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36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Jeanne Moreau
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Moreau (1928-....), Auteur Année de publication : 1964 Importance : 1 vol. (64 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre [texte imprimé] / Jeanne Moreau (1928-....), Auteur . - 1964 . - 1 vol. (64 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301687 19 H.1.01420 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Fernando Arrabal
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernando Arrabal, Auteur Année de publication : 1971 Importance : 1 vol. (50 p.) Présentation : ill. Note générale : Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte [texte imprimé] / Fernando Arrabal, Auteur . - 1971 . - 1 vol. (50 p.) : ill.
Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301686 19 H.1.01446 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Abel Gance / René Jeanne
Titre : Abel Gance Type de document : texte imprimé Auteurs : René Jeanne, Auteur ; Charles Ford, Auteur ; Abel Gance, Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Abel Gance est un réalisateur français, scénariste et producteur de cinéma, né Abel Eugène Alexandre Perthon, le 25 octobre 1889 à Paris 18e, et mort le 10 novembre 1981 à Paris 16e. Abel Gance est l'un des pères du langage moderne dans le cinéma et compte parmi les plus importants pionniers de son histoire, avec David Wark Griffith aux États-Unis et Sergueï Eisenstein pour l'U.R.S.S (Russie) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : La Digue Il y a des pieds au plafond La Pierre philosophe Le Masque d'horreur Le Nègre blanc La Fleur des ruines La Folie du docteur Tube L'Énigme de dix heures L'Héroïsme de Paddy
Strass et Compagnie Un drame au château d'Acre Ce que les flots racontent Fioritures Le Fou de la falaise Le Périscope Les Gaz mortels Barberousse La Zone de la mort Le Droit à la vie Mater Dolorosa Ecce Homo La Dixième Symphonie J'accuse La Roue Au secours ! Napoléon Marines et cristeaux La Fin du monde Mater Dolorosa Le Maître de forges Fernand Rivers La Dame aux camélias Poliche Jérôme Perreau héros des barricades Le Roman d'un jeune homme pauvre Lucrèce Borgia Napoléon Bonaparte Un grand amour de Beethoven J'accuse Le Voleur de femmes Louise Paradis perdu Vénus aveugle Le Capitaine Fracasse Lumière et l'invention du cinématographe Paul Paviot Quatorze juillet La Tour de Nesle Magirama Auprès de ma blonde Fête foraine Begone Dull Care Le Départ de l’armée d’Italie Châteaux de nuages Austerlitz Cyrano et d'Artagnan cinéma françaisIndex. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Abel Gance [texte imprimé] / René Jeanne, Auteur ; Charles Ford, Auteur ; Abel Gance, Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Abel Gance est un réalisateur français, scénariste et producteur de cinéma, né Abel Eugène Alexandre Perthon, le 25 octobre 1889 à Paris 18e, et mort le 10 novembre 1981 à Paris 16e. Abel Gance est l'un des pères du langage moderne dans le cinéma et compte parmi les plus importants pionniers de son histoire, avec David Wark Griffith aux États-Unis et Sergueï Eisenstein pour l'U.R.S.S (Russie)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302169 18 H.1.00074 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Anatomie d'un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Mandelbaum, Auteur Editeur : Grasset Année de publication : 2009 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-71111-7 Note générale :
Parc est un film français réalisé par Arnaud des Pallières sorti en salles le 14 janvier 2009.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Parc Arnaud des Pallières Bullet Park John Cheever Jeanne Lapoirie Martin Wheeler Les Films d'ici Sergi Lopez Jean-Marc Barr Nathalie Richard Laurent Delbecque Delphine Chuillot Jean-Pierre Kalfon Laszlo Szabo Geraldine Chaplin Judith Henry Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Georges Clou habite au Parc, luxueuse ville privée de la Côte d’Azur. Il aime sa femme, son fils, sa maison et son chien. Va au bureau le matin, à l’église le dimanche, indifférent à l’agitation sociale qui secoue le pays. Riche, solitaire, Paul Marteau traîne une existence mélancolique et désœuvrée. Déchiré entre la sévérité du jugement qu’il porte sur le monde et son désir d’y appartenir, Marteau s’installe au Parc. Clou y voit l’occasion d’une sincère amitié. Marteau y trouve une nouvelle raison de vivre : détruire l’idéal de bonheur de l’homme occidental incarné par la famille Clou.
Note de contenu :
Raconter comment un film se monte aujourd'hui en France. Passer derrière l'écran, rencontrer les acteurs, sonder les partenaires financiers, se heurter aux agents, explorer les circuits de diffusion et de distribution, évaluer le poids des chaînes de télévision, décrire les tourments d'un tournage, les affres d'une sélection dans un grand festival, les angoisses inhérentes à tout processus de création. Ni monographie ni journal de tournage, l'enquête de Jacques Mandelbaum raconte avec précision les étapes de fabrication d'un film, signé Arnaud des Pallières, l'un des réalisateurs les plus ambitieux de la nouvelle génération: Parc. A travers ce cas d'école, c'est l'histoire exemplaire du cinéma d'auteur, à une époque où jamais le financement n'en a été aussi périlleux et imprévisible.
En ligne : http://www.amazon.fr/Anatomie-dun-film-Jacques-Mandelbaum/dp/2246711118%3FSubscr [...] Anatomie d'un film [texte imprimé] / Jacques Mandelbaum, Auteur . - [S.l.] : Grasset, 2009 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-246-71111-7
Parc est un film français réalisé par Arnaud des Pallières sorti en salles le 14 janvier 2009.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Parc Arnaud des Pallières Bullet Park John Cheever Jeanne Lapoirie Martin Wheeler Les Films d'ici Sergi Lopez Jean-Marc Barr Nathalie Richard Laurent Delbecque Delphine Chuillot Jean-Pierre Kalfon Laszlo Szabo Geraldine Chaplin Judith Henry Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Georges Clou habite au Parc, luxueuse ville privée de la Côte d’Azur. Il aime sa femme, son fils, sa maison et son chien. Va au bureau le matin, à l’église le dimanche, indifférent à l’agitation sociale qui secoue le pays. Riche, solitaire, Paul Marteau traîne une existence mélancolique et désœuvrée. Déchiré entre la sévérité du jugement qu’il porte sur le monde et son désir d’y appartenir, Marteau s’installe au Parc. Clou y voit l’occasion d’une sincère amitié. Marteau y trouve une nouvelle raison de vivre : détruire l’idéal de bonheur de l’homme occidental incarné par la famille Clou.
Note de contenu :
Raconter comment un film se monte aujourd'hui en France. Passer derrière l'écran, rencontrer les acteurs, sonder les partenaires financiers, se heurter aux agents, explorer les circuits de diffusion et de distribution, évaluer le poids des chaînes de télévision, décrire les tourments d'un tournage, les affres d'une sélection dans un grand festival, les angoisses inhérentes à tout processus de création. Ni monographie ni journal de tournage, l'enquête de Jacques Mandelbaum raconte avec précision les étapes de fabrication d'un film, signé Arnaud des Pallières, l'un des réalisateurs les plus ambitieux de la nouvelle génération: Parc. A travers ce cas d'école, c'est l'histoire exemplaire du cinéma d'auteur, à une époque où jamais le financement n'en a été aussi périlleux et imprévisible.
En ligne : http://www.amazon.fr/Anatomie-dun-film-Jacques-Mandelbaum/dp/2246711118%3FSubscr [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300738 19 H.1.03940 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300738URLLe blanc des origines / Alain Philippon
Titre : Le blanc des origines : Ecrits de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Philippon, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2002 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87340-163-4 Note générale :
Critique aux Cahiers du cinéma dans les années 80, Alain Philippon était un cinéphile sensible et mélancolique, hanté par l’enfance et la mort. Ses textes sont désormais réunis au sein d’un recueil.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Nicholas Ray Stanley Kubrick Martin Scorsese John Sayles Brian de Palma Jerry Lewis Win Wenders Michelangelo Antonioni Jean Eustache Chantal Akerman Philippe Garrel André Téchiné Jacques Doillon Paolo Taviani Vittorio Taviani Satyajit Ray Andreï Tarkovski Bernardo Bertolucci Jean Cocteau Leos Careax Jean-Pierre Limosin Alain Cavalier Maurice Pialat Christina Laurent Nanni Moretti Eric Romer Straub Huillet Alain Resnais Victor Erice Ruy Gurra Marco Bellocchio Nagisa Oshima Mikio Naruse Akira Kurosawa Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La publication chez Yellow Now de textes d’Alain Philippon, critique aux Cahiers du cinéma et auteur d’ouvrages sur Pialat, Eustache, Téchiné et Doillon, est l’occasion de visiter une bien belle maison-cinéma. En traversant, au fil de ses écrits, les espaces et les temps de cet art qui l’a habité et qu’il a habité, on pénètre les lieux d’une pensée profonde et sensible. Qu’elle porte sur des films tirés de l’actualité qu’il suivait et analysait (pendant les années 80 et 90) ou sur des œuvres plus anciennes, sa réflexion nous amène régulièrement, presque obsessionnellement, à explorer cette contrée perdue et secrète qu’est l’enfance (Shining de Kubrick, L’Enfant secret de Garrel, Bigger than Life de Ray).
Car, pour lui, la cinéphilie trouve son point d’ancrage “dans des fantasmes très archaïques, le rapport complexe de l’amour du cinéma à l’enfance et à la mort”. D’où le titre de ce recueil, Le Blanc des origines, celui d’un commencement et d’une fin entièrement inclus dans cette image “virginale” et “mortifère” qu’est l’écran blanc. L’enfance et la mort, la terreur et la séduction, ainsi que la figure du père sont convoquées avec le souci d’interroger à la fois la forme cinématographique, son histoire et son devenir.
“Le cinéma ne peut être contemporain qu’à condition de s’inscrire dans l’histoire des formes et de résister à la versatilité de l’époque”, écrit Alain Philippon. Mais la mort rôde autour du cinéma : “Ce qu’on nous fourgue, et qu’on va vraisemblablement nous demander de fourguer de plus en plus, c’est soit de l’image (qui n’est pas le plan), soit du scénario-béton.”
Pointant, dans une écriture méticuleuse et caressante, la charge symbolique et la part sensitive des films, il colle au plus près de leur épiderme cinématographique et fait un admirable passeur, sachant les faire vivre tout en préservant leur part de mystère : “Je ne connais pas de meilleure définition de la grâce cinématographique : la part qui précisément ne se laisse pas définir…”
Parmi ses plus beaux textes, ceux sur Antonioni et Wenders, Eustache et Pialat, on lira la pertinence d’un regard apte à saisir les temps morts d’un film, ses faiblesses, ses “mises en risque” en tant que forces, “événements dramaturgiques”, et à remonter le fil d’une quête secrète qui nous ramènerait à la “nuit d’avant le cinéma”. Nuit qu’Alain Philippon a rejointe (il s’est suicidé il y a quatre ans), suivant le mouvement même du cinéma tel qu’il le voyait, en pleine extinction de ses feux.
On saisit alors toute la portée intimement funèbre de ces mots : “On ne sait au juste de quoi ou de qui mourut le cinéma. On désigna plusieurs suspects. Toujours est-il qu’il mourut, comme tout le monde, d’un arrêt du cœur.”Le blanc des origines : Ecrits de cinéma [texte imprimé] / Alain Philippon, Auteur . - Crisnée (15 rue François Gilon, 4367, Belgique) : Yellow Now, 2002.
ISBN : 978-2-87340-163-4
Critique aux Cahiers du cinéma dans les années 80, Alain Philippon était un cinéphile sensible et mélancolique, hanté par l’enfance et la mort. Ses textes sont désormais réunis au sein d’un recueil.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Nicholas Ray Stanley Kubrick Martin Scorsese John Sayles Brian de Palma Jerry Lewis Win Wenders Michelangelo Antonioni Jean Eustache Chantal Akerman Philippe Garrel André Téchiné Jacques Doillon Paolo Taviani Vittorio Taviani Satyajit Ray Andreï Tarkovski Bernardo Bertolucci Jean Cocteau Leos Careax Jean-Pierre Limosin Alain Cavalier Maurice Pialat Christina Laurent Nanni Moretti Eric Romer Straub Huillet Alain Resnais Victor Erice Ruy Gurra Marco Bellocchio Nagisa Oshima Mikio Naruse Akira Kurosawa Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La publication chez Yellow Now de textes d’Alain Philippon, critique aux Cahiers du cinéma et auteur d’ouvrages sur Pialat, Eustache, Téchiné et Doillon, est l’occasion de visiter une bien belle maison-cinéma. En traversant, au fil de ses écrits, les espaces et les temps de cet art qui l’a habité et qu’il a habité, on pénètre les lieux d’une pensée profonde et sensible. Qu’elle porte sur des films tirés de l’actualité qu’il suivait et analysait (pendant les années 80 et 90) ou sur des œuvres plus anciennes, sa réflexion nous amène régulièrement, presque obsessionnellement, à explorer cette contrée perdue et secrète qu’est l’enfance (Shining de Kubrick, L’Enfant secret de Garrel, Bigger than Life de Ray).
Car, pour lui, la cinéphilie trouve son point d’ancrage “dans des fantasmes très archaïques, le rapport complexe de l’amour du cinéma à l’enfance et à la mort”. D’où le titre de ce recueil, Le Blanc des origines, celui d’un commencement et d’une fin entièrement inclus dans cette image “virginale” et “mortifère” qu’est l’écran blanc. L’enfance et la mort, la terreur et la séduction, ainsi que la figure du père sont convoquées avec le souci d’interroger à la fois la forme cinématographique, son histoire et son devenir.
“Le cinéma ne peut être contemporain qu’à condition de s’inscrire dans l’histoire des formes et de résister à la versatilité de l’époque”, écrit Alain Philippon. Mais la mort rôde autour du cinéma : “Ce qu’on nous fourgue, et qu’on va vraisemblablement nous demander de fourguer de plus en plus, c’est soit de l’image (qui n’est pas le plan), soit du scénario-béton.”
Pointant, dans une écriture méticuleuse et caressante, la charge symbolique et la part sensitive des films, il colle au plus près de leur épiderme cinématographique et fait un admirable passeur, sachant les faire vivre tout en préservant leur part de mystère : “Je ne connais pas de meilleure définition de la grâce cinématographique : la part qui précisément ne se laisse pas définir…”
Parmi ses plus beaux textes, ceux sur Antonioni et Wenders, Eustache et Pialat, on lira la pertinence d’un regard apte à saisir les temps morts d’un film, ses faiblesses, ses “mises en risque” en tant que forces, “événements dramaturgiques”, et à remonter le fil d’une quête secrète qui nous ramènerait à la “nuit d’avant le cinéma”. Nuit qu’Alain Philippon a rejointe (il s’est suicidé il y a quatre ans), suivant le mouvement même du cinéma tel qu’il le voyait, en pleine extinction de ses feux.
On saisit alors toute la portée intimement funèbre de ces mots : “On ne sait au juste de quoi ou de qui mourut le cinéma. On désigna plusieurs suspects. Toujours est-il qu’il mourut, comme tout le monde, d’un arrêt du cœur.”Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302405 17 H.1.02481 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne / Jean-François Tefnin
Titre : Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée Editeur : Communauté Française de Belgique Année de publication : 2005 Note générale : Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie [texte imprimé] / Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée . - Belgique : Communauté Française de Belgique, 2005.
Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302098 18 H.1.02798 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - [S.l.] : Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Supplément de La Vie des Autres / Florian Henckel von Donnersmarck
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La Vie des Autres / Florian Henckel von Donnersmarck
Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
Accompagne Le guépard / Luchino Visconti
Titre : Dossier pédagogique de "Le guépard" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 7 pp. Note générale :
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur
Accompagne Le guépard / Luchino Visconti
Dossier pédagogique de "Le guépard" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 7 pp.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303687 19 H.1.04339/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Titre : Dossier pédagogique de "Le parfum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Metropolitan Films Importance : 19 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Le parfum / Patrick Süskind
Dossier pédagogique de "Le parfum" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Metropolitan Films, s.d. . - 19 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Tom Tykwer Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303686 19 H.1.04339/15 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
Supplément de Petit à petit / Collectif
Titre : Dossier pédagogique de "Petit à petit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Beelen, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et +
Supplément de Petit à petit / Collectif
Dossier pédagogique de "Petit à petit" [texte imprimé] / Clara Beelen, Auteur . - Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303788 19 H.1.04340/19 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Titre : Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyril Beghin, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale : Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Pickpocket / Robert Bresson
Dossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) [texte imprimé] / Cyril Beghin, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
Pickpocket est un film français de Robert Bresson sorti en 1959.
--- POUR LE COURS D'ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Pickpocket Robert Bresson Claude Clément Michel Clément Jacques Ballanche J.B. Lully F. Oubradous Marc Lanjean Éditions Transatlantiques L.-H. Burel Henri Raichi Pierre Charbonnier Raymond Lamy G. Falaschi Antoine Archimbaud Michel Choquet Léon Sanz O. Lemarchand Martin La Salle Marika Green Jean Pelegri Dolly Scal Pierre Leymarie Kassagi Pierre Etaix César Gattegno Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel se rend au champ de courses et vole un peu d'argent à une spectatrice. En quittant le champ de courses, il est arrêté. Il est rapidement libéré pour manque de preuves. Malgré cela, Michel continue à voler et s'associe avec des complices afin d'être plus efficace. Il refuse l'aide de son ami Jacques qui veut le pousser à trouver un emploi. Se sentant en danger, il fuit la France pour revenir deux ans plus tard retrouver Jeanne, l'ex-aide ménagère de sa mère.
Note de contenu :
« Ce film n’est pas du style policier. L’auteur s’efforce d’exprimer, par des images et des sons, le cauchemar d’un jeune homme poussé par sa faiblesse dans un aventure de vol à la tire pour laquelle il n’était pas fait. Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. »
* Pickpocket (Robert Bresson, 1959) [minute 0.10.00]
« — Est-ce qu'on ne peut pas admettre que des hommes capables, intelligents, et à plus forte raison doués de talent ou même de génie — donc indispensables à la société — au lieu de végéter toute leur vie soient dans certains cas libres de désobéir aux lois ?
— Cela me paraît difficile, et dangereux.
— Pour la société ce serait tout bénéfice.
— Et qui distinguera des autres ces hommes supérieurs ?
— Eux-mêmes, leurs consciences. »
* The Rope (Alfred Hitchcock, 1948) - Cette citation est relativement proche de l'excuse que prennent les deux étudiants pour tuer leur condisciple dans The Rope d'Alfred Hitchcock. On notera cependant que les personnages de The Rope ne sont pas particulièrement attachants, d'une part, et que le film est construit dans le style policier. À l'inverse, Pickpocket de Bresson nous rapproche sensiblement du personnage principal, démarche précisée par l'auteur : « Ce film n'est pas du style policier. L'auteur s'est efforcé d'exprimer par des images et des sons le cauchemar d'un jeune homme poussé par la faiblesse dans une aventure de vol à la tire pour laquelle il n'était pas fait. »
* La similitude est également très forte avec Crime et Châtiment de Dostoïevsky : la faute puis la rédemption par la femme, ainsi que les dialogues entre le héros et le policier qui le pourchasse sur le thème des hommes exceptionnels au-dessus des lois.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302676 19 H.1.04339/21 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Eléments pour un nouveau cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Marcorelles, Auteur Editeur : Paris : Unesco press Année de publication : 1970 Importance : 156 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : Le cinéma direct Richard Leacock Pierre Perrault Jean Rouche Le petit écran ortf Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Le cinéma direct
La technique du direct, L'esthétique du direct, Les précurseurs, La révolution manquée, Richard Leacock, Pierre Perrault, Jean Rouch, L'essait politique,etc.
Le cinéma concret
Technique et oeuvre, Le service de la recherche de l'ORTF, L'"underground", mythe et réalitéPays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Eléments pour un nouveau cinéma [texte imprimé] / Louis Marcorelles, Auteur . - Paris : Unesco press, 1970 . - 156 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : Le cinéma direct Richard Leacock Pierre Perrault Jean Rouche Le petit écran ortf Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Le cinéma direct
La technique du direct, L'esthétique du direct, Les précurseurs, La révolution manquée, Richard Leacock, Pierre Perrault, Jean Rouch, L'essait politique,etc.
Le cinéma concret
Technique et oeuvre, Le service de la recherche de l'ORTF, L'"underground", mythe et réalitéPays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302243 17 H.1.00008 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
302243URL
Accompagne Germinal / Claude Berri
Titre : Germinal : L'aventure d'un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Assouline (1953-....), Auteur Editeur : [Paris] : Fayard Année de publication : 1993 Importance : 394 p.-[24] p. de pl. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-03152-1 Note générale :
Vers la fin du XIXe siècle, Étienne Lantier, manœuvre au chômage, arrive à la mine « Le Voreux », dans le nord de la France. Après la mort d'une mineuse du nom de Fleurance, il est engagé. Il est envoyé dans un petit groupe dirigé par Toussaint Maheu, qui deviendra son ami. La famille Maheu compte dix personnes : Maheu, mineur, son père, travaillant également à la mine, sa femme, la Maheude, et leurs enfants. Zacharie, Catherine et Jeanlin, les ainés, travaillent également à la mine ; Alezire, bossue, garde le lit ; Léonore, Henri et le petit dernier sont trop petits pour encore travailler.
« Le Voreux » est dirigée par Hennebeau, dont le neveu, Paul Négrel, est le principal ingénieur. Cette mine appartient à des actionnaires, « qui habitent Paris ». La mine « Jean Bart », elle, appartient et est dirigée par Victor Deneulin. La famille Grégoire, dont la femme est la sœur de Deneulin, organise le mariage de leur fille, Cécile, avec Paul Négrel. Paul est poussé à ce mariage par sa tante et amante, Madame Hennebeau.
Logé par le cabaretier du village, Rasseneur, Étienne se plonge rapidement dans les discussions politiques concernant le travail dans la mine. Rasseneur, d'opinion socialiste, et Souvarine, anarchiste, s'opposent dans leur vision des actions à mener pour faire comprendre à la direction les conditions de travail de plus en plus dures des mineurs. Étienne, même s'il comprend les visions de Rasseneur, qui prône l'adhésion à l'AIT, nouvellement créée, préfère monter auprès de ses camarades une caisse de prévoyance, qui servirait en cas de grève. Les familles des mineurs sont déjà toutes fortement endettées auprès de l'épicier du coin, Maigrat.
Dans le même temps, Zacharie, le fils aîné de Maheu, se marie. Le fils cadet, Jeanlin, se brise une jambe lors d'un éboulement, et ne peut plus être employé par la mine à plein régime. Afin de pouvoir continuer à avoir un revenu correct, la famille Maheu prend Étienne en pension. Celui-ci ne tarde pas à tomber amoureux de Catherine, la fille aînée, qui n'est pas non plus insensible à sa présence. Elle est hélas ! « fiancée » de Chaval, mineur lui-aussi au Voreux, puis à la mine voisine, Jean Bart.
Lorsque la direction du Voreux impose une baisse du prix de la berline de charbon, ainsi que le paiement du boisage à part, entraînant alors une baisse de la paye des mineurs, ceux-ci se mettent en grève, après avoir tenté de raisonner Monsieur Hennebeau. Au bout d'un mois, la grève dure toujours au Voreux. Catherine habite désormais avec Chaval, et est méprisée par sa mère qui lui reproche d'être partie avec sa paye. Durant une réunion, Maheu et Étienne apostrophent Chaval, venu en spectateur, lui reprochant d'être un traître. Chaval les enjoint de venir le lendemain à Jean Bart, déclarant que les mineurs de là-bas vont également se mettre en grève pour les soutenir.
Mais le lendemain, Chaval, après avoir tenté d'organiser la grève, cède devant l'offre de Deneulin qui lui propose d'être porion. Il descend donc, avec Catherine, alors qu'Étienne et les gens du Voreux se sont mis en route. Une fois à Jean Bart, ceux-ci et les grévistes de Jean Bart saccagent et brûlent les locaux ; Maheu coupe lui-même à la hache le câble de l'ascenseur. La ruine de Deneulin est signée.
Lorsque Chaval et Catherine remontent à la surface par les échelles, ils sont accueillis par des injures et des horions de la part des grévistes. Étienne manque de s'emporter et de tuer Chaval ; Catherine s'interpose. Reprenant ses esprits, Étienne et ses troupes rentrent au Voreux, où ils assiègent l'épicerie de Maigrat. Celui-ci, prenant peur, tente de fuir par les toits, mais tombe et se tue. Sur ce, les gendarmes arrivent pour imposer à nouveau le calme. Étienne, désigné comme meneur, est obligé de se cacher.
Lorsque les gendarmes sont persuadés qu'il est passé en Belgique, il peut enfin sortir de sa cachette, et apprend par Rasseneur que la direction du Voreux a fait appel à des mineurs belges. Chaval, qui a quitté Catherine et est revenu au Voreux, les conduira, et l'armée sera chargée de la protection de la mine. Alzire Maheu meurt. Le jour de l'arrivée des Belges, les mineurs français forment un attroupement pour convaincre la troupe de les laisser passer. La discussion dégénère et l'officier commandant le bataillon est blessé : les soldats font feu sur les mineurs. Maheu est tué. Étienne est à nouveau obligé de se cacher.
Il finit par sortir pour rejoindre le travail et abandonner la grève. Accompagné de Catherine, il descend à nouveau au fond. Mais Souvarine a mis ses intentions à exécution : il a saboté les structures qui empêchent l'eau de noyer la mine. Les mineurs tentent de sortir par des anciennes cheminées d'aération, mais Catherine, Chaval et Étienne sont piégés dans un cul-de-sac. Étienne lors d'une bagarre tue Chaval ; Catherine finit par reconnaitre ses sentiments et se donne à lui, pensant qu'ils vont mourir.
Les secours, organisés par Négrel, tentent de localiser les derniers survivants. Zacharie, aidant aux recherches, est tué par l'explosion d'une poche de grisou. Le père Maheu, lui, perd la raison et étrangle Cécile Hennebeau, venue avec ses parents faire la charité. Lorsque les secours pénètrent dans le cul-de-sac, seul Étienne est encore en vie. Dehors, la Maheu, voit le cadavre de sa fille et invective durement Étienne.
Celui-ci finit par repartir du Voreux. Il se rend une dernière fois à l'entrée de la mine, pour dire au revoir à ses anciens camarades. Il croise la Maheude, qui retourne elle-aussi au fond : elle s'excuse de l'avoir rendu responsable de ses malheurs. Elle lui apprend également que le père Maheu est toujours chez elle, mais que sa pension d'ancien mineur a été annulée. Elle prévoit que, bientôt, ses trois derniers enfants rejoindront les rangs des travailleurs, comme elle et Jeanlin. Étienne quitte le Voreux, pensant que son combat n'a pas été complètement vain.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Germinal Claude Berri Arlette Langmann Émile Zola Pierre Grunstein Jean-Louis Roques Miou-Miou Renaud Gérard Depardieu Jean Carmet Judith Henry Jean-Roger Milo Laurent Terzieff Bernard Fresson Jean-Pierre Bisson Jacques Dacqmine Anny Duperey Frédéric van den Driessche cinéma français cinéma belge cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une fois n'est pas coutume, un réalisateur-producteur a accepté de donner carte blanche à un journaliste pour mener son enquête derrière le décor de la plus excitante machine de cinéma mise à la disposition d'un seul homme au cours de ces dernières années.
Pendant près de deux ans, l'auteur a suivi les trois grandes étapes du film: avant, pendant et après le tournage. Il raconte tout du montage financier et du choix des comédiens, de la fabrication des costumes et de la construction des décors, de la mise au point des effets spéciaux et de l'adaptation du livre de Zola, mais aussi des doutes et des certitudes d'une équipe, des angoisses et des espoirs de Claude Berri, un cinéaste qui s'est laissé guider par son seul instinct avant de se lancer dans l'aventure de Germinal, un film qui arrive sur les écrans déjà précédé de sa légende.
Accompagne Germinal / Claude Berri
Germinal : L'aventure d'un film [texte imprimé] / Pierre Assouline (1953-....), Auteur . - [Paris] : Fayard, 1993 . - 394 p.-[24] p. de pl. : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-213-03152-1
Vers la fin du XIXe siècle, Étienne Lantier, manœuvre au chômage, arrive à la mine « Le Voreux », dans le nord de la France. Après la mort d'une mineuse du nom de Fleurance, il est engagé. Il est envoyé dans un petit groupe dirigé par Toussaint Maheu, qui deviendra son ami. La famille Maheu compte dix personnes : Maheu, mineur, son père, travaillant également à la mine, sa femme, la Maheude, et leurs enfants. Zacharie, Catherine et Jeanlin, les ainés, travaillent également à la mine ; Alezire, bossue, garde le lit ; Léonore, Henri et le petit dernier sont trop petits pour encore travailler.
« Le Voreux » est dirigée par Hennebeau, dont le neveu, Paul Négrel, est le principal ingénieur. Cette mine appartient à des actionnaires, « qui habitent Paris ». La mine « Jean Bart », elle, appartient et est dirigée par Victor Deneulin. La famille Grégoire, dont la femme est la sœur de Deneulin, organise le mariage de leur fille, Cécile, avec Paul Négrel. Paul est poussé à ce mariage par sa tante et amante, Madame Hennebeau.
Logé par le cabaretier du village, Rasseneur, Étienne se plonge rapidement dans les discussions politiques concernant le travail dans la mine. Rasseneur, d'opinion socialiste, et Souvarine, anarchiste, s'opposent dans leur vision des actions à mener pour faire comprendre à la direction les conditions de travail de plus en plus dures des mineurs. Étienne, même s'il comprend les visions de Rasseneur, qui prône l'adhésion à l'AIT, nouvellement créée, préfère monter auprès de ses camarades une caisse de prévoyance, qui servirait en cas de grève. Les familles des mineurs sont déjà toutes fortement endettées auprès de l'épicier du coin, Maigrat.
Dans le même temps, Zacharie, le fils aîné de Maheu, se marie. Le fils cadet, Jeanlin, se brise une jambe lors d'un éboulement, et ne peut plus être employé par la mine à plein régime. Afin de pouvoir continuer à avoir un revenu correct, la famille Maheu prend Étienne en pension. Celui-ci ne tarde pas à tomber amoureux de Catherine, la fille aînée, qui n'est pas non plus insensible à sa présence. Elle est hélas ! « fiancée » de Chaval, mineur lui-aussi au Voreux, puis à la mine voisine, Jean Bart.
Lorsque la direction du Voreux impose une baisse du prix de la berline de charbon, ainsi que le paiement du boisage à part, entraînant alors une baisse de la paye des mineurs, ceux-ci se mettent en grève, après avoir tenté de raisonner Monsieur Hennebeau. Au bout d'un mois, la grève dure toujours au Voreux. Catherine habite désormais avec Chaval, et est méprisée par sa mère qui lui reproche d'être partie avec sa paye. Durant une réunion, Maheu et Étienne apostrophent Chaval, venu en spectateur, lui reprochant d'être un traître. Chaval les enjoint de venir le lendemain à Jean Bart, déclarant que les mineurs de là-bas vont également se mettre en grève pour les soutenir.
Mais le lendemain, Chaval, après avoir tenté d'organiser la grève, cède devant l'offre de Deneulin qui lui propose d'être porion. Il descend donc, avec Catherine, alors qu'Étienne et les gens du Voreux se sont mis en route. Une fois à Jean Bart, ceux-ci et les grévistes de Jean Bart saccagent et brûlent les locaux ; Maheu coupe lui-même à la hache le câble de l'ascenseur. La ruine de Deneulin est signée.
Lorsque Chaval et Catherine remontent à la surface par les échelles, ils sont accueillis par des injures et des horions de la part des grévistes. Étienne manque de s'emporter et de tuer Chaval ; Catherine s'interpose. Reprenant ses esprits, Étienne et ses troupes rentrent au Voreux, où ils assiègent l'épicerie de Maigrat. Celui-ci, prenant peur, tente de fuir par les toits, mais tombe et se tue. Sur ce, les gendarmes arrivent pour imposer à nouveau le calme. Étienne, désigné comme meneur, est obligé de se cacher.
Lorsque les gendarmes sont persuadés qu'il est passé en Belgique, il peut enfin sortir de sa cachette, et apprend par Rasseneur que la direction du Voreux a fait appel à des mineurs belges. Chaval, qui a quitté Catherine et est revenu au Voreux, les conduira, et l'armée sera chargée de la protection de la mine. Alzire Maheu meurt. Le jour de l'arrivée des Belges, les mineurs français forment un attroupement pour convaincre la troupe de les laisser passer. La discussion dégénère et l'officier commandant le bataillon est blessé : les soldats font feu sur les mineurs. Maheu est tué. Étienne est à nouveau obligé de se cacher.
Il finit par sortir pour rejoindre le travail et abandonner la grève. Accompagné de Catherine, il descend à nouveau au fond. Mais Souvarine a mis ses intentions à exécution : il a saboté les structures qui empêchent l'eau de noyer la mine. Les mineurs tentent de sortir par des anciennes cheminées d'aération, mais Catherine, Chaval et Étienne sont piégés dans un cul-de-sac. Étienne lors d'une bagarre tue Chaval ; Catherine finit par reconnaitre ses sentiments et se donne à lui, pensant qu'ils vont mourir.
Les secours, organisés par Négrel, tentent de localiser les derniers survivants. Zacharie, aidant aux recherches, est tué par l'explosion d'une poche de grisou. Le père Maheu, lui, perd la raison et étrangle Cécile Hennebeau, venue avec ses parents faire la charité. Lorsque les secours pénètrent dans le cul-de-sac, seul Étienne est encore en vie. Dehors, la Maheu, voit le cadavre de sa fille et invective durement Étienne.
Celui-ci finit par repartir du Voreux. Il se rend une dernière fois à l'entrée de la mine, pour dire au revoir à ses anciens camarades. Il croise la Maheude, qui retourne elle-aussi au fond : elle s'excuse de l'avoir rendu responsable de ses malheurs. Elle lui apprend également que le père Maheu est toujours chez elle, mais que sa pension d'ancien mineur a été annulée. Elle prévoit que, bientôt, ses trois derniers enfants rejoindront les rangs des travailleurs, comme elle et Jeanlin. Étienne quitte le Voreux, pensant que son combat n'a pas été complètement vain.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Germinal Claude Berri Arlette Langmann Émile Zola Pierre Grunstein Jean-Louis Roques Miou-Miou Renaud Gérard Depardieu Jean Carmet Judith Henry Jean-Roger Milo Laurent Terzieff Bernard Fresson Jean-Pierre Bisson Jacques Dacqmine Anny Duperey Frédéric van den Driessche cinéma français cinéma belge cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une fois n'est pas coutume, un réalisateur-producteur a accepté de donner carte blanche à un journaliste pour mener son enquête derrière le décor de la plus excitante machine de cinéma mise à la disposition d'un seul homme au cours de ces dernières années.
Pendant près de deux ans, l'auteur a suivi les trois grandes étapes du film: avant, pendant et après le tournage. Il raconte tout du montage financier et du choix des comédiens, de la fabrication des costumes et de la construction des décors, de la mise au point des effets spéciaux et de l'adaptation du livre de Zola, mais aussi des doutes et des certitudes d'une équipe, des angoisses et des espoirs de Claude Berri, un cinéaste qui s'est laissé guider par son seul instinct avant de se lancer dans l'aventure de Germinal, un film qui arrive sur les écrans déjà précédé de sa légende.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300852 19 H.1.00584 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300852URLExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URLUne histoire vraie / Mary Sweeney
Accompagne Une histoire vraie
Titre : Une histoire vraie Type de document : texte imprimé Auteurs : Mary Sweeney, Scénariste ; John Roach, Scénariste ; David Lynch (1946-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1999 Collection : Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, ISSN 1275-2517 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-255-4 Note générale : Une histoire vraie ou Histoire vraie au Québec (The Straight Story) est un film américain, britannique et français réalisé par David Lynch et sorti en 1999. Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Une histoire vraie The Straight Story David Lynch John Roach Mary Sweeney Angelo Badalamenti Scott Cameron Simone Farber Eric Sherman Ronald Eng Bryan Arenas John Neff Freddie Francis Patricia Norris Barbara Haberecht Jack Fisk Crist Ballas Bob Harper Deborah K. Dee Sally J. Harper Pierre Edelman Michael Polaire Neal Edelstein Alain Sarde Asymmetrical Productions The Picture Factory Walt Disney Pictures The Straight Story Inc. Canal+ Les Films Alain Sarde Ciby 2000 Channel Four Films Bac Films Richard Farnsworth Sissy Spacek Harry Dean Stanton Jane Galloway Joseph A. Carpenter Donald Wiegert Cinéma français cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1994, Alvin Straight, 73 ans, a un petit accident, une chute dans sa cuisine. Sa fille Rosie, bègue, l'oblige à aller consulter le médecin. On comprend que le vieil homme est un peu fatigué.
Un soir, en plein orage, un coup de fil retentit dans la maison. Rosie décroche, c'est le Wisconsin où vit Lyle, le frère d'Alvin. Lyle a eu une attaque. Alvin, bouleversé, réfléchit. Il n'a pas vu Lyle depuis 10 ans suite à une dispute violente et ils ne se pardonnent pas. Finalement, Alvin décide de rendre visite à son frère. Et il y ira sur sa tondeuse à gazon puisque c'est son seul moyen de locomotion. Il remet donc en état la vieille machine qui n'est alors qu'un tas de rouille, fabrique une remorque et prend la route. Un long périple de plus de 350 milles (563 km) l'attend, de Laurens, Iowa à Mount Zion, Wisconsin.
Note de contenu : Ce film est tiré d'une histoire vraie comme son nom l'indique. Le véritable Alvin Straight a fait ce périple en 1994. Le titre original (The Straight Story) fait allusion à la fois au caractère réel de l'histoire et au nom du principal protagoniste, Alvin Straight. Ceci n'est pas rendu dans le titre français.
L'acteur principal, Richard Farnsworth, a été nommé meilleur acteur lors de la cérémonie de remises des oscars et devint ainsi le plus vieil acteur en nomination pour cet oscar. Il était atteint d'un cancer durant le tournage du film et se suicida l'année suivante, alors qu'il avait 80 ans.
Accompagne Une histoire vraie
Une histoire vraie [texte imprimé] / Mary Sweeney, Scénariste ; John Roach, Scénariste ; David Lynch (1946-....), Metteur en scène, réalisateur . - Cahiers du Cinéma, 1999. - (Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, ISSN 1275-2517) .
ISBN : 978-2-86642-255-4
Une histoire vraie ou Histoire vraie au Québec (The Straight Story) est un film américain, britannique et français réalisé par David Lynch et sorti en 1999.
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Une histoire vraie The Straight Story David Lynch John Roach Mary Sweeney Angelo Badalamenti Scott Cameron Simone Farber Eric Sherman Ronald Eng Bryan Arenas John Neff Freddie Francis Patricia Norris Barbara Haberecht Jack Fisk Crist Ballas Bob Harper Deborah K. Dee Sally J. Harper Pierre Edelman Michael Polaire Neal Edelstein Alain Sarde Asymmetrical Productions The Picture Factory Walt Disney Pictures The Straight Story Inc. Canal+ Les Films Alain Sarde Ciby 2000 Channel Four Films Bac Films Richard Farnsworth Sissy Spacek Harry Dean Stanton Jane Galloway Joseph A. Carpenter Donald Wiegert Cinéma français cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1994, Alvin Straight, 73 ans, a un petit accident, une chute dans sa cuisine. Sa fille Rosie, bègue, l'oblige à aller consulter le médecin. On comprend que le vieil homme est un peu fatigué.
Un soir, en plein orage, un coup de fil retentit dans la maison. Rosie décroche, c'est le Wisconsin où vit Lyle, le frère d'Alvin. Lyle a eu une attaque. Alvin, bouleversé, réfléchit. Il n'a pas vu Lyle depuis 10 ans suite à une dispute violente et ils ne se pardonnent pas. Finalement, Alvin décide de rendre visite à son frère. Et il y ira sur sa tondeuse à gazon puisque c'est son seul moyen de locomotion. Il remet donc en état la vieille machine qui n'est alors qu'un tas de rouille, fabrique une remorque et prend la route. Un long périple de plus de 350 milles (563 km) l'attend, de Laurens, Iowa à Mount Zion, Wisconsin.
Note de contenu : Ce film est tiré d'une histoire vraie comme son nom l'indique. Le véritable Alvin Straight a fait ce périple en 1994. Le titre original (The Straight Story) fait allusion à la fois au caractère réel de l'histoire et au nom du principal protagoniste, Alvin Straight. Ceci n'est pas rendu dans le titre français.
L'acteur principal, Richard Farnsworth, a été nommé meilleur acteur lors de la cérémonie de remises des oscars et devint ainsi le plus vieil acteur en nomination pour cet oscar. Il était atteint d'un cancer durant le tournage du film et se suicida l'année suivante, alors qu'il avait 80 ans.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302230 19 H.1.2497 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Sorti jusqu'au 19/12/2019
Titre : Luis Buñuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Ado Kyrou, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1962 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Importance : 224 p Note générale : Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Un chien andalou L'Âge d'or Terre sans pain Las Hurdes ou Tierra Sin Pan Quién me quiere a mí ? José Luis Sáenz de Heredia Centinela - alerta ! Jean Grémillon Espagne 37 Espana leal en armas Le Grand Casino Gran Casino Le Grand Noceur El gran Calavera Los Olvidados les Réprouvés Pitié pour eux Susana la perverse Susana demonio y carne Don Quintin l'amer La Hija Del Engaño Carlos Arniches Une femme sans amour Pierre et Jean Una Mujer Sin Amor Cuando los higos nos juzgan La Montée au ciel Subida Al Cielo Les Aventures de Robinson Crusoé Aventuras De Robinson Crusoe L'Enjôleuse El Bruto Tourments Él On a volé un tram La Illusión Viaja En Tranvía Les Hauts de Hurlevent Abismos de Pasión Cumbres Borrascosas Le Fleuve de la mort El Río y la Muerte La Vie criminelle d'Archibald de la Cruz Ensayo De Un Crimen Cela s'appelle l'aurore La Mort en ce jardin La Muerte En Este Jardín Nazarin La fièvre monte à El Pao Los Ambiciosos La Jeune Fille The Young One La Joven Viridiana L'Ange exterminateur El Ángel Exterminador Le Journal d'une femme de chambre Octave Mirbeau cinéma espagnol Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Conscrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Luis Buñuel [texte imprimé] / Ado Kyrou, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée . - Editions Seghers, 1962 . - 224 p. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Un chien andalou L'Âge d'or Terre sans pain Las Hurdes ou Tierra Sin Pan Quién me quiere a mí ? José Luis Sáenz de Heredia Centinela - alerta ! Jean Grémillon Espagne 37 Espana leal en armas Le Grand Casino Gran Casino Le Grand Noceur El gran Calavera Los Olvidados les Réprouvés Pitié pour eux Susana la perverse Susana demonio y carne Don Quintin l'amer La Hija Del Engaño Carlos Arniches Une femme sans amour Pierre et Jean Una Mujer Sin Amor Cuando los higos nos juzgan La Montée au ciel Subida Al Cielo Les Aventures de Robinson Crusoé Aventuras De Robinson Crusoe L'Enjôleuse El Bruto Tourments Él On a volé un tram La Illusión Viaja En Tranvía Les Hauts de Hurlevent Abismos de Pasión Cumbres Borrascosas Le Fleuve de la mort El Río y la Muerte La Vie criminelle d'Archibald de la Cruz Ensayo De Un Crimen Cela s'appelle l'aurore La Mort en ce jardin La Muerte En Este Jardín Nazarin La fièvre monte à El Pao Los Ambiciosos La Jeune Fille The Young One La Joven Viridiana L'Ange exterminateur El Ángel Exterminador Le Journal d'une femme de chambre Octave Mirbeau cinéma espagnol Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Conscrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301688 18 H.1.00065 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301688URLMulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
Accompagne Mulholland Drive
Titre : Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Aubron, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 19 H.1.03158 Note générale :
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman Mary Sweeney StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Accompagne Mulholland Drive
Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me [texte imprimé] / Hervé Aubron, Auteur . - Crisnée (15 rue François Gilon, 4367, Belgique) : Yellow Now, 2006.
ISSN : 19 H.1.03158
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman Mary Sweeney StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301752 19 H.1.03158 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Ombre vive / Jean-Louis Bory
Titre : Ombre vive Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Bory, Auteur Editeur : Paris : Union générale d'Editions Année de publication : 1973 Collection : 10/18 Note générale :
Jean-Louis Bory, né le 25 juin 1919 à Méréville et mort dans la nuit du 11 au 12 juin 1979 dans la même commune (aujourd’hui en Essonne), est un écrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste français.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : chronique d'anna magdalena bach mr freedom le vent des aurès silence et cri la femme infidèle théorème l'enfance nue la piscine fanny girl la charge de la brigade légère le diable par la queue la chevauchée de la vengeance cati delphine z la voie lactée un été américain père simon du désert bye bye barbara cérémonie secrete bullit la honte calcutta la chute des feuilles model shop un été capricieux pierre et paul one plus one point noir sweet charity adalen 31 andrei roublov ah ça ira paris n'existe pas ma nuit chez maud viêt-nam année du cochon le temps de vivre erotissimo l'heure des brasiers la sirène du mississipi thèrese et isabelle l'arche les chasses du comte zaroff che a bientôt j'espère classe de lutte une femme douce le viol d'une jeune fille douce sept jours ailleurs slogan l'escalier la pendaison éros + massacre more money money antonio das mortes porcherie l'arbre de noël la vie est à nous solo la terre the gladiators le retour de frankenstein tout peut arriver la fiancée du pirate satyricon détruire dit-elle les confessions d'un mangeur d'opium swing time top hat Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
À partir de novembre 1966, Jean-Louis Bory assure la critique cinématographique du Nouvel Observateur à la place de Michel Cournot. Michel Mardore assure avec lui jusqu'en 1971 le choix des films pour les critiques.
Mettant fin à sa collaboration à Arts, il s’impose comme le critique cinéma du journal même s’il y est peu présent, se contentant de passer pour déposer son article. Célèbre pour les joutes qui l'opposent à Georges Charensol et Michel Aubriant (alias Pierre des Vallières) au Masque et la plume, il défend notamment le cinéma du tiers-monde, particulièrement africain et arabe. Il apparaît aussi comme le plus influent des critiques du circuit "Art et Essai" du quartier latin. Mais son ardeur est encore plus vive en mai 68 où il est un de leaders qui font arrêter le Festival de Cannes dont il avait été membre du jury l’année précédente. Cela ne l'empêchera pas d’être membre de sa commission de sélection de 1970 à 1973 ni d’être des plus assidus au festival de La Rochelle.
Jean-Louis Bory n’intervient pas dans les choix du journal qu’il trouve politiquement discutables. Mais il téléphone régulièrement à Jean Daniel pour lui donner son avis sur un éditorial. Il plaide ainsi pour la cause palestinienne qu’il ne trouve pas assez défendue. Il défend quant à lui des films d’aspect avant-gardiste ou scandaleux qui s’attachent à remettre en question la société, ses institutions et ses valeurs traditionnelles. À côté de films explicitement politiques qu’il soutient en dehors de toutes considérations artistiques, il défend un cinéma dont l’aspect contestataire tient moins au sujet qu’à la subversion du langage cinématographique traditionnel.
Godard, Robbe-Grillet, Resnais, Pasolini, Duras ou les frères Taviani sont des cinéastes qui lui tiennent à cœur. Défenseur d’une culture « alternative », il se montre souvent agressif à l'égard des films de boulevard, de distraction ou à grande distribution qui ne remettent en cause ni les tabous de la morale et de la vie sociale, ni les habitudes de voir et de penser. Son mépris pour le cinéma de Michel Audiard, Bourvil ou Louis de Funès, qu'il juge bourgeois et franchouillard, n’a d’égal que celui pour des films qui, comme ceux de Henri Verneuil – exaltant selon lui des valeurs bourgeoises, d’argent et d’ambition – ou de Claude Lelouch - mettant en scène des personnages socialement « arrivés » - véhiculent des représentations légitimant à ses yeux la droite. Il défend des films difficiles comme Quelque part quelqu'un de Yannick Bellon, des œuvres rigoureuses sur lesquelles il écrit avec force et passion.
Cette liberté qui lui permet de consacrer sa chronique « à un film que ne sera vu que par l’auteur et par [lui] », est garantie à ses yeux par la modestie de sa rémunération. En effet, la direction du Nouvel Observateur déplore de le voir ignorer systématiquement les films à gros budget et à grand public et exerce sur lui une certaine pression en suscitant un concurrent moins militant[réf. nécessaire]. Malgré tout, il n’est pas réellement inquiété et refuse en 1972 de répondre à l’invitation chaleureuse de François Nourissier de venir travailler au Point. Au contraire, il fait entrer Michel Grisolia pour l’aider à rédiger les petites notices qu’on lui réclame sur les films.
Ombre vive [texte imprimé] / Jean-Louis Bory, Auteur . - Union générale d'Editions, 1973. - (10/18) .
Jean-Louis Bory, né le 25 juin 1919 à Méréville et mort dans la nuit du 11 au 12 juin 1979 dans la même commune (aujourd’hui en Essonne), est un écrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste français.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : chronique d'anna magdalena bach mr freedom le vent des aurès silence et cri la femme infidèle théorème l'enfance nue la piscine fanny girl la charge de la brigade légère le diable par la queue la chevauchée de la vengeance cati delphine z la voie lactée un été américain père simon du désert bye bye barbara cérémonie secrete bullit la honte calcutta la chute des feuilles model shop un été capricieux pierre et paul one plus one point noir sweet charity adalen 31 andrei roublov ah ça ira paris n'existe pas ma nuit chez maud viêt-nam année du cochon le temps de vivre erotissimo l'heure des brasiers la sirène du mississipi thèrese et isabelle l'arche les chasses du comte zaroff che a bientôt j'espère classe de lutte une femme douce le viol d'une jeune fille douce sept jours ailleurs slogan l'escalier la pendaison éros + massacre more money money antonio das mortes porcherie l'arbre de noël la vie est à nous solo la terre the gladiators le retour de frankenstein tout peut arriver la fiancée du pirate satyricon détruire dit-elle les confessions d'un mangeur d'opium swing time top hat Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
À partir de novembre 1966, Jean-Louis Bory assure la critique cinématographique du Nouvel Observateur à la place de Michel Cournot. Michel Mardore assure avec lui jusqu'en 1971 le choix des films pour les critiques.
Mettant fin à sa collaboration à Arts, il s’impose comme le critique cinéma du journal même s’il y est peu présent, se contentant de passer pour déposer son article. Célèbre pour les joutes qui l'opposent à Georges Charensol et Michel Aubriant (alias Pierre des Vallières) au Masque et la plume, il défend notamment le cinéma du tiers-monde, particulièrement africain et arabe. Il apparaît aussi comme le plus influent des critiques du circuit "Art et Essai" du quartier latin. Mais son ardeur est encore plus vive en mai 68 où il est un de leaders qui font arrêter le Festival de Cannes dont il avait été membre du jury l’année précédente. Cela ne l'empêchera pas d’être membre de sa commission de sélection de 1970 à 1973 ni d’être des plus assidus au festival de La Rochelle.
Jean-Louis Bory n’intervient pas dans les choix du journal qu’il trouve politiquement discutables. Mais il téléphone régulièrement à Jean Daniel pour lui donner son avis sur un éditorial. Il plaide ainsi pour la cause palestinienne qu’il ne trouve pas assez défendue. Il défend quant à lui des films d’aspect avant-gardiste ou scandaleux qui s’attachent à remettre en question la société, ses institutions et ses valeurs traditionnelles. À côté de films explicitement politiques qu’il soutient en dehors de toutes considérations artistiques, il défend un cinéma dont l’aspect contestataire tient moins au sujet qu’à la subversion du langage cinématographique traditionnel.
Godard, Robbe-Grillet, Resnais, Pasolini, Duras ou les frères Taviani sont des cinéastes qui lui tiennent à cœur. Défenseur d’une culture « alternative », il se montre souvent agressif à l'égard des films de boulevard, de distraction ou à grande distribution qui ne remettent en cause ni les tabous de la morale et de la vie sociale, ni les habitudes de voir et de penser. Son mépris pour le cinéma de Michel Audiard, Bourvil ou Louis de Funès, qu'il juge bourgeois et franchouillard, n’a d’égal que celui pour des films qui, comme ceux de Henri Verneuil – exaltant selon lui des valeurs bourgeoises, d’argent et d’ambition – ou de Claude Lelouch - mettant en scène des personnages socialement « arrivés » - véhiculent des représentations légitimant à ses yeux la droite. Il défend des films difficiles comme Quelque part quelqu'un de Yannick Bellon, des œuvres rigoureuses sur lesquelles il écrit avec force et passion.
Cette liberté qui lui permet de consacrer sa chronique « à un film que ne sera vu que par l’auteur et par [lui] », est garantie à ses yeux par la modestie de sa rémunération. En effet, la direction du Nouvel Observateur déplore de le voir ignorer systématiquement les films à gros budget et à grand public et exerce sur lui une certaine pression en suscitant un concurrent moins militant[réf. nécessaire]. Malgré tout, il n’est pas réellement inquiété et refuse en 1972 de répondre à l’invitation chaleureuse de François Nourissier de venir travailler au Point. Au contraire, il fait entrer Michel Grisolia pour l’aider à rédiger les petites notices qu’on lui réclame sur les films.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302183 19 H.1.00096 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le procès / Jean-Philippe Trias
AccompagneLe Procès / Orson Welles
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
AccompagneLe Procès / Orson Welles Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le quai des brumes Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marcel Carné, Auteur ; Jean Gabin, Acteur ; Michèle Morgan, Auteur Editeur : Studio Canal Année de publication : 1938 Importance : 1 dvd Présentation : 91 min ISBN/ISSN/EAN : 3339161275208 Note générale : Genre : Drame Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman éponyme de Pierre Mac Orlan (1927) Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un déserteur de l'arme coloniale se terre dans le port du Havre. C'est la qu'il rencontre une très belle jeune fille, mais le destin les séparera tragiquement. Le quai des brumes [document projeté ou vidéo] / Marcel Carné, Auteur ; Jean Gabin, Acteur ; Michèle Morgan, Auteur . - France : Studio Canal, 1938 . - 1 dvd : 91 min.
ISSN : 3339161275208
Genre : Drame
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : Adaptation cinématographique du roman éponyme de Pierre Mac Orlan (1927) Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un déserteur de l'arme coloniale se terre dans le port du Havre. C'est la qu'il rencontre une très belle jeune fille, mais le destin les séparera tragiquement. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101462 92.1 N.1.0117/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 200741 E.6.0014 VHS Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
101462URLToto le héros (dossier pédagogique) / Michel Condé
Accompagne Toto le héros / Jaco Van Dormael
Titre : Toto le héros (dossier pédagogique) Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1990 Note générale :
Toto le héros est un film belge de Jaco Van Dormael sorti en 1991.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Toto le héros Toto de held Jaco Van Dormael Laurette Vankeerberghen Pascal Lonhay Didier De Neck Pierre Drouot Dany Geys Iblis Films Pierre Van Dormael Michel Bouquet Jo De Backer Thomas Godet Gisela Uhlen Mireille Perrier Esthelle Unik cinéma belge Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Toto le héros est le premier long métrage de fiction de Jaco Van Dormael, qui a déjà tourné quelques documentaires tels que Stade ou L'Imitateur ainsi que des films courts (È pericoloso sporgersi). Aujourd'hui considéré comme « le film événement de la décennie 90 », il connaît un très grand succès public et critique et remporte de nombreuses récompenses internationales, dont la Caméra d'or au Festival de Cannes.
La (dé)construction sophistiquée de Toto le héros, avec ses retours en arrière, sa conjugaison du vrai et du faux, ses passages incessants du subjectif à l'objectif, constitue un véritable puzzle, pourtant cohérent et maîtrisé. Au fil des critiques, les rapprochements les plus flatteurs ont été envisagés comme David Lynch, Terry Gilliam et Lars von Trier. Une comparaison avec Citizen Kane et Orson Welles a aussi été évoquée.
Au-delà des mérites formels, l'interrogation identitaire, la réflexion sur les forces destructrices de la rancœur ou l'exploration novatrice du point de vue de l'enfance ont manifestement su toucher un large public.
Malgré son succès, Jaco Van Dormael ne tourne pas d'autre long métrage avant Le Huitième Jour (1996), qui lui vaudra de nouvelles distinctions.
Note de contenu :
À travers une mosaïque complexe de flashbacks, un vieil homme du nom de Thomas Van Hazebrouck (Toto) se souvient de la vie apparemment sans éclat qu'il a menée et imagine comment les événements auraient pu tourner différemment.
Depuis l'âge de huit ans, Thomas est persuadé — à tort ou à raison — d'avoir été échangé par erreur à sa naissance avec un autre bébé, son voisin Alfred Kant. La jalousie ressassée à l'égard de cet homme mieux loti lui a gâché toute son existence, parfois avec des conséquences tragiques pour ses proches. Il ne songe qu'à se venger et envisage même de tuer Alfred. Pourtant Thomas trouvera sur le tard une manière plus originale de donner un sens à sa vie.
Accompagne Toto le héros / Jaco Van Dormael
Toto le héros (dossier pédagogique) [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 1990.
Toto le héros est un film belge de Jaco Van Dormael sorti en 1991.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Toto le héros Toto de held Jaco Van Dormael Laurette Vankeerberghen Pascal Lonhay Didier De Neck Pierre Drouot Dany Geys Iblis Films Pierre Van Dormael Michel Bouquet Jo De Backer Thomas Godet Gisela Uhlen Mireille Perrier Esthelle Unik cinéma belge Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Toto le héros est le premier long métrage de fiction de Jaco Van Dormael, qui a déjà tourné quelques documentaires tels que Stade ou L'Imitateur ainsi que des films courts (È pericoloso sporgersi). Aujourd'hui considéré comme « le film événement de la décennie 90 », il connaît un très grand succès public et critique et remporte de nombreuses récompenses internationales, dont la Caméra d'or au Festival de Cannes.
La (dé)construction sophistiquée de Toto le héros, avec ses retours en arrière, sa conjugaison du vrai et du faux, ses passages incessants du subjectif à l'objectif, constitue un véritable puzzle, pourtant cohérent et maîtrisé. Au fil des critiques, les rapprochements les plus flatteurs ont été envisagés comme David Lynch, Terry Gilliam et Lars von Trier. Une comparaison avec Citizen Kane et Orson Welles a aussi été évoquée.
Au-delà des mérites formels, l'interrogation identitaire, la réflexion sur les forces destructrices de la rancœur ou l'exploration novatrice du point de vue de l'enfance ont manifestement su toucher un large public.
Malgré son succès, Jaco Van Dormael ne tourne pas d'autre long métrage avant Le Huitième Jour (1996), qui lui vaudra de nouvelles distinctions.
Note de contenu :
À travers une mosaïque complexe de flashbacks, un vieil homme du nom de Thomas Van Hazebrouck (Toto) se souvient de la vie apparemment sans éclat qu'il a menée et imagine comment les événements auraient pu tourner différemment.
Depuis l'âge de huit ans, Thomas est persuadé — à tort ou à raison — d'avoir été échangé par erreur à sa naissance avec un autre bébé, son voisin Alfred Kant. La jalousie ressassée à l'égard de cet homme mieux loti lui a gâché toute son existence, parfois avec des conséquences tragiques pour ses proches. Il ne songe qu'à se venger et envisage même de tuer Alfred. Pourtant Thomas trouvera sur le tard une manière plus originale de donner un sens à sa vie.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302193 19 H.1.01010 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 302192 19 H.1.01010/2 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible "Tu n'as rien vu à Hiroshima" / Collectif
Accompagne Hiroshima mon Amour / Alain Resnais
Titre : "Tu n'as rien vu à Hiroshima" : Un grand film, "Hiroshima mon amour", analysé par un groupe d'universitaires sous la direction de Raymond Ravar Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur ; Raymond Ravar, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Université Libre de Bruxelles Année de publication : 1962 Importance : 1 vol. Note générale :
Hiroshima mon amour (Titre japonais : 24 jikan no jôji, soit : une liaison de 24 heures) est un film franco-japonais d'Alain Resnais sorti en 1959.
- Prix Méliès en 1959.
Le film a été projeté pour la première fois hors compétition au festival de Cannes 1959. Au total, le film a fait 255 000 entrées en salles en France.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Hiroshima mon amour 24 jikan no jôji Alain Resnais Marguerite Duras Georges Delerue Giovanni Fusco Samy Halfon Anatole Dauman Pathé films Emmanuelle Riva Eiji Okada Bernard Fresson Stella Dassas Pierre Barbaud cinéma français cinéma japonais Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une actrice se rend à Hiroshima pour tourner un film sur la paix. Elle y rencontre un Japonais qui devient son amant, mais aussi son confident. Il lui parle de sa vie et lui répète « Tu n'as rien vu à Hiroshima ». Elle lui parle de son adolescence à Nevers pendant la seconde guerre mondiale, de son amour un soldat allemand et de l'humiliation qu'elle a subie à la Libération.
Note de contenu :
Une expérience
-"Hiroshima mon amour" face au public
Aspects sociologiques de la genèse du film
Analyse des critiques
Du côté du distributeur et de l'exploitant
Les spectateurs
-"Hiroshima mon amour" film à thèmes
L'amour et la mort
Le temps
La femme
L'image de la femme à travers le cinéma
L'héroïne d"Hiroshima mon amour" : une femme moderne
Vraisemblance, cohérence et richesse psychologique
-"Hiroshima mon amour" et le langage cinématographique
L'"être" du cinéma
Hiroshima, Resnais et la grammaire
Hiroshima et ses signes
La musique
L'expression du souvenir et le contrepoint sono-visuel
-"Hiroshima mon amour" et ses auteurs
Entretien avec Alain Resnais
Alain Resnais, cinéaste
Marguerite Duras
-"Hiroshima mon amour" vu par des philosophes
Une trace de l'homme contemporain
Une vision synthétique
Découpage du film
Accompagne Hiroshima mon Amour / Alain Resnais
"Tu n'as rien vu à Hiroshima" : Un grand film, "Hiroshima mon amour", analysé par un groupe d'universitaires sous la direction de Raymond Ravar [texte imprimé] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur ; Raymond Ravar, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : Université Libre de Bruxelles, 1962 . - 1 vol.
Hiroshima mon amour (Titre japonais : 24 jikan no jôji, soit : une liaison de 24 heures) est un film franco-japonais d'Alain Resnais sorti en 1959.
- Prix Méliès en 1959.
Le film a été projeté pour la première fois hors compétition au festival de Cannes 1959. Au total, le film a fait 255 000 entrées en salles en France.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Hiroshima mon amour 24 jikan no jôji Alain Resnais Marguerite Duras Georges Delerue Giovanni Fusco Samy Halfon Anatole Dauman Pathé films Emmanuelle Riva Eiji Okada Bernard Fresson Stella Dassas Pierre Barbaud cinéma français cinéma japonais Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une actrice se rend à Hiroshima pour tourner un film sur la paix. Elle y rencontre un Japonais qui devient son amant, mais aussi son confident. Il lui parle de sa vie et lui répète « Tu n'as rien vu à Hiroshima ». Elle lui parle de son adolescence à Nevers pendant la seconde guerre mondiale, de son amour un soldat allemand et de l'humiliation qu'elle a subie à la Libération.
Note de contenu :
Une expérience
-"Hiroshima mon amour" face au public
Aspects sociologiques de la genèse du film
Analyse des critiques
Du côté du distributeur et de l'exploitant
Les spectateurs
-"Hiroshima mon amour" film à thèmes
L'amour et la mort
Le temps
La femme
L'image de la femme à travers le cinéma
L'héroïne d"Hiroshima mon amour" : une femme moderne
Vraisemblance, cohérence et richesse psychologique
-"Hiroshima mon amour" et le langage cinématographique
L'"être" du cinéma
Hiroshima, Resnais et la grammaire
Hiroshima et ses signes
La musique
L'expression du souvenir et le contrepoint sono-visuel
-"Hiroshima mon amour" et ses auteurs
Entretien avec Alain Resnais
Alain Resnais, cinéaste
Marguerite Duras
-"Hiroshima mon amour" vu par des philosophes
Une trace de l'homme contemporain
Une vision synthétique
Découpage du film
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302195 19 H.1.01208 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301128 19 H.1.03973 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) / Collectif
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 103 Titre : Solo (de Jean-Pierre Mocky) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.
Accompagne Solo / Jean-Pierre Mocky
L'avant-scène cinéma, 103. Solo (de Jean-Pierre Mocky) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Solo est un film franco-belge réalisé par Jean-Pierre Mocky en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Jean-Pierre Mocky Alain Moury Luc Andrieux Pierre Drouot Jacques de Chavigny Marcel Weiss Paul Rodier Christian Dupré Séverin Frankiel Lucien Yvonnet Georges Moustaki Marguerite Renoir Sophie Tatischeff Jacques Flamand Françoise Hardy Louis Dor Nicole Vendekerlen Marcel Mossotti Arlette Danis Alain Guillaume Paul Collet Monique Zimmer Daniel Locus Balzac Films Eclair Cinévog Schowcking Gilbert Marion
Jérôme Goulven André Weiss C.C.F.C Difex cinéma françaisIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. Il réussira à sauver Virgile et son amie de la police mais sera finalement abattu.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302209 19 H.1.01437 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 105-106. Spécial Pagnol / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 105-106 Titre : Spécial Pagnol : Le schpountz Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Le Schpountz est un film français réalisé par Marcel Pagnol, sorti en 1938. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Schpountz La Fausse Vocation Marcel Pagnol Willy Faktorovitch Roger Ledru Henri Daries Marius Brouquier Marcel Levoignat Jean Lecoq Suzanne de Troye Suzanne Cabon Jeannette Ginestet Casimir Oberfeld Je n'ai jamais compris l'amour Jean Manse Charles Pons Les Films Marcel Pagnol Pierre Brasseur Fernandel Orane Demazis Léon Belières Robert Vattier Fernand Charpin Jean Castan Odette Roger cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le naïf Irénée Fabre rêve d'être une vedette du grand écran. De passage dans son village, une troupe de cinéma lui fait signer un contrat mirobolant. Il s'agit d'une farce, mais Irénée n'en prend pas conscience et se rend à Paris pour tourner ce qu'il croit être son premier film en tant que vedette principale. C'est alors qu'il s'aperçoit qu'on s'est joué de lui et qu'il n'est en fait qu'un « schpountz », un fada, un simple d'esprit.L'avant-scène cinéma, 105-106. Spécial Pagnol : Le schpountz [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Le Schpountz est un film français réalisé par Marcel Pagnol, sorti en 1938.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Schpountz La Fausse Vocation Marcel Pagnol Willy Faktorovitch Roger Ledru Henri Daries Marius Brouquier Marcel Levoignat Jean Lecoq Suzanne de Troye Suzanne Cabon Jeannette Ginestet Casimir Oberfeld Je n'ai jamais compris l'amour Jean Manse Charles Pons Les Films Marcel Pagnol Pierre Brasseur Fernandel Orane Demazis Léon Belières Robert Vattier Fernand Charpin Jean Castan Odette Roger cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le naïf Irénée Fabre rêve d'être une vedette du grand écran. De passage dans son village, une troupe de cinéma lui fait signer un contrat mirobolant. Il s'agit d'une farce, mais Irénée n'en prend pas conscience et se rend à Paris pour tourner ce qu'il croit être son premier film en tant que vedette principale. C'est alors qu'il s'aperçoit qu'on s'est joué de lui et qu'il n'est en fait qu'un « schpountz », un fada, un simple d'esprit.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302207 19 H.1.01439 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 108. Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 108 Titre : Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Charles mort ou vif est un film suisse réalisé par Alain Tanner, sorti en 1970. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Charles mort ou vif Alain Tanner Groupe 5 Jacques Olivier Renato Berta Silva Bachmann François Simon Marcel Robert Marie-Claire Dufour André Schmidt Maya Simon Michéle Martel Jo Excoffier Walter Schochli Jean-Pierre Moriaud Jean-Luc Bideau Francis Reusser cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Charles Dé, quinquagénaire, dirige une petite entreprise familiale, une fabrique de pièces de montres qu'il a hérité de son père et de son grand-père. S'il a accepté cette succession quand il avait 20 ans, c'est pour des raisons familiales alors qu'il rêvait d'un autre avenir. Mais, arrivé au bilan de sa vie, sa réussite lui parait dérisoire, c'est une véritable compromission. Il a laissé sa vie, triste et vide, il n'a pas pris le temps de vivre, de s'épanouir.
Charles décide alors de rompre avec cette vie qu'il mène et de choisir la liberté, sa liberté. Il plaque tout, la famille, l'entreprise et va loger dans un hôtel. Un peu plus tard, il se liera d'amitié avec un jeune couple (Paul et Adeline) et ira partager leur vie de bohème, en s'installant chez eux. Il changera de nom, Charles s'appellera Carlo.
Si sa fille, Marianne, le comprend dans sa démarche, son fils Pierre, mobilise contre lui avocat et détective. Bien qu'on tente de le faire taire et de l'enfermer dans une clinique psychiatrique, Carlo s'obstine.L'avant-scène cinéma, 108. Charles mort ou vif (d'Alain Tanner) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Charles mort ou vif est un film suisse réalisé par Alain Tanner, sorti en 1970.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Charles mort ou vif Alain Tanner Groupe 5 Jacques Olivier Renato Berta Silva Bachmann François Simon Marcel Robert Marie-Claire Dufour André Schmidt Maya Simon Michéle Martel Jo Excoffier Walter Schochli Jean-Pierre Moriaud Jean-Luc Bideau Francis Reusser cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Charles Dé, quinquagénaire, dirige une petite entreprise familiale, une fabrique de pièces de montres qu'il a hérité de son père et de son grand-père. S'il a accepté cette succession quand il avait 20 ans, c'est pour des raisons familiales alors qu'il rêvait d'un autre avenir. Mais, arrivé au bilan de sa vie, sa réussite lui parait dérisoire, c'est une véritable compromission. Il a laissé sa vie, triste et vide, il n'a pas pris le temps de vivre, de s'épanouir.
Charles décide alors de rompre avec cette vie qu'il mène et de choisir la liberté, sa liberté. Il plaque tout, la famille, l'entreprise et va loger dans un hôtel. Un peu plus tard, il se liera d'amitié avec un jeune couple (Paul et Adeline) et ira partager leur vie de bohème, en s'installant chez eux. Il changera de nom, Charles s'appellera Carlo.
Si sa fille, Marianne, le comprend dans sa démarche, son fils Pierre, mobilise contre lui avocat et détective. Bien qu'on tente de le faire taire et de l'enfermer dans une clinique psychiatrique, Carlo s'obstine.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302206 19 H.1.01440 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) / Collectif
Accompagne Easy Rider / Dennis Hopper
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 117 Titre : Easy rider (de Dennis Hopper) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1971 Note générale :
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn Peter Fonda William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
Accompagne Easy Rider / Dennis Hopper
L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1971.
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn Peter Fonda William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302201 19 H.1.01447 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
Accompagne Le guépard / Luchino Visconti
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 32-33 Titre : Le guépard (de Luchino Visconti) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1963 Note générale : Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Accompagne Le guépard / Luchino Visconti
L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1963.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302225 19 H.1.01419 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Accompagne A bout de souffle / Jean-Luc Godard
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) / Collectif
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 80 Titre : Mouchette (de Robert Bresson) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
Accompagne Mouchette / Robert Bresson
L'avant-scène cinéma, 80. Mouchette (de Robert Bresson) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
Mouchette est un film français de Robert Bresson, sorti en 1967.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mouchette Robert Bresson Georges Bernanos Ghislain Cloquet Pierre Guffroy Jacques Carrère Séverin Frankiel Daniel Couteau Odette Le Barbenchon Jean Wiener Raymond Lamy Magnificat de Claudio Monteverdi Les Chanteurs de Saint-Eustache Anatole Dauman Parc Films Argos Films ORTF Nadine Nortier Jean-Claude Guilbert Marie Cardinal Paul Hébert Jean Vimenet Marie Susini Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Mouchette (on ne saura jamais son vrai nom) est une adolescente taciturne ; son père est un contrebandier alcoolique et sa mère est gravement malade. Elle vit, solitaire, dans un petit village (le village n'est jamais nommé, non plus que la région où il se trouve). Un soir d'orage, alors qu'elle rentre de l'école, elle s'égare dans la forêt. Elle accepte l'hospitalité d'un braconnier, Monsieur Arsène, le premier habitant du village à lui témoigner un peu de compassion. Mais il finit par abuser d'elle. En rentrant chez elle, Mouchette assiste à la mort de sa mère, sans avoir le temps de se confier à elle...
Au matin, se heurtant à l'hostilité méprisante de sa famille et de tout son village, Mouchette trouve provisoirement refuge chez une vieille « qui aime les morts ». La vieille dame donne à Mouchette, avant qu'elle ne reparte, une robe blanche, qui semble une robe de mariée. Écrasée de désespoir, Mouchette s'enroule dans la robe/linceul et va se noyer dans un étang, accompagnée par une musique de Monteverdi.
Note de contenu :
Robert Bresson a tourné dans le Vaucluse, mais plusieurs allusions (l'apéritif au genièvre, la contrebande avec la Belgique) rappellent plutôt le Nord-Pas-de-Calais.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302219 19 H.1.01426 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 92. La femme infidèle (de Claude Chabrol) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 92 Titre : La femme infidèle (de Claude Chabrol) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : La Femme infidèle est un film français réalisé par Claude Chabrol et sorti en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Claude Chabrol Jacques Fansten André Génovès Les Films de La Boétie Cinegai S.p.A. Pierre Jansen Dominique Zardi Jean Rabier Claude Zidi Jacques Gaillard Stéphane Audran Michel Bouquet Maurice Ronet Stéphane di Napoli Michel Duchaussoy Henri Marteau Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Charles Desvallées a de bonnes raisons de croire à l'infidélité de sa femme. Afin d'en avoir la certitude, il engage un détective. Apprenant l'identité de l'amant, l'écrivain Victor Pégala, il se rend chez lui. Après une courte conversation franche, il le tue. Sans que rien ne soit dit entre les deux époux, Hélène devine ce qui s'est passé, et, lorsque la police est de retour, sans que l'on sache si c'est pour arrêter son mari, Hélène échange avec son époux un long regard lourd de sens.L'avant-scène cinéma, 92. La femme infidèle (de Claude Chabrol) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
La Femme infidèle est un film français réalisé par Claude Chabrol et sorti en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Claude Chabrol Jacques Fansten André Génovès Les Films de La Boétie Cinegai S.p.A. Pierre Jansen Dominique Zardi Jean Rabier Claude Zidi Jacques Gaillard Stéphane Audran Michel Bouquet Maurice Ronet Stéphane di Napoli Michel Duchaussoy Henri Marteau Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Charles Desvallées a de bonnes raisons de croire à l'infidélité de sa femme. Afin d'en avoir la certitude, il engage un détective. Apprenant l'identité de l'amant, l'écrivain Victor Pégala, il se rend chez lui. Après une courte conversation franche, il le tue. Sans que rien ne soit dit entre les deux époux, Hélène devine ce qui s'est passé, et, lorsque la police est de retour, sans que l'on sache si c'est pour arrêter son mari, Hélène échange avec son époux un long regard lourd de sens.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302214 19 H.1.01431 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 96 Titre : Z (de Costa-Gavras) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.L'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
Z est un film franco-algérien, réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1969, adapté du roman de Vassilis Vassilikos écrit à partir de l'affaire Lambrakis.
Z a reçu en 1970 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie et le Golden Globe du meilleur film étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Z Costa-Gavras Philippe Monnier Jorge Semprún Vassilis Vassilikos Eric Schlumberger Jacques Perrin Valoria Films Reggane Films Ahmed Rachedi l'ONCIC Raoul Coutard Françoise Bonnot Mikis Theodorakis Bernard Gérard Psyche Rock Pierre Henry et Michel Colombier Maurice Béjart Yves Montand Irène Papas Charles Denner Bernard Fresson Jean Bouise Jacques Perrin Jean-Louis Trintignant Pierre Dux François Périer Julien Guiomar Marcel Bozzuffi Renato Salvatori William Sabatier Georges Géret Magali Noël Clotilde Joano José Artur Guy Mairesse Hassan El-Hassani Sid Ahmed Agoumi José Villa Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans les années 1960, dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste (Yves Montand) est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle du gouvernement, notamment de l'armée et de la police dans cet assassinat.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302212 19 H.1.01433 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 98. Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) / Collectif
Accompagne Ma nuit chez Maud / Eric Rohmer
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 98 Titre : Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1969 Note générale : Ma nuit chez Maud est un film français d'Éric Rohmer, sorti en 1969. Il constitue le troisième volet des Six contes moraux du réalisateur. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Ma nuit chez Maud Éric Rohmer Nestor Almendros Philippe Rousselot Barbet Schroeder Pierre Cottrell Les Films du Losange Cécile Decugis Nicole Rachline Jacques Maumont Jean-Pierre Ruh Alain Sempé Jean-Louis Trintignant Françoise Fabian Marie-Christine Barrault Antoine Vitez Leonid Kogan Guy Léger Anne Dubot Marie Becker Marie-Claude Rauzier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Clermont-Ferrand, quelques jours avant Noël. Un jeune ingénieur, récemment revenu de l'étranger, remarque à la messe une jeune femme blonde et décide qu'elle sera sa femme. Il retrouve par hasard Vidal, un ancien ami communiste, qui l'invite à un dîner le soir de Noël chez une amie divorcée, Maud. La soirée se passe en longues discussions sur le mariage, la morale, la religion, Pascal, à trois, puis à deux, mariant également sincérité et séduction, mais au terme de laquelle la barrière platonique ne sera pas franchie. Le lendemain, l'ingénieur aborde la jeune femme blonde, Françoise. À quelque temps de là, il lui propose de l'épouser mais celle-ci se rebiffe car elle vient de sortir d'une liaison avec un homme marié. Cinq ans plus tard, sur la plage, Maud, Françoise et l'ingénieur se croisent, échangent des banalités, avant que quelques vérités ne se mettent en place.
Note de contenu : Ce troisième opus de la série « Contes moraux » (troisième dans l'ordre des contes écrits par Rohmer) tranche avec les marivaudages élaborés et agréables qui l'ont précédé ou suivi dans l'œuvre de Rohmer. Ici, point de jeunes filles légères sous les rayons du soleil, mais un film en noir et blanc, profond sans être aride.
L'opposition entre un ingénieur catholique et une femme libre donne lieu à des dialogues sur la religion (y compris le pari de Pascal) et l'amour. Ces dialogues au sujet de Pascal que Jean-Louis entretient avec Vidal son camarade de lycée et Maud sont directement inspirés de l'entretien datant de 1965 entre Brice Parain et le Père dominicain Dominique Dubarle.
Intéressantes considérations aussi sur les probabilités et le hasard des rencontres : celle d'abord de l'ami du personnage principal, puis bien entendu en filigrane celle de la femme de sa vie; une troisième rencontre, celle avec Maud quelques années plus tard, achève de structurer la construction.
Les thèmes du hasard et de Pascal seront réutilisés par Rohmer dans son film Conte d'hiver en 1992.
* Prix Méliès en 1969
* nomination a Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1970
Accompagne Ma nuit chez Maud / Eric Rohmer
L'avant-scène cinéma, 98. Ma nuit chez Maud (d'Eric Rohmer) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1969.
Ma nuit chez Maud est un film français d'Éric Rohmer, sorti en 1969. Il constitue le troisième volet des Six contes moraux du réalisateur.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Ma nuit chez Maud Éric Rohmer Nestor Almendros Philippe Rousselot Barbet Schroeder Pierre Cottrell Les Films du Losange Cécile Decugis Nicole Rachline Jacques Maumont Jean-Pierre Ruh Alain Sempé Jean-Louis Trintignant Françoise Fabian Marie-Christine Barrault Antoine Vitez Leonid Kogan Guy Léger Anne Dubot Marie Becker Marie-Claude Rauzier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Clermont-Ferrand, quelques jours avant Noël. Un jeune ingénieur, récemment revenu de l'étranger, remarque à la messe une jeune femme blonde et décide qu'elle sera sa femme. Il retrouve par hasard Vidal, un ancien ami communiste, qui l'invite à un dîner le soir de Noël chez une amie divorcée, Maud. La soirée se passe en longues discussions sur le mariage, la morale, la religion, Pascal, à trois, puis à deux, mariant également sincérité et séduction, mais au terme de laquelle la barrière platonique ne sera pas franchie. Le lendemain, l'ingénieur aborde la jeune femme blonde, Françoise. À quelque temps de là, il lui propose de l'épouser mais celle-ci se rebiffe car elle vient de sortir d'une liaison avec un homme marié. Cinq ans plus tard, sur la plage, Maud, Françoise et l'ingénieur se croisent, échangent des banalités, avant que quelques vérités ne se mettent en place.
Note de contenu : Ce troisième opus de la série « Contes moraux » (troisième dans l'ordre des contes écrits par Rohmer) tranche avec les marivaudages élaborés et agréables qui l'ont précédé ou suivi dans l'œuvre de Rohmer. Ici, point de jeunes filles légères sous les rayons du soleil, mais un film en noir et blanc, profond sans être aride.
L'opposition entre un ingénieur catholique et une femme libre donne lieu à des dialogues sur la religion (y compris le pari de Pascal) et l'amour. Ces dialogues au sujet de Pascal que Jean-Louis entretient avec Vidal son camarade de lycée et Maud sont directement inspirés de l'entretien datant de 1965 entre Brice Parain et le Père dominicain Dominique Dubarle.
Intéressantes considérations aussi sur les probabilités et le hasard des rencontres : celle d'abord de l'ami du personnage principal, puis bien entendu en filigrane celle de la femme de sa vie; une troisième rencontre, celle avec Maud quelques années plus tard, achève de structurer la construction.
Les thèmes du hasard et de Pascal seront réutilisés par Rohmer dans son film Conte d'hiver en 1992.
* Prix Méliès en 1969
* nomination a Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1970
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302211 19 H.1.01434 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 99. Un fils unique (Michel Polac) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 99 Titre : Un fils unique (Michel Polac) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1970 Note générale : Un fils unique, est un film réalisé en 16 mm par Michel Polac et sortie en 1969. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Michel Polac Dominique Juliani O.R.T.F. - Office de Radiodiffusion et Télévision Française Ursulines Distribution Eric Dalmat Arthur Raimondo Mario Vinck Jean-Claude Piron Claude Gilson Jean-Pierre Drouet Michel Portal Ludwig van Beethoven Déodat de Séverac Hervé Basle Alice Chazelles Eric Ancian Eléanor Farouel Serge Hureau Francis Bouvet Guy Schoeller Paul Vanier-Baulier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Eric, fils unique d'un marchand de chaussures, n'est guère heureux dans sa famille. Il y passe donc le moins de temps possible et préfère se promener en compagnie d'un camarade de lycée. Quotidiennement, ils se rendent tous deux chez le peintre Guy Louvier. Celui-ci s'étonne de leurs premières visites où Eric lui demande seulement s'il le reconnaît... Puis, les deux garçons reviennent et Louvier comprend peu à peu qu'Eric le prend pour son père. En effet, Guy Louvier et la mère d'Eric sont des amis de toujours...L'avant-scène cinéma, 99. Un fils unique (Michel Polac) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1970.
Un fils unique, est un film réalisé en 16 mm par Michel Polac et sortie en 1969.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Michel Polac Dominique Juliani O.R.T.F. - Office de Radiodiffusion et Télévision Française Ursulines Distribution Eric Dalmat Arthur Raimondo Mario Vinck Jean-Claude Piron Claude Gilson Jean-Pierre Drouet Michel Portal Ludwig van Beethoven Déodat de Séverac Hervé Basle Alice Chazelles Eric Ancian Eléanor Farouel Serge Hureau Francis Bouvet Guy Schoeller Paul Vanier-Baulier cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Eric, fils unique d'un marchand de chaussures, n'est guère heureux dans sa famille. Il y passe donc le moins de temps possible et préfère se promener en compagnie d'un camarade de lycée. Quotidiennement, ils se rendent tous deux chez le peintre Guy Louvier. Celui-ci s'étonne de leurs premières visites où Eric lui demande seulement s'il le reconnaît... Puis, les deux garçons reviennent et Louvier comprend peu à peu qu'Eric le prend pour son père. En effet, Guy Louvier et la mère d'Eric sont des amis de toujours...Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302198 19 H.1.01435 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible