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197 - Avril 1975 - Cinéma 197 - Cinéma karaté : Syrie, Super huit, Chili (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
Titre : 197 - Avril 1975 - Cinéma 197 - Cinéma karaté : Syrie, Super huit, Chili Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication Année de publication : 1975 Importance : 1 vol. (160 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education physique / sportsMots-clés : Bruce Lee karaté super huit la guerre des momies Syrie Résumé :
Éphémérides (15 février - 15 mars 1975) (autre)
FRESNAY Pierre
(nécrologie)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
France
Les interrogations du mois (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Belgique
Panorama soixante-quatorze (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : DAVAY Paul
France
La renaissance du "Collectif Jeune Cinéma" (autre)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Afrique
Alger - Deuxième congrès du cinéma africain (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BOUCHEDIC Ferid
Cannes jeunesse 1974
(festival)
Auteur : GUÉRÉE Dominique
Poitiers 1975
(festival)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Mexique
Poitiers 1975 (cinémas nationaux ou genre)
Knokke-le-Zoutte 1974
(festival)
Auteurs : DAVAY Paul , FARREN Jonathan
Cinéma et karaté (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : HAUSTRATE Gaston , SEYDOU Maïga
Le super 8 pour quoi faire ? - Entretien avec le groupe APIC (autre)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Belgique
Entretien avec le groupe "Expression super 8" (autre)
Auteur : LEBOUC Georges
Bilan technique du super 8 (autre)
Auteurs : BUNIO Maurice , FÉAT Hervé
Guerre des momies (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CERVONI Albert
Guerre des momies (La)
Carnet de travail des réalisateurs (autre)
Syrie
Syrie : un très proche orient (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Syrie
Une évolution difficile au service du cinéma arabe (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : D'EHNY Salah
ANNA Claude d'
à propos de : Trompe-l'œil
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vérités et mensonges
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Mort du directeur du cirque de puces (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Que la fête commence...
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
California split
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Trompe-l'œil
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Au nom de la race
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Aguirre, la colère de Dieu
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Prise de pouvoir par Louis XIV (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Daisy Clover
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Il était une fois un merle chanteur
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Violence et passion
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Mister Brown
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Prisons aussi (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Véronique ou L'Été de mes treize ans
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Fous de vivre
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Jeu avec le feu (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Marjoe
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Plein la gueule
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA MichelGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 197 - Avril 1975 - Cinéma 197 - Cinéma karaté : Syrie, Super huit, Chili [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication . - 1975 . - 1 vol. (160 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education physique / sportsMots-clés : Bruce Lee karaté super huit la guerre des momies Syrie Résumé :
Éphémérides (15 février - 15 mars 1975) (autre)
FRESNAY Pierre
(nécrologie)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
France
Les interrogations du mois (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Belgique
Panorama soixante-quatorze (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : DAVAY Paul
France
La renaissance du "Collectif Jeune Cinéma" (autre)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Afrique
Alger - Deuxième congrès du cinéma africain (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BOUCHEDIC Ferid
Cannes jeunesse 1974
(festival)
Auteur : GUÉRÉE Dominique
Poitiers 1975
(festival)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Mexique
Poitiers 1975 (cinémas nationaux ou genre)
Knokke-le-Zoutte 1974
(festival)
Auteurs : DAVAY Paul , FARREN Jonathan
Cinéma et karaté (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : HAUSTRATE Gaston , SEYDOU Maïga
Le super 8 pour quoi faire ? - Entretien avec le groupe APIC (autre)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Belgique
Entretien avec le groupe "Expression super 8" (autre)
Auteur : LEBOUC Georges
Bilan technique du super 8 (autre)
Auteurs : BUNIO Maurice , FÉAT Hervé
Guerre des momies (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CERVONI Albert
Guerre des momies (La)
Carnet de travail des réalisateurs (autre)
Syrie
Syrie : un très proche orient (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Syrie
Une évolution difficile au service du cinéma arabe (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : D'EHNY Salah
ANNA Claude d'
à propos de : Trompe-l'œil
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vérités et mensonges
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Mort du directeur du cirque de puces (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Que la fête commence...
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
California split
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Trompe-l'œil
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Au nom de la race
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Aguirre, la colère de Dieu
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Prise de pouvoir par Louis XIV (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Daisy Clover
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Il était une fois un merle chanteur
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Violence et passion
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Mister Brown
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Prisons aussi (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Véronique ou L'Été de mes treize ans
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Fous de vivre
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Jeu avec le feu (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Marjoe
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Plein la gueule
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA MichelGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400892 197 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible