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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URL
[n° ou bulletin]
Titre : 1091 - L'affiche Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Importance : 50 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Image statique:Affiche
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : affiche politique mai 68 dissidents politiques Index. décimale : 15 Affiche Résumé : S’intéresser à l’affiche, plutôt qu’à l’affiche publicitaire, ou à l’affiche politique, ou à l’histoire à travers l’affiche, c’est choisir de privilégier le support, le média, le mode de communication, plutôt que le contenu du message. En l’occurrence, comme le rappelle Michel Melot dans ce numéro, l’affiche présente deux traits quasi invariants et définitoires : sa dimension « pariétale » (ou murale) et son inscription dans l’espace public. Ainsi dans la plupart des cas s’offre-t-elle (ou s’impose-t-elle, c’est selon) à nous en passant, à pied, en voiture, à vélo... Nous n’allons pas vers elle comme vers une toile dans un musée ; c’est elle qui s’efforce de capter notre attention, d’accrocher notre regard.
Autre différence essentielle avec le tableau, et avec l’œuvre d’art en général (au moins depuis la Renaissance) : l’affiche ne se veut pas intransitive ; elle vise à convaincre, à faire agir, commercialement, politiquement, civiquement... Elle est donc fondamentalement impure, et c’est d’ailleurs ce qui fait son intérêt.
Tout l’art de l’affiche réside en effet dans cette fine dialectique entre la production d’une « belle » forme (elle-même mêlée puisque faite d’image et de texte), confiée à des artistes illustrateurs ou à des illustrateurs artistes, et une fonction, toujours réputée, elle, plus ou moins triviale.
Longtemps saisie avec des pincettes, jugée à la seule aune de ses « trouvailles », l’affiche fait désormais l’objet d’une réhabilitation nostalgique, à l’heure des spots et des pop-up. On s’avise que les grands affichistes, spécialistes ou occasionnels, furent des créateurs à part entière, le plus souvent en phase avec l’art de leur temps, dont ils nous offrent, rétrospectivement, comme une version populaire, ou, si l’on veut, décorative. Au reste, lorsqu’il arrive qu’une destruction ou une rénovation ressuscitent brièvement (comme les fresques antiques du métro romain de Fellini) Dubonnet, Poulain ou PLM, nous nous avisons que, loin de nous être inconnues, ces icônes faisaient partie de notre musée collectif inconscient.Note de contenu : 06/07 L’essentiel
08/15 Un discours graphique > PAR AMÉLIE GASTAUT
16/19 Une prolifération de signes > PAR MICHEL MELOT
20/21 La ville illustrée > PAR RÉJANE BARGIEL
22/23 Au regard de la loi > PAR RÉJANE BARGIEL
24/27 L’affiche politique sous la Ve République > PAR CHRISTIAN DELPORTE
28/29 « Un média d’alerte » > INTERVIEW DE DAVID HEARD
46/47 Sur la Toile > PAR CHRISTIANE REBATTET
48 Ressources
30/45 ÉTUDES DE DOCUMENTS
30/31 Un marqueur de l’histoire des femmes > PAR GUILLAUME JOUBERT
32/33 Les « quatre mousquetaires » > PAR RÉJANE BARGIEL
34/35 Au cœur de la tragédie espagnole > PAR CHRISTOPHE BARRET
36/37 L’« affiche rouge » > PAR MICHEL WLASSIKOFF
38/39 Savignac et le gag visuel > PAR RÉJANE BARGIEL
40/41 Une invitation aux sports d’hiver > PAR FABIEN PONTAGNIER
42/43 La révolution graphique de Saul Bass > PAR PHILIPPE LECLERCQ
44/45 Mai 68 : l’ORTF en affiches > PAR LUDOVIC LAVIGNEGenre : Revue pédagogique Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique [n° ou bulletin] 1091 - L'affiche [texte imprimé] . - 2015 . - 50 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Image statique:Affiche
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : affiche politique mai 68 dissidents politiques Index. décimale : 15 Affiche Résumé : S’intéresser à l’affiche, plutôt qu’à l’affiche publicitaire, ou à l’affiche politique, ou à l’histoire à travers l’affiche, c’est choisir de privilégier le support, le média, le mode de communication, plutôt que le contenu du message. En l’occurrence, comme le rappelle Michel Melot dans ce numéro, l’affiche présente deux traits quasi invariants et définitoires : sa dimension « pariétale » (ou murale) et son inscription dans l’espace public. Ainsi dans la plupart des cas s’offre-t-elle (ou s’impose-t-elle, c’est selon) à nous en passant, à pied, en voiture, à vélo... Nous n’allons pas vers elle comme vers une toile dans un musée ; c’est elle qui s’efforce de capter notre attention, d’accrocher notre regard.
Autre différence essentielle avec le tableau, et avec l’œuvre d’art en général (au moins depuis la Renaissance) : l’affiche ne se veut pas intransitive ; elle vise à convaincre, à faire agir, commercialement, politiquement, civiquement... Elle est donc fondamentalement impure, et c’est d’ailleurs ce qui fait son intérêt.
Tout l’art de l’affiche réside en effet dans cette fine dialectique entre la production d’une « belle » forme (elle-même mêlée puisque faite d’image et de texte), confiée à des artistes illustrateurs ou à des illustrateurs artistes, et une fonction, toujours réputée, elle, plus ou moins triviale.
Longtemps saisie avec des pincettes, jugée à la seule aune de ses « trouvailles », l’affiche fait désormais l’objet d’une réhabilitation nostalgique, à l’heure des spots et des pop-up. On s’avise que les grands affichistes, spécialistes ou occasionnels, furent des créateurs à part entière, le plus souvent en phase avec l’art de leur temps, dont ils nous offrent, rétrospectivement, comme une version populaire, ou, si l’on veut, décorative. Au reste, lorsqu’il arrive qu’une destruction ou une rénovation ressuscitent brièvement (comme les fresques antiques du métro romain de Fellini) Dubonnet, Poulain ou PLM, nous nous avisons que, loin de nous être inconnues, ces icônes faisaient partie de notre musée collectif inconscient.Note de contenu : 06/07 L’essentiel
08/15 Un discours graphique > PAR AMÉLIE GASTAUT
16/19 Une prolifération de signes > PAR MICHEL MELOT
20/21 La ville illustrée > PAR RÉJANE BARGIEL
22/23 Au regard de la loi > PAR RÉJANE BARGIEL
24/27 L’affiche politique sous la Ve République > PAR CHRISTIAN DELPORTE
28/29 « Un média d’alerte » > INTERVIEW DE DAVID HEARD
46/47 Sur la Toile > PAR CHRISTIANE REBATTET
48 Ressources
30/45 ÉTUDES DE DOCUMENTS
30/31 Un marqueur de l’histoire des femmes > PAR GUILLAUME JOUBERT
32/33 Les « quatre mousquetaires » > PAR RÉJANE BARGIEL
34/35 Au cœur de la tragédie espagnole > PAR CHRISTOPHE BARRET
36/37 L’« affiche rouge » > PAR MICHEL WLASSIKOFF
38/39 Savignac et le gag visuel > PAR RÉJANE BARGIEL
40/41 Une invitation aux sports d’hiver > PAR FABIEN PONTAGNIER
42/43 La révolution graphique de Saul Bass > PAR PHILIPPE LECLERCQ
44/45 Mai 68 : l’ORTF en affiches > PAR LUDOVIC LAVIGNEGenre : Revue pédagogique Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400859 15 H.1.04877 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
400859.jpgImage Jpeg L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le cinéma, naissance d'un art : premiers écrits, 1895-1920 Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Banda, Éditeur scientifique ; José Moure, Éditeur scientifique Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : DL 2008 Collection : Champs. Art (Paris) Sous-collection : Arts num. 798 Importance : 1 vol. (532 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-121011-0 Prix : 13 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Gorki Gourmont Apollinaire Tolstoï Maïakovski Colette Kafka Cendrars Pirandello Soupault Aragon Cocteau Biély Méliès Griffith Chaplin Dreyer Delluc L'Herbier Gance Freud Bergson Lukács Élie Faure cinéma muet cinéma premier temps pré-cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le premier dessin, le premier pas de danse, le premier chant : tout cela est depuis toujours tombé dans l'oubli. Mais le cinéma, qui naît à la toute fin du XIXe siècle, a, lui, des témoins sûrs : des écrivains (Gorki, Gourmont, Apollinaire, Tolstoï, Maïakovski, Colette, Kafka, Cendrars, Pirandello, Soupault, Aragon, Cocteau, Biély...), des cinéastes en devenir (Méliès, Griffith, Chaplin, Dreyer, Delluc, L'Herbier, Gance...), des penseurs (Freud, Bergson, Lukács, Élie Faure), qui tous élaborent les premiers questionnements et analyses sur l'art naissant qui va révolutionner le XXe siècle. Cette anthologie - une constellation internationale de textes souvent inédits, ignorés ou jamais traduits - invite ceux qui aiment et étudient le cinéma à découvrir le roman des origines d'un art qui, en 1919, sera baptisé le septième.Le cinéma, naissance d'un art : premiers écrits, 1895-1920 [texte imprimé] / Daniel Banda, Éditeur scientifique ; José Moure, Éditeur scientifique . - Paris : Flammarion, DL 2008 . - 1 vol. (532 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - (Champs. Art (Paris). Arts; 798) .
ISBN : 978-2-08-121011-0 : 13 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Gorki Gourmont Apollinaire Tolstoï Maïakovski Colette Kafka Cendrars Pirandello Soupault Aragon Cocteau Biély Méliès Griffith Chaplin Dreyer Delluc L'Herbier Gance Freud Bergson Lukács Élie Faure cinéma muet cinéma premier temps pré-cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le premier dessin, le premier pas de danse, le premier chant : tout cela est depuis toujours tombé dans l'oubli. Mais le cinéma, qui naît à la toute fin du XIXe siècle, a, lui, des témoins sûrs : des écrivains (Gorki, Gourmont, Apollinaire, Tolstoï, Maïakovski, Colette, Kafka, Cendrars, Pirandello, Soupault, Aragon, Cocteau, Biély...), des cinéastes en devenir (Méliès, Griffith, Chaplin, Dreyer, Delluc, L'Herbier, Gance...), des penseurs (Freud, Bergson, Lukács, Élie Faure), qui tous élaborent les premiers questionnements et analyses sur l'art naissant qui va révolutionner le XXe siècle. Cette anthologie - une constellation internationale de textes souvent inédits, ignorés ou jamais traduits - invite ceux qui aiment et étudient le cinéma à découvrir le roman des origines d'un art qui, en 1919, sera baptisé le septième.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300008 17 H.1.03176 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300008.jpgImage Jpeg PermalinkDossier pédagogique de "Bamako" / Florence Salé
PermalinkL'esprit du temps / Johan van der Keuken
PermalinkLe fond de l'air est rouge / Chris Marker
PermalinkPermalinkJean Epstein / Pierre Leprohon
PermalinkPermalinkEn pleine forme / Etaix Pierre
PermalinkPermalinkPermalinkSjöström / René Jeanne
PermalinkPermalinkLa société du spectacle / Guy Debord
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