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André Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
Titre : André Delvaux ou le réalisme magique Type de document : texte imprimé Auteurs : Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée Editeur : Editions du Cerf Année de publication : 2006 Autre Editeur : Editions Corlet Collection : 7e ART ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08065-1 Note générale : André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. André Delvaux ou le réalisme magique [texte imprimé] / Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée . - Editions du Cerf : Editions Corlet, 2006. - (7e ART) .
ISBN : 978-2-204-08065-1
André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302095 18 H.1.02850 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Godard : biographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 24 cm Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Godard : biographie [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : B. Grasset, impr. 2010 . - 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 24 cm.
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301917 18 H.1.04220 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
301917URL Jean Epstein / Pierre Leprohon
Titre : Jean Epstein Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Leprohon, Auteur ; Jean Epstein, Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1964 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean Epstein (Varsovie, 25 mars 1897 - Paris, 3 avril 1953), réalisateur de films, essayiste et romancier français
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les Vendanges Pasteur La Montagne infidèle Cœur fidèle La Belle Nivernaise L'Auberge rouge Honoré de Balzac La Goutte de sang L'Affiche Le Lion des Mogols Le Double Amour Les Aventures de Robert Macaire Au pays de George Sand Mauprat Six et demi onze La Glace à trois faces La Chute de la maison Usher Sa tête Finis terrae Le Pas de la mule Notre-Dame de Paris La Mer des corbeaux Mor vran L'Or des mers L'Homme à l'Hispano La Vie d'un grand journal La Châtelaine du Liban Chanson d'Armor Cuor di vagabondo La Bretagne La Bourgogne Vive la vie La Femme du bout du monde La Relève Eau vive Les Bâtisseurs Artères de France Le Tempestaire Les Feux de la mer cinéma français cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean Epstein [texte imprimé] / Pierre Leprohon, Auteur ; Jean Epstein, Personne honorée . - Editions Seghers, 1964. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean Epstein (Varsovie, 25 mars 1897 - Paris, 3 avril 1953), réalisateur de films, essayiste et romancier français
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302161 18 H.1.00082 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Jean-Luc Godard / Jean Collet
Titre : Jean-Luc Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean-Luc Godard [texte imprimé] / Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302168 18 H.1.00076 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Nul mieux que Godard / Alain Bergala
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique / Antoine de Baecque
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