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162 recherche sur le mot-clé 'Un condamné à mort s'est échappé'
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Titre : Une affaire de femmes Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Claude Chabrol, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris [France] : MK2 Année de publication : 1988 Importance : 103 min (sans les suppléments) ISBN/ISSN/EAN : 3384442172370 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : avortement IVG 40's peine de mort Index. décimale : 110 Gender studies + féminisme Résumé : 1941. Dans la France occupée par les Allemands, Marie restée seule avec ses deux enfants tire le diable par la queue. Le retour de son mari n'améliore en rien la situation, et Marie rêve de chanter sur une scène de music-hall... Jusqu'au jour où elle aide une amie à avorter et découvre ainsi une source de revenus inespérée. A peine consciente des drames qui se trament autour d'elle, Marie veut sauver SA vie et ira jusqu'à la perdre. Elle meurt guillotinée le 30 juillet 1943. Magistralement interprétée, l'oeuvre de Chabrol est parfaitement maîtrisée, juste et pleine d'une réelle émotion. Isabelle Huppert a reçu le Prix d'interprétation féminine au Festival de Venise 1988. Note de contenu : Suppléments :
- présentation du film par Joël Magny
- la leçon de cinéma de Claude Chabrol : quatres séquences commentées
- festival de Venise (1988)
- entretien avec Marin Karmitz, producteur du film
- entretien avec Francis Szpiner, auteur du livre "Une affaire de femmes"
- bandes annonces des films de Claude ChabrolGenre : drame historique Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Une affaire de femmes [document projeté ou vidéo] / Claude Chabrol, Metteur en scène, réalisateur . - Paris [France] : MK2, 1988 . - 103 min (sans les suppléments).
ISSN : 3384442172370
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : avortement IVG 40's peine de mort Index. décimale : 110 Gender studies + féminisme Résumé : 1941. Dans la France occupée par les Allemands, Marie restée seule avec ses deux enfants tire le diable par la queue. Le retour de son mari n'améliore en rien la situation, et Marie rêve de chanter sur une scène de music-hall... Jusqu'au jour où elle aide une amie à avorter et découvre ainsi une source de revenus inespérée. A peine consciente des drames qui se trament autour d'elle, Marie veut sauver SA vie et ira jusqu'à la perdre. Elle meurt guillotinée le 30 juillet 1943. Magistralement interprétée, l'oeuvre de Chabrol est parfaitement maîtrisée, juste et pleine d'une réelle émotion. Isabelle Huppert a reçu le Prix d'interprétation féminine au Festival de Venise 1988. Note de contenu : Suppléments :
- présentation du film par Joël Magny
- la leçon de cinéma de Claude Chabrol : quatres séquences commentées
- festival de Venise (1988)
- entretien avec Marin Karmitz, producteur du film
- entretien avec Francis Szpiner, auteur du livre "Une affaire de femmes"
- bandes annonces des films de Claude ChabrolGenre : drame historique Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103835 110 N.1.1919 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
103835URL Alain Resnais, arpenteur de l'imaginaire / Robert Benayoun
Titre : Alain Resnais, arpenteur de l'imaginaire : De Hiroshima à Mélo Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Benayoun, Personne honorée ; Alain Resnais, Auteur Mention d'édition : Edition définitive Editeur : Paris : Ramsay Année de publication : 1980 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85956-521-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Alain Resnais la guerre est fini providence mon oncle d'amérique la vie est un roman l'amour à mort mélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alain Resnais passe pour un homme secret, d'une réserve absolue. Mais Robert Benayoun nous le montre disert, enthousiaste et spontané. Qu'il s'agisse de 'Nuit et Brouillard', de 'Hiroshima mon amour', de l''Année dernière à Marienbad', de 'Muriel', de 'Providence' et de 'Mon oncle d'Amérique', Resnais dévoile ses sources d'inspiration, parfois surréalistes. Riche de nombreux entretiens avec Alain Resnais et ses principaux collaborateurs, cette édition comprend également une étude et trois entretiens consacrés à trois autres films du cinéaste : 'La Vie est un roman', 'L' Amour à mort' et 'Mélo'. Alain Resnais, arpenteur de l'imaginaire : De Hiroshima à Mélo [texte imprimé] / Robert Benayoun, Personne honorée ; Alain Resnais, Auteur . - Edition définitive . - Paris : Ramsay, 1980.
ISBN : 978-2-85956-521-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Alain Resnais la guerre est fini providence mon oncle d'amérique la vie est un roman l'amour à mort mélo Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alain Resnais passe pour un homme secret, d'une réserve absolue. Mais Robert Benayoun nous le montre disert, enthousiaste et spontané. Qu'il s'agisse de 'Nuit et Brouillard', de 'Hiroshima mon amour', de l''Année dernière à Marienbad', de 'Muriel', de 'Providence' et de 'Mon oncle d'Amérique', Resnais dévoile ses sources d'inspiration, parfois surréalistes. Riche de nombreux entretiens avec Alain Resnais et ses principaux collaborateurs, cette édition comprend également une étude et trois entretiens consacrés à trois autres films du cinéaste : 'La Vie est un roman', 'L' Amour à mort' et 'Mélo'. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302155 18 H.1.00528 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
Titre : Dossier pédagogique de "Petit à petit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Beelen, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Dossier pédagogique de "Petit à petit" [texte imprimé] / Clara Beelen, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303788 19 H.1.04340/19 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Goulag
Titre : Goulag Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Iossif Pasternak (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Hélène Châtelain, Auteur ; Hélène Châtelain, Narrateur ; Micky Sébastian, Narrateur ; Jean-François Priester, Narrateur Editeur : Paris [France] : Doriane Films Année de publication : 2005 Importance : 2 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (6 h Présentation : 16/9, coul. avec séquences n. et b. (PAL), son. ISBN/ISSN/EAN : 3700246900948 Note générale : Contient des images d'archives
Contient aussi : Interview de Iossif Pasternak et Hélène Châtelain, "Le génie du mal", film de Iossif Pasternak sur Alexandre L. Lokchine, filmographie des réalisateursLangues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Camps de concentration;URSS;Russie;1921-1953 CAMP DE CONCENTRATION / CONDAMNATION / DICTATURE / HISTOIRE / MORT / MUSIQUE / U.R.S.S. / COMMUNISME / EGLISE ORTHODOXE / EPOQUE CONTEMPORAINE / ETABLISSEMENT PENITENTIAIRE / MUSIQUES CLASSIQUES / REGIME POLITIQUE / RUSSIE / STALINE JOSEPH / TEMPS MODERNES / POLITIQUE / K.G.B. / PRISONNIER POLITIQUE / SERVICE SECRET / PRISONNIER Index. décimale : 116.53 Communisme Note de contenu : Ce sont des images terribles, bouleversantes. Dans ce film en quatre parties - 1920 - 1950 - des îles Solovki à la Kolyma, des extraits d’archives sont mêlés à des entretiens avec des survivants des camps. Les documents sont en noir et blanc, les témoignages contemporains en couleur.
On estime qu’un adulte sur sept est passé par les camps. soit 15 millions d’êtres humains. La moitié d’entre eux sont morts de faim, d’épuisement, sous les coups des gardiens ou les balles des policiers.
Il sera difficile désormais en France d’évoquer le Goulag sans mentionner cet admirable travail.Goulag [document projeté ou vidéo] / Iossif Pasternak (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Hélène Châtelain, Auteur ; Hélène Châtelain, Narrateur ; Micky Sébastian, Narrateur ; Jean-François Priester, Narrateur . - Paris [France] : Doriane Films, 2005 . - 2 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (6 h : 16/9, coul. avec séquences n. et b. (PAL), son.
ISSN : 3700246900948
Contient des images d'archives
Contient aussi : Interview de Iossif Pasternak et Hélène Châtelain, "Le génie du mal", film de Iossif Pasternak sur Alexandre L. Lokchine, filmographie des réalisateurs
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100175 116.53 N.1.0667 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Jean-Luc Godard / Jean Collet
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