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[n° ou bulletin]
Titre : 748 - Octobre 2018 - Lars von trier en enfer Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 98 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma Lars von trier Note de contenu : Éditorial
Sauve qui peut (la presse) par Stéphane Delorme
Événement
The House That Jack Built de Lars von Trier
Le matériau du crime par Joachim Lepastier
Tu étais un Satan pervers et terrifié par Pacôme Thiellement
Faire les films qui manquent entretien avec Lars von Trier – par Joachim Lepastier
Un acteur libre entretien avec Matt Dillon – par Nicholas Elliott
Cahier critique
Mon cher enfant de Mohamed Ben Attia – par Florence Maillard
À court d’explication entretien avec Mohamed Ben Attia – par Ariel Schweitzer & Jean-Philippe Tessé
En liberté! de Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier
Avoir du métier entretien avec Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier & Jean-Philippe Tessé
People That Are Not Me de Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Au cœur de ma génération entretien avec Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Les Âmes Mortes de Wang Bing – par Nicholas Elliott
Rendre la parole entretien avec Wang Bing – par Nicholas Elliott
La Tendre Indifférence du monde d’Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Un cinéma partisan entretien avec Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Girl de Lukas Dhont – par Stéphane du Mesnildot
Six Portraits XL d’Alain Cavalier – par Louis Séguin
First Man de Damien Chazelle – par Jean-Philippe Tessé
Halloween de David Gordon Green – par Vincent Malausa
Le Rouge et le Gris de François Lagarde – par Nicholas Azalbert
L’Envers d’une histoire de Mila Turajlic – par Thierry Méranger
Breaking Away de Peter Yates – par Stéphane du Mesnildot
Notes sur d’autres films A Star is born (Bradley Cooper) – Amin (Philippe Faucon) – L’amour est une fête (Cédric Anger) – L’Autre Rio (Émilie Beaulieu-Guérette) – Blindspotting (Carlos Lopez Estrada) – Capharnaüm (Nadine Labaki) – Chris the Swiss (Anja Kofmel) – Cold War (Pawel Pawlikowski) – Dilili à Paris (Michel Ocelot) – Domingo (Felipe Barbosa & Clara Linhart) – Frères ennemis (David Oelhoffen) – Les Frères Sisters (Jacques Audiard) – Nos batailles (Guillaume Senez) – La Particule humaine (Semih Kaplanolu) – La Saveur des Ramen (Eric Khoo) – Silvio et les autres (Paolo Sorrentino) – Touch Me Not (Adina Pintilie) – Un peuple et son roi (Pierre Schoeller)
Journal
Festival Open bar à Venise
Archives Les riches heures de l’IMEC
Festival La Colombie à Paris
Série Pose, voguing doux
Reprise Monstres japonais (Le Pornographe de Shohei Imamura)
DVD L’arbre vivant (The Tree of Life de Terrence Malick)
DVD Fleischer pervers (La Fille sur la balançoire de Richard Fleischer)
DVD Risi solaire (la « trilogie romaine » de Dino Risi)
Livre/DVD Midi-Minuit 3
Notes livres Ishiro Honda, Humaniste monstre de Fabien Mauro / XYZ de Clemente Palma
Festival Lussas, 30 ans
Festival Sarajevo, des nouvelles des Balkans
Festival 20 ans de cinéma différent
News internationales
Disparition Burt Reynolds
Réplique
La ruée vers l’ORE – ParcourSup à l’os par Laurence Giavarini
Hommage
Kira Mouratova
Kira Mouratova ou la liberté sans conditions par Eugénie Zvonkine
Entretien
Jerzy Skolimowski
Le film des passages entretien avec Jerzy Skolimowski – par Joachim Lepastier
The End
Un jeune homme mélancoliqueGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 748 - Octobre 2018 - Lars von trier en enfer [texte imprimé] . - 2018 . - 98 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma Lars von trier Note de contenu : Éditorial
Sauve qui peut (la presse) par Stéphane Delorme
Événement
The House That Jack Built de Lars von Trier
Le matériau du crime par Joachim Lepastier
Tu étais un Satan pervers et terrifié par Pacôme Thiellement
Faire les films qui manquent entretien avec Lars von Trier – par Joachim Lepastier
Un acteur libre entretien avec Matt Dillon – par Nicholas Elliott
Cahier critique
Mon cher enfant de Mohamed Ben Attia – par Florence Maillard
À court d’explication entretien avec Mohamed Ben Attia – par Ariel Schweitzer & Jean-Philippe Tessé
En liberté! de Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier
Avoir du métier entretien avec Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier & Jean-Philippe Tessé
People That Are Not Me de Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Au cœur de ma génération entretien avec Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Les Âmes Mortes de Wang Bing – par Nicholas Elliott
Rendre la parole entretien avec Wang Bing – par Nicholas Elliott
La Tendre Indifférence du monde d’Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Un cinéma partisan entretien avec Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Girl de Lukas Dhont – par Stéphane du Mesnildot
Six Portraits XL d’Alain Cavalier – par Louis Séguin
First Man de Damien Chazelle – par Jean-Philippe Tessé
Halloween de David Gordon Green – par Vincent Malausa
Le Rouge et le Gris de François Lagarde – par Nicholas Azalbert
L’Envers d’une histoire de Mila Turajlic – par Thierry Méranger
Breaking Away de Peter Yates – par Stéphane du Mesnildot
Notes sur d’autres films A Star is born (Bradley Cooper) – Amin (Philippe Faucon) – L’amour est une fête (Cédric Anger) – L’Autre Rio (Émilie Beaulieu-Guérette) – Blindspotting (Carlos Lopez Estrada) – Capharnaüm (Nadine Labaki) – Chris the Swiss (Anja Kofmel) – Cold War (Pawel Pawlikowski) – Dilili à Paris (Michel Ocelot) – Domingo (Felipe Barbosa & Clara Linhart) – Frères ennemis (David Oelhoffen) – Les Frères Sisters (Jacques Audiard) – Nos batailles (Guillaume Senez) – La Particule humaine (Semih Kaplanolu) – La Saveur des Ramen (Eric Khoo) – Silvio et les autres (Paolo Sorrentino) – Touch Me Not (Adina Pintilie) – Un peuple et son roi (Pierre Schoeller)
Journal
Festival Open bar à Venise
Archives Les riches heures de l’IMEC
Festival La Colombie à Paris
Série Pose, voguing doux
Reprise Monstres japonais (Le Pornographe de Shohei Imamura)
DVD L’arbre vivant (The Tree of Life de Terrence Malick)
DVD Fleischer pervers (La Fille sur la balançoire de Richard Fleischer)
DVD Risi solaire (la « trilogie romaine » de Dino Risi)
Livre/DVD Midi-Minuit 3
Notes livres Ishiro Honda, Humaniste monstre de Fabien Mauro / XYZ de Clemente Palma
Festival Lussas, 30 ans
Festival Sarajevo, des nouvelles des Balkans
Festival 20 ans de cinéma différent
News internationales
Disparition Burt Reynolds
Réplique
La ruée vers l’ORE – ParcourSup à l’os par Laurence Giavarini
Hommage
Kira Mouratova
Kira Mouratova ou la liberté sans conditions par Eugénie Zvonkine
Entretien
Jerzy Skolimowski
Le film des passages entretien avec Jerzy Skolimowski – par Joachim Lepastier
The End
Un jeune homme mélancoliqueGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305224 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305224.pngPortable Network Graphics Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le cinéma français des années 70 Type de document : texte imprimé Auteurs : Freddy Buache, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Préfacier, etc. Editeur : [Paris] : Hatier Année de publication : 1990 Collection : 5 continents Importance : 248 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-218-01673-8 Note générale : Index des films, Index des noms Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Céline et Julie vont en bateau Sautet Melville Tavernier Malle Tati Bresson Resnais Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Rend compte du paysage cinématographique de la décennie : des anciens de la Nouvelle Vague (Truffaut, Godard) à Sautet, Cayatte, Costa-Gavras qui analysent l'air du temps, en passant par Duras, Bresson, Rohmer, éternellement en marge de toutes les modes. Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Le cinéma français des années 70 [texte imprimé] / Freddy Buache, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Préfacier, etc. . - [Paris] : Hatier, 1990 . - 248 p.. - (5 continents) .
ISBN : 978-2-218-01673-8
Index des films, Index des noms
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Céline et Julie vont en bateau Sautet Melville Tavernier Malle Tati Bresson Resnais Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Rend compte du paysage cinématographique de la décennie : des anciens de la Nouvelle Vague (Truffaut, Godard) à Sautet, Cayatte, Costa-Gavras qui analysent l'air du temps, en passant par Duras, Bresson, Rohmer, éternellement en marge de toutes les modes. Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302242 17 H.1.00009 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
302242.jpgImage Jpeg 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antonioni élode de Raimu par Henry Miller Josef von Sternberg [n° ou bulletin] 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antonioni élode de Raimu par Henry Miller Josef von Sternberg Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400703 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
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