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1117 - 15 septembre 2018 - L'image & le réel : pouvoir et représentations (Bulletin de TDC)
[n° ou bulletin]
Titre : 1117 - 15 septembre 2018 - L'image & le réel : pouvoir et représentations Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 89 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Sémiologie de l'image statique
Education aux médias:Revues:TDC
Education par les médias:Arts et médias:Peinture
Education par les médias:Langues:Français:Langue:Apprentissage de la langue (argumentation, étymologie , linguistique,...)
Education par les médias:Langues:Français:Littérature
Education par les médias:Sciences:Chimie
Education par les médias:Sciences:Physique/MécaniqueMots-clés : arts couleurs Balzac littérature viatique art rupestre enfer réalité virtuelle Index. décimale : 13 Sémiologie de l'image statique Résumé : Ce numéro de TDC, élaboré en écho aux 21es Rendez-vous de l’histoire consacrés à la puissance des images, se propose d’éclairer selon quelles modalités esthétiques, idéologiques et culturelles les images forment, informent et déforment notre rapport au réel, à travers diverses expériences visuelles historiques, politiques, littéraires et scientifiques. Note de contenu : Sommaire
L’Essentiel
Interview : Pouvoirs des images, Jean-Claude Schmitt
Arts
La couleur dans l’image : l’exemple du Moyen Âge, Michel Pastoureau
Indiens de papier, Mathilde Arrivé
Éduquer et séduire, Sophie Leclercq
Histoire
L’art rupestre, Jean Clottes
L’Encyclopédie ou le besoin des figures, Pascal Dupuy
Images de l’Enfer dans les Andes, Thérèse Bouysse Cassagne
Cartographier le monde au Moyen Âge, Emmanuelle Vagnon et Éric Vallet
Lettres
La quête de la couleur aux XVIIIe et XIXe siècles, Élodie Ripoll
Quand la littérature viatique imagine l’Orient, Isabelle Safa
Balzac et la caricature, Cécile Guinand
Sciences
L’imagerie médicale : 30 ans d’évolution, Isabelle Magnin
De l’image à la réalité virtuelle, Philippe Fuchs
Pourquoi et comment éduquer aux images ?, Virginie SassoonGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 1117 - 15 septembre 2018 - L'image & le réel : pouvoir et représentations [texte imprimé] . - 2018 . - 89 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Sémiologie de l'image statique
Education aux médias:Revues:TDC
Education par les médias:Arts et médias:Peinture
Education par les médias:Langues:Français:Langue:Apprentissage de la langue (argumentation, étymologie , linguistique,...)
Education par les médias:Langues:Français:Littérature
Education par les médias:Sciences:Chimie
Education par les médias:Sciences:Physique/MécaniqueMots-clés : arts couleurs Balzac littérature viatique art rupestre enfer réalité virtuelle Index. décimale : 13 Sémiologie de l'image statique Résumé : Ce numéro de TDC, élaboré en écho aux 21es Rendez-vous de l’histoire consacrés à la puissance des images, se propose d’éclairer selon quelles modalités esthétiques, idéologiques et culturelles les images forment, informent et déforment notre rapport au réel, à travers diverses expériences visuelles historiques, politiques, littéraires et scientifiques. Note de contenu : Sommaire
L’Essentiel
Interview : Pouvoirs des images, Jean-Claude Schmitt
Arts
La couleur dans l’image : l’exemple du Moyen Âge, Michel Pastoureau
Indiens de papier, Mathilde Arrivé
Éduquer et séduire, Sophie Leclercq
Histoire
L’art rupestre, Jean Clottes
L’Encyclopédie ou le besoin des figures, Pascal Dupuy
Images de l’Enfer dans les Andes, Thérèse Bouysse Cassagne
Cartographier le monde au Moyen Âge, Emmanuelle Vagnon et Éric Vallet
Lettres
La quête de la couleur aux XVIIIe et XIXe siècles, Élodie Ripoll
Quand la littérature viatique imagine l’Orient, Isabelle Safa
Balzac et la caricature, Cécile Guinand
Sciences
L’imagerie médicale : 30 ans d’évolution, Isabelle Magnin
De l’image à la réalité virtuelle, Philippe Fuchs
Pourquoi et comment éduquer aux images ?, Virginie SassoonGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 105034 13 H.1.5155 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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