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Titre : Le cinéma d'animation Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Isabelle Bony, ; Anne Huet, Instigateur ; Jean-Pierre Lemouland, Instigateur Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 2005 Collection : L'Eden CINEMA Importance : 2 DVD vidéo, 205 min ; 1 livret, 47 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-01593-8 Prix : 35,00 Euros Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma d'animation
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : école primaire;collège;lycée;collège;cinéma et audiovisuel;éducation artistique et culturelle;cinéma;film d'animation;dessin animé Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : DVD 1 : 30 films (extraits ou totalité) dans un menu principal classés par : genres, thèmes, techniques, histoire, lumière et film entier. En sélectionnant une de ces entrées, on peut visionner un enchaînement de films et d'extraits qui illustre le propos. DVD2 : quatre bonus courts (un atelier avec des enfants, une explication du processus du cinéma d'animation, une fabrication de petits films d'animations avec des techniques différentes, une démo professionnelle avec la présentation du matériel nécessaire pour concevoir des films d'animation en classe), quatre jeux pour découvrir comment s'est construit ce qui nous apparaît évident à l'écran : la décomposition du mouvement, la valeur du son dans le film (synchronisation entre dialogue et image et entre musique et image), et la reconstitution du décor d'une séquence, un portfolio qui permet d'illustrer les différents aspects de ce cinéma et d'approcher concrètement les gestes de la création. Le livret d'accompagnement propose un article sur le cinéma d'animation (1892-2004), les fiches techniques des films, les différentes entrées avec les films d'illustration, la présentation des bonus, les descriptifs et buts des quatre jeux, les miniatures du portfolio. Le cinéma d'animation [document projeté ou vidéo] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Isabelle Bony, ; Anne Huet, Instigateur ; Jean-Pierre Lemouland, Instigateur . - Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005 . - 2 DVD vidéo, 205 min ; 1 livret, 47 p.. - (L'Eden CINEMA) .
ISBN : 978-2-240-01593-8 : 35,00 Euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma d'animation
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : école primaire;collège;lycée;collège;cinéma et audiovisuel;éducation artistique et culturelle;cinéma;film d'animation;dessin animé Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : DVD 1 : 30 films (extraits ou totalité) dans un menu principal classés par : genres, thèmes, techniques, histoire, lumière et film entier. En sélectionnant une de ces entrées, on peut visionner un enchaînement de films et d'extraits qui illustre le propos. DVD2 : quatre bonus courts (un atelier avec des enfants, une explication du processus du cinéma d'animation, une fabrication de petits films d'animations avec des techniques différentes, une démo professionnelle avec la présentation du matériel nécessaire pour concevoir des films d'animation en classe), quatre jeux pour découvrir comment s'est construit ce qui nous apparaît évident à l'écran : la décomposition du mouvement, la valeur du son dans le film (synchronisation entre dialogue et image et entre musique et image), et la reconstitution du décor d'une séquence, un portfolio qui permet d'illustrer les différents aspects de ce cinéma et d'approcher concrètement les gestes de la création. Le livret d'accompagnement propose un article sur le cinéma d'animation (1892-2004), les fiches techniques des films, les différentes entrées avec les films d'illustration, la présentation des bonus, les descriptifs et buts des quatre jeux, les miniatures du portfolio. Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100172 121 N.1.0773 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 100813 121 N.1.0773 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100172.jpgImage Jpeg
Titre : Cinémas d'Afrique Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : CNDP, Auteur Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Année de publication : 2001 Collection : L'Eden CINEMA Importance : 1 dvd + 1 livret Présentation : 154 min ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-00751-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : école primaire;collège;lycée;collège;cinéma et audiovisuel;éducation artistique et culturelle;cinéma;film d'animation;dessin animé Index. décimale : 121 Education aux médias Note de contenu : Ce DVD contient un long métrage "La petite vendeuse de soleil" de Mambety - 3 films "Rabi" de
Gaston Kaboré, "A nous la rue" de Mustapha Dao et "Le clandestin" de José Zéka laplaine ; 1
documentaire concernant les griots, 1 port folio concernant des oeuvres d'art et d'artisanat africain.
Cinémas d'Afrique [document projeté ou vidéo] / CNDP, Auteur . - Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2001 . - 1 dvd + 1 livret : 154 min. - (L'Eden CINEMA) .
ISBN : 978-2-240-00751-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : école primaire;collège;lycée;collège;cinéma et audiovisuel;éducation artistique et culturelle;cinéma;film d'animation;dessin animé Index. décimale : 121 Education aux médias Note de contenu : Ce DVD contient un long métrage "La petite vendeuse de soleil" de Mambety - 3 films "Rabi" de
Gaston Kaboré, "A nous la rue" de Mustapha Dao et "Le clandestin" de José Zéka laplaine ; 1
documentaire concernant les griots, 1 port folio concernant des oeuvres d'art et d'artisanat africain.
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100724 121 N.1.0411 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 101496 121 N.1.0411 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
101496URL Dossier pédagogique de "Persépolis" / Carole Wrona
Titre : Dossier pédagogique de "Persépolis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Wrona, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 27 pp. Note générale : Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Persépolis" [texte imprimé] / Carole Wrona, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 27 pp.
Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi.
Présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes 2007, le film y a obtenu le prix du jury ex æquo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas. La république islamique d'Iran s'est inquiétée de la sélection de ce film présentant ce qu'elle estime être « un tableau irréel des conséquences et des réussites de la révolution islamique » et en a diffusé une version censurée. Le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2007. Persepolis fut également interdit de diffusion au Liban fin mars 2008 durant un temps, avant que la polémique nationale n'aboutisse à la levée de cette interdiction.
Suite à la diffusion du film en Tunisie le 9 octobre 2011, environ 200 salafistes ont tenté de brûler l'immeuble qu'occupe la chaîne de télévision Nessma avant de s'attaquer au domicile de son PDG, Nabil Karoui, quelques jours plus tard. Toutefois une manipulation en provenance des services de sécurité en cette période de campagne électorale n'est pas à exclure.
Programmé à la Cinémathèque de Tanger qui accueille les 25 ans de la Fondation Groupama Gan pour le cinéma, un festival de grande qualité, "Persepolis" avait reçu le visa d’exploitation du Centre cinématographique marocain (CCM) – équivalent du CNC français – et devait être projeté à trois reprises en juillet 2012. Toutefois, et sans la moindre explication, la Cinémathèque de Tanger a annulé les projections prévues du film de Marjane Satrapi, le long-métrage est remplacé par « Séminaire du manifeste des voleurs » et « Une vie de chat ». Le film a disparu du site internet de la Cinémathèque de Tanger.
Distinctions :
* 2007 : Prix spécial du jury du Festival de Cannes 2007 (ex-aequo avec Lumière silencieuse de Carlos Reygadas)
* 2007 : Sélection officielle pour la Palme d'or
* 2007 : Prix spécial du jury au Cinemanila International Film Festival
* 2008 : Prix des auditeurs de l'émission radiophonique Masque et la Plume
* 2008 : Meilleur premier film lors de la cérémonie des Césars 2008
* 2008 : César de la Meilleure adaptation lors de la cérémonie des Césars 2008.
* 2008 : Nommé aux Oscars du cinéma 2008 dans la catégorie meilleur film d'animation (mais l'oscar est remporté par le film Ratatouille).
* 2008 : Palme dog (ex-aequo) pour le chien Yuki.
* 2008 : Globes de Cristal meilleur film
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Persepolis Vincent Paronnaud Marjane Satrapi Sylvie Peyrucq Xavier Rigault Marc-Antoine Robert Marisa Musy Olivier Bernet Stéphane Roche Chiara Mastroianni Catherine Deneuve Danielle Darrieux Simon Abkarian Gabrielle Lopes Benites François Jerosme Tilly Mandelbrot Sean Penn Gena Rowlands Iggy Pop Cinéma animation Dessin animé Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Téhéran, 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence.
Note de contenu :
Interdit par le régime des mollahs en Iran et stupidement censuré au Liban où il s’achète sous le manteau pour 2$, le film d’animation « Persépolis » de Marjane Satrapi perpétue ainsi l’histoire qu’il raconte, celle de l’universalité du comportement des êtres en situation de crise.
Comment expliquer un tel succès pour un film d’animation et autobiographique qui raconte l’histoire de Marjane, de petite fille à femme, plongée au cœur des crises qui ont secoué la lointaine et étrangère Iran ? Probablement par cette volonté d’universalité voulue par Marjane Satrapi « le dessin, par son côté abstrait, rend le propos universel » déclare-t-elle avant d’ajouter sans ambages « l’image réelle aurait donné un côté film de bougnoules.» En désincarnant les personnages, en évitant soigneusement le pathos de l’horreur, elle nous fait ainsi grâce de nos propres turpitudes : sans image typée, chacun peut reconnaître une part de lui-même dans Persépolis.
Universel également car c’est du particulier, de la singularité que nait l’universalité. L’anecdote vaut ici mille exposés savants qui s’égareraient dans les limbes anecdotiques. Et cette histoire universelle qui nous est conté est celle du choix en situation de crise. Car malgré les bombardements et le million de morts de la guerre Irak - Iran, malgré l’enfermement idéologique imposé par les mollahs, malgré le carcan des gardiens de la révolution, malgré la dépression qui étouffe un temps Marjane, les personnages du film se glissent dans chaque espace de liberté vacant, profitant du moindre souffle de vie. Universel, encore, grâce à la grand-mère, personnage attachant et tellement libre qu’il bouscule les conventions européennes qui nous semblent subitement moralisantes. Pour cette grand-mère, rien n’est grave sinon la mort et lorsque Marjane lui annonce en pleurs qu’elle va divorcer, la réponse de l’Iranienne est cinglante pour le convenu « ce n’est que ça ? » Car les crises nous apparaissent ici comme autant de conventions, d’arbitrages entre volonté et réalité. C’est ainsi que lors d’un long séjour à Vienne à l’abri des bombes, Marjane perd sa liberté en s’enfermant dans la mémoire d’une trahison amoureuse. Il lui faudra paradoxalement retourner en Iran pour retrouver son libre arbitre, même si le film permet de mesurer la force et le courage nécessaire pour regagner cette liberté. Car Persépolis nous rappelle que la liberté n’est pas uniquement le fait d’espaces, mais le fruit de la volonté. C’est ainsi que les personnages européens, une bande de punks, semblent ne plus savoir quoi faire de la liberté qui leur est accordée, se compromettent dans des superficialités qui deviennent autant de prisons : pour l’auteur, ce n’est pas le monde qui fait obstacle à la liberté, ni même la pesanteur du destin, mais soi. Mais ce film qui est tout sauf moraliste donne une limite à cette liberté : l’intégrité. C’est ainsi qu’ayant dénoncé un inconnu pour échapper aux gardiens de la révolution, Marjane se trouve face à sa grand-mère en rage qui lui rappelle toute l’importance de l’intégrité. Marjane qui se défend « Je n’avais pas le choix…» reçoit pour réponse définitive « On a toujours le choix ! »
Universel, aussi, lorsque le film ridiculise l’autorité des mollahs et les gardiens de la morale islamique. Sur ce plan les moralistes autoritaires de tous poils, que l’on voit resurgir au détour des crises, peuvent retourner dans le placard qu’ils n’auraient jamais du quitter. Car l’autorité nous est montrée sous le visage de l’absurdité la plus cruelle et Persépolis nous rappelle que la morale d’Etat, fait du roi, confine forcément au ridicule. C’est ainsi qu’il nous est narré que faute de pouvoir tuer une vierge, il est d’usage de la marier de force afin de l’exécuter ensuite : ainsi l’autorité peut s’exercer tout en sauvegardant la morale. Et l’auteur de s’en emparer pour les tourner en dérision. Les mollahs et autres gardiens de la morale ont le pouvoir de faire régner la terreur et de tuer ? Qu’importe, Marjane les résume pour mieux les réduire à leur sombre condition : « Des cons. »
Universel enfin, car Persépolis nous rappelle que toute crise, même la plus épouvantable, révèle une part d’opportunité. Ici Marjane, devenue femme, décide de s’approprier la crise pour en sortir grandie. L’instant est important. Il est symbolisé par une promesse faîte sur la tombe de son oncle « Je serai intègre. » Et Marjane Satrapi, l’auteur, de faire de cette crise le prétexte de Persépolis, devenu déjà un classique, qui nous permet à chacun de grandir. Persépolis n’est pas un film, c’est un accomplissement. Résilience oblige.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302675 19 H.1.04339/10 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Genres et mouvements au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-582661-9 Note générale : Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Genres et mouvements au cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 1 vol. (239 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-582661-9
Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300959 21 H.1.02806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300959URL Le langage cinématographique en bande dessinée / Manuel Kolp
Titre : Le langage cinématographique en bande dessinée Type de document : texte imprimé Auteurs : Manuel Kolp, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Presses Universitaires de Bruxelles (PUB) Année de publication : 1992 Importance : 1 vol. (177 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8004-1073-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : Bande dessinée et cinéma adaptation d'oeuvres cinématographiques Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Si la bande dessinée est loin d'être un "cinéma de pauvre", le fossé entre les deux modes de récit est moins profond qu'on a voulu le faire croire. La nouveauté du présent ouvrage est précisément de systématiser le parallèle entre le langage du 7e art et du 9e art. De "Totor" à "Tintin", de "Corto Maltese" à "Buddy Longway", de "V pour Vendetta" aux "Gardiens", l'analyse met en regard de ces cases et planches, des exemples précis puisés dans le cinéma de Lumière, Griffith, Chaplin, Eisenstein, Welles, Hitchcock,...
Découvrir la bande dessinée sous l'objectif cinématographique met en lumière plus d'une de ses facettes. La BD recrée la syntaxe et les effets cinématographiques, transpose les mouvements d'appareil, déplace l'illusion du mouvement, s'inspire avec intelligence du cinéma sans jamais le plagier de manière vulgaire.Le langage cinématographique en bande dessinée [texte imprimé] / Manuel Kolp, Auteur . - Bruxelles [Belgique] : Presses Universitaires de Bruxelles (PUB), 1992 . - 1 vol. (177 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-8004-1073-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...)Mots-clés : Bande dessinée et cinéma adaptation d'oeuvres cinématographiques Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Si la bande dessinée est loin d'être un "cinéma de pauvre", le fossé entre les deux modes de récit est moins profond qu'on a voulu le faire croire. La nouveauté du présent ouvrage est précisément de systématiser le parallèle entre le langage du 7e art et du 9e art. De "Totor" à "Tintin", de "Corto Maltese" à "Buddy Longway", de "V pour Vendetta" aux "Gardiens", l'analyse met en regard de ces cases et planches, des exemples précis puisés dans le cinéma de Lumière, Griffith, Chaplin, Eisenstein, Welles, Hitchcock,...
Découvrir la bande dessinée sous l'objectif cinématographique met en lumière plus d'une de ses facettes. La BD recrée la syntaxe et les effets cinématographiques, transpose les mouvements d'appareil, déplace l'illusion du mouvement, s'inspire avec intelligence du cinéma sans jamais le plagier de manière vulgaire.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301950 21.2 H.1.00607 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Permalink200 mots-clés de la théorie du cinéma / André Gardies
PermalinkPermalink3 films de Joachim Lafosse / Joachim Lafosse
PermalinkPermalinkPermalinkPermalink50 ans - 50 films vol.2 DVD 1 / Olivier Langlois
Permalink50 ans - 50 films vol.2 DVD 2 / Anne Lévy-Morelle
Permalink50 ans - 50 films vol.3 DVD 1 / Claude Waringo
Permalink50 ans - 50 films vol.3 DVD 2 / Damien De Pierpont
Permalink556 - Avril 2001 - 50 ans - Numéro anniversaire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkAbbas Kiarostami / Alain Bergala
PermalinkPermalinkPermalinkL'adaptation / Frédéric Sabouraud
PermalinkL'adaptation cinématographique et littéraire / Jeanne-Marie Clerc
PermalinkL'adaptation cinématographique des textes littéraires / Michel Serceau
PermalinkPermalinkAdaptations cinématographiques d'oeuvres littéraires / Françoise Demougin
PermalinkPermalinkL'âge de raison. Le cinéma des frères Dardenne / Alain Marcoen
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
PermalinkPermalinkAnalyse de l'image / Laurent Aknin
PermalinkL'analyse de séquences / Laurent Jullier
PermalinkAndré Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
PermalinkAndrzej Wajda / Hadelin Trinon
PermalinkPermalink614 - Juillet-août 2006 - Années Hollywood, du neuf dans le système. Tournage avec Oliveira sur la trace de Bunuel. Réplique: dessiner Hiroshima. Kitano déchire. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkAnthologie du cinéma / Jacques G. Perret
Permalink470 - Juillet-Août 1993 - Anthony Mann: la fièvre du western. Etnretien avec un personnage: Fabrice Luchini. Doillon filme Higelin: rencontre avec le chanteur. Jim Harrison: un écrivain au cinéma (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkAntonioni / Roger Tailleur
PermalinkPermalink558 - Juin 2001 - Apocalypses : le cinéma s'en va en guerre (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkApproche du scénario / dominique Parent-Altier
PermalinkD'après Simenon / Claude Gauteur
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'art du film / David Bordwell
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