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17 recherche sur le mot-clé 'Marie-Claire Dufour'
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[n° ou bulletin]
Titre : 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles Ciment[n° ou bulletin] 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles CimentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400798 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400798.jpgImage Jpeg La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Genesis" / Anne Vervier
Titre : Dossier pédagogique de "Genesis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Note générale :
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Genesis" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303785 19 H.1.04340/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
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