
La médiathèque du Centre audiovisuel de Liège c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services du CAV, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Le CAVL est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... |
Résultat de la recherche
108 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'We Feed the World' 


Dossier pédagogique de "We feed the world" / Frédérique Omer
Supplément de We feed the world / Erwin Wagenhofer
Titre : Dossier pédagogique de "We feed the world" Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Autre Editeur : Zootrope Films Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
We Feed the World est un film documentaire autrichien réalisé en 2005 par Erwin Wagenhofer et sorti le 25 avril 2007. Le réalisateur s'est inspiré du livre de Jean Ziegler, L'Empire de la honte.
Récompense :
* 2006 : Meilleur documentaire au Guild of German Art House Cinemas.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : We Feed the World Le Marché de la faim Erwin Wagenhofer Zootrope Films pour la France Cinema Delicatessen Frenetic Films Editions Montparnasse Documentaire Cinéma autrichien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Avec We Feed the World, le documentariste Erwin Wagenhofer propose aux spectateurs un regard sur l'agriculture mondiale moderne. En passant par la Roumanie, l'Autriche, le Brésil, la France et l'Espagne, son enquête se focalise sur la manière dont est fabriqué ce qui arrive dans notre assiette. Il montre que la domination du Nord sur le Sud est prégnante. Comment est-il possible qu'en Afrique l'on achète des produits européens ou asiatiques comme le poulet thaïlandais ? Le réalisateur présente une face peu connue de la mondialisation : en achetant un poulet industriel, on contribue au défrichement de l'Amazonie car le Brésil déforeste pour cultiver le soja qui sert à nourrir les volailles élevées en batterie (90 % de la production de soja du Brésil sont exportés). Le documentaire souligne également la différence entre industrie agroalimentaire et petite exploitation. We Feed the World adopte un style « coup de poing » visant à éveiller les consciences.
Le film se déroule dans les plaines agricoles d'Autriche, à Concarneau en France, à Almeria en Espagne, à Braila en Roumanie, dans le Mato Grosso.
Le film s'achève par une interview du PDG de Nestlé, Peter Brabeck-Letmathe.
Note de contenu :
L’idée de faire ce film est venue à Erwin Wagenhofer lors du tournage d’un autre projet qui s’appelait Opération Figurini, pour lequel il devait filmer certaines séquences sur les marchés de Vienne. Au moment d’écrire le scénario, il a dû arpenter de long en large les marchés de la ville et s’est alors demandé : « Quelle est la chose la plus intéressante dans ces marchés ? » La réponse qu’il en tira fut : les produits eux-mêmes et d’où ils venaient. Il eut alors l’idée de faire débuter le film sur le marché le plus célèbre de Vienne, le Naschmarkt, et de regarder ce qui se passait derrière le miroir. À ce moment-là, il s’est focalisé sur l’idée de connexion, c'est-à-dire le trajet que parcourent les produits de leur point de départ à leur arrivée. C’est comme cela que se sont imposés le sujet et l’approche du film.
Quelques chiffres :
* Sur 100 personnes qui ont faim, 80 sont des ruraux et 20 vivent en ville.
* La Terre compte 7 milliards d’habitants. Elle peut en nourrir 12 milliards.
* Chaque jour, 17 000 enfants de moins de 5 ans meurent de maladies liées à la malnutrition.
* En 40 ans, le cours du riz a chuté de 40 %.
* Plus de 2,5 millions de français ont recours à l’aide alimentaire.
Source : rapport à l'ONU de Jean Ziegler.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de We feed the world / Erwin Wagenhofer
Dossier pédagogique de "We feed the world" [texte imprimé] / Frédérique Omer, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Zootrope Films, [s.d.] . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
We Feed the World est un film documentaire autrichien réalisé en 2005 par Erwin Wagenhofer et sorti le 25 avril 2007. Le réalisateur s'est inspiré du livre de Jean Ziegler, L'Empire de la honte.
Récompense :
* 2006 : Meilleur documentaire au Guild of German Art House Cinemas.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : We Feed the World Le Marché de la faim Erwin Wagenhofer Zootrope Films pour la France Cinema Delicatessen Frenetic Films Editions Montparnasse Documentaire Cinéma autrichien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Avec We Feed the World, le documentariste Erwin Wagenhofer propose aux spectateurs un regard sur l'agriculture mondiale moderne. En passant par la Roumanie, l'Autriche, le Brésil, la France et l'Espagne, son enquête se focalise sur la manière dont est fabriqué ce qui arrive dans notre assiette. Il montre que la domination du Nord sur le Sud est prégnante. Comment est-il possible qu'en Afrique l'on achète des produits européens ou asiatiques comme le poulet thaïlandais ? Le réalisateur présente une face peu connue de la mondialisation : en achetant un poulet industriel, on contribue au défrichement de l'Amazonie car le Brésil déforeste pour cultiver le soja qui sert à nourrir les volailles élevées en batterie (90 % de la production de soja du Brésil sont exportés). Le documentaire souligne également la différence entre industrie agroalimentaire et petite exploitation. We Feed the World adopte un style « coup de poing » visant à éveiller les consciences.
Le film se déroule dans les plaines agricoles d'Autriche, à Concarneau en France, à Almeria en Espagne, à Braila en Roumanie, dans le Mato Grosso.
Le film s'achève par une interview du PDG de Nestlé, Peter Brabeck-Letmathe.
Note de contenu :
L’idée de faire ce film est venue à Erwin Wagenhofer lors du tournage d’un autre projet qui s’appelait Opération Figurini, pour lequel il devait filmer certaines séquences sur les marchés de Vienne. Au moment d’écrire le scénario, il a dû arpenter de long en large les marchés de la ville et s’est alors demandé : « Quelle est la chose la plus intéressante dans ces marchés ? » La réponse qu’il en tira fut : les produits eux-mêmes et d’où ils venaient. Il eut alors l’idée de faire débuter le film sur le marché le plus célèbre de Vienne, le Naschmarkt, et de regarder ce qui se passait derrière le miroir. À ce moment-là, il s’est focalisé sur l’idée de connexion, c'est-à-dire le trajet que parcourent les produits de leur point de départ à leur arrivée. C’est comme cela que se sont imposés le sujet et l’approche du film.
Quelques chiffres :
* Sur 100 personnes qui ont faim, 80 sont des ruraux et 20 vivent en ville.
* La Terre compte 7 milliards d’habitants. Elle peut en nourrir 12 milliards.
* Chaque jour, 17 000 enfants de moins de 5 ans meurent de maladies liées à la malnutrition.
* En 40 ans, le cours du riz a chuté de 40 %.
* Plus de 2,5 millions de français ont recours à l’aide alimentaire.
Source : rapport à l'ONU de Jean Ziegler.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303695 19 H.1.04339/26 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
AccompagneLa prisonnière du désert
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Alan Le May Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
AccompagneLa prisonnière du désert L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - [S.l.] : Editions du Céfal, 2007.
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Alan Le May Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Cinéma contemporain, état des lieux / Jean-Pierre Esquenazi
Titre : Cinéma contemporain, état des lieux : Actes du colloque de Lyon 2002 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Esquenazi, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7475-6882-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma américain wes Craven lycée au cinéma cinéma portugais agnès varda wong kar-waï nikita in the mood for love les glaneurs et la glaneuse manoël de oliveira Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Ce livre constitue une réflexion sur les évolutions du cinéma contemporain, qu'il s'agisse des attitudes des publics, de l'économie du cinéma ou des variations esthétiques. Des études réunies ici, il est impossible de tirer une leçon ou une morale globale. Mais l'ouvrage pose un nombre particulièrement élevé de questions capables de piquer l'intérêt et la curiosité, d'offrir des pistes nouvelles pour la réflexion sur le cinéma qui nous arrive. Entre tel auteur qui lie des pratiques d'auteur à celles de la nouvelle vague, tel autre qui voit une rupture presque définitive avec un cinéma moderne aujourd'hui classique, l'écart est important, comme il l'est entre les publics parisiens et ceux des banlieues, ceux de Agnès Varda et ceux de Scream. Bref les lecteurs seront certainement surpris et décontenancés autant, semble-t-il, que les chercheurs le sont. En témoigne, le texte que nous proposons en tête de ce recueil, qui " ose " s'interroger sur " la mort du cinéma ". Cinéma contemporain, état des lieux : Actes du colloque de Lyon 2002 [texte imprimé] / Jean-Pierre Esquenazi, Auteur . - Paris (5-7 rue de l'Ecole Polytechnique, 75005, France) : L'Harmattan, 2004.
ISBN : 978-2-7475-6882-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma américain wes Craven lycée au cinéma cinéma portugais agnès varda wong kar-waï nikita in the mood for love les glaneurs et la glaneuse manoël de oliveira Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Ce livre constitue une réflexion sur les évolutions du cinéma contemporain, qu'il s'agisse des attitudes des publics, de l'économie du cinéma ou des variations esthétiques. Des études réunies ici, il est impossible de tirer une leçon ou une morale globale. Mais l'ouvrage pose un nombre particulièrement élevé de questions capables de piquer l'intérêt et la curiosité, d'offrir des pistes nouvelles pour la réflexion sur le cinéma qui nous arrive. Entre tel auteur qui lie des pratiques d'auteur à celles de la nouvelle vague, tel autre qui voit une rupture presque définitive avec un cinéma moderne aujourd'hui classique, l'écart est important, comme il l'est entre les publics parisiens et ceux des banlieues, ceux de Agnès Varda et ceux de Scream. Bref les lecteurs seront certainement surpris et décontenancés autant, semble-t-il, que les chercheurs le sont. En témoigne, le texte que nous proposons en tête de ce recueil, qui " ose " s'interroger sur " la mort du cinéma ". Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301233 17 H.1.02663 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Coffret Orson Welles / Orson Welles
Contient
Titre : Coffret Orson Welles Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Orson Welles (1915-1985), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Studio Canal Année de publication : 2005 Importance : 5 DVD Présentation : 4/3, 16/9, n. et b. (PAL), son. ISBN/ISSN/EAN : 3259130225679 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma Mots-clés : ;Welles;Mise en scène;Welles;Mise en scène;The third man;Le procès;Le procès;Histoire et critique;Le procès;Falstaff;Falstaff Index. décimale : 92 Cinéma Note de contenu : Le troisième homme (1 h 45 min)
Shadowing the third man (1 h 35 min)
Le procès (1 h 54 min)
Welles, Kafka et Le procès (38 min)
Le procès (26 min) : analyse et décryptage
Orson Welles, architecte de la lumière (23 min)
Falstaff (1 h 51 min)
Falstaff, un château en Espagne (28 min)
Un metteur en scène shakespearien, Orson Welles (23 min)Coffret Orson Welles [document projeté ou vidéo] / Orson Welles (1915-1985), Metteur en scène, réalisateur . - France : Studio Canal, 2005 . - 5 DVD : 4/3, 16/9, n. et b. (PAL), son.
ISSN : 3259130225679
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma Mots-clés : ;Welles;Mise en scène;Welles;Mise en scène;The third man;Le procès;Le procès;Histoire et critique;Le procès;Falstaff;Falstaff Index. décimale : 92 Cinéma Note de contenu : Le troisième homme (1 h 45 min)
Shadowing the third man (1 h 35 min)
Le procès (1 h 54 min)
Welles, Kafka et Le procès (38 min)
Le procès (26 min) : analyse et décryptage
Orson Welles, architecte de la lumière (23 min)
Falstaff (1 h 51 min)
Falstaff, un château en Espagne (28 min)
Un metteur en scène shakespearien, Orson Welles (23 min)
- DVD 2. Shadowing the Third Man / Frederick Baker
- DVD 3. Le Procès / Orson Welles
- DVD 4. Le Procès / Orson Welles
- DVD 5. Falstaff / Orson Welles
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100918 92 N.1.0365 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible La comédie musicale / Michel Chion
Titre : La comédie musicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Chion (1947-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-336-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Comédie musicale Broadway Moulin Rouge Dancer in the Dark Busby Berkeley Fred Astaire Gene Kelly Judy Garland Elvis Presley Jacques Demy Chantons sous la pluie Tous en scène Une étoile est née West Side Story The Blues Brothers a Mélodie du bonheur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Qui dit " comédie musicale ", aujourd'hui, pense en général : " comédie musicale hollywoodienne des années 40 et 50 " - un âge d'or auquel cet ouvrage fait la place d'honneur qui lui revient. Mais le genre a toute une histoire depuis le musical de Broadway, jusqu'aux films contemporains tels que Moulin Rouge ! ou Dancer in the Dark, qui montrent que la comédie musicale n'est pas terminée. Dans cette synthèse, l'auteur analyse la comédie musicale comme genre, évoque ses principaux fleurons, aux USA et dans le reste du monde, en particulier en France, et montre comment elle se situe entre la féerie et le mélodrame, le rêve et la réalité - ce qui en fait un des genres les plus complets. C'est aussi un voyage à travers les générations, où l'histoire d'un siècle se raconte avec Busby Berkeley, Fred Astaire, Gene Kelly, Judy Garland, Elvis Presley, Jacques Demy, Chantons sous la pluie, Tous en scène, Une étoile est née, West Side Story, The Blues Brothers, mais aussi La Mélodie du bonheur, et tant d'autres titres et d'autres stars.La comédie musicale [texte imprimé] / Michel Chion (1947-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2002. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-336-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Comédie musicale Broadway Moulin Rouge Dancer in the Dark Busby Berkeley Fred Astaire Gene Kelly Judy Garland Elvis Presley Jacques Demy Chantons sous la pluie Tous en scène Une étoile est née West Side Story The Blues Brothers a Mélodie du bonheur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Qui dit " comédie musicale ", aujourd'hui, pense en général : " comédie musicale hollywoodienne des années 40 et 50 " - un âge d'or auquel cet ouvrage fait la place d'honneur qui lui revient. Mais le genre a toute une histoire depuis le musical de Broadway, jusqu'aux films contemporains tels que Moulin Rouge ! ou Dancer in the Dark, qui montrent que la comédie musicale n'est pas terminée. Dans cette synthèse, l'auteur analyse la comédie musicale comme genre, évoque ses principaux fleurons, aux USA et dans le reste du monde, en particulier en France, et montre comment elle se situe entre la féerie et le mélodrame, le rêve et la réalité - ce qui en fait un des genres les plus complets. C'est aussi un voyage à travers les générations, où l'histoire d'un siècle se raconte avec Busby Berkeley, Fred Astaire, Gene Kelly, Judy Garland, Elvis Presley, Jacques Demy, Chantons sous la pluie, Tous en scène, Une étoile est née, West Side Story, The Blues Brothers, mais aussi La Mélodie du bonheur, et tant d'autres titres et d'autres stars.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302393 17 H.1.02668 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302408 17 H.1.02668 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" / Vincent Malausa
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Titre : Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Malausa, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" [texte imprimé] / Vincent Malausa, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303678 19 H.1.04339/5 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
Supplément de Sicko / Michael Moore
Titre : Dossier pédagogique de "Sicko" Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Jessica Brunetto Daniel Cuthbert Nick Houy Josh Kanuck Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Kari Giron Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Sicko / Michael Moore
Dossier pédagogique de "Sicko" [texte imprimé] / Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, [s.d.] . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE SCIENCES SOCIALES ---
Sicko (ou SiCKO) est un film documentaire de 2 heures du réalisateur américain Michael Moore, d'abord projeté le 19 mai 2007 au Festival de Cannes (hors compétition) pour les journalistes. Sa sortie en salles a eu lieu le 22 juin 2007 aux États-Unis, et le 5 septembre 2007 en France.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : Sicko Documentaire Michael Moore Tucker Albrizzi Tony Benn George W. Bush Reggie Cervantes Bill Clinton Hillary Rodham Clinton Billy Crystal John Graham Aleida Guevara William Maher Richard Nixon Patrick Pedraja Linda Peeno Chris Aldred Judy Aley Rod Birleson Joanne Doroshow Christine Fall Cory Fisher Kathleen Glynn Amelia Green-Dove Basel Hamdan Jennifer Latham Nicky Lazar Pearl Lieberman Amy McCampbell Anne Moore Meghan O'Hara Susannah Price Aneetha Rajan David Schankula Eric Weinrib Bob Weinstein Harvey Weinstein Rehya Young Erin O'Hara Andrew Black Geoffrey Richman Chris Seward Dan Swietlik Ismael Gonzalez Michael Jackman Paul Leonardo Jr. Christopher Barnett Chris Barron Brian Fish Scott Guitteau Matt Kent Francisco La Torre Cheryl Nardi John Nutt Gary Rizzo Ronald G. Roumas Kent Sparling Marshall Winn Doug Winningham Jessica Brunetto Bryan Cox David Michael Friend Josh Kanuck Andy Mastrocinque Franklin S. Zitter Grant Barbeito Kari Giron Tony Hardmon Grg Magidow Jayme Roy Christoph Vitt Thaddeus Wadleigh Jonathan Weaver Brice Bishop-Pullan Jessica Brunetto Daniel Cuthbert Nick Houy Josh Kanuck Craig McKay Benjamin Murray Mike Nuget Mary Ann van Wagner Corey Stewart Jim Black Dan Evans Farkas Gabe Hilfer Adrienne Alexander Judd Allison Jane Sellen Edwards Corinne Fisher Rommel Genciana Kari Giron Carrie Halperin Jennifer Jennings Mike Lane Ryan Leiderman Peter Maez Donald McCloskey Grady McGahan Mariscela Beatriz Mendez Katrina Norvell Stephanie Palumbo Jordan Winter Pandora Zolotor George Zornick Tim Burton Danny Elfman George Lucas Thomas Newman Joel Siegel Kurt Vonnegut Jr. Hans Zimmer Dog Eat Dog Films The Weinstein Company Bolesno Hasta SOS Saúde Sicko - $O$ Saúde Sicko - aivan sairasta Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Note de contenu :
Le sujet principal de cette œuvre est la comparaison du système de santé (partie importante de ce qu'est la sécurité sociale) des États-Unis, à ceux du Canada, de la Grande-Bretagne, de la France et de Cuba. Ce documentaire veut faire remarquer que le système de santé des Américains est très inhumain par rapport à ceux de tant d'autres pays, étant donné qu'il dispose de liens quasiment systématiques avec les services privés et les compagnies d'assurance.
Dans ce documentaire, des secouristes des attentats du 11 septembre 2001 intervenus dans les décombres du World Trade Center sont présentés. Malades en raison des différents composés en suspension qu'ils ont inhalés peu après les attentats ou des traumatismes psychologiques qu'ils ont subis, ils ont des difficultés financières à obtenir des soins abordables. Leurs difficultés sont mises en parallèle avec les soins de qualité prodigués aux prisonniers de Guantánamo, qui sont considérés par le gouvernement américain comme de dangereux terroristes.
D'une manière générale, Michael Moore y explique que certains services comme les soins médicaux, mais aussi l'enseignement et la politique familiale, devraient être publics de manière à en faire profiter le plus grand nombre.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303688 19 H.1.04339/17 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Supplément de The Truman Show / Peter Weir
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de The Truman Show / Peter Weir
Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303675 19 H.1.04339/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Genres et mouvements au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-582661-9 Note générale : Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Genres et mouvements au cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - Larousse, 2006 . - 1 vol. (239 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-582661-9
Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300959 21 H.1.02806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300959URLExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URLL'homme de la plaine / Bernard Benoliel
Titre : L'homme de la plaine : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Benoliel, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 9872866423962 Note générale :
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
L'homme de la plaine : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Bernard Benoliel, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2004. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866423962
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302232 19 H.1.02669 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Joris Ivens / A. Zalzman
Titre : Joris Ivens Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nous construisons Wij Bouwen Creosote The Reichstag Fire Terre d'Espagne The Spanish Earth Les 400 Millions The 400 Million Les Premières Années Pierwze Lata Weltjugendfestival Le Chant des fleuves Das Lied der Strome Les Aventures de Till l'espiègle L'Italie n'est pas un pays pauvre L'Italia non è un paese povero Gérard Philipe Le Pont De Brug Pluie Regen Zuyderzee Zuiderzeewerken Symphonie industrielle Philips-Radio Komsomol ou le chant des héros Pesn o gerojach Komsomol Misère au Borinage Henri Storck Power and the Land Our Russian Front Action Stations Indonesia Calling La paix vaincra My za Mir La Seine a rencontré Paris Demain à Nanguila Carnet de voyage Carnet de viaje Pueblo en armas À Valparaíso Le Petit Chapiteau documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.
Joris Ivens [texte imprimé] / A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nous construisons Wij Bouwen Creosote The Reichstag Fire Terre d'Espagne The Spanish Earth Les 400 Millions The 400 Million Les Premières Années Pierwze Lata Weltjugendfestival Le Chant des fleuves Das Lied der Strome Les Aventures de Till l'espiègle L'Italie n'est pas un pays pauvre L'Italia non è un paese povero Gérard Philipe Le Pont De Brug Pluie Regen Zuyderzee Zuiderzeewerken Symphonie industrielle Philips-Radio Komsomol ou le chant des héros Pesn o gerojach Komsomol Misère au Borinage Henri Storck Power and the Land Our Russian Front Action Stations Indonesia Calling La paix vaincra My za Mir La Seine a rencontré Paris Demain à Nanguila Carnet de voyage Carnet de viaje Pueblo en armas À Valparaíso Le Petit Chapiteau documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302167 18 H.1.00077 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le procès / Jean-Philippe Trias
AccompagneLe Procès / Orson Welles
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
AccompagneLe Procès / Orson Welles Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
est un bulletin de TDC / Lydia Bretos
Titre : 1116 - Réseaux Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Note générale : D’où vient le mot « réseau » ? Quels sont ses domaines d’application ? – Quelle est l’économie des réseaux actuels ? – Peut-on encore communiquer sans réseaux sociaux ? – Quels réseaux peut-on imaginer pour demain ?
Ce numéro de TDC propose de répondre à ces questions à travers 3 disciplines : l'économie, les sciences et la géographie.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociaux
Education aux médias:Ouvrages généraux:Didactique
Education aux médias:Ouvrages généraux:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:GéographieMots-clés : langages du we peer to peer intelligence artificielle Index. décimale : 08.1 Didactique [n° ou bulletin]
est un bulletin de TDC / Lydia Bretos
1116 - Réseaux [texte imprimé] . - 2018.
D’où vient le mot « réseau » ? Quels sont ses domaines d’application ? – Quelle est l’économie des réseaux actuels ? – Peut-on encore communiquer sans réseaux sociaux ? – Quels réseaux peut-on imaginer pour demain ?
Ce numéro de TDC propose de répondre à ces questions à travers 3 disciplines : l'économie, les sciences et la géographie.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociaux
Education aux médias:Ouvrages généraux:Didactique
Education aux médias:Ouvrages généraux:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:GéographieMots-clés : langages du we peer to peer intelligence artificielle Index. décimale : 08.1 Didactique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401261 08.1 H.1.5149 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Sorti jusqu'au 05/12/2018 Documents numériques
401261.jpgImage Jpeg434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
![]()
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : un Week-end sur deux Nicole Garcia cinéma américain Jean-Baptiste Mondino Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
434 - Juillet-Août 1990 - Un week-end sur deux: entretiens avec Nicole Garcia et Nathalie Baye. Hollywood: états d'Amérique (1). Satyajit Ray tourne. Mondino: images d'images [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 90 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : un Week-end sur deux Nicole Garcia cinéma américain Jean-Baptiste Mondino Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400486 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 435 - Septembre 1990 - Hollywood: états d'Amériques (2). Serguei Paradjanov: hommage au magicien Schroeter filme Huppert: scènes de la passion (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
![]()
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 435 - Septembre 1990 - Hollywood: états d'Amériques (2). Serguei Paradjanov: hommage au magicien Schroeter filme Huppert: scènes de la passion Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 88 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma américain Serguei Paradjanov Werner Schroeter Malina Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
435 - Septembre 1990 - Hollywood: états d'Amériques (2). Serguei Paradjanov: hommage au magicien Schroeter filme Huppert: scènes de la passion [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 88 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma américain Serguei Paradjanov Werner Schroeter Malina Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400487 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 544 - Mars 2000 - Où va le cinéma français? (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 544 - Mars 2000 - Où va le cinéma français? : Enquête : la vidéo numérique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma Mots-clés : M/other de Nobuhiro Suwa Jonathan Nossiter John Stahl Man on the moon Milos Forman Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
544 - Mars 2000 - Où va le cinéma français? : Enquête : la vidéo numérique [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma Mots-clés : M/other de Nobuhiro Suwa Jonathan Nossiter John Stahl Man on the moon Milos Forman Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400685 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 623 - Janvier 2013 - Dossier "Figures et fleurons du studio Universal" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n623_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Paul Thomas Anderson The Master Samuel Collardey Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Figures et fleurons du studio Universal
88 Un siècle de Universal, le choix des séries, Christian Viviani
92 Les étoiles filantes de Universal 1912-1962, Michel Cieutat
96 L’âge d’or du fantastique : À un nouveau monde de dieux et de monstres, Yann Calvet
100 Tout ce que le mélo permet : Causalité, coïncidences et destin chez John Stahl et Douglas Sirk, Pascal Binétruy
104 La grenouille et le scorpion… ou pourquoi Universal ne put s’empêcher de détruire La Soif du mal, Nachiketas Wignesan
107 Lew Wasserman, le dernier des nababs, Baptiste Villenave
111 L’Étrange Créature du lac noir, Philippe Rouyer
Universal Studios, 100 ans de cinéma, Christian Viviani
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
623 - Janvier 2013 - Dossier "Figures et fleurons du studio Universal" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n623_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Paul Thomas Anderson The Master Samuel Collardey Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Figures et fleurons du studio Universal
88 Un siècle de Universal, le choix des séries, Christian Viviani
92 Les étoiles filantes de Universal 1912-1962, Michel Cieutat
96 L’âge d’or du fantastique : À un nouveau monde de dieux et de monstres, Yann Calvet
100 Tout ce que le mélo permet : Causalité, coïncidences et destin chez John Stahl et Douglas Sirk, Pascal Binétruy
104 La grenouille et le scorpion… ou pourquoi Universal ne put s’empêcher de détruire La Soif du mal, Nachiketas Wignesan
107 Lew Wasserman, le dernier des nababs, Baptiste Villenave
111 L’Étrange Créature du lac noir, Philippe Rouyer
Universal Studios, 100 ans de cinéma, Christian Viviani
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400794 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400794.jpgImage Jpeg626 - Avril 2013 - Dossier : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950 (Bulletin de Positif)
![]()
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 626 - Avril 2013 - Dossier : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Marco Bellocchio Wong Kar-Waï (The Grandmaster) Kim Ki-duk (Pieta) Peter Strickland Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950
92 Petits maîtres de jadis et de naguère, Alain Masson
94 T ay Garnett : Saint Patrick reconnaîtra les siens, Michael Henry
98 Edmund Goulding et Bette Davis : Dialectique du petit maître et de la grande star, Louise Dumas
100 De l’ambiguïté du maître d’oeuvre : John Farrow à Paramount, Pierre Berthomieu
102 Entretien avec Vincent Sherman : Les gens compliqués m’intéressent, Yann Tobin
105 Dictionnaire des petits maîtres[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
626 - Avril 2013 - Dossier : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950 [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Marco Bellocchio Wong Kar-Waï (The Grandmaster) Kim Ki-duk (Pieta) Peter Strickland Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Petits maîtres hollywoodiens : années 1930 à 1950
92 Petits maîtres de jadis et de naguère, Alain Masson
94 T ay Garnett : Saint Patrick reconnaîtra les siens, Michael Henry
98 Edmund Goulding et Bette Davis : Dialectique du petit maître et de la grande star, Louise Dumas
100 De l’ambiguïté du maître d’oeuvre : John Farrow à Paramount, Pierre Berthomieu
102 Entretien avec Vincent Sherman : Les gens compliqués m’intéressent, Yann Tobin
105 Dictionnaire des petits maîtresExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400791 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400791.jpgImage Jpeg
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles Ciment[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles CimentExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400798 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400798.jpgImage Jpeg
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
Titre : 644 - Octobre 2014 - Dossier "Cinéma muet américain" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n644_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : WoodyAllen Magic in the moonlight Xavier Dolan Mommy Céline Sciamma Bande de filles Nadav Lapid L'institutrice Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Cinéma muet américain :
- Tourneur Maurice
- Allan Dawan
- Allan et Doug
- Un coprs verveux, Mary Pickford
- Leatrice Joy, une star d'un drôle de genre
-Qu'est-ce qu'une édition collector?[n° ou bulletin]
est un bulletin de Positif / Collectif
644 - Octobre 2014 - Dossier "Cinéma muet américain" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n644_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : WoodyAllen Magic in the moonlight Xavier Dolan Mommy Céline Sciamma Bande de filles Nadav Lapid L'institutrice Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Cinéma muet américain :
- Tourneur Maurice
- Allan Dawan
- Allan et Doug
- Un coprs verveux, Mary Pickford
- Leatrice Joy, une star d'un drôle de genre
-Qu'est-ce qu'une édition collector?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400797 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400797.jpgImage Jpeg712 - Juin 2015 (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 712 - Juin 2015 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Orson Welles Note de contenu : Éditorial
L’ogre cannois par Stéphane Delorme
Événement
- Cannes 2015
Produit cannois par Stéphane Delorme
Audiard, la Palme c’est son genre par Jean-Philippe Tessé
Double langage par Cyril Béghin
Film populisme par Joachim Lepastier
L’Asie au fil du sabre par Vincent Malausa
Et aussi : La gonflette / L’aventure ou le surplace / Au lit les filles ! / Gus Van Sant malgré tout / La sensation Carol / Zulawski, plaisir caché / Regards bleus
- Les Mille et Une Nuits de Miguel Gomes
Les chimères du présent par Joachim Lepastier
"Le personnage principal, c’est la communauté" entretien avec Miguel Gomes
Cahier critique
Vice Versa de Pete Docter
Mad Max : Fury Road de George Miller
Comme un avion de Bruno Podalydès
Notes sur d’autres films : À la poursuite de demain / L’Année prochaine / La Bataille de la Montagne du Tigre / Cendres / Contes italiens / The Duke of Burgundy / Loin de la foule déchaînée / Love & Mercy / Masaan / Mustang / Tale of Tales / La Tête haute / Un français / Une seconde mère / Valley of Love / Victoria
Journal
Hommage : Oliveira à la maison
Découverte : Une Espagne au futur antérieur
Premiers pas : Lucie Borleteau : le vent en poupe
Box-office : La Sapienza : la voie de la sagesse
Rencontre : Jean Sorel, noirceur secrète
Festival : Résistances syriennes
Festival : Pantin, au cœur
Inédit : Le Prince de Hombourg : voir dans la nuit
Notes DVD : Metropolitan de Whit Stillman / Porcherie de Pier Paolo Pasolini
Livre : Alexandre Astruc et les impressionnistes
Notes livres : Lumière d’été de Jean Grémillon de Philippe Roger / Revue Dérives n°3 : "avec Stephen Dwoskin"
News internationales, disparitions
Répliques
Vers une joie nouvelle par Alexandre Costanzo
Baal, mélange impur par Rochelle Fack
Fragments d’une révolution entretien avec Abounaddara
Cinéma retrouvé
- Orson Welles p. 74 - p. 87
Qui a peur d’Orson Welles ? par Cyril Béghin
"On ne voulait pas qu’Orson réussisse" entretien avec Norman Lloyd
Arcanes arkadiennes par Florent Guézengar
Welles, toujours plusieurs par Gaspard Nectoux
Dans les papiers du Wind par Cyril Béghin
+ Actualité Orson Welles
Entretien
- Roger Deakins
Ce n’est que de la lumière entretien avec Roger Deakins, chef opérateur
The End
Une douce dérision
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
712 - Juin 2015 [texte imprimé] . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Orson Welles Note de contenu : Éditorial
L’ogre cannois par Stéphane Delorme
Événement
- Cannes 2015
Produit cannois par Stéphane Delorme
Audiard, la Palme c’est son genre par Jean-Philippe Tessé
Double langage par Cyril Béghin
Film populisme par Joachim Lepastier
L’Asie au fil du sabre par Vincent Malausa
Et aussi : La gonflette / L’aventure ou le surplace / Au lit les filles ! / Gus Van Sant malgré tout / La sensation Carol / Zulawski, plaisir caché / Regards bleus
- Les Mille et Une Nuits de Miguel Gomes
Les chimères du présent par Joachim Lepastier
"Le personnage principal, c’est la communauté" entretien avec Miguel Gomes
Cahier critique
Vice Versa de Pete Docter
Mad Max : Fury Road de George Miller
Comme un avion de Bruno Podalydès
Notes sur d’autres films : À la poursuite de demain / L’Année prochaine / La Bataille de la Montagne du Tigre / Cendres / Contes italiens / The Duke of Burgundy / Loin de la foule déchaînée / Love & Mercy / Masaan / Mustang / Tale of Tales / La Tête haute / Un français / Une seconde mère / Valley of Love / Victoria
Journal
Hommage : Oliveira à la maison
Découverte : Une Espagne au futur antérieur
Premiers pas : Lucie Borleteau : le vent en poupe
Box-office : La Sapienza : la voie de la sagesse
Rencontre : Jean Sorel, noirceur secrète
Festival : Résistances syriennes
Festival : Pantin, au cœur
Inédit : Le Prince de Hombourg : voir dans la nuit
Notes DVD : Metropolitan de Whit Stillman / Porcherie de Pier Paolo Pasolini
Livre : Alexandre Astruc et les impressionnistes
Notes livres : Lumière d’été de Jean Grémillon de Philippe Roger / Revue Dérives n°3 : "avec Stephen Dwoskin"
News internationales, disparitions
Répliques
Vers une joie nouvelle par Alexandre Costanzo
Baal, mélange impur par Rochelle Fack
Fragments d’une révolution entretien avec Abounaddara
Cinéma retrouvé
- Orson Welles p. 74 - p. 87
Qui a peur d’Orson Welles ? par Cyril Béghin
"On ne voulait pas qu’Orson réussisse" entretien avec Norman Lloyd
Arcanes arkadiennes par Florent Guézengar
Welles, toujours plusieurs par Gaspard Nectoux
Dans les papiers du Wind par Cyril Béghin
+ Actualité Orson Welles
Entretien
- Roger Deakins
Ce n’est que de la lumière entretien avec Roger Deakins, chef opérateur
The End
Une douce dérision
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400926 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 739 - Décembre 2017 - Bilan 2017 (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 739 - Décembre 2017 - Bilan 2017 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : David Lynch top 10 twin peaks weinstein get out animation japonaise Note de contenu : Sommaire :
Éditorial
Mystère par Stéphane Delorme
Événement 
2017
Le Top 10 2017 par la rédaction
Mystery Man entretien avec David Lynch - par Stéphane Delorme & Jean-Philippe Tessé
Kelly Reichardt : une autre piste par Laura Tuillier
Ang Lee, nouveaux mondes par Florence Maillard
Une année d’épouvante par Florent Guézengar
SF : la grande peur de l’organique par Jean-Sébastien Chauvin
Hong Sang-soo puissance 4 par Joachim Lepastier
Beautés documentaires par Camille Bui
Affaire Weinstein : éloge des actrices par Jean-Philippe Tessé
Cahier critique
L’Intrusa de Leonardo Di Costanzo - par Vincent Malausa
Une suspension du jugement entretien avec Leonardo Di Costanzo - par Cyril Béghin
Lucky de John Carroll Lynch - par Joachim Lepastier
Le sourire d’Harry entretien avec John Carroll Lynch - par Joachim Lepastier
Le lion est mort ce soir de Nobuhiro Suwa - par Jean-Philippe Tessé
Les Bienheureux de Sofia Djama - par Cyril Béghin
Coco de Lee Unkrich et Adrian Molina - par Vincent Malausa
L’Usine de rien de Pedro Pinho - par Nicholas Elliott
Notes sur d’autres films Au revoir là-haut (Albert Dupontel) - Bienvenue à Suburbicon (George Clooney) - Le Bonhomme de neige (Tomas Alfredson) - The Florida Project (Sean Baker) - Les Gardiennes (Xavier Beauvois) - A Ghost Story (David Lowery) - I Am Not a Witch (Rungano Nyoni) - La Juste Route (Ferenc Török) - Makala (Emmanuel Gras) - Le Portrait interdit (Charles de Meaux) - Revivre (Im Kwon-taek) - Le Rire de Madame Lin (Zhang Tao) - Un homme intègre (Mohammad Rasoulof)
Journal
Enquête Résidences : il était une fois, à l’ouest
Activité culturelle 10 000 gestes + 1
Série Stranger Things 2 : Stranger kids
Reprise Tristesse enchantée de Pinocchio (Les Aventures de Pinocchio de Luigi Comencini)
DVD/Livre Melville, regards perçants
DVD Hitchcock/Selznick : le bonheur dans l'emprise
DVD Opéra de Dario Argento / Tabou F.W. Murnau
Livres Le Film et son double d’Érik Bullot & Fin de tournage de Maurice Lemaître / Kong de Michel Le Bris
Festival Busan, mortifiantes beautés
Festival Vienne orpheline
Festival La vendeuse d'allumettes de La Roche-sur-Yon
Festival Mauvais genres à Lausanne
News internationales
Disparitions Philippe Condroyer, Umberto Lenzi, Maud Linder, Walter Lassally
Hommage
Danielle Darrieux
Adieu, chérie par Paul Vecchiali
Cinéma retrouvé
J’accuse d’Abel Gance
Abel Gance, le retour par Élodie Tamayo
La Hammer
Docteur Fisher et Mister Hammer par Nicolas Stanzick
Enquête
100 ans d’animation japonaise
Pour survoler un siècle d’animation japonaise par Ilan Nguyên et Xavier Kawa-Topor
Dans les recoins de ce monde : les années 2010 par Florent Guézengar
Les deux révélations 2017 Entretiens avec Sunao Katabuchi et Masaaki Yusa
BD
Misfits par Luz[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
739 - Décembre 2017 - Bilan 2017 [texte imprimé] . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : David Lynch top 10 twin peaks weinstein get out animation japonaise Note de contenu : Sommaire :
Éditorial
Mystère par Stéphane Delorme
Événement 
2017
Le Top 10 2017 par la rédaction
Mystery Man entretien avec David Lynch - par Stéphane Delorme & Jean-Philippe Tessé
Kelly Reichardt : une autre piste par Laura Tuillier
Ang Lee, nouveaux mondes par Florence Maillard
Une année d’épouvante par Florent Guézengar
SF : la grande peur de l’organique par Jean-Sébastien Chauvin
Hong Sang-soo puissance 4 par Joachim Lepastier
Beautés documentaires par Camille Bui
Affaire Weinstein : éloge des actrices par Jean-Philippe Tessé
Cahier critique
L’Intrusa de Leonardo Di Costanzo - par Vincent Malausa
Une suspension du jugement entretien avec Leonardo Di Costanzo - par Cyril Béghin
Lucky de John Carroll Lynch - par Joachim Lepastier
Le sourire d’Harry entretien avec John Carroll Lynch - par Joachim Lepastier
Le lion est mort ce soir de Nobuhiro Suwa - par Jean-Philippe Tessé
Les Bienheureux de Sofia Djama - par Cyril Béghin
Coco de Lee Unkrich et Adrian Molina - par Vincent Malausa
L’Usine de rien de Pedro Pinho - par Nicholas Elliott
Notes sur d’autres films Au revoir là-haut (Albert Dupontel) - Bienvenue à Suburbicon (George Clooney) - Le Bonhomme de neige (Tomas Alfredson) - The Florida Project (Sean Baker) - Les Gardiennes (Xavier Beauvois) - A Ghost Story (David Lowery) - I Am Not a Witch (Rungano Nyoni) - La Juste Route (Ferenc Török) - Makala (Emmanuel Gras) - Le Portrait interdit (Charles de Meaux) - Revivre (Im Kwon-taek) - Le Rire de Madame Lin (Zhang Tao) - Un homme intègre (Mohammad Rasoulof)
Journal
Enquête Résidences : il était une fois, à l’ouest
Activité culturelle 10 000 gestes + 1
Série Stranger Things 2 : Stranger kids
Reprise Tristesse enchantée de Pinocchio (Les Aventures de Pinocchio de Luigi Comencini)
DVD/Livre Melville, regards perçants
DVD Hitchcock/Selznick : le bonheur dans l'emprise
DVD Opéra de Dario Argento / Tabou F.W. Murnau
Livres Le Film et son double d’Érik Bullot & Fin de tournage de Maurice Lemaître / Kong de Michel Le Bris
Festival Busan, mortifiantes beautés
Festival Vienne orpheline
Festival La vendeuse d'allumettes de La Roche-sur-Yon
Festival Mauvais genres à Lausanne
News internationales
Disparitions Philippe Condroyer, Umberto Lenzi, Maud Linder, Walter Lassally
Hommage
Danielle Darrieux
Adieu, chérie par Paul Vecchiali
Cinéma retrouvé
J’accuse d’Abel Gance
Abel Gance, le retour par Élodie Tamayo
La Hammer
Docteur Fisher et Mister Hammer par Nicolas Stanzick
Enquête
100 ans d’animation japonaise
Pour survoler un siècle d’animation japonaise par Ilan Nguyên et Xavier Kawa-Topor
Dans les recoins de ce monde : les années 2010 par Florent Guézengar
Les deux révélations 2017 Entretiens avec Sunao Katabuchi et Masaaki Yusa
BD
Misfits par LuzExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401182 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 89 - 2ème trimestre 2015 - Lettres mortes (Bulletin de Bruxelles echos laïque)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Bruxelles echos laïque / Collectif
Titre : 89 - 2ème trimestre 2015 - Lettres mortes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Géopolitique
Education par les médias:Sciences humaines:Institutions étatiques
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/Anthropologie
Education par les médias:Société
Education par les médias:Société:Culture et communautés
Education par les médias:Techniques:Nouvelles technologies / InformatiqueMots-clés : Islam extrémisme Charlie Hebdo attentat théories du complot djihad radicalisation terrorisme prison Résumé : Six mois après les meurtres à la rédaction de Charlie Hebdo, un an après l'attentat au Musée Juif de Bruxelles, l'effroi et l'émotion semblent retombés. Est-ce que la raison a pu en sortir victorieuse? Entre crispations républicaines et religieuses, la vigueur des réflexes sécuritaires est montée d'un cran. Réflexes et pas réflexions car les mesures proposées ne semblent pas s'accorder à la complexité de phénomènes tels que la relégation des populations musulmanes en Europe, la propagation de l'islamisme radical et les conquêtes de Daesh, les motivations politiques des djihadistes, les enjeux géopolitiques, les manquements des politiques publiques, le déficit de sens de nos sociétés...
Six mois après l'affaire Charlie, on tente de soigner une sorte de "gueule de bois" herméneutique. Le sujet de toutes les préoccupations et mobilisations semble être déjà passé à l'arrière plan quand bien même l'écheveau de questions qu'il a soulevées sont, pour la plupart, restées lettres mortes...Note de contenu : Sommaire
Edito
Ariane Hassid
La laïcité, points de suspension
Mathieu Bietlot
Sacré Charlie !
Luc Malghem
Les victimes des extrémistes sont d’abord les nuancés
Pierre Verbeeren
Le sommeil de la raison engendre des monstres
Benoît Van der Meerschen
Ceci n’est pas un article
Alice Willox
Leurs motivations ne sont pas que religieuses
François Burgat
Affonter la complexité sans complexes
Mathieu Bietlot & Mario Friso
Situer L’extrémisme violent: premier pas vers des actions efficaces
Michael Privot
Radicalisation et démission politique
Renaud Maes
Un devoir de mémoire
Marc André
La lutte contre la radicalisation en prison
Juliette Béghin & Cedric Tolley
Un nouveau tour de vice sécuritaire
Manuel Lambert
Fantasmes sécuritaires sur un Internet incompris
Alexis Martinet[n° ou bulletin]
est un bulletin de Bruxelles echos laïque / Collectif
89 - 2ème trimestre 2015 - Lettres mortes [texte imprimé] . - 2015.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Géopolitique
Education par les médias:Sciences humaines:Institutions étatiques
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/Religion
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/Anthropologie
Education par les médias:Société
Education par les médias:Société:Culture et communautés
Education par les médias:Techniques:Nouvelles technologies / InformatiqueMots-clés : Islam extrémisme Charlie Hebdo attentat théories du complot djihad radicalisation terrorisme prison Résumé : Six mois après les meurtres à la rédaction de Charlie Hebdo, un an après l'attentat au Musée Juif de Bruxelles, l'effroi et l'émotion semblent retombés. Est-ce que la raison a pu en sortir victorieuse? Entre crispations républicaines et religieuses, la vigueur des réflexes sécuritaires est montée d'un cran. Réflexes et pas réflexions car les mesures proposées ne semblent pas s'accorder à la complexité de phénomènes tels que la relégation des populations musulmanes en Europe, la propagation de l'islamisme radical et les conquêtes de Daesh, les motivations politiques des djihadistes, les enjeux géopolitiques, les manquements des politiques publiques, le déficit de sens de nos sociétés...
Six mois après l'affaire Charlie, on tente de soigner une sorte de "gueule de bois" herméneutique. Le sujet de toutes les préoccupations et mobilisations semble être déjà passé à l'arrière plan quand bien même l'écheveau de questions qu'il a soulevées sont, pour la plupart, restées lettres mortes...Note de contenu : Sommaire
Edito
Ariane Hassid
La laïcité, points de suspension
Mathieu Bietlot
Sacré Charlie !
Luc Malghem
Les victimes des extrémistes sont d’abord les nuancés
Pierre Verbeeren
Le sommeil de la raison engendre des monstres
Benoît Van der Meerschen
Ceci n’est pas un article
Alice Willox
Leurs motivations ne sont pas que religieuses
François Burgat
Affonter la complexité sans complexes
Mathieu Bietlot & Mario Friso
Situer L’extrémisme violent: premier pas vers des actions efficaces
Michael Privot
Radicalisation et démission politique
Renaud Maes
Un devoir de mémoire
Marc André
La lutte contre la radicalisation en prison
Juliette Béghin & Cedric Tolley
Un nouveau tour de vice sécuritaire
Manuel Lambert
Fantasmes sécuritaires sur un Internet incompris
Alexis MartinetExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401034 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible ContenuContient
Titre : L'acteur au cinéma Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 2008 Collection : L'Eden CINEMA Importance : 2 dvd + 1 livret Présentation : 248 min ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-02654-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et + L'acteur au cinéma [document projeté ou vidéo] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Anne Huet, Metteur en scène, réalisateur ; Catherine Goupil, . - Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2008 . - 2 dvd + 1 livret : 248 min. - (L'Eden CINEMA) .
ISBN : 978-2-240-02654-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège lycée lycée enseignement supérieur cinéma et audiovisuel théâtre - expression dramatique tournage : cinéma mise en scène oeuvre cinématographique jeu de l'acteur cinéma courant cinématographique création cinématographique artiste interprète Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : La question de l'acteur est essentielle pour comprendre le cinéma et son évolution. Si les acteurs ont toujours été la cible privilégiée de la presse « people » et des magazines grand public sur le cinéma, l'analyse du jeu de l'acteur reste relativement en friche et les outils qui permettent de l'aborder sont rares, surtout en situation pédagogique. Dans « Jouer Ponette », Jeanne Crépeau, elle-même cinéaste, a une expérience directe de la relation à l'acteur dans la réalisation. Jacques Doillon lui a confié la totalité des prises de son film « Ponette ». Avec « La Direction d'acteur par Jean Renoir » de Gisèle Braunberger, c'est une leçon de direction d'acteur en vraie grandeur, où l'on peut voir et comprendre comment s'y prend Renoir pour amener – en une après-midi ! – une débutante sans expérience à interpréter de façon plus que convaincante un texte long et difficile. Dans le DVD 2, sont présentés 2 films d'Alain Bergala « La mise en scène de l'acteur dans Partie de campagne » et « l'Acteur dans le cinéma moderne ». Le portfolio permet de retrouver quelques éléments documentaires sur les tournages des films analysés et d'élargir quelque peu la question de l'acteur à d'autres champs que celui du cinéma européen moderne. Ce DVD devrait, enfin, aider les enseignants et animateurs confrontés à la délicate question du jeu dans les films tournés en situation pédagogique. Genre : Pédagogie Pays : France Niveau : Secondaire et +
- Jouer Ponette + La direction d'acteur par Jean Renoir / Alain Bergala
- La mise en scène de l'acteur dans "Partie de campagne" + L'acteur dans le cinéma moderne / Alain Bergala
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104757 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104759 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 101921 121 N.1.1014 DVD Médiathèque CAV Liège Valise pédagogique : éducation aux médias de la maternelle au secondaire (Isabelle) Disponible Documents numériques
101921URLL'affiche dans le monde / Alain Weill
Titre : L'affiche dans le monde Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Weill, Auteur Editeur : Paris : Somogy Editions d'art Année de publication : 1984 Importance : 408 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85056-175-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche Mots-clés : Affiche publicité Alain Weill histoire de l'affiche. Index. décimale : 15 Affiche Résumé : Inscription publicitaire sur les murs de la Rome antique, l'affiche existe depuis des millénaires. Elle représente aujourd'hui, quel que soit son but, un art à part entière. L'ex-conservateur du Musée de l'affiche de Paris raconte cette magnifique aventure à travers les siècles et les pays. Une véritable encyclopédie en images et une anthologie unique des plus remarquables affiches du monde. L'affiche dans le monde [texte imprimé] / Alain Weill, Auteur . - Paris : Somogy Editions d'art, 1984 . - 408 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul ; 25 cm.
ISBN : 978-2-85056-175-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche Mots-clés : Affiche publicité Alain Weill histoire de l'affiche. Index. décimale : 15 Affiche Résumé : Inscription publicitaire sur les murs de la Rome antique, l'affiche existe depuis des millénaires. Elle représente aujourd'hui, quel que soit son but, un art à part entière. L'ex-conservateur du Musée de l'affiche de Paris raconte cette magnifique aventure à travers les siècles et les pays. Une véritable encyclopédie en images et une anthologie unique des plus remarquables affiches du monde. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302464 15 H.1.00606 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Alma, une enfant de la violence Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Miguel Dewever-Plana, Metteur en scène, réalisateur ; Isabelle Fougère, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Arte éditions Année de publication : 2012 Importance : 40 min Langues : Français (fre) Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/Anthropologie
Education par les médias:SociétéMots-clés : webdocumentaire mara gang mafia Amérique latine Amérique centrale corruption narcotraffic Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : Le témoignage bouleversant d’une femme, membre aujourd’hui repenti de l'un des plus terribles gangs du Guatemala.
Alma a 26 ans, dont cinq passés au service d’un des gangs les plus violents du Guatemala. Condamnée à mort par ses anciens frères d'armes pour avoir voulu quitter la "Mara", elle a survécu de justesse à leur tentative d'assassinat, mais ne peut plus se déplacer qu'en fauteuil roulant. Face à la caméra, elle fait le récit de son initiation et des crimes les plus horribles dont elle a été complice pour le compte de sa "clique". Une mise à nue poignante et sans concession d'une criminelle en quête de rédemption.
TORTIONNAIRE ET VICTIME
Passages à tabac, rackets, séquestrations, meurtres… : au fil de cet entretien, Alma décrit les atrocités qu'elle a infligées à ses victimes avec un détachement et un sens du détail stupéfiants, parfois insoutenables. Les seuls moments où elle laisse affleurer son émotion sont ceux où elle relate les drames qui ont jalonné sa vie et l’ont entraînée sur la voie de la criminalité. Un récit intense, en face à face, juste complété par quelques coupures de journaux, photos et dessins. Adapté du webdocumentaire Alma, une enfant de la violence, en ligne le 25 octobre, ce film saisissant illustre le quotidien infernal des habitants des quartiers déshérités du Guatemala, entre guerre des gangs et misère sociale.Note de contenu : Accompagné de 4 modules pour mieux comprendre cette réalité Genre : webdocumentaire, documentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://alma.arte.tv/fr Alma, une enfant de la violence [document projeté ou vidéo] / Miguel Dewever-Plana, Metteur en scène, réalisateur ; Isabelle Fougère, Metteur en scène, réalisateur . - France : Arte éditions, 2012 . - 40 min.
Langues : Français (fre) Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/Anthropologie
Education par les médias:SociétéMots-clés : webdocumentaire mara gang mafia Amérique latine Amérique centrale corruption narcotraffic Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : Le témoignage bouleversant d’une femme, membre aujourd’hui repenti de l'un des plus terribles gangs du Guatemala.
Alma a 26 ans, dont cinq passés au service d’un des gangs les plus violents du Guatemala. Condamnée à mort par ses anciens frères d'armes pour avoir voulu quitter la "Mara", elle a survécu de justesse à leur tentative d'assassinat, mais ne peut plus se déplacer qu'en fauteuil roulant. Face à la caméra, elle fait le récit de son initiation et des crimes les plus horribles dont elle a été complice pour le compte de sa "clique". Une mise à nue poignante et sans concession d'une criminelle en quête de rédemption.
TORTIONNAIRE ET VICTIME
Passages à tabac, rackets, séquestrations, meurtres… : au fil de cet entretien, Alma décrit les atrocités qu'elle a infligées à ses victimes avec un détachement et un sens du détail stupéfiants, parfois insoutenables. Les seuls moments où elle laisse affleurer son émotion sont ceux où elle relate les drames qui ont jalonné sa vie et l’ont entraînée sur la voie de la criminalité. Un récit intense, en face à face, juste complété par quelques coupures de journaux, photos et dessins. Adapté du webdocumentaire Alma, une enfant de la violence, en ligne le 25 octobre, ce film saisissant illustre le quotidien infernal des habitants des quartiers déshérités du Guatemala, entre guerre des gangs et misère sociale.Note de contenu : Accompagné de 4 modules pour mieux comprendre cette réalité Genre : webdocumentaire, documentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://alma.arte.tv/fr Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Amoureux Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Arles : Actes Sud Junior Année de publication : 2007 Collection : Atelier cinéma Importance : 1 vol. (87 p. dont 6 dépl.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-7006-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Amoureux Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Relations amoureuses Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Cinéma Thèmes motifs Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : “Quel film n’a pas sa petite ou sa grande love affair, tragique ou burlesque, entre un homme et une femme, deux hommes, deux femmes, une martienne et un terrien, une belle et une bête… ? Comme elle fut racontée des siècles durant en littérature, la rencontre amoureuse est rejouée jusqu’à plus soif par le septième art.” Plus encore que la littérature, le cinéma est le cadre idéal de l’amour, avec ses grandes scènes de baisers, ses moments de retrouvailles et de séparations déchirantes, ses visages de stars filmées et éclairées pour chavirer les coeurs, des spectateurs comme de leurs partenaires. Ce livre explore les multiples situations amoureuses mises en scène dans les mélos comme dans les comédies : de la fièvre ardente de Sabrina au drôle d’état de Krimo dans l’Esquive, des premiers échanges de regards entre Lauren Bacall et Humphrey Bogart à la rencontre attendue mais sans cesse retardée des demoiselles de Rochefort, de la parade amoureuse endiablée de Grease aux étreintes passionnées de la Fièvre dans le sang. Sur le dépliant intérieur, l’analyse d’une séquence de Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967). Amoureux [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Actes Sud Junior, 2007 . - 1 vol. (87 p. dont 6 dépl.) : ill. en noir et en coul. ; 21 cm. - (Atelier cinéma) .
ISBN : 978-2-7427-7006-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Amoureux Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Relations amoureuses Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Cinéma Thèmes motifs Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : “Quel film n’a pas sa petite ou sa grande love affair, tragique ou burlesque, entre un homme et une femme, deux hommes, deux femmes, une martienne et un terrien, une belle et une bête… ? Comme elle fut racontée des siècles durant en littérature, la rencontre amoureuse est rejouée jusqu’à plus soif par le septième art.” Plus encore que la littérature, le cinéma est le cadre idéal de l’amour, avec ses grandes scènes de baisers, ses moments de retrouvailles et de séparations déchirantes, ses visages de stars filmées et éclairées pour chavirer les coeurs, des spectateurs comme de leurs partenaires. Ce livre explore les multiples situations amoureuses mises en scène dans les mélos comme dans les comédies : de la fièvre ardente de Sabrina au drôle d’état de Krimo dans l’Esquive, des premiers échanges de regards entre Lauren Bacall et Humphrey Bogart à la rencontre attendue mais sans cesse retardée des demoiselles de Rochefort, de la parade amoureuse endiablée de Grease aux étreintes passionnées de la Fièvre dans le sang. Sur le dépliant intérieur, l’analyse d’une séquence de Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300856 22 H.1.03071 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300856URLAntonioni / Roger Tailleur
Titre : Antonioni Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Tailleur, Auteur ; P.L. Tirard, Personne honorée ; Michelangelo Antonioni (1912-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Universitaires Année de publication : 1963 Collection : Classiques du cinéma Note générale : Michelangelo Antonioni est un réalisateur et scénariste du cinéma italien (né à Ferrare en Émilie-Romagne le 29 septembre 1912 et mort à Rome le 30 juillet 2007).
Il a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar pour l’ensemble de sa carrière en 1995 et le Lion d'or pour la carrière à Venise en 1997. Il est le seul réalisateur, avec Henri-Georges Clouzot et Robert Altman, à avoir remporté les trois plus hautes récompenses des principaux festivals européens que sont Cannes, Berlin et Venise.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Antonioni cinéma italien Blow-Up Zabriskie Point Chung Kuo Profession : reporter (Professione : reporter) Le Mystère d'Oberwald (Il mistero di Oberwald) Identification d'une femme (Identificazione di una donna) 12 registi per 12 città (Douze réalisateurs pour douze villes) Par-delà les nuages (Al di là delle nuvole) Wim Wenders Destinazione Verna Eros segment Il filo pericoloso delle cose Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Antonioni [texte imprimé] / Roger Tailleur, Auteur ; P.L. Tirard, Personne honorée ; Michelangelo Antonioni (1912-....), Auteur . - Editions Universitaires, 1963. - (Classiques du cinéma) .
Michelangelo Antonioni est un réalisateur et scénariste du cinéma italien (né à Ferrare en Émilie-Romagne le 29 septembre 1912 et mort à Rome le 30 juillet 2007).
Il a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar pour l’ensemble de sa carrière en 1995 et le Lion d'or pour la carrière à Venise en 1997. Il est le seul réalisateur, avec Henri-Georges Clouzot et Robert Altman, à avoir remporté les trois plus hautes récompenses des principaux festivals européens que sont Cannes, Berlin et Venise.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Antonioni cinéma italien Blow-Up Zabriskie Point Chung Kuo Profession : reporter (Professione : reporter) Le Mystère d'Oberwald (Il mistero di Oberwald) Identification d'une femme (Identificazione di una donna) 12 registi per 12 città (Douze réalisateurs pour douze villes) Par-delà les nuages (Al di là delle nuvole) Wim Wenders Destinazione Verna Eros segment Il filo pericoloso delle cose Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302127 18 H.1.01212 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Bien rédiger pour le Web : ...et améliorer son référencement naturel Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Canivet, Auteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2009 Collection : Acces libre Importance : 1 vol. (XV-412 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-12433-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme:Pratiques et techniques journalistiques
Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:TICE (NTIC et enseignement)Mots-clés : Sites Web R¥f¥rencement Systemes de gestion de contenu Web Index. décimale : 44 Pratiques et techniques journalistiques Résumé : Rédigez des contenus efficaces pour vos visiteurs comme pour les moteurs de recherche ! Comprenez ce que votre internaute vient chercher et appropriez-vous les principes d'ergonomie et d'accessibilité. Apprenez les bases et les techniques du référencement. Soignez l'architecture de l'information pour faciliter la navigation. Favorisez la lisibilité en ligne et utilisez à bon escient l'image et le multimédia. Exploitez les zones chaudes (lues en premier) pour capter l'attention et placer vos mots-clés. Optimisez chaque type de contenu (page d'accueil, newsletter, blog, FAQ, communiqué de presse, slogan, signature...). Auditez le positionnement et l'accessibilité aux robots de votre site et mesurez votre audience. Garantissez le sérieux et la cohérence de votre image en suivant une ligne éditoriale
A qui s'adresse cet ouvrage ? Cet ouvrage s'adresse aux webmestres, rédacteurs et chargés de contenu web, aux chefs de projet, architectes de l'information, référenceurs... et tout acteur d'un projet web, aux agences web, responsables de communication et chargés de marketing
Niveau : Secondaire supérieur et + Bien rédiger pour le Web : ...et améliorer son référencement naturel [texte imprimé] / Isabelle Canivet, Auteur . - Eyrolles, 2009 . - 1 vol. (XV-412 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Acces libre) .
ISBN : 978-2-212-12433-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme:Pratiques et techniques journalistiques
Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:TICE (NTIC et enseignement)Mots-clés : Sites Web R¥f¥rencement Systemes de gestion de contenu Web Index. décimale : 44 Pratiques et techniques journalistiques Résumé : Rédigez des contenus efficaces pour vos visiteurs comme pour les moteurs de recherche ! Comprenez ce que votre internaute vient chercher et appropriez-vous les principes d'ergonomie et d'accessibilité. Apprenez les bases et les techniques du référencement. Soignez l'architecture de l'information pour faciliter la navigation. Favorisez la lisibilité en ligne et utilisez à bon escient l'image et le multimédia. Exploitez les zones chaudes (lues en premier) pour capter l'attention et placer vos mots-clés. Optimisez chaque type de contenu (page d'accueil, newsletter, blog, FAQ, communiqué de presse, slogan, signature...). Auditez le positionnement et l'accessibilité aux robots de votre site et mesurez votre audience. Garantissez le sérieux et la cohérence de votre image en suivant une ligne éditoriale
A qui s'adresse cet ouvrage ? Cet ouvrage s'adresse aux webmestres, rédacteurs et chargés de contenu web, aux chefs de projet, architectes de l'information, référenceurs... et tout acteur d'un projet web, aux agences web, responsables de communication et chargés de marketing
Niveau : Secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303295 44 H.1.04305 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303295URL
Titre : César doit mourrir Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Paolo Taviani, Metteur en scène, réalisateur ; Vittorio Taviani, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition DVD 2013 Editeur : Rome [Italie] : Kaos Cinematografica Année de publication : 2011 Autre Editeur : Paris : Édition vidéo France Télévisions Distribution Importance : 1 DVD (74 min.) Présentation : en coul. et en noir et blanc. ISBN/ISSN/EAN : 3660485999366 Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :Théatre
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : Théâtre en prison Index. décimale : 80.23 Théâtre Résumé : Théâtre de la prison de Rebibbia. La représentation de "Jules César" de Shakespeare s’achève sous les applaudissements. Les lumières s’éteignent sur les acteurs redevenus des détenus. Ils sont escortés et enfermés dans leur cellule.
Mais qui sont ces acteurs d’un jour ? Pour quelle faute ont-ils été condamnés et comment ont-ils vécu cette expérience de création artistique en commun ? Inquiétudes, jeu, espérances...
Le film suit l’élaboration de la pièce, depuis les essais et la découverte du texte, jusqu’à
la représentation finale.
De retour dans sa cellule, "Cassius", prisonnier depuis de nombreuses années, cherche du regard la caméra et nous dit : "Depuis que j’ai connu l’art, cette cellule est devenue une prison."César doit mourrir [document projeté ou vidéo] / Paolo Taviani, Metteur en scène, réalisateur ; Vittorio Taviani, Metteur en scène, réalisateur . - Edition DVD 2013 . - Rome (Italie) : Kaos Cinematografica : Paris : Édition vidéo France Télévisions Distribution, 2011 . - 1 DVD (74 min.) : en coul. et en noir et blanc.
ISSN : 3660485999366
Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :Théatre
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/DroitMots-clés : Théâtre en prison Index. décimale : 80.23 Théâtre Résumé : Théâtre de la prison de Rebibbia. La représentation de "Jules César" de Shakespeare s’achève sous les applaudissements. Les lumières s’éteignent sur les acteurs redevenus des détenus. Ils sont escortés et enfermés dans leur cellule.
Mais qui sont ces acteurs d’un jour ? Pour quelle faute ont-ils été condamnés et comment ont-ils vécu cette expérience de création artistique en commun ? Inquiétudes, jeu, espérances...
Le film suit l’élaboration de la pièce, depuis les essais et la découverte du texte, jusqu’à
la représentation finale.
De retour dans sa cellule, "Cassius", prisonnier depuis de nombreuses années, cherche du regard la caméra et nous dit : "Depuis que j’ai connu l’art, cette cellule est devenue une prison."Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104432 80.23 N.1.2181 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104432URLCinéma d'avant-garde / Peter Weiss
Titre : Cinéma d'avant-garde Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur Editeur : Paris [France] : L'Arche éditeur Année de publication : 1989 Importance : 171 p. Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-243-8 Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Cinéma d'avant-garde [texte imprimé] / Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur . - Paris (France) : L'Arche éditeur, 1989 . - 171 p. : ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-85181-243-8
Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302290 17 H.1.00822 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le cinéma selon Deleuze Titre original : Der Film bei Deleuze Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur ; Oliver Fahle, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Lorenz Engel, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : [Paris] : Presses de la Sorbonne nouvelle Année de publication : s.d. Importance : 565 pp. Langues : Français (fre) Allemand (ger) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Ouvrages généraux:Philosophie et esthétiqueMots-clés : Alain Resnais Gilles Deleuze Weimar Nietzsche Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
De prime abord, il peut sembler singulier qu'un colloque sur la philosophie du film de Gilles Deleuze se soit tenu à Weimar. Il serait sans doute possible de retracer une filiation débutant avec Nietzsche ; dans son livre sur le philosophe, Deleuze se réfère explicitement à Weimar, devenue un des centres d'études nietzschéennes. Il est plus incongru encore que Weimar n'ait pas découvert Deleuze par le biais de Nietzsche, mais par celui du cinéma. La philosophie du film de Deleuze constitue l'image filmique en image-pensée (pouvant être interprétée comme image pensante), et forge des concepts et des descriptions qui permettent de reconstruire la pensée filmique, qui est une pensée du mouvement et du temps.Niveau : Supérieur et universitaire Le cinéma selon Deleuze = Der Film bei Deleuze [texte imprimé] / Collectif, Auteur ; Oliver Fahle, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Lorenz Engel, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [Paris] : Presses de la Sorbonne nouvelle, s.d. . - 565 pp.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Ouvrages généraux:Philosophie et esthétiqueMots-clés : Alain Resnais Gilles Deleuze Weimar Nietzsche Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
De prime abord, il peut sembler singulier qu'un colloque sur la philosophie du film de Gilles Deleuze se soit tenu à Weimar. Il serait sans doute possible de retracer une filiation débutant avec Nietzsche ; dans son livre sur le philosophe, Deleuze se réfère explicitement à Weimar, devenue un des centres d'études nietzschéennes. Il est plus incongru encore que Weimar n'ait pas découvert Deleuze par le biais de Nietzsche, mais par celui du cinéma. La philosophie du film de Deleuze constitue l'image filmique en image-pensée (pouvant être interprétée comme image pensante), et forge des concepts et des descriptions qui permettent de reconstruire la pensée filmique, qui est une pensée du mouvement et du temps.Niveau : Supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301941 17 H.1.04242 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301941URLLe cinéma de Stanley Kubrick / Norman Kagan
Titre : Le cinéma de Stanley Kubrick Type de document : texte imprimé Auteurs : Norman Kagan, Auteur ; Stanley Kubrick, Personne honorée Editeur : Paris : Ramsay Année de publication : 1979 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85956-665-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Stanley Kubrick fear and desire le désir de la peur killer' kiss the killing les sentiers de la gloire spartacus lolita docteur folamour 2001 orange mécanique barry lyndon shining full metal jacket Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Biographie, histoire assez détaillée de la réalisation de quelques-uns de ses grands films. Le cinéma de Stanley Kubrick [texte imprimé] / Norman Kagan, Auteur ; Stanley Kubrick, Personne honorée . - Paris : Ramsay, 1979.
ISBN : 978-2-85956-665-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Stanley Kubrick fear and desire le désir de la peur killer' kiss the killing les sentiers de la gloire spartacus lolita docteur folamour 2001 orange mécanique barry lyndon shining full metal jacket Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Biographie, histoire assez détaillée de la réalisation de quelques-uns de ses grands films. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301253 18 H.1.00659 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Citizen Kane / Jean Roy
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Titre : Citizen Kane Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Roy, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1989 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-188622-0 Note générale :
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Citizen Kane [texte imprimé] / Jean Roy, Auteur . - Paris : Nathan, 1989.
ISBN : 978-2-09-188622-0
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302187 19 H.1.00820 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302229 19 H.1.02017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La création vidéo en Belgique / Philippe Dubois
Titre : La création vidéo en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Dubois, Auteur Editeur : Points de Repère Année de publication : 1974 Importance : 1 vol. Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
La création vidéo en Belgique [texte imprimé] / Philippe Dubois, Auteur . - [S.l.] : Points de Repère, 1974 . - 1 vol.
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Langage de la vidéo
Education par les médias:Arts et médias:Graphisme/Infographie/Street ArtMots-clés : Jacques-Louis Nyst Luc et Jean-Pierre Dardenne Jean-Claude Riga Marie André Joëlle de la Casinière Marie Jo Lafontaine Koen et Franf Theys Index. décimale : 28 Histoire de la vidéo et aspects socio-économiques Résumé : Dans le paysage audiovisuel belge des vingt dernières années, la vidéo de création a souvent été présenter comme une réponse originale aux difficultés d'une production cinématographique très réduite.
Il est urgent d'inscrire les premiers points de repère sur la carte de ce territoire artistique fécond.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300812 28 H.1.01239 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[article]
Titre : Crises rhétoriques, crises démocratiques : Pour une mise en scène de l'excès violent. Les théâtres de la catastrophe (16-17e vs 20-21e siècles) Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 19-40 Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 12 (2007) . - 19-40Catégories : Education par les médias:Langues:Français:Littérature :Théatre Mots-clés : Holocauste meurtre de masse jugement théâtre. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Face à la figuration des meurtres de masse, le théâtre développe différentes stratégies. En comparant deux époques qui se rendent comptables des massacres à peine passés, la fin du XVIe et le début du XVIIe siècle, d’une part, et la fin du XXe et le début du XXIe siècle, de l’autre, on aperçoit que ces stratégies dramaturgiques coïncident sur plusieurs points. En particulier, si l’on note tout la difficulté à figurer, sur scène, l’irreprésentable, on voit aussi la manière dont les praticiens et les auteurs s’appuient sur le fait que le théâtre est d’abord une figuration-performance, événement de jeu, un « événement-jeu » : la spécificité du théâtre serait d’être dans ce lieu d’interaction esthétique et sociale qui explore le danger du jeu lui-même à travers le principe d’une comparution dans le cadre d’un événement présent. Autrement dit, le théâtre, face aux meurtres de masse, produirait systématiquement un processus de comparution de tous devant tous, donc un art profondément social destiné à produire, ensemble, des jugements multiples qui mettent à nu, dans le lieu théâtral, la mémoire et le jugement, la nécessité du lien social et celle de le perturber, ou de le questionner.
En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ [article] Crises rhétoriques, crises démocratiques : Pour une mise en scène de l'excès violent. Les théâtres de la catastrophe (16-17e vs 20-21e siècles) [texte imprimé] . - 2008 . - 19-40.
Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 12 (2007) . - 19-40Catégories : Education par les médias:Langues:Français:Littérature :Théatre Mots-clés : Holocauste meurtre de masse jugement théâtre. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Face à la figuration des meurtres de masse, le théâtre développe différentes stratégies. En comparant deux époques qui se rendent comptables des massacres à peine passés, la fin du XVIe et le début du XVIIe siècle, d’une part, et la fin du XXe et le début du XXIe siècle, de l’autre, on aperçoit que ces stratégies dramaturgiques coïncident sur plusieurs points. En particulier, si l’on note tout la difficulté à figurer, sur scène, l’irreprésentable, on voit aussi la manière dont les praticiens et les auteurs s’appuient sur le fait que le théâtre est d’abord une figuration-performance, événement de jeu, un « événement-jeu » : la spécificité du théâtre serait d’être dans ce lieu d’interaction esthétique et sociale qui explore le danger du jeu lui-même à travers le principe d’une comparution dans le cadre d’un événement présent. Autrement dit, le théâtre, face aux meurtres de masse, produirait systématiquement un processus de comparution de tous devant tous, donc un art profondément social destiné à produire, ensemble, des jugements multiples qui mettent à nu, dans le lieu théâtral, la mémoire et le jugement, la nécessité du lien social et celle de le perturber, ou de le questionner.
En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300021 10 H.1.03200/12 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt
Titre : La Cyberl@ngue française Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélia Dejond, Auteur Editeur : Renaissance du Livre Année de publication : 2002 Importance : 1 vol. (135 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8046-0604-6 Prix : 13,5 € Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Littérature:Théories du texte et de l'écriture
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Téléphonie mobile (GSM et smartphones)
Education par les médias:Langues:Français:Langue
Education par les médias:Langues:Français:Langue:Apprentissage de la langue (argumentation, étymologie , linguistique,...)Mots-clés : Langage utilisé sur le web émoticônes abréviations Jeux internet Langage sms Linguistique cyberlangue Index. décimale : 47 Internet Note de contenu : Parlez-vous cyber ? Depuis l'avènement de l'Internet et son utilisation par un plus grand nombre, un nouveau langage, propre au support et à l'urgence à communiquer, se crée.
Plus une évolution de la langue qu'une réelle révolution, le cyberl@ngage a ceci de particulier qu'il n'est pas statique : il bouge, il vit au gré de l'imagination des internautes.
Si la Toile semble signer le retour en force de la langue écrite, elle traduit surtout un phénomène social plus que linguistique. Une envie, voire un besoin de communiquer mais autrement.La Cyberl@ngue française [texte imprimé] / Aurélia Dejond, Auteur . - [S.l.] : Renaissance du Livre, 2002 . - 1 vol. (135 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-8046-0604-6 : 13,5 €
Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Littérature:Théories du texte et de l'écriture
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Téléphonie mobile (GSM et smartphones)
Education par les médias:Langues:Français:Langue
Education par les médias:Langues:Français:Langue:Apprentissage de la langue (argumentation, étymologie , linguistique,...)Mots-clés : Langage utilisé sur le web émoticônes abréviations Jeux internet Langage sms Linguistique cyberlangue Index. décimale : 47 Internet Note de contenu : Parlez-vous cyber ? Depuis l'avènement de l'Internet et son utilisation par un plus grand nombre, un nouveau langage, propre au support et à l'urgence à communiquer, se crée.
Plus une évolution de la langue qu'une réelle révolution, le cyberl@ngage a ceci de particulier qu'il n'est pas statique : il bouge, il vit au gré de l'imagination des internautes.
Si la Toile semble signer le retour en force de la langue écrite, elle traduit surtout un phénomène social plus que linguistique. Une envie, voire un besoin de communiquer mais autrement.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300229 47 H.1.02190 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300229URL
Titre : La démocratie des crédules Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérald Bronner, Auteur Editeur : Paris [France] : Presses Universitaires de France (PUF) Année de publication : 2013 Importance : 360 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-060729-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformationMots-clés : esprit critique théorie du complot conspirationnisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Pourquoi les mythes du complot envahissent-ils l’esprit de nos contemporains ? Pourquoi le traitement de la politique tend-il à se « peopoliser » ? Pourquoi se méfie-t-on toujours des hommes de sciences ? Comment un jeune homme prétendant être le fils de Mickael Jackson et avoir été violé par Nicolas Sarkozy a-t-il pu ètre interviewé ã un grand journal de 20 heures ? Comment, d’une façon générale, des faits imaginaires ou inventés, voire franchement mensongers, arrivent-ils à se diffuser, à emporter l’adhésion des publics, à infléchir les décisions des politiques, en bref, à façonner une partie du monde dans lequel nous vivons ? N’était-il pourtant pas raisonnable d’espérer qu’avec la libre circulation de l’information et l’augmentation du niveau d’étude, les sociétés démocratiques tendraient vers une forme de sagesse collective ?
Cet essai vivifiant propose, en convoquant de nombreux exemples, de répondre ã toutes ces questions en montrant comment les conditions de notre vie contemporaine se sont alliées au fonctionnement intime de notre cerveau pour faire de nous des dupes. Il est urgent de le comprendre.Note de contenu : Préambule
Introduction – L’empire du doute
I. Lorsque plus, c’est moins : massification de l’information et avarice mentale
La révolution sur le marché cognitif
Amplification du biais de confirmation
L’affaire de Seattle
L’expérience de Wason
À propos de notre avarice intellectuelle
Le théorème de la crédulité intellectuelle
« Moi, pour être sûr de l’information, je vérifie grâce à Internet »
Les bulles de filtrage
II. Pourquoi Internet s’allie-t-il avec les idées douteuses ?
L’utopie de la société de la connaissance et l’empire des croyances
Le problème de l’irrésolu
État de la concurrence entre croyance et connaissance sur Internet
Comment expliquer ces résultats ?
Le syndrome du Titanic
Lorsque le paradoxe d’Olson joue contre la connaissance
Charles Fort, sa vie, son œuvre
Les produits Fort : des millefeuilles argumentatifs
La mutualisation des arguments de la croyance
Un produit fortéen en cours de constitution : la fausse mort de Michael Jackson
Lorsque Fort consolide Olson
Comme par hasard…
Tout est dans la Bible, vraiment tout
Le paradoxe de la transparence
Un temps d’incubation réduit
III. La concurrence sert le vrai, trop de concurrence le dessert
Fils de Michael Jackson et violé par Nicolas Sarkozy
Une situation de dilemme du prisonnier
Infidélités présidentielles et Coran brûlé
L’affaire des plages radioactives
La « vague de suicides » chez France Télécom
Une polémique statistique vite oubliée
Les anomalies de la théorie du management meurtrier
Effet Werther et risques médiatiques
Les soubassements cognitifs d’un emballement
Les soubassements idéologiques d’un emballement
Au royaume des aveugles, les myopes sont rois
L’effet râteau et les « leucémies nucléaires »
La courbe FIC (fiabilité de l’information/concurrence)
IV. La matrice du mal : un danger démocratique
Dans l’œuf
La plus grosse erreur de Tony Blair
L’effet Othello
Le triumvirat démocratique
« Vox populi, vox Diaboli? »
Un curieux « ressenti » à Saint-Cloud
Tous contre le meilleur d’entre eux
Les foules sont parfois intelligentes…
… Mais pas toujours
Le théorème de Condorcet
Au cœur de nos cerveaux
Ce que révèlent les courses de chevaux
Une balance inéquitable
Trop de champions pour un même championnat
Retour sur le théorème de Condorcet
L’effet Ésope
Ma communauté ne sera jamais unanimement dans l’égarement
Démagogie cognitive et populisme
V. Que faire ? De la démocratie des crédules à celle de la connaissance
Les espoirs de l’astrophysicien
La mauvaise éducation
Lorsque la crédulité ressemble à de l’intelligence
La somme des imperfections
Pour faire reculer en nous le savant d’illusion
Déclaration d’indépendance mentale
Le quatrième pouvoir
Une nouvelle forme de communication scientifique
Bref épilogue
BibliographieGenre : Essai Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire La démocratie des crédules [texte imprimé] / Gérald Bronner, Auteur . - Paris (France) : Presses Universitaires de France (PUF), 2013 . - 360 p.
ISBN : 978-2-13-060729-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformationMots-clés : esprit critique théorie du complot conspirationnisme Index. décimale : 51.1 Désinformation et mésinformation Résumé : Pourquoi les mythes du complot envahissent-ils l’esprit de nos contemporains ? Pourquoi le traitement de la politique tend-il à se « peopoliser » ? Pourquoi se méfie-t-on toujours des hommes de sciences ? Comment un jeune homme prétendant être le fils de Mickael Jackson et avoir été violé par Nicolas Sarkozy a-t-il pu ètre interviewé ã un grand journal de 20 heures ? Comment, d’une façon générale, des faits imaginaires ou inventés, voire franchement mensongers, arrivent-ils à se diffuser, à emporter l’adhésion des publics, à infléchir les décisions des politiques, en bref, à façonner une partie du monde dans lequel nous vivons ? N’était-il pourtant pas raisonnable d’espérer qu’avec la libre circulation de l’information et l’augmentation du niveau d’étude, les sociétés démocratiques tendraient vers une forme de sagesse collective ?
Cet essai vivifiant propose, en convoquant de nombreux exemples, de répondre ã toutes ces questions en montrant comment les conditions de notre vie contemporaine se sont alliées au fonctionnement intime de notre cerveau pour faire de nous des dupes. Il est urgent de le comprendre.Note de contenu : Préambule
Introduction – L’empire du doute
I. Lorsque plus, c’est moins : massification de l’information et avarice mentale
La révolution sur le marché cognitif
Amplification du biais de confirmation
L’affaire de Seattle
L’expérience de Wason
À propos de notre avarice intellectuelle
Le théorème de la crédulité intellectuelle
« Moi, pour être sûr de l’information, je vérifie grâce à Internet »
Les bulles de filtrage
II. Pourquoi Internet s’allie-t-il avec les idées douteuses ?
L’utopie de la société de la connaissance et l’empire des croyances
Le problème de l’irrésolu
État de la concurrence entre croyance et connaissance sur Internet
Comment expliquer ces résultats ?
Le syndrome du Titanic
Lorsque le paradoxe d’Olson joue contre la connaissance
Charles Fort, sa vie, son œuvre
Les produits Fort : des millefeuilles argumentatifs
La mutualisation des arguments de la croyance
Un produit fortéen en cours de constitution : la fausse mort de Michael Jackson
Lorsque Fort consolide Olson
Comme par hasard…
Tout est dans la Bible, vraiment tout
Le paradoxe de la transparence
Un temps d’incubation réduit
III. La concurrence sert le vrai, trop de concurrence le dessert
Fils de Michael Jackson et violé par Nicolas Sarkozy
Une situation de dilemme du prisonnier
Infidélités présidentielles et Coran brûlé
L’affaire des plages radioactives
La « vague de suicides » chez France Télécom
Une polémique statistique vite oubliée
Les anomalies de la théorie du management meurtrier
Effet Werther et risques médiatiques
Les soubassements cognitifs d’un emballement
Les soubassements idéologiques d’un emballement
Au royaume des aveugles, les myopes sont rois
L’effet râteau et les « leucémies nucléaires »
La courbe FIC (fiabilité de l’information/concurrence)
IV. La matrice du mal : un danger démocratique
Dans l’œuf
La plus grosse erreur de Tony Blair
L’effet Othello
Le triumvirat démocratique
« Vox populi, vox Diaboli? »
Un curieux « ressenti » à Saint-Cloud
Tous contre le meilleur d’entre eux
Les foules sont parfois intelligentes…
… Mais pas toujours
Le théorème de Condorcet
Au cœur de nos cerveaux
Ce que révèlent les courses de chevaux
Une balance inéquitable
Trop de champions pour un même championnat
Retour sur le théorème de Condorcet
L’effet Ésope
Ma communauté ne sera jamais unanimement dans l’égarement
Démagogie cognitive et populisme
V. Que faire ? De la démocratie des crédules à celle de la connaissance
Les espoirs de l’astrophysicien
La mauvaise éducation
Lorsque la crédulité ressemble à de l’intelligence
La somme des imperfections
Pour faire reculer en nous le savant d’illusion
Déclaration d’indépendance mentale
Le quatrième pouvoir
Une nouvelle forme de communication scientifique
Bref épilogue
BibliographieGenre : Essai Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304970 51.1 H.1.04948 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304970.jpgImage Jpeg
Titre : La démocratie Internet : promesses et limites Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Cardon (1965-....), Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2010 Collection : La république des idées Importance : 1 vol. (101 p.) Présentation : ill. Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-102691-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociauxMots-clés : Internet Aspect politique Démocratie électronique Web participatif vie privée Index. décimale : 47 Internet Résumé : Recherche du sensationnalisme, agressivité des forums de discussion, rétrécissement de l’espace privé, menaces sur l’avenir de la presse et la création artistique : dans de nombreux débats, Internet fait figure de coupable tout désigné. Mais si Internet était d’abord le plus grand allié de notre démocratie ? Ce livre montre que, beaucoup plus qu’un média de communication et d’information, Internet constitue une forme politique particulière qui entre en résonance avec les attentes de renouvellement démocratique a l’œuvre aujourd’hui dans nos sociétés. De quelle manière ? En élargissant l’espace public a l’expression de nouveaux acteurs et en décloisonnant la discussion politique, Internet bouleverse la manière dont l’information circule et dont les collectifs se créent. Il valorise tout particulièrement le partage et la mise en commun, la mobilisation individuelle et la transparence, l’auto-organisation et la réflexivité. Cet ouvrage explore la manière dont Internet recompose nos sociétés en favorisant de nouvelles formes de critique et d’action. La démocratie Internet : promesses et limites [texte imprimé] / Dominique Cardon (1965-....), Auteur . - Seuil, 2010 . - 1 vol. (101 p.) : ill. ; 21 cm.. - (La république des idées) .
ISBN : 978-2-02-102691-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociauxMots-clés : Internet Aspect politique Démocratie électronique Web participatif vie privée Index. décimale : 47 Internet Résumé : Recherche du sensationnalisme, agressivité des forums de discussion, rétrécissement de l’espace privé, menaces sur l’avenir de la presse et la création artistique : dans de nombreux débats, Internet fait figure de coupable tout désigné. Mais si Internet était d’abord le plus grand allié de notre démocratie ? Ce livre montre que, beaucoup plus qu’un média de communication et d’information, Internet constitue une forme politique particulière qui entre en résonance avec les attentes de renouvellement démocratique a l’œuvre aujourd’hui dans nos sociétés. De quelle manière ? En élargissant l’espace public a l’expression de nouveaux acteurs et en décloisonnant la discussion politique, Internet bouleverse la manière dont l’information circule et dont les collectifs se créent. Il valorise tout particulièrement le partage et la mise en commun, la mobilisation individuelle et la transparence, l’auto-organisation et la réflexivité. Cet ouvrage explore la manière dont Internet recompose nos sociétés en favorisant de nouvelles formes de critique et d’action. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303699 47 H.1.04342 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 305040 47 H.1.04342 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303699URLDerrière la porte / Carole Desbarats
Titre : Derrière la porte : Pouvoirs du secret... au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Desbarats, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Miguel Benasayag, Auteur ; Lounas, Thierry, Auteur ; Jacques Mandelbaum, Auteur ; Claire Simon, Auteur Editeur : Rennes : ACOR Année de publication : 2001 Importance : 1 vol. (42 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2970987168 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : thème au cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Après les Secrets de famille, au cinéma, les Pouvoirs du secret cette fois, mais toujours au cinéma, parce que le récit cinématographique, fût-il documentaire, parle beaucoup de la puissance de ce qui est caché, derrière la porte, titre de ce dyptique consacré au secret.
Secrets qui accompagnent les savoir-faire, que ce soient ceux des artisans ou des créateurs, ou les mystères de l’engendrement et de la sexualité humaine, ou encore ceux qui accompagnent les pouvoirs, qu’ils soient réels ou fantasmés.
Dans cet ouvrage coordonné par Carole Desbarats, la cinéaste Claire Simon, le philosophe et psychanalyste Miguel Benasayag, et les critiques Thierry Lounas et Jacques Mandelbaum s’essaient à approcher ces différentes modalités, des plus légères aux plus graves, des « secrets d’alcôve » selon l’expression d’Alain Cavalier à ce qui, pourtant visible, est resté invisible, du geste précis d’une roulotteuse sur soie à l’aveuglement de celui qui n’a pas vu l’horreur lorsqu’il a visité Auschwicz.Derrière la porte : Pouvoirs du secret... au cinéma [texte imprimé] / Carole Desbarats, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Miguel Benasayag, Auteur ; Lounas, Thierry, Auteur ; Jacques Mandelbaum, Auteur ; Claire Simon, Auteur . - Rennes : ACOR, 2001 . - 1 vol. (42 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISSN : 2970987168
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : thème au cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Après les Secrets de famille, au cinéma, les Pouvoirs du secret cette fois, mais toujours au cinéma, parce que le récit cinématographique, fût-il documentaire, parle beaucoup de la puissance de ce qui est caché, derrière la porte, titre de ce dyptique consacré au secret.
Secrets qui accompagnent les savoir-faire, que ce soient ceux des artisans ou des créateurs, ou les mystères de l’engendrement et de la sexualité humaine, ou encore ceux qui accompagnent les pouvoirs, qu’ils soient réels ou fantasmés.
Dans cet ouvrage coordonné par Carole Desbarats, la cinéaste Claire Simon, le philosophe et psychanalyste Miguel Benasayag, et les critiques Thierry Lounas et Jacques Mandelbaum s’essaient à approcher ces différentes modalités, des plus légères aux plus graves, des « secrets d’alcôve » selon l’expression d’Alain Cavalier à ce qui, pourtant visible, est resté invisible, du geste précis d’une roulotteuse sur soie à l’aveuglement de celui qui n’a pas vu l’horreur lorsqu’il a visité Auschwicz.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301983 21 H.1.02471 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
contenu dans Le Kid et Le Dictateur
Titre : Le Dictateur Titre original : The Great Dictator Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Charles Chaplin (1889-1977), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 1940 Importance : 1 DVD Présentation : 126 min Accompagnement : 1 brochure (23 p. : ill. ; 18 cm) Langues : Diverses (mis) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : ;Chaplin;Influence;Chaplin;Pensée politique et sociale;The kid;The great dictator : propagande;guerre 40-45;deuxième guerre mondiale parodie de la propagande nazie Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Dans le ghetto juif vit un petit barbier qui ressemble énormément à Adenoid Hynkel, le dictateur de Tomania qui a décidé l'extermination du peuple juif. Au cours d'une rafle, le barbier est arrêté en compagnie de Schultz, un farouche adversaire d'Hynkel...
contenu dans Le Kid et Le Dictateur
Le Dictateur = The Great Dictator [document projeté ou vidéo] / Charles Chaplin (1889-1977), Metteur en scène, réalisateur . - France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 1940 . - 1 DVD : 126 min + 1 brochure (23 p. : ill. ; 18 cm).
Langues : Diverses (mis)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : ;Chaplin;Influence;Chaplin;Pensée politique et sociale;The kid;The great dictator : propagande;guerre 40-45;deuxième guerre mondiale parodie de la propagande nazie Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Dans le ghetto juif vit un petit barbier qui ressemble énormément à Adenoid Hynkel, le dictateur de Tomania qui a décidé l'extermination du peuple juif. Au cours d'une rafle, le barbier est arrêté en compagnie de Schultz, un farouche adversaire d'Hynkel... Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100839 121 N.1.0400 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100839URL
Titre : Dictionnaire théorique et critique du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Aumont (1942-....), Auteur ; Michel Marie (1945-....), Auteur Mention d'édition : 3ème édition Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2016 Importance : 336 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-60121-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Anthropologie • Art • Critique • Dramaturgie • École • Économie • Esthétique • Filmologie • Formalisme • Genre • Grammaire • Histoire du cinéma • Histoire de l’art • Institution • Langage • Linguistique • Montage • Mouvement • Mythologie • Narratologie • Philosophie • Psychologie • Psychanalyse • Réalisation • Rhétorique • Sémantique • Sémiologie • Sémiotique • Sciences humaines • Sociologie • Stylistique • Technique • Théorie Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Le cinéma est devenu, depuis près d’un demi-siècle, objet d’enseignement, de recherches et d’études. Un vocabulaire particulier s’est progressivement imposé, constitué à la fois de termes spécifiques et de concepts nouveaux propres à analyser le langage cinématographique.
D’Abstrait à Zombi, ce dictionnaire réunit près de 600 entrées relevant des approches théoriques et critiques du cinéma : notions clés en esthétique, filmologie, sémiotique… ainsi que notices sur les critiques et les théoriciens, parfois aussi cinéastes (Eisenstein, Hitchcock, Pasolini, Godard…), qui ont contribué à enrichir la réflexion sur le 7e art. Chaque entrée est replacée dans son contexte, illustrée d’exemples, mise en relation avec d’autres et suivie d’indications bibliographiques. Cette 3e édition s’enrichit d’une centaine d’articles, faisant le point sur l’état des lieux (économique, technique, critique…) et éclairant l’œuvre de toute une génération de théoriciens.
Un outil indispensable pour l’étudiant en cinéma et audiovisuel, le professionnel ou le cinéphile soucieux de mieux connaître son domaine de prédilection.Dictionnaire théorique et critique du cinéma [texte imprimé] / Jacques Aumont (1942-....), Auteur ; Michel Marie (1945-....), Auteur . - 3ème édition . - Paris (France) : Armand Colin, 2016 . - 336 p.
ISBN : 978-2-200-60121-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Anthropologie • Art • Critique • Dramaturgie • École • Économie • Esthétique • Filmologie • Formalisme • Genre • Grammaire • Histoire du cinéma • Histoire de l’art • Institution • Langage • Linguistique • Montage • Mouvement • Mythologie • Narratologie • Philosophie • Psychologie • Psychanalyse • Réalisation • Rhétorique • Sémantique • Sémiologie • Sémiotique • Sciences humaines • Sociologie • Stylistique • Technique • Théorie Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Le cinéma est devenu, depuis près d’un demi-siècle, objet d’enseignement, de recherches et d’études. Un vocabulaire particulier s’est progressivement imposé, constitué à la fois de termes spécifiques et de concepts nouveaux propres à analyser le langage cinématographique.
D’Abstrait à Zombi, ce dictionnaire réunit près de 600 entrées relevant des approches théoriques et critiques du cinéma : notions clés en esthétique, filmologie, sémiotique… ainsi que notices sur les critiques et les théoriciens, parfois aussi cinéastes (Eisenstein, Hitchcock, Pasolini, Godard…), qui ont contribué à enrichir la réflexion sur le 7e art. Chaque entrée est replacée dans son contexte, illustrée d’exemples, mise en relation avec d’autres et suivie d’indications bibliographiques. Cette 3e édition s’enrichit d’une centaine d’articles, faisant le point sur l’état des lieux (économique, technique, critique…) et éclairant l’œuvre de toute une génération de théoriciens.
Un outil indispensable pour l’étudiant en cinéma et audiovisuel, le professionnel ou le cinéphile soucieux de mieux connaître son domaine de prédilection.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305062 21 H.1.05013 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
305062.jpegImage JpegDossier pédagogique de "Douze hommes en colère" / Christine Courme-Thubert
Supplément de 12 hommes en colère / Sidney Lumet
Titre : Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de 12 hommes en colère / Sidney Lumet
Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303677 19 H.1.04339/4 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
Titre : Dossier pédagogique de "Le guépard" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 7 pp. Note générale :
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Le guépard" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 7 pp.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303687 19 H.1.04339/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Echanges. LE PLURALISME MÉTHODOLOGIQUE EN SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION À L’ÉPREUVE DE LA « COMMUNICATION ENGAGEANTE » in Questions de communication, 7 (2005)
![]()
[article]
Titre : Echanges. LE PLURALISME MÉTHODOLOGIQUE EN SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION À L’ÉPREUVE DE LA « COMMUNICATION ENGAGEANTE » Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 185-208 Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 7 (2005) . - 185-208Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel Mots-clés : Action communication engageante méthode expérimentale théorie de l’engagement procédure du pied-dans-la-porte. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Prenant appui sur une brève synthèse de travaux de recherche empiriques consacrés aux questions de la communication d’intérêt et d’utilité publics, cet article propose une réflexion sur un double élargissement pour les sciences de l’information et de la communication, celui des méthodologies avec la prise en compte de la méthode expérimentale, et celui de la pluridisciplinarité avec l’intégration des apports de la psychologie sociale, dans le cadre suivant le paradigme de la communication engageante. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ [article] Echanges. LE PLURALISME MÉTHODOLOGIQUE EN SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION À L’ÉPREUVE DE LA « COMMUNICATION ENGAGEANTE » [texte imprimé] . - 2008 . - 185-208.
Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 7 (2005) . - 185-208Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel Mots-clés : Action communication engageante méthode expérimentale théorie de l’engagement procédure du pied-dans-la-porte. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Prenant appui sur une brève synthèse de travaux de recherche empiriques consacrés aux questions de la communication d’intérêt et d’utilité publics, cet article propose une réflexion sur un double élargissement pour les sciences de l’information et de la communication, celui des méthodologies avec la prise en compte de la méthode expérimentale, et celui de la pluridisciplinarité avec l’intégration des apports de la psychologie sociale, dans le cadre suivant le paradigme de la communication engageante. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300028 10 H.1.03200/7 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt L'épreuve du réel à l'écran / François Niney
Titre : L'épreuve du réel à l'écran : Essai sur le principe de réalité documentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : François Niney, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Bruxelles : De Boeck université Année de publication : 2000 Importance : 1 vol. (346 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8041-3543-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : histoire du film documentaire histoire du cinéma direct réalisme thème au cinéma Index. décimale : 21.1 Cinéma documentaire Résumé : Depuis l'invention des frères Lumière, actualités, documentaires, reportages nous convient à des visions toujours plus " immédiates ", plus proches, plus " vraies " de la réalité " sur le vif ". Que valent ces miroirs argentiques et électroniques des événements ? Que nous donnent-elles à voir et croire ces doublures auxquelles nous confions la tâche paradoxale de nous démontrer le monde et d'en produire la vérité ? A travers l'évolution historique des formes du documentaire et du reportage, cet ouvrage questionne nos manières de représenter et voir la réalité à travers le discours des images, ainsi que les régimes de croyance que suscite la soi-disant " objectivité " des prises de vues. Il explore les figures du langage cinématographique en tant que façons de découper, traduire, réfléchir le monde, de découvrir de nouvelles relations sujet/objet, réel/fiction, voir/savoir, ou au contraire de reproduire des clichés vraisemblables et réducteurs. Tableau vivant du cinéma primitif, invention du montage, documentarisme social et propagande guerrière, néo-réalisme italien et documentaire joué à l'américaine, nouvelles vagues d'après-guerre détournant le " comment-taire " et retournant les images, cinéma-vérité et cinéma direct, dogme de la preuve par l'image, caméra subjective et machines de vision, théâtres de la mémoire (archives, témoins, reconstitutions), interférences fiction/documentaire : telles sont les entrées de ce parcours critique où réalité et fiction, vrai et faux jouent à cache-cache. André Bazin ne disait-il pas que " le cadre est un cache " ? Tant par ce qu'il montre que par ses tâches aveugles, l'écran " du réel " apparaît comme une matière esthétique sans équivalent pour l'analyse historique de nos " projections " du monde. L'épreuve du réel à l'écran : Essai sur le principe de réalité documentaire [texte imprimé] / François Niney, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Bruxelles : De Boeck université, 2000 . - 1 vol. (346 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-8041-3543-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : histoire du film documentaire histoire du cinéma direct réalisme thème au cinéma Index. décimale : 21.1 Cinéma documentaire Résumé : Depuis l'invention des frères Lumière, actualités, documentaires, reportages nous convient à des visions toujours plus " immédiates ", plus proches, plus " vraies " de la réalité " sur le vif ". Que valent ces miroirs argentiques et électroniques des événements ? Que nous donnent-elles à voir et croire ces doublures auxquelles nous confions la tâche paradoxale de nous démontrer le monde et d'en produire la vérité ? A travers l'évolution historique des formes du documentaire et du reportage, cet ouvrage questionne nos manières de représenter et voir la réalité à travers le discours des images, ainsi que les régimes de croyance que suscite la soi-disant " objectivité " des prises de vues. Il explore les figures du langage cinématographique en tant que façons de découper, traduire, réfléchir le monde, de découvrir de nouvelles relations sujet/objet, réel/fiction, voir/savoir, ou au contraire de reproduire des clichés vraisemblables et réducteurs. Tableau vivant du cinéma primitif, invention du montage, documentarisme social et propagande guerrière, néo-réalisme italien et documentaire joué à l'américaine, nouvelles vagues d'après-guerre détournant le " comment-taire " et retournant les images, cinéma-vérité et cinéma direct, dogme de la preuve par l'image, caméra subjective et machines de vision, théâtres de la mémoire (archives, témoins, reconstitutions), interférences fiction/documentaire : telles sont les entrées de ce parcours critique où réalité et fiction, vrai et faux jouent à cache-cache. André Bazin ne disait-il pas que " le cadre est un cache " ? Tant par ce qu'il montre que par ses tâches aveugles, l'écran " du réel " apparaît comme une matière esthétique sans équivalent pour l'analyse historique de nos " projections " du monde. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301511 21.1 H.1.01864 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'évangile selon saint Mathieu / Stéphane Bouquet
Accompagne L'évangile selon Saint Mathieu / Pier Paolo Pasolini
Titre : L'évangile selon saint Mathieu : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Bouquet (1967-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-349-0 Note générale :
L'Évangile selon saint Matthieu (Il Vangelo Secondo Matteo) est un film italien réalisé par Pier Paolo Pasolini, sorti en 1964.
Le film a été tourné dans le Mezzogiorno (sud de l’Italie), encore pauvre et archaïque, notamment :
* dans le Basilicate à Barile, Castel Lagopesole (commune d'Avigliano) et Matera ;
* en Calabre à Cutro et Le Castella (commune d'Isola di Capo Rizzuto) ;
* dans les Pouilles à Ginosa, Gioia del Colle et Massafra.
Cependant, Pasolini s’était rendu en juillet 1963 en Palestine avec le père Don Andrea Carraro, pour y effectuer des repérages. Le cinéaste est déçu par la modernité trop apparente des paysages et renonce à y tourner son film, mais les images filmées sur place deviennent, sous l’impulsion du producteur Alfredo Bini, un documentaire à mi-chemin entre le carnet de voyage et la réflexion intérieure : « Repérages en Palestine pour L'Évangile selon saint Matthieu ».
Le rôle du Christ était en premier lieu destiné à être joué par un poète. Pasolini proposa le rôle successivement à Evgueni Evtouchenko, Allen Ginsberg, Jack Kerouac puis Luis Goytisolo, mais ils refusèrent tous. Pasolini rencontra par la suite, Enrique Irazoqui, un jeune étudiant espagnol, à qui il confia le rôle.
Elsa Morante fit une première sélection de musiques destinées à accompagner le film.
* Prix spécial du jury au Festival de Venise
* Grand prix de l'Office catholique du cinéma
* Prix Cinéforum
* Prix de l'Union internationale de la critique
* Prix Nastro d'Argento (Ruban d'argent : syndicat des journalistes cinématographiques italiens)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Évangile selon saint Matthieu Il Vangelo secondo Matteo Pier Paolo Pasolini Gianni Cianfarelli Modica Victor Hugo Contini Tonino Delli Colli Mario Del Pozzo Luigi Scaccianoce Dante Ferretti Danilo Donati Don Giovanni Rossi Luis Bacalov Carlo Rustichelli Bach Webern Mozart Prokofiev Missa Luba Nino Baragli Arco film Lux Compagnie Alfredo Bini Fausto Ancillai Elsa Morante Maurizio Lucidi Paul A.M. Schneider Lina D’Amico Marcello Ceccarelli Titanus Distribuzione S.p.a. Enrique Irazoqui Enrico Maria Salerno Margherita Caruso Susanna Pasolini Marcello Morante Mario Socrate Settimio Di Porte Religion catholique Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une reconstitution fidèle de cet évangile qui reprend une sélection de scènes de l'histoire de la vie du Christ, de l'Annonciation à sa Passion.Note de contenu :
Une lettre de Pier Paolo Pasolini explique son attachement à L'Évangile de Saint Matthieu : " Ce jour-là je l'ai lu tout à la file, comme un roman. Et dans l'exaltation de cette lecture, il m'est venu l'idée d'en faire un film. " En fait, dès son adolescence, la lecture de Matthieu fut une source d'inspiration pour sa poésie. Il s'est d'ailleurs souvent identifié lui-même à la figure du Christ, venu aider et aimer les hommes, et que les hommes rejetaient. La réalisation d'Il Vangelo secondo Matteo marque un tournant dans la carrière de Pasolini cinéaste, ce film a été le laboratoire de son style propre, dans la mesure où il s'aperçoit très vite que l'adaptation du texte du Nouveau Testament le mène à la limite du chromo. Il choisit donc de rester littéralement fidèle au texte en bouleversant, la grammaire cinématographique. Il mêle des expériences formelles variées, du réalisme du reportage à la stylisation de certains " tableaux " de la vie du Christ pour aboutir à ce qu'il nomme un " magma ". Son Christ, au milieu de ces années 60 si novatrices, dégage un parfum de scandale. Le poète rebelle, influencé par la vision humaniste du communisme d'Antonio Gramsci, porté par les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire : le cinéaste entend dans l'Evangile un appel à la lutte contre un ordre ancien, vers un monde meilleur où régnerait une grande joie primitive.
* L’Évangile selon saint Matthieu est le premier film où Pasolini utilise la technique du zoom avant (21 dans tout le film)
* L’Évangile selon saint Matthieu est dédié au « glorieux Pape Jean XXIII ».
* Le scénario original comportait 131 scènes, tandis que le film réalisé n’en compte plus que 44.
Accompagne L'évangile selon Saint Mathieu / Pier Paolo Pasolini
L'évangile selon saint Mathieu : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Stéphane Bouquet (1967-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2003. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-349-0
L'Évangile selon saint Matthieu (Il Vangelo Secondo Matteo) est un film italien réalisé par Pier Paolo Pasolini, sorti en 1964.
Le film a été tourné dans le Mezzogiorno (sud de l’Italie), encore pauvre et archaïque, notamment :
* dans le Basilicate à Barile, Castel Lagopesole (commune d'Avigliano) et Matera ;
* en Calabre à Cutro et Le Castella (commune d'Isola di Capo Rizzuto) ;
* dans les Pouilles à Ginosa, Gioia del Colle et Massafra.
Cependant, Pasolini s’était rendu en juillet 1963 en Palestine avec le père Don Andrea Carraro, pour y effectuer des repérages. Le cinéaste est déçu par la modernité trop apparente des paysages et renonce à y tourner son film, mais les images filmées sur place deviennent, sous l’impulsion du producteur Alfredo Bini, un documentaire à mi-chemin entre le carnet de voyage et la réflexion intérieure : « Repérages en Palestine pour L'Évangile selon saint Matthieu ».
Le rôle du Christ était en premier lieu destiné à être joué par un poète. Pasolini proposa le rôle successivement à Evgueni Evtouchenko, Allen Ginsberg, Jack Kerouac puis Luis Goytisolo, mais ils refusèrent tous. Pasolini rencontra par la suite, Enrique Irazoqui, un jeune étudiant espagnol, à qui il confia le rôle.
Elsa Morante fit une première sélection de musiques destinées à accompagner le film.
* Prix spécial du jury au Festival de Venise
* Grand prix de l'Office catholique du cinéma
* Prix Cinéforum
* Prix de l'Union internationale de la critique
* Prix Nastro d'Argento (Ruban d'argent : syndicat des journalistes cinématographiques italiens)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Évangile selon saint Matthieu Il Vangelo secondo Matteo Pier Paolo Pasolini Gianni Cianfarelli Modica Victor Hugo Contini Tonino Delli Colli Mario Del Pozzo Luigi Scaccianoce Dante Ferretti Danilo Donati Don Giovanni Rossi Luis Bacalov Carlo Rustichelli Bach Webern Mozart Prokofiev Missa Luba Nino Baragli Arco film Lux Compagnie Alfredo Bini Fausto Ancillai Elsa Morante Maurizio Lucidi Paul A.M. Schneider Lina D’Amico Marcello Ceccarelli Titanus Distribuzione S.p.a. Enrique Irazoqui Enrico Maria Salerno Margherita Caruso Susanna Pasolini Marcello Morante Mario Socrate Settimio Di Porte Religion catholique Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une reconstitution fidèle de cet évangile qui reprend une sélection de scènes de l'histoire de la vie du Christ, de l'Annonciation à sa Passion.Note de contenu :
Une lettre de Pier Paolo Pasolini explique son attachement à L'Évangile de Saint Matthieu : " Ce jour-là je l'ai lu tout à la file, comme un roman. Et dans l'exaltation de cette lecture, il m'est venu l'idée d'en faire un film. " En fait, dès son adolescence, la lecture de Matthieu fut une source d'inspiration pour sa poésie. Il s'est d'ailleurs souvent identifié lui-même à la figure du Christ, venu aider et aimer les hommes, et que les hommes rejetaient. La réalisation d'Il Vangelo secondo Matteo marque un tournant dans la carrière de Pasolini cinéaste, ce film a été le laboratoire de son style propre, dans la mesure où il s'aperçoit très vite que l'adaptation du texte du Nouveau Testament le mène à la limite du chromo. Il choisit donc de rester littéralement fidèle au texte en bouleversant, la grammaire cinématographique. Il mêle des expériences formelles variées, du réalisme du reportage à la stylisation de certains " tableaux " de la vie du Christ pour aboutir à ce qu'il nomme un " magma ". Son Christ, au milieu de ces années 60 si novatrices, dégage un parfum de scandale. Le poète rebelle, influencé par la vision humaniste du communisme d'Antonio Gramsci, porté par les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire : le cinéaste entend dans l'Evangile un appel à la lutte contre un ordre ancien, vers un monde meilleur où régnerait une grande joie primitive.
* L’Évangile selon saint Matthieu est le premier film où Pasolini utilise la technique du zoom avant (21 dans tout le film)
* L’Évangile selon saint Matthieu est dédié au « glorieux Pape Jean XXIII ».
* Le scénario original comportait 131 scènes, tandis que le film réalisé n’en compte plus que 44.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302233 19 H.1.02671 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Facebook, mes amis, mes amours, mes emmerdes ! : La vérité sur les réseaux sociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Levard, Auteur ; Delphine Soulas, Auteur Editeur : Paris : Michalon Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (190 p.) Présentation : couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84186-517-8 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociaux
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:TICE (NTIC et enseignement)Mots-clés : Facebook (site web) Index. décimale : 50.2 Réseaux sociaux Résumé : Facebook, MySpace, Twitter... Les réseaux sociaux ont conquis la France à une vitesse record. Deux internautes sur trois s'y connectent régulièrement, alors que ces sites étaient encore inconnus il y a deux ans. Pas une semaine sans que les médias ne se fassent l'echo de ce succès... ou n'en rapportent les dérapages. Car par leur nature même, les réseaux sociaux mettent à mal la notion de vie privée.
Risques pour les mineurs, escroqueries, usurpations d'identité, utilisation commerciale de données privés ... Olivier Levard et Delphine Soulas révèlent les dessous de Facebook et des autres réseaux. Comment ces sites ont-ils organisé leur ascension ? Qu'est ce qui pousse les internautes à s'y mettre à nu au vu de tous. Quels sont les risques de cette nouvelle transparence ? Comment Facebook et MySpace gagnent-ils de l'argent en vendant les profils des internautes ? En interrogeant sociologues, avocats, policiers, psychanalyste, et bien sûr, les dirigeants de ces sites ainsi que ceux qui en ont été victimes, les auteurs nous dévoilent la face cachée des réseaux sociaux.Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et + Facebook, mes amis, mes amours, mes emmerdes ! : La vérité sur les réseaux sociaux [texte imprimé] / Olivier Levard, Auteur ; Delphine Soulas, Auteur . - Paris : Michalon, 2010 . - 1 vol. (190 p.) : couv. ill. en coul.
ISBN : 978-2-84186-517-8
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Réseaux sociaux
Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:TICE (NTIC et enseignement)Mots-clés : Facebook (site web) Index. décimale : 50.2 Réseaux sociaux Résumé : Facebook, MySpace, Twitter... Les réseaux sociaux ont conquis la France à une vitesse record. Deux internautes sur trois s'y connectent régulièrement, alors que ces sites étaient encore inconnus il y a deux ans. Pas une semaine sans que les médias ne se fassent l'echo de ce succès... ou n'en rapportent les dérapages. Car par leur nature même, les réseaux sociaux mettent à mal la notion de vie privée.
Risques pour les mineurs, escroqueries, usurpations d'identité, utilisation commerciale de données privés ... Olivier Levard et Delphine Soulas révèlent les dessous de Facebook et des autres réseaux. Comment ces sites ont-ils organisé leur ascension ? Qu'est ce qui pousse les internautes à s'y mettre à nu au vu de tous. Quels sont les risques de cette nouvelle transparence ? Comment Facebook et MySpace gagnent-ils de l'argent en vendant les profils des internautes ? En interrogeant sociologues, avocats, policiers, psychanalyste, et bien sûr, les dirigeants de ces sites ainsi que ceux qui en ont été victimes, les auteurs nous dévoilent la face cachée des réseaux sociaux.Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301706 50.2 H.1.04197 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301706URLLe Film Noir / Noël Simsolo
Titre : Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-402-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort John Huston La Dame de Shanghai Orson Welles Règlement de compte Fritz Lang Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Otto Preminger Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-402-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort John Huston La Dame de Shanghai Orson Welles Règlement de compte Fritz Lang Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Otto Preminger Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302386 17 H.1.02784 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible