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Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" / Vincent Malausa
Titre : Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Malausa, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" [texte imprimé] / Vincent Malausa, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303678 19 H.1.04339/5 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Print the legend / Giorgio Gosetti
Titre : Print the legend : Cinéma et journalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Giorgio Gosetti, Directeur de publication ; Jean-Michel Frodon (1953-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-393-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiquesMots-clés : Orson Welles Abbas Kiarostami Jean-Louis Comolli Michael Moore Carl Bernstein Rodolfo Brancoli Stefano Della Casa Alain Bergala Seymour Chatman Serge Kaganski Franco La Polla Richard R. Ness Jean-François Rauger Michael H. Wilson Jean-Baptiste Thoret Marie-José Mondzain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Print the legend ; c'est un journaliste qui prononce cette phrase dans L'Homme qui tua Liberty Valance, mais c'est l'un des plus grands cinéastes John Ford qui la lui fait dire. Print, copie, voilà l'espace commun à la presse et au cinéma. Mais imprimer quoi ? Le cinéma comme le journalisme ont affaire à la question de la vérité, mais pas de la même manière. The legend, la légende, participe à la construction de la communauté humaine à travers des récits dont est porteur, justement, le cinéma, quand il est du devoir de la presse de fournir des informations exactes et précises. Le cinéma, qui veut raconter " toutes les histoires ", comme dit Godard, aura aussi raconté celles de la presse, ce qui a donné naissance à un genre à part entière, le " film de journalisme " qui prospéra à Hollywood jusqu'aux années cinquante, entretint une véritable mythologie autour du sujet, et marqua le cinéma du monde entier. Aux confins du genre et de sa mise en crise, Citizen Kane d'Orson Welles a ouvert la voie aux nouveaux cinémas des années soixante, quand émergent la crise de conscience et le désenchantement des cinéastes face à l'image qu'ils portent à l'écran : c'est aussi sur lui-même que le cinéaste mène désormais l'enquête. Les films fondés sur des personnages de journalistes et des intrigues scénaristiques en forme d'enquête posent la question esthétique du rapport du cinéma au réel. Le regard sur le monde du personnage de fiction, du journaliste et celui du cinéaste au travail se confondent. Le cinéaste mène l'enquête, tentant de capturer une forme vivante de la réalité, à la recherche de la vérité, infiniment. A tout moment le réel résiste, lui disputant la moindre parcelle de vérité. L'affirmation de son point de vue est sa seule garantie, le cinéaste doit désormais accepter, voire revendiquer, qu'il regarde grâce à un " œil impur ". Simultanément, Le cinéma documentaire devient un enjeu, et ses dispositifs multiples amènent le spectateur à repenser sa croyance en l'image comme représentation transparente de la réalité. Ces histoires et ces expériences aux formes inombrables portent aussi en elles une vision des rapports qu'entretient le cinéma avec le vingtième siècle, simple reflet ou miroir d " formant, témoin éclairé ou maître manipulateur, mémoire vivante ou spectacle frivole... Les auteurs qui ont contribué à cet ouvrage collectif sont cinéastes (Abbas Kiarostami, Jean-Louis Comolli, Michael Moore), journalistes (Carl Bernstein, Rodolfo Brancoli, Stefano Della Casa), philosophe (Marie-José Mondzain), critiques et théoriciens de cinéma (Alain Bergala, Seymour Chatman, Serge Kaganski, Franco La Polla, Richard R. Ness, Jean-François Rauger, Michael H. Wilson, Jean-Baptiste Thoret). Print the legend : Cinéma et journalisme [texte imprimé] / Giorgio Gosetti, Directeur de publication ; Jean-Michel Frodon (1953-....), Directeur de publication . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2004.
ISBN : 978-2-86642-393-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiquesMots-clés : Orson Welles Abbas Kiarostami Jean-Louis Comolli Michael Moore Carl Bernstein Rodolfo Brancoli Stefano Della Casa Alain Bergala Seymour Chatman Serge Kaganski Franco La Polla Richard R. Ness Jean-François Rauger Michael H. Wilson Jean-Baptiste Thoret Marie-José Mondzain Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Print the legend ; c'est un journaliste qui prononce cette phrase dans L'Homme qui tua Liberty Valance, mais c'est l'un des plus grands cinéastes John Ford qui la lui fait dire. Print, copie, voilà l'espace commun à la presse et au cinéma. Mais imprimer quoi ? Le cinéma comme le journalisme ont affaire à la question de la vérité, mais pas de la même manière. The legend, la légende, participe à la construction de la communauté humaine à travers des récits dont est porteur, justement, le cinéma, quand il est du devoir de la presse de fournir des informations exactes et précises. Le cinéma, qui veut raconter " toutes les histoires ", comme dit Godard, aura aussi raconté celles de la presse, ce qui a donné naissance à un genre à part entière, le " film de journalisme " qui prospéra à Hollywood jusqu'aux années cinquante, entretint une véritable mythologie autour du sujet, et marqua le cinéma du monde entier. Aux confins du genre et de sa mise en crise, Citizen Kane d'Orson Welles a ouvert la voie aux nouveaux cinémas des années soixante, quand émergent la crise de conscience et le désenchantement des cinéastes face à l'image qu'ils portent à l'écran : c'est aussi sur lui-même que le cinéaste mène désormais l'enquête. Les films fondés sur des personnages de journalistes et des intrigues scénaristiques en forme d'enquête posent la question esthétique du rapport du cinéma au réel. Le regard sur le monde du personnage de fiction, du journaliste et celui du cinéaste au travail se confondent. Le cinéaste mène l'enquête, tentant de capturer une forme vivante de la réalité, à la recherche de la vérité, infiniment. A tout moment le réel résiste, lui disputant la moindre parcelle de vérité. L'affirmation de son point de vue est sa seule garantie, le cinéaste doit désormais accepter, voire revendiquer, qu'il regarde grâce à un " œil impur ". Simultanément, Le cinéma documentaire devient un enjeu, et ses dispositifs multiples amènent le spectateur à repenser sa croyance en l'image comme représentation transparente de la réalité. Ces histoires et ces expériences aux formes inombrables portent aussi en elles une vision des rapports qu'entretient le cinéma avec le vingtième siècle, simple reflet ou miroir d " formant, témoin éclairé ou maître manipulateur, mémoire vivante ou spectacle frivole... Les auteurs qui ont contribué à cet ouvrage collectif sont cinéastes (Abbas Kiarostami, Jean-Louis Comolli, Michael Moore), journalistes (Carl Bernstein, Rodolfo Brancoli, Stefano Della Casa), philosophe (Marie-José Mondzain), critiques et théoriciens de cinéma (Alain Bergala, Seymour Chatman, Serge Kaganski, Franco La Polla, Richard R. Ness, Jean-François Rauger, Michael H. Wilson, Jean-Baptiste Thoret). Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302395 17 H.1.02630 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible