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728 recherche sur le mot-clé 'cinéma des 60's'
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[n° ou bulletin]
Titre : 705 - Novembre 2014 - Quand le cinéma était pychédélique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Importance : 98 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma des années 60 cinéma des 60's cinéma des années 70 cinéma des 70's Nouvel Hollywood cinéma américain Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Note de contenu : Édito
Délirer par Stéphane Delorme
Événement
Love is Strange d’Ira Sachs
Vers le soleil par Nicholas Elliott
L’héritage sentimental entretien avec Ira Sachs
Une histoire commune entretien avec John Lithgow
Cahier critique
Et maintenant ? de Joaquim Pinto
Politique du virus entretien avec Joaquim Pinto
L’Incomprise d’Asia Argento
L’enfant éternel entretien avec Asia Argento
Cavalier Express d’Alain Cavalier
Mercuriales de Virgil Vernier
A Cappella de Lee Sujin
Eden de Mia Hansen-Løve
Notes sur d’autres films : A Girl at My Door / Atlas / Chemin de croix / De l’autre côté du mur / Fils de / FLA / Historia del miedo / In the Family / La prochaine fois je viserai le cœur / Paradise Lost / Que ta joie demeure / Qui vive / The Search / Un illustre inconnu / Vers Madrid - The Burning Bright ! / Vie sauvage
Journal
Rencontre : Lausanne, et cætera
Exposition : François Truffaut par écrit
Découverte : Khady Sylla, le "tiers-œil"
Festival : Au FIFI de Bordeaux
Festival : New York hausse le niveau
Hommage : Peter von Bagh, l’homme-cinéma
Rétrospective : Guy Gilles, absences répétées
Reprise : Wings : sauvés dans les airs
Notes DVD : Nomads / Coffret Max Linder
Rétrospective : Dorothy Arzner vous regarde
Notes livres : Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive / Cinéma expérimental - Abécédaire pour une contre-culture
News internationales, disparitions
Cinéma retrouvé
Les Croix de bois de Raymond Bernard
Tandis qu’ils agonisent par Jean-Philippe Tessé
Document : le scénario des Croix de bois
Dossier
Le psychédélisme
Quand le cinéma était psychédélique par Stéphane Delorme
Expansion du vortex par Cyril Béghin
Massacre à la tronçonneuse : Soleil noir par Vincent Malausa
"Le monde pouvait toucher à sa fin" entretien avec Tobe Hooper
Werner Herzog : vers d’autres ciels par Joachim Lepastier
Insolation et Acid Giallo par Stéphane du Mesnildot
La recherche de l’ailleurs - la playlist d’Étienne Jaumet (Zombie Zombie)
Frise psychédélique : 1966-1983
Épilogue : où est passé le psychédélisme ?
Entretien
Sorcerer de William Friedkin
Comme un rêve éveillé entretien avec William Friedkin
The End
Alix Cléo Roubaud, ce qui aura été par Nicolas Azalbert[n° ou bulletin] 705 - Novembre 2014 - Quand le cinéma était pychédélique [texte imprimé] . - 2014 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma des années 60 cinéma des 60's cinéma des années 70 cinéma des 70's Nouvel Hollywood cinéma américain Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Note de contenu : Édito
Délirer par Stéphane Delorme
Événement
Love is Strange d’Ira Sachs
Vers le soleil par Nicholas Elliott
L’héritage sentimental entretien avec Ira Sachs
Une histoire commune entretien avec John Lithgow
Cahier critique
Et maintenant ? de Joaquim Pinto
Politique du virus entretien avec Joaquim Pinto
L’Incomprise d’Asia Argento
L’enfant éternel entretien avec Asia Argento
Cavalier Express d’Alain Cavalier
Mercuriales de Virgil Vernier
A Cappella de Lee Sujin
Eden de Mia Hansen-Løve
Notes sur d’autres films : A Girl at My Door / Atlas / Chemin de croix / De l’autre côté du mur / Fils de / FLA / Historia del miedo / In the Family / La prochaine fois je viserai le cœur / Paradise Lost / Que ta joie demeure / Qui vive / The Search / Un illustre inconnu / Vers Madrid - The Burning Bright ! / Vie sauvage
Journal
Rencontre : Lausanne, et cætera
Exposition : François Truffaut par écrit
Découverte : Khady Sylla, le "tiers-œil"
Festival : Au FIFI de Bordeaux
Festival : New York hausse le niveau
Hommage : Peter von Bagh, l’homme-cinéma
Rétrospective : Guy Gilles, absences répétées
Reprise : Wings : sauvés dans les airs
Notes DVD : Nomads / Coffret Max Linder
Rétrospective : Dorothy Arzner vous regarde
Notes livres : Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive / Cinéma expérimental - Abécédaire pour une contre-culture
News internationales, disparitions
Cinéma retrouvé
Les Croix de bois de Raymond Bernard
Tandis qu’ils agonisent par Jean-Philippe Tessé
Document : le scénario des Croix de bois
Dossier
Le psychédélisme
Quand le cinéma était psychédélique par Stéphane Delorme
Expansion du vortex par Cyril Béghin
Massacre à la tronçonneuse : Soleil noir par Vincent Malausa
"Le monde pouvait toucher à sa fin" entretien avec Tobe Hooper
Werner Herzog : vers d’autres ciels par Joachim Lepastier
Insolation et Acid Giallo par Stéphane du Mesnildot
La recherche de l’ailleurs - la playlist d’Étienne Jaumet (Zombie Zombie)
Frise psychédélique : 1966-1983
Épilogue : où est passé le psychédélisme ?
Entretien
Sorcerer de William Friedkin
Comme un rêve éveillé entretien avec William Friedkin
The End
Alix Cléo Roubaud, ce qui aura été par Nicolas AzalbertExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400768 Rayon Cahiers du cinéma Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400768.jpgImage Jpeg
Titre : L'assassin Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Elio Petri, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition 2013 Editeur : Paris [France] : Carlotta Films Année de publication : 1961 Importance : 1 DVD (94 min.) ISBN/ISSN/EAN : 3333297241489 Note générale : Porté de façon troublante par Marcello Mastroianni, L’Assassin relate les tourments psychologiques d’un individu acculé par une « présomption de culpabilité ». À travers une intrigue policière conventionnelle, Elio Petri dépeint une Italie asphyxiée par les rouages de la bureaucratie et du pouvoir policier, prise dans un climat de paranoïa latente. Le cinéaste dut lui-même affronter les censeurs, gênés qu’on présente ainsi les autorités et qui lui demandèrent d’apporter au film près de 90 modifications ! Mais au-delà du thème, cette oeuvre contestataire fait une proposition cinématographique saisissante et résolument moderne. L’atmosphère imprégnée de doux surréalisme, l’éblouissante composition plastique des plans et la construction complexe du récit en flashbacks évoquent deux grands films tournés la même année : La Notte de Michelangelo Antonioni et À bout de souffle de Jean-Luc Godard. Premier long-métrage d’Elio Petri, L’Assassin possède déjà le panache des chefs-d’oeuvre les plus connus du réalisateur visionnaire d’Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon. Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : enquête policière film policier cinéma italien 60's Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Alfredo Martelli, un antiquaire romain, est arrêté à son domicile et emmené au commissariat. En attendant d’être interrogé, il se demande ce que lui veut la police et se souvient, par épisodes, de son attitude peu scrupuleuse à divers moments de sa vie. Enfin reçu par le commissaire, Martelli apprend que son ancienne maîtresse a été retrouvée morte. Les autorités sont persuadées qu’il est l’assassin. Accablé par les preuves, l’antiquaire sent peser sur lui le poids de la culpabilité… Genre : Film policier Pays : Italie Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire L'assassin [document projeté ou vidéo] / Elio Petri, Metteur en scène, réalisateur . - Edition 2013 . - Paris [France] : Carlotta Films, 1961 . - 1 DVD (94 min.).
ISSN : 3333297241489
Porté de façon troublante par Marcello Mastroianni, L’Assassin relate les tourments psychologiques d’un individu acculé par une « présomption de culpabilité ». À travers une intrigue policière conventionnelle, Elio Petri dépeint une Italie asphyxiée par les rouages de la bureaucratie et du pouvoir policier, prise dans un climat de paranoïa latente. Le cinéaste dut lui-même affronter les censeurs, gênés qu’on présente ainsi les autorités et qui lui demandèrent d’apporter au film près de 90 modifications ! Mais au-delà du thème, cette oeuvre contestataire fait une proposition cinématographique saisissante et résolument moderne. L’atmosphère imprégnée de doux surréalisme, l’éblouissante composition plastique des plans et la construction complexe du récit en flashbacks évoquent deux grands films tournés la même année : La Notte de Michelangelo Antonioni et À bout de souffle de Jean-Luc Godard. Premier long-métrage d’Elio Petri, L’Assassin possède déjà le panache des chefs-d’oeuvre les plus connus du réalisateur visionnaire d’Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon.
Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : enquête policière film policier cinéma italien 60's Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Alfredo Martelli, un antiquaire romain, est arrêté à son domicile et emmené au commissariat. En attendant d’être interrogé, il se demande ce que lui veut la police et se souvient, par épisodes, de son attitude peu scrupuleuse à divers moments de sa vie. Enfin reçu par le commissaire, Martelli apprend que son ancienne maîtresse a été retrouvée morte. Les autorités sont persuadées qu’il est l’assassin. Accablé par les preuves, l’antiquaire sent peser sur lui le poids de la culpabilité… Genre : Film policier Pays : Italie Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104850 92.1 N.1.2347 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104850.jpgImage Jpeg
Titre : American Graffiti Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : George Lucas (1944-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Universal Pictures Année de publication : 1974 Importance : 1 dvd Présentation : 110 min ISBN/ISSN/EAN : 5050582055962 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Arts et médias:Musique
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Road movie 60's sous-titres en anglais Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un soir en 1962. Curt Henderson termine le lycée et doit partir à l'université le lendemain. Pendant qu'il se demande s'il veut vraiment quitter la ville, lui et ses amis vont vivre une nuit mouvementée, entre drague, rupture, rite d'initiation et course de vitesse sur fond de Rock'n Roll mythique des années 1960 ; The Platters, Chuck Berry, Fats Domino, Buddy Holly, Bill Haley, The Beach Boys, etc.
American Graffiti [document projeté ou vidéo] / George Lucas (1944-....), Metteur en scène, réalisateur . - Universal Pictures, 1974 . - 1 dvd : 110 min.
ISSN : 5050582055962
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Arts et médias:Musique
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Road movie 60's sous-titres en anglais Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un soir en 1962. Curt Henderson termine le lycée et doit partir à l'université le lendemain. Pendant qu'il se demande s'il veut vraiment quitter la ville, lui et ses amis vont vivre une nuit mouvementée, entre drague, rupture, rite d'initiation et course de vitesse sur fond de Rock'n Roll mythique des années 1960 ; The Platters, Chuck Berry, Fats Domino, Buddy Holly, Bill Haley, The Beach Boys, etc.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100815 92.1 N.1.0405 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100815URL L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
Accompagne
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - Editions du Céfal, 2007.
Accompagne
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Apocalypse now : DVD 1 : le film dans sa version définitive
Titre : Apocalypse now : DVD 1 : le film dans sa version définitive Type de document : document projeté ou vidéo Importance : 1 dvd Présentation : 3h15 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : guerre du Vietnam 60's Genre : Film de guerre, drame historique Apocalypse now : DVD 1 : le film dans sa version définitive [document projeté ou vidéo] . - [s.d.] . - 1 dvd : 3h15.
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : guerre du Vietnam 60's Genre : Film de guerre, drame historique Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101158 92.1 N.1.0307 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Apocalypse now : DVD 2 : les bonus
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