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188 recherche sur le mot-clé 'animation par le dessin sur pellicule'
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Cinéma d'animation sans caméra / Jacques Bourgeois
Titre : Cinéma d'animation sans caméra Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Bourgeois (1910-), Auteur Editeur : Paris : Dessain et Tolra Année de publication : 1973 Importance : 64 p.-IV f. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-249-26009-4 Langues : (xxx) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animationMots-clés : animation par le dessin sur pellicule Index. décimale : 20.5 Techniques d'animation Note de contenu : Comment sensibiliser au principe de l'animation
Vitesse de défilement des images
Désignation des techniques
Caractéristiques de la pellicule
Dessin sur film transparent
Dessin sur film voilé
Animation de sujets simples
Sonorisation des films
Collage et montage
Liste des films de Mac LarenCinéma d'animation sans caméra [texte imprimé] / Jacques Bourgeois (1910-), Auteur . - Paris : Dessain et Tolra, 1973 . - 64 p.-IV f. : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-249-26009-4
Langues : (xxx)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animationMots-clés : animation par le dessin sur pellicule Index. décimale : 20.5 Techniques d'animation Note de contenu : Comment sensibiliser au principe de l'animation
Vitesse de défilement des images
Désignation des techniques
Caractéristiques de la pellicule
Dessin sur film transparent
Dessin sur film voilé
Animation de sujets simples
Sonorisation des films
Collage et montage
Liste des films de Mac LarenExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300972 20.5 H.1.00100 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Genres et mouvements au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-582661-9 Note générale : Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Genres et mouvements au cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 1 vol. (239 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-582661-9
Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300959 21 H.1.02806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300959URL Dossier pédagogique de "Persépolis" / Carole Wrona
Titre : Dossier pédagogique de "Persépolis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Wrona, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 27 pp. Note générale : Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Persépolis" [texte imprimé] / Carole Wrona, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 27 pp.
Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302675 19 H.1.04339/10 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Pour une lecture linguistique et critique des médias : empathie, éthique, point(s) de vue / Alain Rabatel
Titre : Pour une lecture linguistique et critique des médias : empathie, éthique, point(s) de vue Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Rabatel, Auteur Editeur : Limoges [France] : Lambert - Lucas Année de publication : 2017 Importance : 520 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35935-194-1 Note générale : Sommaire disponible en ligne ici : http://www.lambert-lucas.com/IMG/pdf/tdm_rabatel5_me_dias.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Information/Journalisme:Pratiques et techniques journalistiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Problèmes juridiques, droits d'auteur, déontologie
Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Littérature:Théories du texte et de l'écriture
Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel:Audiovisuel et médias
Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel:Sémiologie et sciences du langage
Education aux médias:Ouvrages généraux:Sociologie/Interculturalisme
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : subjectivité du discours critique des médias débat politique Desintox de Libération représentation de la parole des femmes et hommes politiques dessin de presse caricature Arrêt sur images pétition féministe Index. décimale : 12 Audiovisuel et médias Résumé : Cet ouvrage propose une lecture linguistique « engagée mais non enragée » (Hannah Arendt) des médias, à la lumière des idéaux démocratiques qu’ils devraient servir. Il s’appuie sur l’analyse des points de vue, afin de rendre compte de la subjectivité des discours, y compris lorsqu’ils semblent le plus objectifs. Il analyse leur confrontation dans un cadre polyphonique, dialogique et empathique, afin de dégager les stratégies par lesquelles les médias entrent (ou non) en dialogue avec les sources et les acteurs des évènements, mesurent la relativité des opinions, des faits et des savoirs, aident à penser la complexité et le bien commun, sans verser dans le relativisme. Il revient sur la dimension éthique des discours des médias, au-delà du respect de la déontologie. Enfin, il propose une étude renouvelée des postures des journalistes ainsi que des phénomènes de prise en charge et de responsabilité énonciatives.
De nombreuses études de cas – interviews, enquêtes, reportages, portraits, hyperstructures – analysent les mécanismes et effets du rewriting des dépêches d’agence, du fact-checking, de l’implicite, du persiflage, des caricatures, des phénomènes d’invisibilité et de naturalisation. Elles renouvellent les problématiques touchant aux relations entre médias et critique des médias, à la place des émotions dans les représentations, aux nouvelles formes de citation, de montage et à leur fonction de preuve.Genre : Essai Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Pour une lecture linguistique et critique des médias : empathie, éthique, point(s) de vue [texte imprimé] / Alain Rabatel, Auteur . - Limoges [France] : Lambert - Lucas, 2017 . - 520 p.
ISBN : 978-2-35935-194-1
Sommaire disponible en ligne ici : http://www.lambert-lucas.com/IMG/pdf/tdm_rabatel5_me_dias.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Information/Journalisme:Problèmes juridiques, droits d'auteur, déontologie
Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Littérature:Théories du texte et de l'écriture
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Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel:Sémiologie et sciences du langage
Education aux médias:Ouvrages généraux:Sociologie/Interculturalisme
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : subjectivité du discours critique des médias débat politique Desintox de Libération représentation de la parole des femmes et hommes politiques dessin de presse caricature Arrêt sur images pétition féministe Index. décimale : 12 Audiovisuel et médias Résumé : Cet ouvrage propose une lecture linguistique « engagée mais non enragée » (Hannah Arendt) des médias, à la lumière des idéaux démocratiques qu’ils devraient servir. Il s’appuie sur l’analyse des points de vue, afin de rendre compte de la subjectivité des discours, y compris lorsqu’ils semblent le plus objectifs. Il analyse leur confrontation dans un cadre polyphonique, dialogique et empathique, afin de dégager les stratégies par lesquelles les médias entrent (ou non) en dialogue avec les sources et les acteurs des évènements, mesurent la relativité des opinions, des faits et des savoirs, aident à penser la complexité et le bien commun, sans verser dans le relativisme. Il revient sur la dimension éthique des discours des médias, au-delà du respect de la déontologie. Enfin, il propose une étude renouvelée des postures des journalistes ainsi que des phénomènes de prise en charge et de responsabilité énonciatives.
De nombreuses études de cas – interviews, enquêtes, reportages, portraits, hyperstructures – analysent les mécanismes et effets du rewriting des dépêches d’agence, du fact-checking, de l’implicite, du persiflage, des caricatures, des phénomènes d’invisibilité et de naturalisation. Elles renouvellent les problématiques touchant aux relations entre médias et critique des médias, à la place des émotions dans les représentations, aux nouvelles formes de citation, de montage et à leur fonction de preuve.Genre : Essai Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305170 12 H.1.5117 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Alfred Hitchcock Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 25 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-521-0 Note générale : Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Alfred Hitchcock [texte imprimé] / Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 25) .
ISBN : 978-2-86642-521-0
Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Exemplaires (1)
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