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Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : La mort aux trousses Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Du Mesnildot, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + La mort aux trousses [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 95 p.. - (Les petits cahiers) .
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301270 19 H.1.04022 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
La_mort_aux_troussesURL Antonioni / Roger Tailleur
Titre : Antonioni Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Tailleur, Auteur ; P.L. Tirard, Personne honorée ; Michelangelo Antonioni (1912-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Universitaires Année de publication : 1963 Collection : Classiques du cinéma Note générale : Michelangelo Antonioni est un réalisateur et scénariste du cinéma italien (né à Ferrare en Émilie-Romagne le 29 septembre 1912 et mort à Rome le 30 juillet 2007).
Il a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar pour l’ensemble de sa carrière en 1995 et le Lion d'or pour la carrière à Venise en 1997. Il est le seul réalisateur, avec Henri-Georges Clouzot et Robert Altman, à avoir remporté les trois plus hautes récompenses des principaux festivals européens que sont Cannes, Berlin et Venise.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Antonioni cinéma italien Blow-Up Zabriskie Point Chung Kuo Profession : reporter (Professione : reporter) Le Mystère d'Oberwald (Il mistero di Oberwald) Identification d'une femme (Identificazione di una donna) 12 registi per 12 città (Douze réalisateurs pour douze villes) Par-delà les nuages (Al di là delle nuvole) Wim Wenders Destinazione Verna Eros segment Il filo pericoloso delle cose Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Antonioni [texte imprimé] / Roger Tailleur, Auteur ; P.L. Tirard, Personne honorée ; Michelangelo Antonioni (1912-....), Auteur . - Paris : Editions Universitaires, 1963. - (Classiques du cinéma) .
Michelangelo Antonioni est un réalisateur et scénariste du cinéma italien (né à Ferrare en Émilie-Romagne le 29 septembre 1912 et mort à Rome le 30 juillet 2007).
Il a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar pour l’ensemble de sa carrière en 1995 et le Lion d'or pour la carrière à Venise en 1997. Il est le seul réalisateur, avec Henri-Georges Clouzot et Robert Altman, à avoir remporté les trois plus hautes récompenses des principaux festivals européens que sont Cannes, Berlin et Venise.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302127 18 H.1.01212 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Jean-Pierre Piquemal
[n° ou bulletin]
Titre : 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication ; Gaston Haustrate, Directeur de publication Année de publication : 1978 Importance : 1 vol. (223 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
USA
Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
(autre)
ARMSTRONG Charlotte
(autre)
BACHMANN Lawrence Paul
(autre)
BALL John
(autre)
BEAUMONT Charles
(autre)
BEHN Noël
(autre)
BLOCH Robert
(autre)
BRESLIN Howard
(autre)
BRESLIN Jimmy
(autre)
BREWER Gil
(autre)
BROOKS Richard
(autre)
BURNETT William Riley
(autre)
BURNS Robert Elliorr
(autre)
CAIN James
(autre)
CARR John Dickson
(autre)
CASPARY Vera
(autre)
CHAMBERS Whitman
(autre)
CHANDLER Raymond
(autre)
CONDON Richard
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CRICHTON Michael
(autre)
DEMARIS Ovid
(autre)
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FARRELL Henry
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KANTOR Mc Kinlay
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(autre)
KING Rufus
(autre)
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(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
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MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
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à propos de : Molière
(entretien)
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à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Promenade au pays de la vieillesse
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Bartleby
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Je suis à prendre
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
(critique, article sur un film)
Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
(critique, article sur un film)
Matamore (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cool
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
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Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
(autre)
Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
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Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A [texte imprimé] / Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication ; Gaston Haustrate, Directeur de publication . - 1978 . - 1 vol. (223 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
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Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
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BALL John
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BEAUMONT Charles
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(autre)
GORDON Mildred et Gordon
(autre)
GRUBB Davis
(autre)
GUNN James
(autre)
HAMILTON Donald
(autre)
HAMMETT Dashiell
(autre)
HAWKINS John et Ward
(autre)
HAYES Joseph
(autre)
HELSETH Henry E.
(autre)
HELVICK James
(autre)
HIGHSMITH Patricia
(autre)
HITCHENS Dolorès
(autre)
HOLLAND Marty
(autre)
HUGGINS Roy
(autre)
HUGHES Dorothy B.
(autre)
HUNTER Evan
(autre)
IRISH William
(autre)
JACKS Jeff
(autre)
JUDD Harrison
(autre)
KANTOR Mc Kinlay
(autre)
KEENE Day
(autre)
KING Rufus
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
Auteur : DOUCHET Jean
MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
OGIER Daniel
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CAUBÈRE Philippe
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Promenade au pays de la vieillesse
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Bartleby
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Je suis à prendre
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
(critique, article sur un film)
Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
(critique, article sur un film)
Matamore (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cool
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
(autre)
Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400908 236/237 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Cinémaction, 81. Jean Rouch ou le ciné-plaisir / René Prédal
PermalinkPermalinkLe crime à l'écran / Michel Ciment
PermalinkDossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
PermalinkDossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
PermalinkL'homme de la plaine / Bernard Benoliel
PermalinkJoris Ivens / A. Zalzman
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink563 - Décembre 2001 - Youssef Chahine aux Américains (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
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