanouir pleinement, sans tenir compte de l'image, lui offrant ainsi toute la richesse stylistique de la prose, devenant un véritable roman parlé. C'est ce procédé qui l'inspira notamment pour La Jetée.
Le film est composé uniquement de photographies, à l'exception d'un seul plan, le temps de quelques battements de paupières de l'actrice Hélène Chatelain. Cette séquence filmée, d'une durée de cinq secondes, intervient à la dix-huitième minute. Par ailleurs, certaines images sont si rapprochées dans le temps qu'elles donnent un sentiment d'un ralenti cinématographique.
* Ce film a inspiré L'Armée des douze singes de Terry Gilliam, Les Frissons de l'angoisse de Dario Argento et a fortement marqué Mamoru Oshii qui y fait référence dans son tout premier film, The Red Spectacles lors de la scène finale sur la jetée.
* La Jetée est le nom d'un bar à Tokyo, en hommage à Chris Marker. On le voit quelques secondes dans Sans soleil, ainsi que dans le film Tokyo-Ga de Wim Wenders : Chris Marker en train de tourner Sans soleil y est présent, mais se cache derrière un dessin de chat.
* En 1992, Zone Books fait paraître aux États-Unis une version livre du ciné-roman de La Jetée. Cet ouvrage est réimprimé en 2008 et distribué par le MIT Press. En 2008 également, les éditions Kargo et L'Éclat font de même en France.
* En 1993, le clip de la chanson Jump They Say de David Bowie contient une scène où Bowie incarne le héros de La Jetée lors de l'expérience du voyage dans le temps.
* En 2000 est créé le centre de documentation sur le court-métrage de la ville de Clermont-Ferrand, baptisé « La Jetée » en hommage à ce film.
* En 2003, Jean Négroni, narrateur de La Jetée, interprète pour Arte radio une création sonore mélangeant le texte du film avec celui de Je me souviens de Georges Perec.
* En janvier 2009, le label de musique tchèque Ground Floor Records distribue gratuitement un EP homonyme inspiré du film de Chris Marker réalisé par deux de leurs artistes, Son of a Bricklayer et Shitao.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300011 19 H.1.03186 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : La mort aux trousses Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Du Mesnildot, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
La mort aux trousses [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2007 . - 95 p.. - (Les petits cahiers) .
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301270 19 H.1.04022 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
La_mort_aux_troussesURLLes nuits fauves / Michel Condé
Titre : Les nuits fauves : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1993 Note générale :
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Cyril Collard Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Cyril Collard Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter René-Marc Bini Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Les nuits fauves : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 1993.
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Cyril Collard Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Cyril Collard Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter René-Marc Bini Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302191 19 H.1.01090 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Print the legend / Giorgio Gosetti
Titre : Print the legend : Cinéma et journalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Giorgio Gosetti, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Michel Frodon (1953-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-393-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiquesMots-clés : Orson Welles Abbas Kiarostami Jean-Louis Comolli Michael Moore Carl Bernstein Rodolfo Brancoli Stefano Della Casa Alain Bergala Seymour Chatman Serge Kaganski Franco La Polla Richard R. Ness Jean-François Rauger Michael H. Wilson Jean-Baptiste Thoret Marie-José Mondzain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Print the legend ; c'est un journaliste qui prononce cette phrase dans L'Homme qui tua Liberty Valance, mais c'est l'un des plus grands cinéastes John Ford qui la lui fait dire. Print, copie, voilà l'espace commun à la presse et au cinéma. Mais imprimer quoi ? Le cinéma comme le journalisme ont affaire à la question de la vérité, mais pas de la même manière. The legend, la légende, participe à la construction de la communauté humaine à travers des récits dont est porteur, justement, le cinéma, quand il est du devoir de la presse de fournir des informations exactes et précises. Le cinéma, qui veut raconter " toutes les histoires ", comme dit Godard, aura aussi raconté celles de la presse, ce qui a donné naissance à un genre à part entière, le " film de journalisme " qui prospéra à Hollywood jusqu'aux années cinquante, entretint une véritable mythologie autour du sujet, et marqua le cinéma du monde entier. Aux confins du genre et de sa mise en crise, Citizen Kane d'Orson Welles a ouvert la voie aux nouveaux cinémas des années soixante, quand émergent la crise de conscience et le désenchantement des cinéastes face à l'image qu'ils portent à l'écran : c'est aussi sur lui-même que le cinéaste mène désormais l'enquête. Les films fondés sur des personnages de journalistes et des intrigues scénaristiques en forme d'enquête posent la question esthétique du rapport du cinéma au réel. Le regard sur le monde du personnage de fiction, du journaliste et celui du cinéaste au travail se confondent. Le cinéaste mène l'enquête, tentant de capturer une forme vivante de la réalité, à la recherche de la vérité, infiniment. A tout moment le réel résiste, lui disputant la moindre parcelle de vérité. L'affirmation de son point de vue est sa seule garantie, le cinéaste doit désormais accepter, voire revendiquer, qu'il regarde grâce à un " œil impur ". Simultanément, Le cinéma documentaire devient un enjeu, et ses dispositifs multiples amènent le spectateur à repenser sa croyance en l'image comme représentation transparente de la réalité. Ces histoires et ces expériences aux formes inombrables portent aussi en elles une vision des rapports qu'entretient le cinéma avec le vingtième siècle, simple reflet ou miroir d " formant, témoin éclairé ou maître manipulateur, mémoire vivante ou spectacle frivole... Les auteurs qui ont contribué à cet ouvrage collectif sont cinéastes (Abbas Kiarostami, Jean-Louis Comolli, Michael Moore), journalistes (Carl Bernstein, Rodolfo Brancoli, Stefano Della Casa), philosophe (Marie-José Mondzain), critiques et théoriciens de cinéma (Alain Bergala, Seymour Chatman, Serge Kaganski, Franco La Polla, Richard R. Ness, Jean-François Rauger, Michael H. Wilson, Jean-Baptiste Thoret). Print the legend : Cinéma et journalisme [texte imprimé] / Giorgio Gosetti, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Michel Frodon (1953-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2004.
ISBN : 978-2-86642-393-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiquesMots-clés : Orson Welles Abbas Kiarostami Jean-Louis Comolli Michael Moore Carl Bernstein Rodolfo Brancoli Stefano Della Casa Alain Bergala Seymour Chatman Serge Kaganski Franco La Polla Richard R. Ness Jean-François Rauger Michael H. Wilson Jean-Baptiste Thoret Marie-José Mondzain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Print the legend ; c'est un journaliste qui prononce cette phrase dans L'Homme qui tua Liberty Valance, mais c'est l'un des plus grands cinéastes John Ford qui la lui fait dire. Print, copie, voilà l'espace commun à la presse et au cinéma. Mais imprimer quoi ? Le cinéma comme le journalisme ont affaire à la question de la vérité, mais pas de la même manière. The legend, la légende, participe à la construction de la communauté humaine à travers des récits dont est porteur, justement, le cinéma, quand il est du devoir de la presse de fournir des informations exactes et précises. Le cinéma, qui veut raconter " toutes les histoires ", comme dit Godard, aura aussi raconté celles de la presse, ce qui a donné naissance à un genre à part entière, le " film de journalisme " qui prospéra à Hollywood jusqu'aux années cinquante, entretint une véritable mythologie autour du sujet, et marqua le cinéma du monde entier. Aux confins du genre et de sa mise en crise, Citizen Kane d'Orson Welles a ouvert la voie aux nouveaux cinémas des années soixante, quand émergent la crise de conscience et le désenchantement des cinéastes face à l'image qu'ils portent à l'écran : c'est aussi sur lui-même que le cinéaste mène désormais l'enquête. Les films fondés sur des personnages de journalistes et des intrigues scénaristiques en forme d'enquête posent la question esthétique du rapport du cinéma au réel. Le regard sur le monde du personnage de fiction, du journaliste et celui du cinéaste au travail se confondent. Le cinéaste mène l'enquête, tentant de capturer une forme vivante de la réalité, à la recherche de la vérité, infiniment. A tout moment le réel résiste, lui disputant la moindre parcelle de vérité. L'affirmation de son point de vue est sa seule garantie, le cinéaste doit désormais accepter, voire revendiquer, qu'il regarde grâce à un " œil impur ". Simultanément, Le cinéma documentaire devient un enjeu, et ses dispositifs multiples amènent le spectateur à repenser sa croyance en l'image comme représentation transparente de la réalité. Ces histoires et ces expériences aux formes inombrables portent aussi en elles une vision des rapports qu'entretient le cinéma avec le vingtième siècle, simple reflet ou miroir d " formant, témoin éclairé ou maître manipulateur, mémoire vivante ou spectacle frivole... Les auteurs qui ont contribué à cet ouvrage collectif sont cinéastes (Abbas Kiarostami, Jean-Louis Comolli, Michael Moore), journalistes (Carl Bernstein, Rodolfo Brancoli, Stefano Della Casa), philosophe (Marie-José Mondzain), critiques et théoriciens de cinéma (Alain Bergala, Seymour Chatman, Serge Kaganski, Franco La Polla, Richard R. Ness, Jean-François Rauger, Michael H. Wilson, Jean-Baptiste Thoret). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302395 17 H.1.02630 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Histoire(s) du cinéma, 1. Toutes les histoires/Une histoire seule / Jean-Luc Godard
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Titre de série : Histoire(s) du cinéma, 1 Titre : Toutes les histoires/Une histoire seule Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1998 Autre Editeur : Gaumont Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Histoire(s) du cinéma, 1. Toutes les histoires/Une histoire seule [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard : France : Gaumont, 1998.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302360 17 H.1.01552 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Histoire(s) du cinéma, 2. Seul le cinéma / Fatale beauté / Jean-Luc Godard
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Titre de série : Histoire(s) du cinéma, 2 Titre : Seul le cinéma / Fatale beauté Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1998 Autre Editeur : Gaumont Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Histoire(s) du cinéma, 2. Seul le cinéma / Fatale beauté [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard : France : Gaumont, 1998.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302361 17 H.1.01553 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Histoire(s) du cinéma, 3. La monnaie de l'absolu / Une vague nouvelle / Jean-Luc Godard
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Titre de série : Histoire(s) du cinéma, 3 Titre : La monnaie de l'absolu / Une vague nouvelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1998 Autre Editeur : Gaumont Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Histoire(s) du cinéma, 3. La monnaie de l'absolu / Une vague nouvelle [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard : France : Gaumont, 1998.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302362 17 H.1.01554 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Histoire(s) du cinéma, 4. Le contrôle de l'univers / Les signes parmi nous / Jean-Luc Godard
contenu dans Histoire(s) du cinéma / Jean-Luc Godard
Titre de série : Histoire(s) du cinéma, 4 Titre : Le contrôle de l'univers / Les signes parmi nous Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1998 Autre Editeur : Gaumont Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.
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Histoire(s) du cinéma, 4. Le contrôle de l'univers / Les signes parmi nous [texte imprimé] / Jean-Luc Godard (1930-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard : France : Gaumont, 1998.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean-Luc Godard cinéma français Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Musique, photographie, peinture, gravure, sculpture, littérature, archives, philosophie, poésie, discours, histoire et… cinéma, Godard a mis un s à ses Histoire(s) du cinéma. Le plus attentif des spectateurs sera vite bousculé par un vent puissant qui disloque toujours des morceaux d’histoire et de culture dans un kaléidoscope d’électrochocs permanents. L’œil et l’oreille ne peuvent jamais se poser sur rien de stable. Des fragments, une image, des mots, quelques notes s’échappent cependant du déferlement des Histoire(s) et se suspendent le temps d’un mirage à notre attention ; hors du déluge dans lequel ils sont pris, ils persistent un moment dans le vide puis s’évanouissent. Temps de la disparition où il s’est encore produit à l’écran d’innombrables cataclysmes oculaires et auditifs dont il ne reste que des traces. L’œuvre de Godard impose une contemplation paradoxalement violente parce que l’écran des Histoire(s) est à l’image des plis du temps où sont retenus toutes les souffrances et tout ce qui est inachevé. Ces plis se défont comme des convulsions car ce qui est retenu dans l’oubli ne peut advenir que par jaillissement, saccades, explosions, par en dessous, par derrière, sur les côtés. Le montage permet des substitutions, des surimpressions et des rapprochements qui font du cinéma une grande puissance historique.
« La flamme s’éteindra définitivement à Auschwitz » dit Godard. Le cinéma a été le témoin impuissant et pourtant malgré lui responsable de l’horreur. Le cinéma des Histoire(s) se meurt en même temps qu’il accomplit son devoir de mémoire. La faible force qu’il lui reste concerne le passé. Sauver l’honneur du réel n’est pas sauver le réel, mais lutter contre l’oubli.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302363 17 H.1.01555 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II Titre : Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-289-9 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-289-9
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302374 17 H.1.01919 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III Titre : La Nouvelle Vague Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-223-3 Note générale : Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jacques Rivette Claude Chabrol François Truffaut Alain Resnais Jean-Luc Godard Claude Chabrol Eric Rohmer Jacques Demy André S. Labarthe Le Coup du berger Le Beau Serge Les Quatre Cents Coups Hiroshima mon amour Les Bonnes Femmes L'Année dernière à Marienbad Une femme est une femme Le Signe du lion Vivre sa vie Les Parapluies de Cherbourg Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les cinéastes de la Nouvelle Vague, comme chacun sait, ont fait leurs premières armes comme critiques au sein d’une même revue, les Cahiers du cinéma. C’est là qu’ils ont forgé leur conception du cinéma, ont inventé la « Politique des Auteurs », affûté leurs armes avant de se lancer dans la réalisation.
Comment la revue rend-elle compte de ce mouvement ? Si l’on retrouve bien les premiers films de Truffaut (Les Quatre Cents Coups), Godard (A bout de souffle, Une femme est une femme, Vivre sa vie), Chabrol (Le Beau Serge, Les Bonnes femmes), Rivette (Paris nous appartient), Rohmer (Le Signe du lion)… dans les pages du Cahier critique, si la réflexion sur la situation du cinéma français est à l’ordre du jour, elle n’y est pas toujours synchrone avec le mouvement en marche… les « jeunes turcs » sont au front, tournent ou se préparent à tourner leurs films.
Fin 1962, les Cahiers décident (enfin ?) de faire un numéro spécial Nouvelle Vague. Au sommaire trois entretiens en forme de manifeste : Godard, Chabrol, Truffaut. Ensuite, viendront deux nouveaux entretiens, avec Rohmer, puis Rivette.
La réédition en poche de ces textes et rencontres constitue un document de référence sur un moment essentiel pour comprendre l’histoire du cinéma. L’ensemble est précédé d’un entretien avec André S. Labarthe
Petite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-223-3
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jacques Rivette Claude Chabrol François Truffaut Alain Resnais Jean-Luc Godard Claude Chabrol Eric Rohmer Jacques Demy André S. Labarthe Le Coup du berger Le Beau Serge Les Quatre Cents Coups Hiroshima mon amour Les Bonnes Femmes L'Année dernière à Marienbad Une femme est une femme Le Signe du lion Vivre sa vie Les Parapluies de Cherbourg Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les cinéastes de la Nouvelle Vague, comme chacun sait, ont fait leurs premières armes comme critiques au sein d’une même revue, les Cahiers du cinéma. C’est là qu’ils ont forgé leur conception du cinéma, ont inventé la « Politique des Auteurs », affûté leurs armes avant de se lancer dans la réalisation.
Comment la revue rend-elle compte de ce mouvement ? Si l’on retrouve bien les premiers films de Truffaut (Les Quatre Cents Coups), Godard (A bout de souffle, Une femme est une femme, Vivre sa vie), Chabrol (Le Beau Serge, Les Bonnes femmes), Rivette (Paris nous appartient), Rohmer (Le Signe du lion)… dans les pages du Cahier critique, si la réflexion sur la situation du cinéma français est à l’ordre du jour, elle n’y est pas toujours synchrone avec le mouvement en marche… les « jeunes turcs » sont au front, tournent ou se préparent à tourner leurs films.
Fin 1962, les Cahiers décident (enfin ?) de faire un numéro spécial Nouvelle Vague. Au sommaire trois entretiens en forme de manifeste : Godard, Chabrol, Truffaut. Ensuite, viendront deux nouveaux entretiens, avec Rohmer, puis Rivette.
La réédition en poche de ces textes et rencontres constitue un document de référence sur un moment essentiel pour comprendre l’histoire du cinéma. L’ensemble est précédé d’un entretien avec André S. Labarthe
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302375 17 H.1.01920 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, V. La politique des auteurs / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, V Titre : La politique des auteurs : Les entretiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-273-8 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Roberto Rossellini Fritz Lang Howard Hawks Alfred Hitchcock Luis Bunuel Orson Welles Carl T. Dreyer Robert Bresson Michelangelo Antonioni Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Entretiens : Jean Renoir, Roberto Rossellini, Fritz Lang, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.
La politique des auteurs est sans doute l’idée critique la plus célèbre de l’histoire du cinéma. Quel critique n’en a pas usé ? L’expression est passée dans le langage courant de la critique et le concept semble avoir triomphé, mais n’en conserve pas moins ses ambiguïtés.
Retracer la Politique des auteurs par les textes des Cahiers du cinéma, c’est en raconter la genèse, ses remises en causes et ses contradictions. C’est d’abord remonter à la source, aller à la rencontre de la personnalité critique de son inventeur, François Truffaut chez qui l’amour des metteurs en scène s’accompagne d’une bonne dose de provocation : c’est une construction théorique indissociable d’une politique d’intervention. Elle constitue les premières pages du roman des Cahiers, d’emblée promis au succès. A rendre jaloux tout directeur de revue, à complexer tout critique qui s’aventure sur le terrain. Elle marquera toutes les générations critiques qui vont se succéder aux Cahiers. Et sans nul doute encore aujourd’hui se pose la question pour un critique du bon usage, d’un "usage critique", de la politique des auteurs, savoir discerner ses apports provocateurs et ses intérêts féconds autant que ses jeux de masque et ses effets pervers.Note de contenu :
Entretiens : Jean Renoir, Roberto Rossellini, Fritz Lang, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Petite anthologie des Cahiers du cinéma, V. La politique des auteurs : Les entretiens [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-273-8
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Roberto Rossellini Fritz Lang Howard Hawks Alfred Hitchcock Luis Bunuel Orson Welles Carl T. Dreyer Robert Bresson Michelangelo Antonioni Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Entretiens : Jean Renoir, Roberto Rossellini, Fritz Lang, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.
La politique des auteurs est sans doute l’idée critique la plus célèbre de l’histoire du cinéma. Quel critique n’en a pas usé ? L’expression est passée dans le langage courant de la critique et le concept semble avoir triomphé, mais n’en conserve pas moins ses ambiguïtés.
Retracer la Politique des auteurs par les textes des Cahiers du cinéma, c’est en raconter la genèse, ses remises en causes et ses contradictions. C’est d’abord remonter à la source, aller à la rencontre de la personnalité critique de son inventeur, François Truffaut chez qui l’amour des metteurs en scène s’accompagne d’une bonne dose de provocation : c’est une construction théorique indissociable d’une politique d’intervention. Elle constitue les premières pages du roman des Cahiers, d’emblée promis au succès. A rendre jaloux tout directeur de revue, à complexer tout critique qui s’aventure sur le terrain. Elle marquera toutes les générations critiques qui vont se succéder aux Cahiers. Et sans nul doute encore aujourd’hui se pose la question pour un critique du bon usage, d’un "usage critique", de la politique des auteurs, savoir discerner ses apports provocateurs et ses intérêts féconds autant que ses jeux de masque et ses effets pervers.Note de contenu :
Entretiens : Jean Renoir, Roberto Rossellini, Fritz Lang, Howard Hawks, Alfred Hitchcock, Luis Bunuel, Orson Welles, Carl T. Dreyer, Robert Bresson, Michelangelo Antonioni.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302377 17 H.1.01922 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible