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Dossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
Titre : Dossier pédagogique de "Petit à petit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Beelen, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Dossier pédagogique de "Petit à petit" [texte imprimé] / Clara Beelen, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303788 19 H.1.04340/19 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 32-33 Titre : Le guépard (de Luchino Visconti) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1963 Note générale : Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1963.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302225 19 H.1.01419 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne / Jean-François Tefnin
Titre : Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée Editeur : Communauté Française de Belgique Année de publication : 2005 Note générale : Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Le cinéma de Jean-Pierre et Luc Dardenne : L'image, la vie [texte imprimé] / Jean-François Tefnin, Auteur ; Jean-Pierre Dardenne, Personne honorée ; Luc Dardenne, Personne honorée . - Communauté Française de Belgique, 2005.
Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs.
Leur cinéma connaît un impact international, notamment grâce au Festival de Cannes où plusieurs de leurs réalisations ont été présentées et récompensées. Ils font d'ailleurs partie du cercle très fermé des six réalisateurs deux fois lauréats de la Palme d'or.
Auteurs exigeants, indépendants et ancrés dans le réel, les frères Dardenne ont une filmographie cohérente. Leur création est éloignée du cirque médiatique et des contraintes du vedettariat. Ils sont aujourd’hui considérés comme les grands représentants du cinéma social européen, au même titre que Ken Loach et Mike Leigh.
De plus, les Dardenne sont reconnus comme ceux qui en ont renouvelé l'esthétique et la narration grâce à un style personnel, concret et épuré, loin des facilités (caméra à l'épaule ou poing suivant au plus près les visages crispés et les corps en mouvement, longs plans-séquences dilatant la durée et captant des gestes de nervosité et des moments de vide ou de frustration, absence de bande musicale, silences, choix d'acteurs débutants, amateurs ou méconnus du public...). Leur cinéma a apporté un regard neuf sur les conflits familiaux et sociaux et est toujours resté fidèle à ses principes.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Frères Dardenne Jean-Pierre Dardenne Luc Dardenne La Promesse Rosetta Le Fils L'Enfant Le Silence de Lorna Le Gamin au vélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Brochure retraçant le parcours des frères Dardenne créée pour accompagner l’exposition du même titre.
Composée pour moitié de textes décrivant le parcours des frères ainsi que de fiches techniques de leurs films, l’autre moitié, d’images tirées de l’exposition ou de photos inédites.
Réalisée par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel en partenariat avec Bozar et le CGRI (WBI), en association avec la Cinémathèque Royale de Belgique, le journal Le Soir et la RTBF.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302098 18 H.1.02798 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
PermalinkPermalink13 - Hiver 2018-2019 (Bulletin de Médor. Trimestriel belge d'enquête et de récits)
PermalinkL'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) / Collectif
PermalinkL'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
Permalink236/237 - Août-septembre 1978 - Cinéma 236/237 - Spécial cinéma U.S.A (Bulletin de Cinéma) / Jean-Pierre Piquemal
Permalink561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkDossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
PermalinkDossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
PermalinkDossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
PermalinkDossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
PermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
PermalinkL'évangile selon saint Mathieu / Stéphane Bouquet
PermalinkFederico Fellini / Gilbert Salachas
PermalinkDes films pour le dire / Claudine Drame
PermalinkPermalinkHistoire(s) du cinéma, 1. Toutes les histoires/Une histoire seule / Jean-Luc Godard
PermalinkHistoire(s) du cinéma, 2. Seul le cinéma / Fatale beauté / Jean-Luc Godard
PermalinkHistoire(s) du cinéma, 3. La monnaie de l'absolu / Une vague nouvelle / Jean-Luc Godard
PermalinkHistoire(s) du cinéma, 4. Le contrôle de l'univers / Les signes parmi nous / Jean-Luc Godard
Permalink22/23 - Jean-Luc Godard (Bulletin de Revue Belge du Cinéma, 22/23 [10/09/2010]) / Jean-Luc Godard
PermalinkJean-Luc Godard par Jean-Luc Godard / Jean-Luc Godard
PermalinkLuchino Visconti, cinéaste / Alain Sanzio
PermalinkMulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
PermalinkPermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique / Antoine de Baecque
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
PermalinkLe procès / Jean-Philippe Trias
Permalink429 - Mars 1990 - Sandrine Bonnaire, Depardon et le désert. Renouveau: La campagne de Cicéron de Jacques Davila. Visconti aujourd'hui. Kieslowski: Le décalogue (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkToto le héros (dossier pédagogique) / Michel Condé
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