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L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Jean-Pierre Piquemal
[n° ou bulletin]
Titre : 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication ; Gaston Haustrate, Directeur de publication Année de publication : 1978 Importance : 1 vol. (223 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
USA
Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
(autre)
ARMSTRONG Charlotte
(autre)
BACHMANN Lawrence Paul
(autre)
BALL John
(autre)
BEAUMONT Charles
(autre)
BEHN Noël
(autre)
BLOCH Robert
(autre)
BRESLIN Howard
(autre)
BRESLIN Jimmy
(autre)
BREWER Gil
(autre)
BROOKS Richard
(autre)
BURNETT William Riley
(autre)
BURNS Robert Elliorr
(autre)
CAIN James
(autre)
CARR John Dickson
(autre)
CASPARY Vera
(autre)
CHAMBERS Whitman
(autre)
CHANDLER Raymond
(autre)
CONDON Richard
(autre)
CRICHTON Michael
(autre)
DEMARIS Ovid
(autre)
DWYER K.R.
(autre)
ELY David
(autre)
FAIRBAIRN Douglas
(autre)
FARRELL Henry
(autre)
FAST Howard
(autre)
FERRIS Wally
(autre)
FISHER Steve
(autre)
FLEISCHMAN Albert Sidney
(autre)
FLETCHER Lucille
(autre)
FULLER Samuel
(autre)
GEARON John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GORDON Mildred et Gordon
(autre)
GRUBB Davis
(autre)
GUNN James
(autre)
HAMILTON Donald
(autre)
HAMMETT Dashiell
(autre)
HAWKINS John et Ward
(autre)
HAYES Joseph
(autre)
HELSETH Henry E.
(autre)
HELVICK James
(autre)
HIGHSMITH Patricia
(autre)
HITCHENS Dolorès
(autre)
HOLLAND Marty
(autre)
HUGGINS Roy
(autre)
HUGHES Dorothy B.
(autre)
HUNTER Evan
(autre)
IRISH William
(autre)
JACKS Jeff
(autre)
JUDD Harrison
(autre)
KANTOR Mc Kinlay
(autre)
KEENE Day
(autre)
KING Rufus
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
Auteur : DOUCHET Jean
MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
OGIER Daniel
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CAUBÈRE Philippe
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Promenade au pays de la vieillesse
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Bartleby
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Je suis à prendre
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
(critique, article sur un film)
Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
(critique, article sur un film)
Matamore (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cool
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
(autre)
Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A [texte imprimé] / Jean-Pierre Piquemal, Directeur de publication ; Gaston Haustrate, Directeur de publication . - 1978 . - 1 vol. (223 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Claude d'Anna Michel Deville Luc Beraud Daniel Ogier Philippe Caubere Résumé : Au fil du temps - Préparons la longue marche (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
USA
Cinq ans de cinéma américain (cinémas nationaux ou genre)
Auteurs : RABOURDIN Dominique , ASTRE Georges-Albert , ROY Jean , BIDAUD Anne-Marie
USA
Ciné-journal américain (autre)
Auteur : ROY Jean
Comédie musicale
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Le discours idéologique dans la comédie musicale américaine (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Cinéma indépendant américain - Quelques concepts et quelques faits (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ANTHEIL Georges W.
USA
Dictionnaire des écrivains américains de romans policiers adaptés à l'écran (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ABBOTT Anthony
(autre)
ANDERSON Edward
(autre)
ARMSTRONG Charlotte
(autre)
BACHMANN Lawrence Paul
(autre)
BALL John
(autre)
BEAUMONT Charles
(autre)
BEHN Noël
(autre)
BLOCH Robert
(autre)
BRESLIN Howard
(autre)
BRESLIN Jimmy
(autre)
BREWER Gil
(autre)
BROOKS Richard
(autre)
BURNETT William Riley
(autre)
BURNS Robert Elliorr
(autre)
CAIN James
(autre)
CARR John Dickson
(autre)
CASPARY Vera
(autre)
CHAMBERS Whitman
(autre)
CHANDLER Raymond
(autre)
CONDON Richard
(autre)
CRICHTON Michael
(autre)
DEMARIS Ovid
(autre)
DWYER K.R.
(autre)
ELY David
(autre)
FAIRBAIRN Douglas
(autre)
FARRELL Henry
(autre)
FAST Howard
(autre)
FERRIS Wally
(autre)
FISHER Steve
(autre)
FLEISCHMAN Albert Sidney
(autre)
FLETCHER Lucille
(autre)
FULLER Samuel
(autre)
GEARON John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GORDON Mildred et Gordon
(autre)
GRUBB Davis
(autre)
GUNN James
(autre)
HAMILTON Donald
(autre)
HAMMETT Dashiell
(autre)
HAWKINS John et Ward
(autre)
HAYES Joseph
(autre)
HELSETH Henry E.
(autre)
HELVICK James
(autre)
HIGHSMITH Patricia
(autre)
HITCHENS Dolorès
(autre)
HOLLAND Marty
(autre)
HUGGINS Roy
(autre)
HUGHES Dorothy B.
(autre)
HUNTER Evan
(autre)
IRISH William
(autre)
JACKS Jeff
(autre)
JUDD Harrison
(autre)
KANTOR Mc Kinlay
(autre)
KEENE Day
(autre)
KING Rufus
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
USA
Bibliographie à l'américaine (autre)
Auteur : ROY Jean
MIZOGUCHI Kenji
Connaissance de Kenji Mizoguchi (article d'ensemble)
Auteur : DOUCHET Jean
MIZOGUCHI Kenji
(filmographie)
ANNA Claude d'
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
ANNA Claude d'
(filmographie)
DEVILLE Michel
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
DEVILLE Michel
(filmographie)
OGIER Daniel
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CAUBÈRE Philippe
à propos de : Molière
(entretien)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Adieu Philippine
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Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
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Auteur : AMIEL Mireille
Angoisse du gardien de but au moment du penalty (L')
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Auteur : GRANT Jacques
Dossier 51 (Le)
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Dossier 51 (Le)
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Auteur : FRENAIS Jacques
Ordre et la sécurité du monde (L')
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Auteur : HAUSTRATE Gaston
Molière
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Promenade au pays de la vieillesse
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Bartleby
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Auteur : GRANT Jacques
Adieu, je reste
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Je suis à prendre
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Auteur : LEFÈVRE Raymond
Militia Battlefield
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Auteur : BELGRAVE Doucha
Chaussette surprise
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Auteur : FUENTE Leonardo de la
Outrageous !
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Auteur : GRANT Jacques
Enquête à l'italienne
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Auteur : FUENTE Leonardo de la
Conséquence (La)
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Matamore (Le)
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Auteur : MAGNY Joël
Xica da silva
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
Jeune et innocent
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Auteur : MAGNY Joël
Vas-y maman
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Auteur : LEFÈVRE Raymond
My childhood
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
My ain folk
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Convoi (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Robert et Robert
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Assaut
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Auteur : RENAUD Tristan
Cool
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Auteur : RENAUD Tristan
Mesdames et messieurs bonsoir
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Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Intérieur d'un couvent
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Auteur : HAUSTRATE Gaston
Driver
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
Ils sont fous ces sorciers
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Emmanuelle 3
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Loi et la pagaille (La)
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Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Folle cavale (La)
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Auteur : CANNIÈRE Patrick
Femme dangereuse (Une)
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Auteur : RABOURDIN Dominique
Risque-tout (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Montagne du dieu cannibale (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dieu merci c'est vendredi
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Capricorne one
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Grease
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Mélodie pour un tueur
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Auteur : FARREN Jonathan
Invasion des soucoupes volantes (L')
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Auteur : RENAUD Tristan
Martin
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Nuit très morale (Une)
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Auteur : RENAUD Tristan
Cercle de fer (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Big racket
(critique, article sur un film)
Exhibition 2
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Retour du capitaine Nemo (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Touche pas à mon copain
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nuit sauve
(autre)
Quelqu'un derrière la porte
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Port de l'angoisse (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Duel dans le Pacifique
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Alerte à la bombe
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Défi de Tarzan (Le)
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Auteur : MAGNY Joël
Waterloo
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Bison blanc (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Casanova, un adolescent à Venise
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Feux du music-hall (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Quatre malfrats (Les)
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Katia
(autre)
Condamné au silence
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Comme un boomerang
(autre)
Au-delà du Missouri
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Don Angelo est mort
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Courrier du cœur
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Race des seigneurs (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Facteur sonne toujours deux fois (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Grande bourgeoise (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Mariés de l'an II (Les)
(autre)
Envoûtées (Les)
(autre)
Sissi
(autre)
Alice ou La dernière fugue
(autre)
Il faut vivre dangereusement
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Aigle s'est envolé (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Fontaine d'Aréthuse (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Jour de gloire (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Dame de Shanghai (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Yeux sans visage (Les)
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chobizenesse
(autre)
Vaquero
(autre)
Monsieur Klein
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Terreur sur le Britannic
(autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Nuit des forains (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Digne 1978
(festival)
Digne 1978
(festival)
Auteur : COURANT Gérard
Digne 1978
à propos de : Wavelength
(festival)
Digne 1978
à propos de : Back and forth
(festival)
Digne 1978
à propos de : Région centrale (La)
(festival)
Digne 1978
à propos de : Flammes
(festival)
Annecy 1978
(festival)
Auteur : JEUNET Paul
Rennes 1978
(festival)
Rennes 1978
(festival)
Auteur : COURANT GérardGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400908 236/237 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Cinémaction, 81. Jean Rouch ou le ciné-plaisir / René Prédal
Titre de série : Cinémaction, 81 Titre : Jean Rouch ou le ciné-plaisir Type de document : texte imprimé Auteurs : René Prédal, Directeur de publication ; Jean Rouch, Personne honorée Editeur : Cinemaction Année de publication : 1996 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85480-897-1 Note générale : Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Jaguar finalisé Les Fils de l'eau Moi un noir La Pyramide humaine Chronique d'un été Edgar Morin La Chasse au lion à l'arc Les Fêtes du Sigui Petit à petit Cocorico Monsieur Poulet Babatou les trois conseils Bougo les funérailles du vieil Anaï Folie ordinaire d'une fille de Cham Philippe Costantini Jenny Alpha Sylvie Laporte Catherine Rougelin Julius Amédée Laou Daniel Mesguich Le Rêve plus fort que la mort Bernard Surugue Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Cinémaction, 81. Jean Rouch ou le ciné-plaisir [texte imprimé] / René Prédal, Directeur de publication ; Jean Rouch, Personne honorée . - Cinemaction, 1996.
ISBN : 978-2-85480-897-1
Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302119 18 H.1.01363 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Citizen Kane / Jean Roy
Titre : Citizen Kane Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Roy, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1989 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-188622-0 Note générale :
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Citizen Kane [texte imprimé] / Jean Roy, Auteur . - Paris : Nathan, 1989.
ISBN : 978-2-09-188622-0
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302187 19 H.1.00820 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302229 19 H.1.02017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
Titre : Dossier pédagogique de "Indigènes" Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Marcon, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Agence Cinéma Education Importance : 20 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Indigènes" [texte imprimé] / Valérie Marcon, Auteur . - Zérodeconduite.net : Agence Cinéma Education, s.d. . - 20 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303684 19 H.1.04339/13 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkPermalink563 - Décembre 2001 - Youssef Chahine aux Américains (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
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