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Robert Flaherty / Henri Agel
Titre : Robert Flaherty Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Agel, Auteur ; Robert Joseph Flaherty (1884-1951), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1965 Note générale : Robert Joseph Flaherty est un réalisateur de cinéma américain, né le 16 février 1884 à Iron Mountain, dans le Michigan, et décédé le 23 juillet 1951 à Vermont, dans le Montana.
Il est souvent considéré, avec Dziga Vertov, comme l'un des pères du film documentaire, terme utilisé pour la première fois lors de la sortie de Moana, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson, qui travaillera plus tard avec Flaherty. Il est considéré aussi comme le fondateur de la docufiction, une pratique utilisée, d’une façon plus ou moins intense, dans tous ses films depuis Nanouk l'Esquimau.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain L'homme d'Aran Louisiana story Turia The land L'homme du pôle La Polynésie Elephant boy Nanouk l'esquimau cinéma documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Robert Flaherty [texte imprimé] / Henri Agel, Auteur ; Robert Joseph Flaherty (1884-1951), Personne honorée . - Editions Seghers, 1965.
Robert Joseph Flaherty est un réalisateur de cinéma américain, né le 16 février 1884 à Iron Mountain, dans le Michigan, et décédé le 23 juillet 1951 à Vermont, dans le Montana.
Il est souvent considéré, avec Dziga Vertov, comme l'un des pères du film documentaire, terme utilisé pour la première fois lors de la sortie de Moana, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson, qui travaillera plus tard avec Flaherty. Il est considéré aussi comme le fondateur de la docufiction, une pratique utilisée, d’une façon plus ou moins intense, dans tous ses films depuis Nanouk l'Esquimau.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain L'homme d'Aran Louisiana story Turia The land L'homme du pôle La Polynésie Elephant boy Nanouk l'esquimau cinéma documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302132 18 H.1.01159 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Joris Ivens / A. Zalzman
Titre : Joris Ivens Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nous construisons Wij Bouwen Creosote The Reichstag Fire Terre d'Espagne The Spanish Earth Les 400 Millions The 400 Million Les Premières Années Pierwze Lata Weltjugendfestival Le Chant des fleuves Das Lied der Strome Les Aventures de Till l'espiègle L'Italie n'est pas un pays pauvre L'Italia non è un paese povero Gérard Philipe Le Pont De Brug Pluie Regen Zuyderzee Zuiderzeewerken Symphonie industrielle Philips-Radio Komsomol ou le chant des héros Pesn o gerojach Komsomol Misère au Borinage Henri Storck Power and the Land Our Russian Front Action Stations Indonesia Calling La paix vaincra My za Mir La Seine a rencontré Paris Demain à Nanguila Carnet de voyage Carnet de viaje Pueblo en armas À Valparaíso Le Petit Chapiteau documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.
Joris Ivens [texte imprimé] / A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302167 18 H.1.00077 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Sjöström / René Jeanne
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302179 18 H.1.00062 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : L'acteur au cinéma Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 2008 Collection : L'Eden CINEMA Importance : 2 dvd + 1 livret Présentation : 248 min ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-02654-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et + L'acteur au cinéma [document projeté ou vidéo] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, . - Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2008 . - 2 dvd + 1 livret : 248 min. - (L'Eden CINEMA) .
ISBN : 978-2-240-02654-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et + ContenuContientExemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104757 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104759 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 101921 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Valise pédagogique : éducation aux médias de la maternelle au secondaire (Isabelle) Disponible Documents numériques
101921URL L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
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Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - Editions du Céfal, 2007.
Accompagne
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Permalink558 - Juin 2001 - Apocalypses : le cinéma s'en va en guerre (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
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