Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
29 recherche sur le mot-clé 'Marc Maurette'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Le procès / Jean-Philippe Trias
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 11 - Eté 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 128 Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 11 - Eté 2018 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 128 : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401257 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401257.pngPortable Network Graphics 13 - Hiver 2018-2019 (Bulletin de Médor. Trimestriel belge d'enquête et de récits)
[n° ou bulletin]
Titre : 13 - Hiver 2018-2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 128 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 13 - Hiver 2018-2019 [texte imprimé] . - 2018 . - 128 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305270 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
Titre : Alfred Hitchcock Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 25 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-521-0 Note générale : Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Alfred Hitchcock [texte imprimé] / Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 25) .
ISBN : 978-2-86642-521-0
Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300016 18 H.1.03183 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300016.jpgImage Jpeg L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 32-33 Titre : Le guépard (de Luchino Visconti) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1963 Note générale : Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1963.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302225 19 H.1.01419 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
PermalinkL'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
PermalinkPermalinkPermalink566 - Mars 2002 - Danielle Darrieux, la femme aux 100 films (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkDossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Persépolis" / Carole Wrona
PermalinkDossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
PermalinkDossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "We feed the world" / Frédérique Omer
Permalink626 - Avril 2013 - Dossier : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950 (Bulletin de Positif)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'évangile selon saint Mathieu / Stéphane Bouquet
PermalinkLa fin du journalisme? Dérives numériques, désinformation et manipulation / Antoine de Tarlé
PermalinkPermalinkL'historien et le film / Christian Delage
PermalinkPermalinkMain basse sur le riz / Jean Crépu
PermalinkLes nuits fauves / Michel Condé
PermalinkLa persuasion clandestine / Vance Packard
PermalinkLes transports : le fret aérien / Alexandre Podolski
PermalinkVeillées d'armes. Histoire du journalisme en temps de guerre / Marcel Ophuls
Permalink