Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
857 recherche sur le mot-clé 'cin%E9ma fantastique fran%E7ais'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
209 - Mai 1976 - Cinéma 209 - Le cinéma fantastique : Sadoul, Bulgarie, Hongrie (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
Titre : 209 - Mai 1976 - Cinéma 209 - Le cinéma fantastique : Sadoul, Bulgarie, Hongrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication Année de publication : 1976 Importance : 1 vol. (160 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma fantastique Georges Sadoul cinéma bulgare cinéma français Serge Gainsbourg Alain Corneau Résumé : SIMON Jean-Daniel
(entretien)
Ciné-clubs - Cinéma non commercial
Des mutations bénéfiques (cinéma & société)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Gloria mundi
(autre)
Auteur : GRANT Jacques
Hongrie
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BROSSARD Jean-Pierre
Hongrie
à propos de : Requiem pour un révolutionnaire
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Fils du feu
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Identification
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Phrase inachevée (La)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Jeunesse rêveuse
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Chute de neige
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Yeux bandés (Les)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Étincelantes (Les)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Lâche ma barbe !
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Visages inconnus
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Quand Joseph revient
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Labyrinthe
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Attente (L')
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Lièvre au paprika
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Où êtes-vous Madame Déry ?
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Village hongrois (Un)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Histoire simple (Une)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Grande-Bretagne
Lettre de Londres - Films français : connais pas (cinémas nationaux ou genre)
Cinéma fantastique
Dracula prend le mors aux dents (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : FARREN Jonathan
BAKER Roy Ward
(filmographie)
CASTLE William
(filmographie)
MARGHERITI Antonio
(filmographie)
FISHER Terence
(filmographie)
FRANCIS Freddie
(filmographie)
SANGSTER Jimmy
(filmographie)
FUEST Robert
(filmographie)
GRAU Jorge
(filmographie)
HESSLER Gordon
(filmographie)
HOVEN Adrian
(filmographie)
DE OSSORIO Amando
(filmographie)
MARTIN Eugenio
(filmographie)
WEEKS Stephen
(filmographie)
ARGENTO Dario
(filmographie)
BUÑUEL Juan-Luis
(filmographie)
HARRINGTON Curtis
(filmographie)
SADOUL Georges
Georges Sadoul, le cinéma et son histoire (autre)
Auteur : ASTRE Georges-Albert
SADOUL Georges
Georges Sadoul et sa méthode (autre)
Auteur : CERVONI Albert
SADOUL Georges
Je dois beaucoup à Georges Sadoul (autre)
Auteur : MITRY Jean
Bulgarie
Regards sur le cinéma bulgare (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : STOYANOVITCH Ivan
France
Offensive anti-naturaliste à Saint-Raphaël (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRANT Jacques
France
Images d'en France (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
France
L'alibi réaliste ou La grande imposture (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GAVARD-PERRET Jean-Paul
Histoire d'un péché
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Fleurs du miel (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Je t'aime moi non plus
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
GAINSBOURG Serge
à propos de : Je t'aime moi non plus
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Femme sous influence (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Plein de super (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Homme qui voulut être roi (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Dernière femme (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Silence des organes (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Monsieur Albert
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Homebodies
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Nouvelle route de l'opium (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Chemins de la drogue, les champignons du diable (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Œufs brouillés (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Police python 357
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CORNEAU Alain
à propos de : Police python 357
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
Dents de la mer (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : PAÏNI Dominique
TREILHOU Marie-Claude
à propos de : Avec le sang des autres
(texte de la personnalité)
Lumière
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Mahogany
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Jamais plus toujours
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Olivier (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Oublie-moi Mandoline
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
D'amour et d'eau fraîche
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Alpagueur (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Lisztomania
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Kung fu, la violence au cinéma (Verina Glaessner) (livre)
Auteur : FARREN Jonathan
Acteurs
Têtes d'affiche (André Reybaz) (livre)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
FRESNAY Pierre
Pierre Fresnay (Pierre Fresnay et François Possot) (livre)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
GARLAND Judy
Judy (Gerold Frank) (livre)
Auteur : COHEN Georges
Courrier
Dialogue avec les lecteurs (autre)
FASSBINDER Rainer Werner
(courrier)
Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 209 - Mai 1976 - Cinéma 209 - Le cinéma fantastique : Sadoul, Bulgarie, Hongrie [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication . - 1976 . - 1 vol. (160 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma fantastique Georges Sadoul cinéma bulgare cinéma français Serge Gainsbourg Alain Corneau Résumé : SIMON Jean-Daniel
(entretien)
Ciné-clubs - Cinéma non commercial
Des mutations bénéfiques (cinéma & société)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Gloria mundi
(autre)
Auteur : GRANT Jacques
Hongrie
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BROSSARD Jean-Pierre
Hongrie
à propos de : Requiem pour un révolutionnaire
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Fils du feu
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Identification
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Phrase inachevée (La)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Jeunesse rêveuse
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Chute de neige
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Yeux bandés (Les)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Étincelantes (Les)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Lâche ma barbe !
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Visages inconnus
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Quand Joseph revient
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Labyrinthe
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Attente (L')
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Lièvre au paprika
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Où êtes-vous Madame Déry ?
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Village hongrois (Un)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Hongrie
à propos de : Histoire simple (Une)
Le cinéma hongrois et son public (cinémas nationaux ou genre)
Grande-Bretagne
Lettre de Londres - Films français : connais pas (cinémas nationaux ou genre)
Cinéma fantastique
Dracula prend le mors aux dents (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : FARREN Jonathan
BAKER Roy Ward
(filmographie)
CASTLE William
(filmographie)
MARGHERITI Antonio
(filmographie)
FISHER Terence
(filmographie)
FRANCIS Freddie
(filmographie)
SANGSTER Jimmy
(filmographie)
FUEST Robert
(filmographie)
GRAU Jorge
(filmographie)
HESSLER Gordon
(filmographie)
HOVEN Adrian
(filmographie)
DE OSSORIO Amando
(filmographie)
MARTIN Eugenio
(filmographie)
WEEKS Stephen
(filmographie)
ARGENTO Dario
(filmographie)
BUÑUEL Juan-Luis
(filmographie)
HARRINGTON Curtis
(filmographie)
SADOUL Georges
Georges Sadoul, le cinéma et son histoire (autre)
Auteur : ASTRE Georges-Albert
SADOUL Georges
Georges Sadoul et sa méthode (autre)
Auteur : CERVONI Albert
SADOUL Georges
Je dois beaucoup à Georges Sadoul (autre)
Auteur : MITRY Jean
Bulgarie
Regards sur le cinéma bulgare (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : STOYANOVITCH Ivan
France
Offensive anti-naturaliste à Saint-Raphaël (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRANT Jacques
France
Images d'en France (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
France
L'alibi réaliste ou La grande imposture (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GAVARD-PERRET Jean-Paul
Histoire d'un péché
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Fleurs du miel (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Je t'aime moi non plus
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
GAINSBOURG Serge
à propos de : Je t'aime moi non plus
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Femme sous influence (Une)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Plein de super (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Homme qui voulut être roi (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Dernière femme (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Silence des organes (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Monsieur Albert
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Homebodies
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Nouvelle route de l'opium (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Chemins de la drogue, les champignons du diable (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Œufs brouillés (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Police python 357
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
CORNEAU Alain
à propos de : Police python 357
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
Dents de la mer (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : PAÏNI Dominique
TREILHOU Marie-Claude
à propos de : Avec le sang des autres
(texte de la personnalité)
Lumière
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Mahogany
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Jamais plus toujours
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Olivier (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : FROT-COUTAZ Gérard
Oublie-moi Mandoline
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
D'amour et d'eau fraîche
(critique, article sur un film)
Auteur : HOUDAYER Michel
Alpagueur (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Lisztomania
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Kung fu, la violence au cinéma (Verina Glaessner) (livre)
Auteur : FARREN Jonathan
Acteurs
Têtes d'affiche (André Reybaz) (livre)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
FRESNAY Pierre
Pierre Fresnay (Pierre Fresnay et François Possot) (livre)
Auteur : VERBRAEKEN Pierre
GARLAND Judy
Judy (Gerold Frank) (livre)
Auteur : COHEN Georges
Courrier
Dialogue avec les lecteurs (autre)
FASSBINDER Rainer Werner
(courrier)
Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400898 209 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
Titre : Les visiteurs du soir Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marcel Carné, Metteur en scène, réalisateur Editeur : M6 Vidéo Année de publication : 1942 Importance : 1 DVD Présentation : 120 min Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : cinéma fantastique français Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : En ce joli mois de mai 1485, le baron Hugues célèbre en son château les fiançailles de sa fille Anne avec le Chevalier Renaud. Soudain, arrivent deux ménestrels dont l'art est de chanter l'amour et ses jeux cruels et tendres. Mais si Gilles et Dominique chantent si bien l'amour, c'est pour mieux le tourner en dérision. Fidèles serviteurs du Diable, leur sort sur la terre est de troubler les amours des humains. Et c'est pourquoi Gilles réussit à séduire Anne cependant que Dominique gagne les hommages du chevalier Renaud et du baron Hugues. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Les visiteurs du soir [document projeté ou vidéo] / Marcel Carné, Metteur en scène, réalisateur . - M6 Vidéo, 1942 . - 1 DVD : 120 min.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : cinéma fantastique français Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : En ce joli mois de mai 1485, le baron Hugues célèbre en son château les fiançailles de sa fille Anne avec le Chevalier Renaud. Soudain, arrivent deux ménestrels dont l'art est de chanter l'amour et ses jeux cruels et tendres. Mais si Gilles et Dominique chantent si bien l'amour, c'est pour mieux le tourner en dérision. Fidèles serviteurs du Diable, leur sort sur la terre est de troubler les amours des humains. Et c'est pourquoi Gilles réussit à séduire Anne cependant que Dominique gagne les hommages du chevalier Renaud et du baron Hugues. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104343 92.1 N.1.1282 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102468URL 556 - Avril 2001 - 50 ans - Numéro anniversaire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 556 - Avril 2001 - 50 ans - Numéro anniversaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : cinéma brésilien François Ozon Derrida L'utopie télévisée de Roberto Rossellini [n° ou bulletin] 556 - Avril 2001 - 50 ans - Numéro anniversaire [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cinéma brésilien François Ozon Derrida L'utopie télévisée de Roberto Rossellini Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400695 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
Accompagne
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - Editions du Céfal, 2007.
Accompagne
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible André Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
Titre : André Delvaux ou le réalisme magique Type de document : texte imprimé Auteurs : Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée Editeur : Editions du Cerf Année de publication : 2006 Autre Editeur : Editions Corlet Collection : 7e ART ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08065-1 Note générale : André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. André Delvaux ou le réalisme magique [texte imprimé] / Adolphe Nysenholc, Auteur ; André Delvaux, Personne honorée . - Editions du Cerf : Editions Corlet, 2006. - (7e ART) .
ISBN : 978-2-204-08065-1
André, Albert, Auguste, baron Delvaux, né le 21 mars 1926 à Heverlee et décédé le 4 octobre 2002 à Valence en Espagne, est un cinéaste belge, le symbole du cinéma belge moderne.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Cinéma belge Forges Nous étions treize Cinéma bonjour ! Two Summer Days La Planète fauve Yves boit du lait Fellini Jean Rouch Le Temps des écoliers Cinéma polonais L'Homme au crâne rasé De Man die zijn haar kort liet knippen Johan Daisne Derrière l'écran Achter het scherm Un soir un train Yves Montand Anouk Aimée François Beukelaers De trein der traagheid Interprètes Rendez-vous à Bray Belle Met Dieric Bouts Dieric Bouts Femme entre chien et loup Een Vrouw tussen hond en wolf To Woody Allen From Europe With Love Benvenuta Vittorio Gassman Fanny Ardant Françoise Fabian Mathieu Carrière Suzanne Lilar La Confession Anonyme Babel Opera Ou La Repetition De Don Juan L'Œuvre au noir Marguerite Yourcenar 1001 films Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Définir le réalisme magique d'André Delvaux (1926-2002), c'est d'abord montrer comment ce martre de l'adaptation cinématographique d'œuvres littéraires est devenu un auteur de films énigmatiques, de L'homme au crâne rasé à L'oeuvre au noir en passant, entre autres, par Rendez-vous à Bray, Belle, Femme entre chien et loup ou Senvenuta. Si Delvaux s'inscrit d'emblée dans la modernité, c'est avec un cinéma du doute. Faux coupables, ses héros recherchent l'innocence à travers un parcours initiatique qui les laissera perplexes. Puisant dans sa belgitude, faite de latinité et de germanité, ce grand imagier, également musicien, saura nous livrer, sur plus d'une vingtaine d'années, une œuvre ouverte à l'inquiétante étrangeté. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302095 18 H.1.02850 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkPermalinkL'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
PermalinkL'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
PermalinkL'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
Permalink473 - Novembre 1993 - Le cas Ferrara: entretien. Jeunesse du cinéma français: les acteurs et les cinéastes. Claude Chabrol écrit, tourne et monte L'Enfer. Contre Germinal. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkPermalinkChris Marker / Bamchade Pourvali
PermalinkPermalink163 - Février 1972 - Cinéma 163 - Spécial cinéma français (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
Permalink20 - Juillet-août 1957 - Cinéma 20 - Le fantastique (Bulletin de Cinéma) / Pierre Billard
Permalink208 - Avril 1976 - Cinéma 208 - Spécial cinéma chinois (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
Permalink212/213 - Août-septembre 1976 - Cinéma 212/213 - Spécial cinéma français (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
Permalink88 - Juillet-août 1964 - Cinéma 88 - Spécial : 10 ans de cinéma français (Bulletin de Cinéma) / Pierre Billard
PermalinkLe cinéma et l'argent / Laurent Creton
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkCinq fictions de la CNT 1936-1938 DVD 2 : Nuestro culpable, Nosotros somos asi, Aurora de esperanza / Collectif
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkDossier pédagogique de "Bamako" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
PermalinkDossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
PermalinkDossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
PermalinkDossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" / Susana Arbizu
PermalinkDossier pédagogique de "Genesis" / Anne Vervier
PermalinkDossier pédagogique de "Le guépard" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
PermalinkDossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
PermalinkDossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
PermalinkDossier pédagogique de "Persépolis" / Carole Wrona
PermalinkDossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
PermalinkDossier pédagogique de "Pickpocket" (1959) / Cyril Beghin
PermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
PermalinkDossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
PermalinkDossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) / Anne Marquez
PermalinkDossier pédagogique de "We feed the world" / Frédérique Omer
PermalinkPermalink