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Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) / Anne Marquez
Titre : Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Marquez, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : s.d. Importance : 22 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) [texte imprimé] / Anne Marquez, Auteur . - Paris : CNC, s.d. . - 22 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303691 19 H.1.04339/20 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Cinéma 1900 / René Jeanne
Titre : Cinéma 1900 Type de document : texte imprimé Auteurs : René Jeanne, Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 1965 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma muet Georges Méliès Bazar de la Charité Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Le film d'art Charles Pathé Max Linder Léon Gaumont Louis Feuillade Émile Cohl Sarah Berhardt cinéma des premiers temps Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les débuts du cinéma. L'auteur, spécialiste de cet art, en connaît l'histoire à fond et l'expose clairement dans cet ouvrage. Il part de 1895, alors que les frères Lumière faisaient connaître aux Parisiens leurs premiers films : La sortie des usines Lumière, L'arrivée d'un train, L'arrivée d'un train, L'arroseur arrosé. Cela se passait à deux pas de l'Opéra, au "salon indien" du Grand Café : débuts tâtonnants accueillis avec curiosité. Puis c'est l'apparition des premières vedettes : importants sociétaires de la Comédie Française et, surtout, d'un petit acteur de l'Ambigu nommé Max Linder, qui fait rire tout Paris. Encore ne s'agissait-il là que de courte saynètes de l'écran. Il faut lire Cinéma 1900 pour mesurer les progrès accomplis au cours de cette période dite "héroïque" et juger des difficultés en tous genres qu'il avait fallu vaincre et aussi des erreurs qui furent commises, ainsi que de l'importance prise par l'art des images animées dans la vie artistique et sociale du monde. "Le cinéma ? Un nouvel âge de l'Humanité !" dit un peu plus tard un journaliste qui voyait clair, Il suffit pour lui donner raison de lire le livre captivant de René Jeanne où revit toute une époque oubliée sinon inconnue ... Un livre qui se lit comme un roman d'aventures et qui mérite de rester dans les bibliothèques de tous ceux qui aiment connaître le monde dans lequel ils vivent. Cinéma 1900 [texte imprimé] / René Jeanne, Auteur . - Paris : Flammarion, 1965.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma muet Georges Méliès Bazar de la Charité Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Le film d'art Charles Pathé Max Linder Léon Gaumont Louis Feuillade Émile Cohl Sarah Berhardt cinéma des premiers temps Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les débuts du cinéma. L'auteur, spécialiste de cet art, en connaît l'histoire à fond et l'expose clairement dans cet ouvrage. Il part de 1895, alors que les frères Lumière faisaient connaître aux Parisiens leurs premiers films : La sortie des usines Lumière, L'arrivée d'un train, L'arrivée d'un train, L'arroseur arrosé. Cela se passait à deux pas de l'Opéra, au "salon indien" du Grand Café : débuts tâtonnants accueillis avec curiosité. Puis c'est l'apparition des premières vedettes : importants sociétaires de la Comédie Française et, surtout, d'un petit acteur de l'Ambigu nommé Max Linder, qui fait rire tout Paris. Encore ne s'agissait-il là que de courte saynètes de l'écran. Il faut lire Cinéma 1900 pour mesurer les progrès accomplis au cours de cette période dite "héroïque" et juger des difficultés en tous genres qu'il avait fallu vaincre et aussi des erreurs qui furent commises, ainsi que de l'importance prise par l'art des images animées dans la vie artistique et sociale du monde. "Le cinéma ? Un nouvel âge de l'Humanité !" dit un peu plus tard un journaliste qui voyait clair, Il suffit pour lui donner raison de lire le livre captivant de René Jeanne où revit toute une époque oubliée sinon inconnue ... Un livre qui se lit comme un roman d'aventures et qui mérite de rester dans les bibliothèques de tous ceux qui aiment connaître le monde dans lequel ils vivent. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302353 17 H.1.01162 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La coopération à l'avant-plan / Marc Malcourant
Titre : La coopération à l'avant-plan Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marc Malcourant, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Liège : Centre Audiovisuel Liège Année de publication : 2014 Importance : 1 DVD (26 min.) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Productions du CAV
Education par les médias:Sciences humaines:PsychopédagogieNe pas catégoriser en 08 ni 08.1 (redondant)Mots-clés : Léonie de Waha pédagogie alternative Index. décimale : 92.6 Productions du CAV Résumé : La coopération est un des principes fondamentaux de la pédagogie Freinet, elle en constitue une véritable valeur ajoutée à l'apprentissage.
Trois anciens élèves témoignent de leur parcours et plus précisément des compétences acquises en terme relationnel, celles-ci représentant un atout majeur pour les études supérieures ou la vie professionnelle.
La pratique coopérative est aussi commentée par les enseignants qui la mettent en oeuvre quotidiennement au sein de leur école avec leurs élèves et leurs collègues.La coopération à l'avant-plan [document projeté ou vidéo] / Marc Malcourant, Metteur en scène, réalisateur . - Liège : Centre Audiovisuel Liège, 2014 . - 1 DVD (26 min.).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Productions du CAV
Education par les médias:Sciences humaines:PsychopédagogieNe pas catégoriser en 08 ni 08.1 (redondant)Mots-clés : Léonie de Waha pédagogie alternative Index. décimale : 92.6 Productions du CAV Résumé : La coopération est un des principes fondamentaux de la pédagogie Freinet, elle en constitue une véritable valeur ajoutée à l'apprentissage.
Trois anciens élèves témoignent de leur parcours et plus précisément des compétences acquises en terme relationnel, celles-ci représentant un atout majeur pour les études supérieures ou la vie professionnelle.
La pratique coopérative est aussi commentée par les enseignants qui la mettent en oeuvre quotidiennement au sein de leur école avec leurs élèves et leurs collègues.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104874 92.6 N.1.2359 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303677 19 H.1.04339/4 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
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