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Titre : François Truffaut Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1996 Collection : "NRF" biographies Importance : 659 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-073629-4 Note générale : François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma français nouvelle vague les cahiers du cinéma Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles, et des multiples témoignages de ses amis.
Une naissance au secret, le 6 février 1932, une enfance quasi clandestine au foyer de parents hostiles, la vie de François Truffaut est d'emblée romanesque.
Dans Paris occupé, c'est le temps des quatre cents coups, des amis pour la vie. Lecteur fébrile, spectateur ébloui, il voit et revoit des centaines de filins. À seize ans, il fonde un ciné-club et s'endette. C'est la rupture avec les parents, le centre de redressement, la prison militaire. Mais la personnalité fiévreuse de François Truffaut intrigue et séduit Genet, Cocteau et surtout André Bazin, qui l'accueille, lui permet d'écrire, dans les Cahiers du cinéma.
Très vite, le jeune autodidacte devient le critique vedette des années cinquante. Il rencontre les maîtres qu'il admire, Renoir, Ophuls, Rossellini, Hitchcock. "Le film de demain sera tourné par un aventurier", écrit-il dans Arts. Les quatre cents coups de l'enfance deviennent du cinéma et s'imposent comme un film-manifeste, François Truffaut est le fer de lance de la Nouvelle Vague, crée sa propre maison de production, les Films du Carrosse.
Il est le metteur eu scène et l'ami des plus grandes stars, Jeanne Moreau, Françoise Dorléac, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Fanny Ardant. "Les films sont plus harmonieux que la vie", dira-t-il, mais c'est la vie, la sienne, l'homme sous ses multiples facettes, qui se laisse deviner à travers les personnages de ses vingt et un films : Antoine Doinel, l'adolescent des Quatre Cents Coups, le jeune homme de Baisers volés, le nouveau marié de Domicile conjugal, Ferrand, le metteur en scène amoureux des actrices de La Nuit américaine, Bertrand Morane, le séducteur de L'homme qui aimait Les femmes, julien Davenne, l'homme qui voue sa vie ait culte des morts, l'ami inconsolé de La Chambre verte.
François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir des multiples témoignages de ses amis et de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire François Truffaut [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée . - [Paris] : Gallimard, 1996 . - 659 p. : couv. ill. ; 24 cm. - ("NRF" biographies) .
ISBN : 978-2-07-073629-4
François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma français nouvelle vague les cahiers du cinéma Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles, et des multiples témoignages de ses amis.
Une naissance au secret, le 6 février 1932, une enfance quasi clandestine au foyer de parents hostiles, la vie de François Truffaut est d'emblée romanesque.
Dans Paris occupé, c'est le temps des quatre cents coups, des amis pour la vie. Lecteur fébrile, spectateur ébloui, il voit et revoit des centaines de filins. À seize ans, il fonde un ciné-club et s'endette. C'est la rupture avec les parents, le centre de redressement, la prison militaire. Mais la personnalité fiévreuse de François Truffaut intrigue et séduit Genet, Cocteau et surtout André Bazin, qui l'accueille, lui permet d'écrire, dans les Cahiers du cinéma.
Très vite, le jeune autodidacte devient le critique vedette des années cinquante. Il rencontre les maîtres qu'il admire, Renoir, Ophuls, Rossellini, Hitchcock. "Le film de demain sera tourné par un aventurier", écrit-il dans Arts. Les quatre cents coups de l'enfance deviennent du cinéma et s'imposent comme un film-manifeste, François Truffaut est le fer de lance de la Nouvelle Vague, crée sa propre maison de production, les Films du Carrosse.
Il est le metteur eu scène et l'ami des plus grandes stars, Jeanne Moreau, Françoise Dorléac, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Fanny Ardant. "Les films sont plus harmonieux que la vie", dira-t-il, mais c'est la vie, la sienne, l'homme sous ses multiples facettes, qui se laisse deviner à travers les personnages de ses vingt et un films : Antoine Doinel, l'adolescent des Quatre Cents Coups, le jeune homme de Baisers volés, le nouveau marié de Domicile conjugal, Ferrand, le metteur en scène amoureux des actrices de La Nuit américaine, Bertrand Morane, le séducteur de L'homme qui aimait Les femmes, julien Davenne, l'homme qui voue sa vie ait culte des morts, l'ami inconsolé de La Chambre verte.
François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir des multiples témoignages de ses amis et de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303878 18 H.1.04410 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303878URL François Truffaut / Robert Ingram
Titre : François Truffaut : Filmographie complète 1932-1984 Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Ingram, Auteur ; Paul Duncan (1964-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée Editeur : Köln : Taschen Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-3-8228-2265-4 Note générale : François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma français nouvelle vague François Truffaut Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : INVITATION : Ceci est bien davantage qu'un commentaire mais une chaude recommandation à lire ce livre sur l'œuvre de François TRUFFAUT, au delà de ses films.
Parce qu'il expose tout ce qui fait la richesse de création de TRUFFAUT sur la vie, l'amour, la mort. Pas étonnant que la presse célèbre en 2010 les 50 ans du film "A bout de souffle" de Jean Luc Godard où Truffaut , également de la Nouvelle vague du cinéma français était le co-scénariste avec Chabrol. Mais F TRUFFAUT , par la diversité de ses films , se révèle un auteur aussi créatif qu'inspité. L'éditeur Taschen a réalisé ici un beau livre qu'il faut lire avec le génial tête-à-tête entre TRUFFAUT et Alfred HITCHCOCK aux éditions de la Martinière.François Truffaut : Filmographie complète 1932-1984 [texte imprimé] / Robert Ingram, Auteur ; Paul Duncan (1964-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée . - Köln : Taschen, 2004.
ISBN : 978-3-8228-2265-4
François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma français nouvelle vague François Truffaut Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : INVITATION : Ceci est bien davantage qu'un commentaire mais une chaude recommandation à lire ce livre sur l'œuvre de François TRUFFAUT, au delà de ses films.
Parce qu'il expose tout ce qui fait la richesse de création de TRUFFAUT sur la vie, l'amour, la mort. Pas étonnant que la presse célèbre en 2010 les 50 ans du film "A bout de souffle" de Jean Luc Godard où Truffaut , également de la Nouvelle vague du cinéma français était le co-scénariste avec Chabrol. Mais F TRUFFAUT , par la diversité de ses films , se révèle un auteur aussi créatif qu'inspité. L'éditeur Taschen a réalisé ici un beau livre qu'il faut lire avec le génial tête-à-tête entre TRUFFAUT et Alfred HITCHCOCK aux éditions de la Martinière.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302112 18 H.1.02634 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Tout Truffaut : 23 films pour comprendre l'homme et le cinéaste / Anne Gillain
Titre : Tout Truffaut : 23 films pour comprendre l'homme et le cinéaste Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Gillain, Auteur ; Marie, Michel, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2019 Importance : 296 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-62452-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : nouvelle-vague cinéma réalisation Les Mistons Les 400 coups Tirez sur le pianiste Jules et Jim Antoine et Colette La Peau douce Fahrenheit 451 La mariée était en noir Baisers volés La Sirène du Mississippi L’Enfant sauvage Domicile conjugal Les Deux Anglaises et le continent Une belle fille comme moi La Nuit américaine L’Histoire d’Adèle H. L’Argent de poche L’homme qui aimait les femmes La Chambre verte L’Amour en fuite Le Dernier métro La Femme d’à côté Vivement dimanche Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Dans les derniers films de Truffaut, la nuit règne souveraine. Cette obscurité sur l’écran permet d’éclairer dans chaque plan le monde secret, passionné et violent des personnages. Elle favorise aussi l’identification des spectateurs avec eux. C’était déjà vrai des images si lumineuses de Jules et Jim.
Dans ce livre, Anne Gillain s’attache à définir le lien puissant qui relie entre eux les 23 films de Truffaut, un lien à la fois personnel et esthétique. Elle s’attache aussi à montrer l’intégrité sans faille de cette construction artistique hors norme qui, contre modes et marées, dessine d’un trait sûr les contours du monde obscur que chacun porte en soi.
Son étude chronologique du travail de Truffaut apporte au lecteur une analyse remarquablement précise de chacun de ses films, carnets intimes écrits dans un langage codé d’une grande rigueur et sophistication. En mettant ainsi en lumière la puissance créative du cinéaste, elle nous offre un éclairage subtil et passionnant sur l’une des œuvres d’imagination les plus somptueuses du cinéma français.Note de contenu : Préface de Michel Marie. Avant-propos. Les Mistons (1958). Les 400 coups (1959).Tirez sur le pianiste (1960). Jules et Jim (1962). Antoine et Colette (1962). La Peau douce (1964). Fahrenheit 451 (1966). La mariée était en noir (1967). Baisers volés (1968). La Sirène du Mississippi (1969). L’Enfant sauvage (1970). Domicile conjugal (1970). Les Deux Anglaises et le continent (1971). Une belle fille comme moi (1972). La Nuit américaine (1973). L’Histoire d’Adèle H. (1975). L’Argent de poche (1976). L’homme qui aimait les femmes (1977). La Chambre verte (1978). L’Amour en fuite (1979). Le Dernier métro (1980). La Femme d’à côté (1981). Vivement dimanche ! (1983). Annexe. Bibliographie. Tout Truffaut : 23 films pour comprendre l'homme et le cinéaste [texte imprimé] / Anne Gillain, Auteur ; Marie, Michel, Préfacier, etc. . - Paris [France] : Armand Colin, 2019 . - 296 p.
ISBN : 978-2-200-62452-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : nouvelle-vague cinéma réalisation Les Mistons Les 400 coups Tirez sur le pianiste Jules et Jim Antoine et Colette La Peau douce Fahrenheit 451 La mariée était en noir Baisers volés La Sirène du Mississippi L’Enfant sauvage Domicile conjugal Les Deux Anglaises et le continent Une belle fille comme moi La Nuit américaine L’Histoire d’Adèle H. L’Argent de poche L’homme qui aimait les femmes La Chambre verte L’Amour en fuite Le Dernier métro La Femme d’à côté Vivement dimanche Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Dans les derniers films de Truffaut, la nuit règne souveraine. Cette obscurité sur l’écran permet d’éclairer dans chaque plan le monde secret, passionné et violent des personnages. Elle favorise aussi l’identification des spectateurs avec eux. C’était déjà vrai des images si lumineuses de Jules et Jim.
Dans ce livre, Anne Gillain s’attache à définir le lien puissant qui relie entre eux les 23 films de Truffaut, un lien à la fois personnel et esthétique. Elle s’attache aussi à montrer l’intégrité sans faille de cette construction artistique hors norme qui, contre modes et marées, dessine d’un trait sûr les contours du monde obscur que chacun porte en soi.
Son étude chronologique du travail de Truffaut apporte au lecteur une analyse remarquablement précise de chacun de ses films, carnets intimes écrits dans un langage codé d’une grande rigueur et sophistication. En mettant ainsi en lumière la puissance créative du cinéaste, elle nous offre un éclairage subtil et passionnant sur l’une des œuvres d’imagination les plus somptueuses du cinéma français.Note de contenu : Préface de Michel Marie. Avant-propos. Les Mistons (1958). Les 400 coups (1959).Tirez sur le pianiste (1960). Jules et Jim (1962). Antoine et Colette (1962). La Peau douce (1964). Fahrenheit 451 (1966). La mariée était en noir (1967). Baisers volés (1968). La Sirène du Mississippi (1969). L’Enfant sauvage (1970). Domicile conjugal (1970). Les Deux Anglaises et le continent (1971). Une belle fille comme moi (1972). La Nuit américaine (1973). L’Histoire d’Adèle H. (1975). L’Argent de poche (1976). L’homme qui aimait les femmes (1977). La Chambre verte (1978). L’Amour en fuite (1979). Le Dernier métro (1980). La Femme d’à côté (1981). Vivement dimanche ! (1983). Annexe. Bibliographie. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305292 18 H.1.5184 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Andrzej Wajda / Hadelin Trinon
Titre : Andrzej Wajda Type de document : texte imprimé Auteurs : Hadelin Trinon, Auteur ; Andrzej Wajda, Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1964 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Andrzej Wajda est un réalisateur et scénariste polonais, né le 6 mars 1926 à Suwa (Pologne).
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Mauvais Garçon Zły chłopiec Quand tu dors Kiedy ty śpisz Une fille a parlé Pokolenie Ils aimaient la vie Kanał Cendres et diamant Popiół i diament Lotna La Dernière Charge Niewinni czarodzieje Les Sorciers innocents Lady Macbeth sibérienne Sibirska Ledi Magbet Samson L'Amour à 20 ans Varsovie cinéma polonais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Andrzej Wajda [texte imprimé] / Hadelin Trinon, Auteur ; Andrzej Wajda, Personne honorée . - Editions Seghers, 1964. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Andrzej Wajda est un réalisateur et scénariste polonais, né le 6 mars 1926 à Suwa (Pologne).
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Mauvais Garçon Zły chłopiec Quand tu dors Kiedy ty śpisz Une fille a parlé Pokolenie Ils aimaient la vie Kanał Cendres et diamant Popiół i diament Lotna La Dernière Charge Niewinni czarodzieje Les Sorciers innocents Lady Macbeth sibérienne Sibirska Ledi Magbet Samson L'Amour à 20 ans Varsovie cinéma polonais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302163 18 H.1.00081 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
PermalinkPermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
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