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Titre : Genres et mouvements au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-582661-9 Note générale : Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Genres et mouvements au cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 1 vol. (239 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-582661-9
Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300959 21 H.1.02806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300959URL Dossier pédagogique de "Genesis" / Anne Vervier
Titre : Dossier pédagogique de "Genesis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Note générale :
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Genesis" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303785 19 H.1.04340/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma / Michel Viotte
Titre : La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Viotte, Auteur Editeur : [Paris] : La Martinière Année de publication : 2013 Importance : 231 p. Présentation : ill. en coul. Format : 240 x 285 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7324-6089-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : guerre idéologie propagande studio stars histoire du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Répondant à l’appel du président Roosevelt, les studios d’Hollywood se mettent au service de l’effort de guerre. Des milliers de films sont produits. Tous servent un objectif précis : motiver l’engagement de nouvelles recrues, aider à la formation des troupes ou à l’organisation du front intérieur, dénoncer l’idéologie nazie… Les plus grandes stars masculines du moment endossent l’uniforme : Clark Gable, James Stewart ou Tyrone Power participent au combat tandis que Marlene Dietrich, Bette Davis ou Rita Hayworth se mobilisent pour collecter des fonds ou pour divertir les troupes.
En plus de 400 documents exceptionnels, cet album, qui accompagne le documentaire de Michel Viotte diffusé sur F3 puis F5, retrace cette aventure hors du commun.Pays : France Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma [texte imprimé] / Michel Viotte, Auteur . - [Paris] : La Martinière, 2013 . - 231 p. : ill. en coul. ; 240 x 285.
ISBN : 978-2-7324-6089-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : guerre idéologie propagande studio stars histoire du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Répondant à l’appel du président Roosevelt, les studios d’Hollywood se mettent au service de l’effort de guerre. Des milliers de films sont produits. Tous servent un objectif précis : motiver l’engagement de nouvelles recrues, aider à la formation des troupes ou à l’organisation du front intérieur, dénoncer l’idéologie nazie… Les plus grandes stars masculines du moment endossent l’uniforme : Clark Gable, James Stewart ou Tyrone Power participent au combat tandis que Marlene Dietrich, Bette Davis ou Rita Hayworth se mobilisent pour collecter des fonds ou pour divertir les troupes.
En plus de 400 documents exceptionnels, cet album, qui accompagne le documentaire de Michel Viotte diffusé sur F3 puis F5, retrace cette aventure hors du commun.Pays : France Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401269 17 H.1.5171 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Hollywood Pentagone : 1946-2004 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Maurice Ronai, Scénariste ; Emilio Pacull, Metteur en scène, réalisateur Editeur : [Paris] : Éd. Montparnasse éd. Année de publication : 2008 Importance : 1 DVD vidéo monoface double couche zone 2 (2 h 25 min) Présentation : n. et b. coul. (PAL), son., stéréo Note générale : Contient des images d'archives Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Cinéma et propagande Guerre mondiale (1939-1945) Guerre Aspect social Secours aux victimes de guerre États-Unis Forces armées 20e siècle 1933-1945 ARMÉE HISTOIRE DU CINÉMA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE GUERRE CENSURE CONFLIT INTERNATIONAL DÉFENSE NATIONALE DROIT D’EXPRESSION PROPAGANDE U.S.A. ART CINÉMA AIDE AUX ARTISTES HOLLYWOOD MÉTIER DU CINÉMA STONE OLIVER GUERRE DU VIETNAM STUDIO DE CINÉMA Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Opération Hollywood (1 h 30 min)
La longue collaboration entre Hollywood et le Pentagone a permis aux studios américains de produire des films aux budgets gigantesques et à l’efficacité redoutable... Retour sur une association fructueuse : connivence, échanges de bons procédés, propagande insidieuse voire censure : ce film retrace les soubresauts d’une coopération fort complexe. Illustré de nombreux extraits de films (Patton, Pearl Harbor, Top Gun, Apocalypse Now, etc.) et de témoignages de cinéastes, de militaires et de journalistes, Opération Hollywood radiographie plus de soixante ans de cinéma de guerre américain et y décrypte l’influence du Pentagone.
Let there be light (55 min)
Bouleversant témoignage sur les horreurs de la guerre, Let There Be Light fut réalisé en 1946 par John Huston alors qu'il avait rejoint le Centre Cinématographique de l’Armée Américaine. Dénonçant violemment les séquelles psychologiques subies par les soldats rescapés, il sera censuré jusqu'en 1980. Présenté à Cannes en 1981 dans la sélection Un certain regard, il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs films jamais réalisés sur les conséquences psychologiques de la guerre.Genre : Documentaire, cinéma militant Hollywood Pentagone : 1946-2004 [document projeté ou vidéo] / Maurice Ronai, Scénariste ; Emilio Pacull, Metteur en scène, réalisateur . - [Paris] : Éd. Montparnasse éd., 2008 . - 1 DVD vidéo monoface double couche zone 2 (2 h 25 min) : n. et b. coul. (PAL), son., stéréo.
Contient des images d'archives
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Cinéma et propagande Guerre mondiale (1939-1945) Guerre Aspect social Secours aux victimes de guerre États-Unis Forces armées 20e siècle 1933-1945 ARMÉE HISTOIRE DU CINÉMA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE GUERRE CENSURE CONFLIT INTERNATIONAL DÉFENSE NATIONALE DROIT D’EXPRESSION PROPAGANDE U.S.A. ART CINÉMA AIDE AUX ARTISTES HOLLYWOOD MÉTIER DU CINÉMA STONE OLIVER GUERRE DU VIETNAM STUDIO DE CINÉMA Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Opération Hollywood (1 h 30 min)
La longue collaboration entre Hollywood et le Pentagone a permis aux studios américains de produire des films aux budgets gigantesques et à l’efficacité redoutable... Retour sur une association fructueuse : connivence, échanges de bons procédés, propagande insidieuse voire censure : ce film retrace les soubresauts d’une coopération fort complexe. Illustré de nombreux extraits de films (Patton, Pearl Harbor, Top Gun, Apocalypse Now, etc.) et de témoignages de cinéastes, de militaires et de journalistes, Opération Hollywood radiographie plus de soixante ans de cinéma de guerre américain et y décrypte l’influence du Pentagone.
Let there be light (55 min)
Bouleversant témoignage sur les horreurs de la guerre, Let There Be Light fut réalisé en 1946 par John Huston alors qu'il avait rejoint le Centre Cinématographique de l’Armée Américaine. Dénonçant violemment les séquelles psychologiques subies par les soldats rescapés, il sera censuré jusqu'en 1980. Présenté à Cannes en 1981 dans la sélection Un certain regard, il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs films jamais réalisés sur les conséquences psychologiques de la guerre.Genre : Documentaire, cinéma militant Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101689 121 N.1.0908 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
101689URL Mulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
Titre : Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Aubron, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 19 H.1.03158 Note générale :
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me [texte imprimé] / Hervé Aubron, Auteur . - Crisnée [Belgique] : Yellow Now, 2006.
ISSN : 19 H.1.03158
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301752 19 H.1.03158 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le Saint contre attaque + La RKO, une aventure hollywoodienne / John Farrow
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