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694 recherche sur le mot-clé 'cinéma espagnol'
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Titre : Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Antxon Salvador, Auteur Editeur : Rome [Italie] : Gremese Année de publication : 2011 Importance : 282 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-88-7301-739-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours [texte imprimé] / Antxon Salvador, Auteur . - Rome [Italie] : Gremese, 2011 . - 282 p.
ISBN : 978-88-7301-739-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303961 17 H.1.04460 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303961URL Cinq fictions de la CNT 1936-1938 DVD 1 : Un cinéma sous influence, Carne de fieras, Barrios bajos / Collectif
Titre : Cinq fictions de la CNT 1936-1938 DVD 1 : Un cinéma sous influence, Carne de fieras, Barrios bajos Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : K Films Année de publication : 1936-1938 Importance : 1 DVD Présentation : 52 min, 60 min et 90 min Langues : Français (fre) Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : cinéma espagnol Index. décimale : 92 Cinéma Note de contenu : Un cinéma sous influence (documentaire) (52 min, 2001). Ce bonus-documentaire de Richard Prost retrace cette période à part dans le cinéma espagnol et revisite les images de la guerre civile avec le regard du cinéphile.
Carne de fieras
Un jeune boxeur tombe amoureux d’une artiste de variétés. Cette dernère risque chaque soir sa vie en dansant au milieu de fauves.
Certaines séquences de ce film font penser au cinéma de Jean Vigo. Il brise tabous et conventions.
Barrios bajos
Un jeune avocat tue en légitime défense l’amant de sa femme. Il se réfugie chez El Valencia, un docker qu’il avait défendu auparavant.
Pays : Espagne Niveau : secondaire supérieur et + Cinq fictions de la CNT 1936-1938 DVD 1 : Un cinéma sous influence, Carne de fieras, Barrios bajos [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - K Films, 1936-1938 . - 1 DVD : 52 min, 60 min et 90 min.
Langues : Français (fre) Espagnol (spa) Langues originales : Espagnol (spa)
Catégories : Education par les médias
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : cinéma espagnol Index. décimale : 92 Cinéma Note de contenu : Un cinéma sous influence (documentaire) (52 min, 2001). Ce bonus-documentaire de Richard Prost retrace cette période à part dans le cinéma espagnol et revisite les images de la guerre civile avec le regard du cinéphile.
Carne de fieras
Un jeune boxeur tombe amoureux d’une artiste de variétés. Cette dernère risque chaque soir sa vie en dansant au milieu de fauves.
Certaines séquences de ce film font penser au cinéma de Jean Vigo. Il brise tabous et conventions.
Barrios bajos
Un jeune avocat tue en légitime défense l’amant de sa femme. Il se réfugie chez El Valencia, un docker qu’il avait défendu auparavant.
Pays : Espagne Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103010 92 N.1.1505 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
103009URL Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" / Susana Arbizu
Titre : Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" Type de document : texte imprimé Auteurs : Susana Arbizu, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 23 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
Fausta est un film hispano-péruvien, deuxième long-métrage de la réalisatrice Claudia Llosa. Inspiré de faits réels qui ont eu lieu pendant le conflit interne au Pérou entre 1980 et 1992, ce film raconte l'histoire d'une jeune fille marquée par ces événements. Fausta évoque cette période pour approfondir dans l'histoire des survivants et de la génération suivante. Le film a été projeté pour la première fois le 12 février 2009, pendant le 59° Festival de Berlin, où il a été récompensé de l'Ours d'or. Il a été aussi distingué par d'autres nombreux prix dans le monde entier avant d'avoir été nommé aux Oscars 2010 dans la catégorie « Meilleur Film Étranger ».
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : La teta asustada Fausta Claudia Llosa Natasha Braier Selma Mutal Frank Gutiérrez Magaly Solier Susi Sánchez Marino Ballón Efarín Solós Bárbara Lazón María del Pilar Guerrero Delci Heredia Karla Heredia Fernando Caycho Edward Llungo Cinéma péruvien Cinéma espagnol Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film raconte l'histoire de Fausta (Magaly Solier), une jeune fille qui souffre de la maladie du « Sein effrayé ». Selon une croyance populaire, cette étrange maladie est transmise par le lait des mères ayant été violées par des soldats entre les années 1980-1992. Cette période correspond aux luttes anti-subversives menées par le Gouvernement péruvien contre des guérillas maoïstes dans les Andes.
Comme des milliers de personnes, Fausta s’est installée avec sa mère dans un bidonville de la périphérie de Lima, pour échapper à la violence des guérillas et de l’Armée. La mère de Fausta meurt, et celle-ci décide de faire le voyage de retour à son village pour l’enterrer. Sans argent pour y parvenir, Fausta se met au service d’une riche aristocrate comme femme de ménage. Mais Fausta n’est pas une fille normale. Sa maladie fait d’elle une personne très peureuse, surtout des hommes. Le viol qu’a subi sa mère est à l’origine de son caractère introverti. Pour éviter toute tentative de viol, Fausta garde une pomme de terre dans son vagin et ne parle jamais aux inconnus.
Mais ce nouveau travail l’oblige à traverser toute la ville pour se rendre chez Aída, une femme issue de l’aristocratie de Lima et pianiste en manque d’inspiration. Elle doit maintenant éviter les gens qu’elle rencontre sur le chemin et dans la riche maison d’Aida, où il y a toujours des hommes au travail. Entre autres, Fausta fait la connaissance de Noé, le jardinier, un homme qui lui montre que tous les hommes ne sont pas dangereux, au moins pas lui.
Très vite se noue une relation entre la maîtresse de la maison et la nouvelle femme de ménage. Fausta a l’habitude de répéter les chansons que sa mère lui chantait dans leur langue, le quechua, et Aida remarque avec bienveillance sa belle voix. Elle lui propose un marché : pour chaque chanson que Fausta aura chanté, elle recevra une perle.
Mais la santé de Fausta se dégrade, car la pomme de terre a commencé à pourrir, et l’avidité d’Aida ne tarde pas à se dévoiler. Pour son dernier concert, elle adapte au piano une chanson de Fausta sans lui demander et la renvoie de son emploi quand la fille se rend compte du plagiat.
Fausta revient chez Aida pour prendre toutes les perles qui lui appartiennent, et se réveille dans un lit d’hôpital, après avoir subi une opération. Noé l’a retrouvée allongée par terre après s’être évanouie, et l’a amenée à l’hôpital, où les médecins ont retiré la pomme de terre.
Avec l’argent des perles, Fausta pourra enfin partir à son village et enterrer sa mère. Une fois sur le chemin, elle voit le désert et la mer, et descend avec le cadavre de sa mère, qu’elle laissera partir dans l’eau.
Note de contenu :
Entre 1980 et 1992, le Pérou a connu une période de violence terroriste, surtout dans la région montagneuse des Andes, à cause des actions du groupe Maoiste Sentier Lumineux et de la réponse des forces paramilitaires et des forces armées de l’État. En 1990, le conflit armé est arrivé à la ville de Lima, la capitale du Pérou. Le film de Claudia Llosa fait référence à une croyance populaire selon laquelle le traumatisme des femmes ayant subi un viol par des soldats serait transmis par le lait à ses enfants, d’où « La teta asustada », le titre en espagnol, ou « Le sein effrayé ». Cette période de violence affecte encore non seulement ceux qui l’ont subi, mais aussi la génération suivante.
Le film est basé sur le livre Entre Prójimos de Kimberly Theidon, Professeur au Département d’Anthropologie de l’Université de Harvard, et directeur de Praxis, Institut pour la Justice Sociale. Ce livre rassemble beaucoup de témoignages des femmes violées pendant cette période et des victimes de la violence en général. Le film de Llosa est une tentative de répondre aux témoignages de ces victimes.
La musique de Fausta regroupe des chansons de la culture populaire péruvienne et des compositions de Magaly Solier avec des paroles de Claudia Llosa.
La critique internationale parle de Fausta en très bons termes. Pour la première fois un film péruvien a remporté l’Ours d’Or à Berlin et a été nommé aux Oscars.
Pourtant, des nombreuses polémiques autour du film dans son pays d’origine se sont relayées pour montrer le mécontentement d’un secteur de la population péruvienne. Le film est accusé de raciste, il se voit reprocher la représentation qu’il fait de la pauvreté du pays, et même son succès dans les Festivals internationaux est critiqué.Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" [texte imprimé] / Susana Arbizu, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 23 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
Fausta est un film hispano-péruvien, deuxième long-métrage de la réalisatrice Claudia Llosa. Inspiré de faits réels qui ont eu lieu pendant le conflit interne au Pérou entre 1980 et 1992, ce film raconte l'histoire d'une jeune fille marquée par ces événements. Fausta évoque cette période pour approfondir dans l'histoire des survivants et de la génération suivante. Le film a été projeté pour la première fois le 12 février 2009, pendant le 59° Festival de Berlin, où il a été récompensé de l'Ours d'or. Il a été aussi distingué par d'autres nombreux prix dans le monde entier avant d'avoir été nommé aux Oscars 2010 dans la catégorie « Meilleur Film Étranger ».
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : La teta asustada Fausta Claudia Llosa Natasha Braier Selma Mutal Frank Gutiérrez Magaly Solier Susi Sánchez Marino Ballón Efarín Solós Bárbara Lazón María del Pilar Guerrero Delci Heredia Karla Heredia Fernando Caycho Edward Llungo Cinéma péruvien Cinéma espagnol Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film raconte l'histoire de Fausta (Magaly Solier), une jeune fille qui souffre de la maladie du « Sein effrayé ». Selon une croyance populaire, cette étrange maladie est transmise par le lait des mères ayant été violées par des soldats entre les années 1980-1992. Cette période correspond aux luttes anti-subversives menées par le Gouvernement péruvien contre des guérillas maoïstes dans les Andes.
Comme des milliers de personnes, Fausta s’est installée avec sa mère dans un bidonville de la périphérie de Lima, pour échapper à la violence des guérillas et de l’Armée. La mère de Fausta meurt, et celle-ci décide de faire le voyage de retour à son village pour l’enterrer. Sans argent pour y parvenir, Fausta se met au service d’une riche aristocrate comme femme de ménage. Mais Fausta n’est pas une fille normale. Sa maladie fait d’elle une personne très peureuse, surtout des hommes. Le viol qu’a subi sa mère est à l’origine de son caractère introverti. Pour éviter toute tentative de viol, Fausta garde une pomme de terre dans son vagin et ne parle jamais aux inconnus.
Mais ce nouveau travail l’oblige à traverser toute la ville pour se rendre chez Aída, une femme issue de l’aristocratie de Lima et pianiste en manque d’inspiration. Elle doit maintenant éviter les gens qu’elle rencontre sur le chemin et dans la riche maison d’Aida, où il y a toujours des hommes au travail. Entre autres, Fausta fait la connaissance de Noé, le jardinier, un homme qui lui montre que tous les hommes ne sont pas dangereux, au moins pas lui.
Très vite se noue une relation entre la maîtresse de la maison et la nouvelle femme de ménage. Fausta a l’habitude de répéter les chansons que sa mère lui chantait dans leur langue, le quechua, et Aida remarque avec bienveillance sa belle voix. Elle lui propose un marché : pour chaque chanson que Fausta aura chanté, elle recevra une perle.
Mais la santé de Fausta se dégrade, car la pomme de terre a commencé à pourrir, et l’avidité d’Aida ne tarde pas à se dévoiler. Pour son dernier concert, elle adapte au piano une chanson de Fausta sans lui demander et la renvoie de son emploi quand la fille se rend compte du plagiat.
Fausta revient chez Aida pour prendre toutes les perles qui lui appartiennent, et se réveille dans un lit d’hôpital, après avoir subi une opération. Noé l’a retrouvée allongée par terre après s’être évanouie, et l’a amenée à l’hôpital, où les médecins ont retiré la pomme de terre.
Avec l’argent des perles, Fausta pourra enfin partir à son village et enterrer sa mère. Une fois sur le chemin, elle voit le désert et la mer, et descend avec le cadavre de sa mère, qu’elle laissera partir dans l’eau.
Note de contenu :
Entre 1980 et 1992, le Pérou a connu une période de violence terroriste, surtout dans la région montagneuse des Andes, à cause des actions du groupe Maoiste Sentier Lumineux et de la réponse des forces paramilitaires et des forces armées de l’État. En 1990, le conflit armé est arrivé à la ville de Lima, la capitale du Pérou. Le film de Claudia Llosa fait référence à une croyance populaire selon laquelle le traumatisme des femmes ayant subi un viol par des soldats serait transmis par le lait à ses enfants, d’où « La teta asustada », le titre en espagnol, ou « Le sein effrayé ». Cette période de violence affecte encore non seulement ceux qui l’ont subi, mais aussi la génération suivante.
Le film est basé sur le livre Entre Prójimos de Kimberly Theidon, Professeur au Département d’Anthropologie de l’Université de Harvard, et directeur de Praxis, Institut pour la Justice Sociale. Ce livre rassemble beaucoup de témoignages des femmes violées pendant cette période et des victimes de la violence en général. Le film de Llosa est une tentative de répondre aux témoignages de ces victimes.
La musique de Fausta regroupe des chansons de la culture populaire péruvienne et des compositions de Magaly Solier avec des paroles de Claudia Llosa.
La critique internationale parle de Fausta en très bons termes. Pour la première fois un film péruvien a remporté l’Ours d’Or à Berlin et a été nommé aux Oscars.
Pourtant, des nombreuses polémiques autour du film dans son pays d’origine se sont relayées pour montrer le mécontentement d’un secteur de la population péruvienne. Le film est accusé de raciste, il se voit reprocher la représentation qu’il fait de la pauvreté du pays, et même son succès dans les Festivals internationaux est critiqué.Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303676 19 H.1.04339/2 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le jeune cinéma espagnol des années 90 à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwann Lameignère (1976-....), Auteur Editeur : Anglet : Séguier Année de publication : 2003 Importance : 198 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 22 x 24 cm Prix : 2003 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma espagnol Histoire critique cinéma années 90 Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Loin des figures tutélaires de Buñuel et d'Almodóvar, les cinéastes espagnols apparus dans les années quatre-vingt-dix ont développé une production variée, soignée, sans héritage ou filiation particuliers. Du cinéma de genre ambitieux d'Enrique Urbizu et Alejandro Amenábar à la comédie postmoderne d'Álex de la Iglesia, de l'univers ascétique de Marc Recha à la veine poétique de Julio Medem, il n'existe ni école ni mouvement aux contours bien précis, mais une extraordinaire diversité créative produite dans un système en grande partie libéral. Le Jeune Cinéma espagnol des années 90 à nos jours est une invitation à découvrir en une quarantaine de films (Perdita Durango, Tesis, Les Amants du cercle polaire, La Caja 507...) et quatorze metteurs en scène, les talents les plus distincts et les longs métrages les plus marquants des dix dernières années, au coeur d'une Espagne moderne, mouvante et innovante.Le jeune cinéma espagnol des années 90 à nos jours [texte imprimé] / Erwann Lameignère (1976-....), Auteur . - Anglet : Séguier, 2003 . - 198 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 22 x 24 cm.
2003
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma espagnol Histoire critique cinéma années 90 Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Loin des figures tutélaires de Buñuel et d'Almodóvar, les cinéastes espagnols apparus dans les années quatre-vingt-dix ont développé une production variée, soignée, sans héritage ou filiation particuliers. Du cinéma de genre ambitieux d'Enrique Urbizu et Alejandro Amenábar à la comédie postmoderne d'Álex de la Iglesia, de l'univers ascétique de Marc Recha à la veine poétique de Julio Medem, il n'existe ni école ni mouvement aux contours bien précis, mais une extraordinaire diversité créative produite dans un système en grande partie libéral. Le Jeune Cinéma espagnol des années 90 à nos jours est une invitation à découvrir en une quarantaine de films (Perdita Durango, Tesis, Les Amants du cercle polaire, La Caja 507...) et quatorze metteurs en scène, les talents les plus distincts et les longs métrages les plus marquants des dix dernières années, au coeur d'une Espagne moderne, mouvante et innovante.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301656 17 H.1.2534 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301656URL PermalinkPermalinkPermalinkCinq fictions de la CNT 1936-1938 DVD 2 : Nuestro culpable, Nosotros somos asi, Aurora de esperanza / Collectif
PermalinkPermalinkTerre sans pain : Autour de la version de 1936 / Luis Bunuel
PermalinkTerre sans pain : Autour de la version de 1965 / Luis Bunuel
PermalinkPermalink200 mots-clés de la théorie du cinéma / André Gardies
PermalinkPermalink3 films de Joachim Lafosse / Joachim Lafosse
PermalinkPermalinkPermalinkPermalink50 ans - 50 films vol.2 DVD 1 / Olivier Langlois
Permalink50 ans - 50 films vol.2 DVD 2 / Anne Lévy-Morelle
Permalink50 ans - 50 films vol.3 DVD 1 / Claude Waringo
Permalink50 ans - 50 films vol.3 DVD 2 / Damien De Pierpont
Permalink556 - Avril 2001 - 50 ans - Numéro anniversaire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
PermalinkAbbas Kiarostami / Alain Bergala
PermalinkPermalinkPermalinkL'adaptation / Frédéric Sabouraud
PermalinkL'adaptation cinématographique et littéraire / Jeanne-Marie Clerc
PermalinkL'adaptation cinématographique des textes littéraires / Michel Serceau
PermalinkPermalinkAdaptations cinématographiques d'oeuvres littéraires / Françoise Demougin
PermalinkPermalinkAffiches 35-45 / Centre Audiovisuel Liège
PermalinkL'âge de raison. Le cinéma des frères Dardenne / Alain Marcoen
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
PermalinkPermalinkAnalyse de l'image / Laurent Aknin
PermalinkL'analyse de séquences / Laurent Jullier
PermalinkAndré Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
PermalinkAndrzej Wajda / Hadelin Trinon
Permalink614 - Juillet-août 2006 - Années Hollywood, du neuf dans le système. Tournage avec Oliveira sur la trace de Bunuel. Réplique: dessiner Hiroshima. Kitano déchire. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
PermalinkAnthologie du cinéma / Jacques G. Perret
PermalinkAntonioni / Roger Tailleur
PermalinkPermalink558 - Juin 2001 - Apocalypses : le cinéma s'en va en guerre (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
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