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64 recherche sur le mot-clé 'Jean-Marie Le Pen'
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Titre : L'imaginaire du complot. Discours d'extrême-droite en France et aux Etats-Unis Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Jamin, Auteur Editeur : Amsterdam University Press Année de publication : 2009 Collection : IMISCOE (International Migration, Integration and Social Cohesion in Europe) Importance : 350 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-90-8964-048-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Communication d'entreprise:Relations publiquesMots-clés : communication politique parti politique front national FN Jean-Marie Le Pen conspirationnisme complotisme populisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Le nationalisme, la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, l’opposition aux élites, la stigmatisation des étrangers, les discours anti-immigrés, mais aussi l’autoritarisme, l'idéologie 'loi et ordre' (Law and Order), l’antiparlementarisme et l’anticommunisme constituent quelques-uns des termes les plus souvent utilisés dans la littérature consacrée au populisme et à l’extrême droite. En fonction des partis politiques concernés, des contextes institutionnels et des particularités nationales et géographiques, ils prennent une dimension centrale ou secondaire. Sur la base d’une comparaison entre la France et les Etats-Unis, l’ouvrage vise à démontrer que l’ensemble de ces concepts entretiennent tous à des degrés divers un rapport fondamental avec un “imaginaire du complot”, c'est-à-dire avec un monde de significations structuré et cohérent qui privilégie la théorie du complot pour expliquer la politique et l’histoire. Note de contenu : Table des matières
Remerciements 6
Introduction 7
Questions et enjeux de la question 13
Règles de citations, mode de référence et normes bibliographiques 14
Méthodologie générale 16
1. Le cadre conceptuel 18
Le conspirationnisme 18
L’imaginaire 20
Le populisme et l’extrême droite 23
2. Une construction idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 24
3. L’analyse des données par déduction théorique et induction empirique 25
4. L’objet d’étude choisi 26
5. L’approche théorique 29
6. L’approche empirique 30
Etats-Unis et France 32
I. Le conspirationnisme dans les discours politiques 38
1. Conspirationnisme, populisme et extrême droite 39
2. Complot et théorie du complot 39
3. Le schéma narratif idéal de la théorie du complot 41
3.1. La première catégorie d’acteurs 41
Diabolisation 44
Préjugés et stéréotypes 44
La logique du bouc émissaire 45
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 48
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 49
4. Les exemples paradigmatiques du discours conspirationniste 52
4.1. Les illuminés de Bavière et le complot maçonnique 53
4.2. Le complot juif, judéo-maçonnique et judéo-bolchevique 55
Les Protocoles des Sages de Sion 56
Nazisme et antisémitisme 59
Antisémitisme et négationnisme 62
4.3. Le complot mondialiste et américano-sioniste 65
5. Epistémologie et fondements métaphysiques de la théorie du complot 70
5.1. Les postulats et les fondements ontologiques 72
5.2. L’herméneutique de la suspicion 74
5.3. Une nouvelle théorie de la connaissance : des principes et des causalités radicales 77
6. Les enjeux de la théorie du complot 81
Un monde complexe mais cohérent 82
Religion, démonologie et diabolectique 85
7. La formulation idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 87
II. Approche déductive et théorique 89
A : Qu’est-ce que le populisme ? 90
1. Populisme : définition générale 91
2. Populisme : caractéristiques idéologiques 93
2.1. Le peuple 94
Une majorité plébéienne 95
Un peuple homogène 96
Un peuple laborieux 97
Métaphysique du peuple : essai d’interprétation 101
2.2. Les élites 103
Une minorité élitiste 103
Une élite cosmopolite 104
Une minorité usurière 105
Métaphysique de l’élite : essai d’interprétation 106
2.3. La tension entre le peuple et les élites 108
Une vision duale du combat social et politique 108
Une interprétation polémique du combat politique 109
Des identités négatives 110
2.4. Le guide charismatique 111
Un homme du peuple 112
Un homme providentiel 114
Un leader charismatique 114
2.5. Eclipser le politique 116
Un appel à la démocratie 116
Réduire la distance entre le peuple et le pouvoir 117
Eclipser le temps et la politique 118
B. Qu’est-ce que le producérisme ? 120
1. Le producérisme : définition théorique 121
2. Producérisme et politique 123
2.1. Le peuple des producteurs 124
2.2. Le peuple et les parasites 125
2.3. Les parasites : une alliance objective 126
3. Producérisme et populisme 129
3.1. Le peuple des producteurs 130
3.2. Les "parasites d’en haut" 130
3.3. Les "parasites d’en bas" 131
3.4. Métaphysique du peuple et des "parasites" 132
C. Qu’est-ce que l’extrême droite ? 135
1. Etudier l’extrême droite 136
1.1. Les multiples facettes d’une catégorie d’analyse 138
1.2. La droite et la gauche 139
1.3. L’extrémisme politique 141
2. Définir l’extrême droite 142
3. L’univers idéologique de l’extrême droite 143
3.1. L’inégalitarisme 144
3.1.1. Inégalitarisme biologisant 147
3.1.2. Inégalitarisme culturel 149
3.1.3. Conclusions sur l’inégalitarisme 153
3.2. Le nationalisme 156
3.2.1. Nationalisme et phobies 160
3.2.2. Conclusions sur le nationalisme 163
3.3. Le radicalisme 164
3.3.1. L’anti-isme 165
3.3.2. Radicalisme et démocratie 167
3.3.3. L’idéologie Law and Order 169
4. Tradition et modernité 170
D. Conclusion partielle 175
1. Populisme, producérisme et conspirationnisme 176
2. Extrême droite et conspirationnisme 178
3. Les discours étudiés et le tableau idéal 180
4. Considérations finales 183
III. Approche inductive et empirique 185
A. Méthodologie 186
1. L’objet d’étude choisi 187
2. Choix du terrain 187
2.1. Qu’est-ce qu’un discours politique ? 189
2.2. Le choix des sources 191
2.2.1. Le premier type de données 192
2.2.2. Le deuxième type de données 195
2.2.3. Le troisième type de données 196
2.3. La collecte des sources 197
3. L’analyse quantitative et qualitative 199
4. L’identification et le classement des données 201
5. Le traitement et l’analyse des données 205
6. L’idéaltype et son caractère structurant 208
B. L’imaginaire conspirationniste chez Pat Buchanan et Jean Marie Le Pen 209
1. Pat Buchanan 210
1.1. Biographie 210
1.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 212
1.2.1. Populisme 212
1.2.2. Extrême droite 215
1.2.3. Conclusions 222
2. Jean-Marie Le Pen 223
2.1. Biographie 223
2.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 226
2.2.1. Populisme 226
2.2.2. Extrême droite 228
2.2.3. Conclusions 233
3. L’imaginaire conspirationniste 233
3.1. La première catégorie d’acteurs 234
3.1.1. Buchanan, les agents de la révolution et le Nouvel ordre mondial (New World Order) 234
- Le catéchisme de la révolution 243
- L’idéologie : L’humanisme individualiste et athée 244
- Tuer la "race" blanche 249
- Démanteler les frontières : Buchanan et les "vandales du multiculturalisme" 252
- L’Islam et le "Nouvel ordre mondial" 259
3.1.2. Le Pen, l’Etablissement et le "Nouvel ordre mondial" 260
- La nouvelle religion 269
- Tuer la "race" blanche 272
- Démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 274
3.1.3. Approche comparative : la première catégorie d’acteurs 286
- Le catéchisme de la révolution et la nouvelle religion 291
- Tuer la "race" blanche, démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 291
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 296
3.2.1. Buchanan et l’Amérique blanche et chrétienne 296
3.2.2. Le Pen, la France et les Français 298
3.2.3. Approche comparative : la deuxième catégorie d’acteurs 299
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 300
3.3.1. Buchanan et ses adeptes 300
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 301
3.3.2. Le Pen et ses adeptes 304
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 305
3.3.3. Approche comparative : la troisième catégorie d’acteurs 308
4. La place du conspirationnisme dans le terrain étudié 309
4.1. L’imaginaire conspirationniste chez Buchanan 309
4.2. L’imaginaire conspirationniste chez Le Pen 313
4.3. La dimension structurante du conspirationnis me dans le terrain étudié 317
C. Conclusion partielle 322
Conclusion générale 328Genre : Essai Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universaitaire L'imaginaire du complot. Discours d'extrême-droite en France et aux Etats-Unis [texte imprimé] / Jérôme Jamin, Auteur . - Amsterdam University Press, 2009 . - 350 p.. - (IMISCOE (International Migration, Integration and Social Cohesion in Europe)) .
ISBN : 978-90-8964-048-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education aux médias:Communication d'entreprise:Relations publiquesMots-clés : communication politique parti politique front national FN Jean-Marie Le Pen conspirationnisme complotisme populisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Le nationalisme, la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, l’opposition aux élites, la stigmatisation des étrangers, les discours anti-immigrés, mais aussi l’autoritarisme, l'idéologie 'loi et ordre' (Law and Order), l’antiparlementarisme et l’anticommunisme constituent quelques-uns des termes les plus souvent utilisés dans la littérature consacrée au populisme et à l’extrême droite. En fonction des partis politiques concernés, des contextes institutionnels et des particularités nationales et géographiques, ils prennent une dimension centrale ou secondaire. Sur la base d’une comparaison entre la France et les Etats-Unis, l’ouvrage vise à démontrer que l’ensemble de ces concepts entretiennent tous à des degrés divers un rapport fondamental avec un “imaginaire du complot”, c'est-à-dire avec un monde de significations structuré et cohérent qui privilégie la théorie du complot pour expliquer la politique et l’histoire. Note de contenu : Table des matières
Remerciements 6
Introduction 7
Questions et enjeux de la question 13
Règles de citations, mode de référence et normes bibliographiques 14
Méthodologie générale 16
1. Le cadre conceptuel 18
Le conspirationnisme 18
L’imaginaire 20
Le populisme et l’extrême droite 23
2. Une construction idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 24
3. L’analyse des données par déduction théorique et induction empirique 25
4. L’objet d’étude choisi 26
5. L’approche théorique 29
6. L’approche empirique 30
Etats-Unis et France 32
I. Le conspirationnisme dans les discours politiques 38
1. Conspirationnisme, populisme et extrême droite 39
2. Complot et théorie du complot 39
3. Le schéma narratif idéal de la théorie du complot 41
3.1. La première catégorie d’acteurs 41
Diabolisation 44
Préjugés et stéréotypes 44
La logique du bouc émissaire 45
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 48
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 49
4. Les exemples paradigmatiques du discours conspirationniste 52
4.1. Les illuminés de Bavière et le complot maçonnique 53
4.2. Le complot juif, judéo-maçonnique et judéo-bolchevique 55
Les Protocoles des Sages de Sion 56
Nazisme et antisémitisme 59
Antisémitisme et négationnisme 62
4.3. Le complot mondialiste et américano-sioniste 65
5. Epistémologie et fondements métaphysiques de la théorie du complot 70
5.1. Les postulats et les fondements ontologiques 72
5.2. L’herméneutique de la suspicion 74
5.3. Une nouvelle théorie de la connaissance : des principes et des causalités radicales 77
6. Les enjeux de la théorie du complot 81
Un monde complexe mais cohérent 82
Religion, démonologie et diabolectique 85
7. La formulation idéaltypique de l’imaginaire conspirationniste 87
II. Approche déductive et théorique 89
A : Qu’est-ce que le populisme ? 90
1. Populisme : définition générale 91
2. Populisme : caractéristiques idéologiques 93
2.1. Le peuple 94
Une majorité plébéienne 95
Un peuple homogène 96
Un peuple laborieux 97
Métaphysique du peuple : essai d’interprétation 101
2.2. Les élites 103
Une minorité élitiste 103
Une élite cosmopolite 104
Une minorité usurière 105
Métaphysique de l’élite : essai d’interprétation 106
2.3. La tension entre le peuple et les élites 108
Une vision duale du combat social et politique 108
Une interprétation polémique du combat politique 109
Des identités négatives 110
2.4. Le guide charismatique 111
Un homme du peuple 112
Un homme providentiel 114
Un leader charismatique 114
2.5. Eclipser le politique 116
Un appel à la démocratie 116
Réduire la distance entre le peuple et le pouvoir 117
Eclipser le temps et la politique 118
B. Qu’est-ce que le producérisme ? 120
1. Le producérisme : définition théorique 121
2. Producérisme et politique 123
2.1. Le peuple des producteurs 124
2.2. Le peuple et les parasites 125
2.3. Les parasites : une alliance objective 126
3. Producérisme et populisme 129
3.1. Le peuple des producteurs 130
3.2. Les "parasites d’en haut" 130
3.3. Les "parasites d’en bas" 131
3.4. Métaphysique du peuple et des "parasites" 132
C. Qu’est-ce que l’extrême droite ? 135
1. Etudier l’extrême droite 136
1.1. Les multiples facettes d’une catégorie d’analyse 138
1.2. La droite et la gauche 139
1.3. L’extrémisme politique 141
2. Définir l’extrême droite 142
3. L’univers idéologique de l’extrême droite 143
3.1. L’inégalitarisme 144
3.1.1. Inégalitarisme biologisant 147
3.1.2. Inégalitarisme culturel 149
3.1.3. Conclusions sur l’inégalitarisme 153
3.2. Le nationalisme 156
3.2.1. Nationalisme et phobies 160
3.2.2. Conclusions sur le nationalisme 163
3.3. Le radicalisme 164
3.3.1. L’anti-isme 165
3.3.2. Radicalisme et démocratie 167
3.3.3. L’idéologie Law and Order 169
4. Tradition et modernité 170
D. Conclusion partielle 175
1. Populisme, producérisme et conspirationnisme 176
2. Extrême droite et conspirationnisme 178
3. Les discours étudiés et le tableau idéal 180
4. Considérations finales 183
III. Approche inductive et empirique 185
A. Méthodologie 186
1. L’objet d’étude choisi 187
2. Choix du terrain 187
2.1. Qu’est-ce qu’un discours politique ? 189
2.2. Le choix des sources 191
2.2.1. Le premier type de données 192
2.2.2. Le deuxième type de données 195
2.2.3. Le troisième type de données 196
2.3. La collecte des sources 197
3. L’analyse quantitative et qualitative 199
4. L’identification et le classement des données 201
5. Le traitement et l’analyse des données 205
6. L’idéaltype et son caractère structurant 208
B. L’imaginaire conspirationniste chez Pat Buchanan et Jean Marie Le Pen 209
1. Pat Buchanan 210
1.1. Biographie 210
1.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 212
1.2.1. Populisme 212
1.2.2. Extrême droite 215
1.2.3. Conclusions 222
2. Jean-Marie Le Pen 223
2.1. Biographie 223
2.2. Entre rhétorique populiste et discours d’extrême droite 226
2.2.1. Populisme 226
2.2.2. Extrême droite 228
2.2.3. Conclusions 233
3. L’imaginaire conspirationniste 233
3.1. La première catégorie d’acteurs 234
3.1.1. Buchanan, les agents de la révolution et le Nouvel ordre mondial (New World Order) 234
- Le catéchisme de la révolution 243
- L’idéologie : L’humanisme individualiste et athée 244
- Tuer la "race" blanche 249
- Démanteler les frontières : Buchanan et les "vandales du multiculturalisme" 252
- L’Islam et le "Nouvel ordre mondial" 259
3.1.2. Le Pen, l’Etablissement et le "Nouvel ordre mondial" 260
- La nouvelle religion 269
- Tuer la "race" blanche 272
- Démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 274
3.1.3. Approche comparative : la première catégorie d’acteurs 286
- Le catéchisme de la révolution et la nouvelle religion 291
- Tuer la "race" blanche, démanteler les frontières et favoriser une société multiculturelle 291
3.2. La deuxième catégorie d’acteurs 296
3.2.1. Buchanan et l’Amérique blanche et chrétienne 296
3.2.2. Le Pen, la France et les Français 298
3.2.3. Approche comparative : la deuxième catégorie d’acteurs 299
3.3. La troisième catégorie d’acteurs 300
3.3.1. Buchanan et ses adeptes 300
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 301
3.3.2. Le Pen et ses adeptes 304
Les valeurs à défendre et les politiques à mettre en œuvre 305
3.3.3. Approche comparative : la troisième catégorie d’acteurs 308
4. La place du conspirationnisme dans le terrain étudié 309
4.1. L’imaginaire conspirationniste chez Buchanan 309
4.2. L’imaginaire conspirationniste chez Le Pen 313
4.3. La dimension structurante du conspirationnis me dans le terrain étudié 317
C. Conclusion partielle 322
Conclusion générale 328Genre : Essai Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304871 51.1 H.1.04878 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304871.jpgImage Jpeg La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400008 08.1 H.1.03233 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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