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Titre : Les remakes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Bourdon, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2012 Collection : Comprendre et reconnaître ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-584326-5 Note générale : Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois le dernier tournant féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les remakes [texte imprimé] / Laurent Bourdon, Auteur . - Larousse, 2012. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-584326-5
Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois le dernier tournant féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304033 17 H.1.04521 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304033URL4 - Mars 2002 - 11 septembre 2001 : la guerre en direct + Dossier : La presse en ligne (Bulletin de MédiaMorphoses) / Collectif
[n° ou bulletin]
est un bulletin de MédiaMorphoses / Collectif
Titre : 4 - Mars 2002 - 11 septembre 2001 : la guerre en direct + Dossier : La presse en ligne Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Information et enseignement
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : 11/09/11 11/09/2011 09/11/11 11 septembre presse sur internet terrorisme et médias Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Comment faire autrement ? L'événement devait l'emporter ! Les tours de New York ont marqué les esprits de manière si puissante, que nous ne pouvions éviter de proposer, dans nos Confrontations, ce débat à nos lecteurs. Nous ne prétendons pas avoir tout dit, nous avons seulement commencé d'en parler. La presse en ligne se développe, avec les difficultés et les problèmes que pose toute nouvelle entreprise de presse. Surtout lorsque celle-ci vise à s'approprier un support nouveau pour elle où, inévitablement, elle rencontre, pour s'y associer ou pour s'y confronter, le monde de la publicité et l'univers du commerce. Donc, un Dossier qui, s'il ne fournit pas toutes les réponses, pose beaucoup de questions dont la pertinence n'échappera pas au lecteur avisé. Dans le Magazine, les rubriques habituelles pour inciter aussi à d'autres lectures. [n° ou bulletin]
est un bulletin de MédiaMorphoses / Collectif
4 - Mars 2002 - 11 septembre 2001 : la guerre en direct + Dossier : La presse en ligne [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Information et enseignement
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : 11/09/11 11/09/2011 09/11/11 11 septembre presse sur internet terrorisme et médias Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Comment faire autrement ? L'événement devait l'emporter ! Les tours de New York ont marqué les esprits de manière si puissante, que nous ne pouvions éviter de proposer, dans nos Confrontations, ce débat à nos lecteurs. Nous ne prétendons pas avoir tout dit, nous avons seulement commencé d'en parler. La presse en ligne se développe, avec les difficultés et les problèmes que pose toute nouvelle entreprise de presse. Surtout lorsque celle-ci vise à s'approprier un support nouveau pour elle où, inévitablement, elle rencontre, pour s'y associer ou pour s'y confronter, le monde de la publicité et l'univers du commerce. Donc, un Dossier qui, s'il ne fournit pas toutes les réponses, pose beaucoup de questions dont la pertinence n'échappera pas au lecteur avisé. Dans le Magazine, les rubriques habituelles pour inciter aussi à d'autres lectures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400354 58 H.1.02327 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
Titre : 561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York [n° ou bulletin]
est un bulletin de Cahiers du Cinéma / Collectif
561 - Octobre 2001 - Le cinéma rattrapé par l'histoire [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ClaudeLanzmann Sobibor Hiroshima Nobuhiro Suwa Alain Resnais Marguerite Duras H Story guerre d'Algérie René Vautier Pierre Clément 11 septembre 2001 New-York Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Billy Wilder Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 23 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-505-0 Prix : 7 EUR Note générale : Billy Wilder est un producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel Wilder, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain Assurance sur la mort Boulevard du crépuscule Stalag 17 Sabrina Sept Ans de réflexion Certains l'aiment chaud La Garçonnière Embrasse-moi idiot La Vie privée de Sherlock Holmes Avanti! Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Billy Wilder est sans conteste un maître de la comédie américaine, poussant comme personne le comique de situation aux limites de l'absurde. qui a oublié les quiproquos hilarants subis par deux musiciens travestis en femmes dans Certains l'aiment chauds ? Ce cinéaste-là sait faire rire ! Mais pas seulement. Il a tourné aussi des mélodrames pessimistes comme Boulevard du Crépuscule où Gloria Swanson campe une bouleversante star déchue du muet ou Fedora, où Marthe Keller se substitue par amour à sa mère, comédienne défigurée. Il a aussi à son actif quelques grands films noirs comme Assurance sur la mort ou Témoin à charge. Wilder a fait tourner les plus grandes stars, et les scènes d'anthologie émaillent sa filmographie : Marilyn jouant du banjo dans Certains l'aiment chauds, ou essayant de retenir sa jupe gonflée par une bouche de métro dans Sept ans de réflexion, Humphrey Bogart embrassant la juvénile Audrey Hepburn dans Sabrina, Marlene Dietrich dans son numéro de cabaret de La scandaleuse de Berlin, Jack Lemmon égouttant ses spaghettis avec une raquette de tennis dans La garçonnière ou encore Shirley MacLaine tapinant sur les trottoirs de Paris dans Irma la douce. Son humour est souvent incisif, sa vision du monde frôle le cynisme mais ses personnages finissent tous par trouver leur moment de vérité, et à ce titre, Billy Wilder est avant tout un immense moraliste.
Billy Wilder [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 23) .
ISBN : 978-2-86642-505-0 : 7 EUR
Billy Wilder est un producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel Wilder, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002.
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Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain Assurance sur la mort Boulevard du crépuscule Stalag 17 Sabrina Sept Ans de réflexion Certains l'aiment chaud La Garçonnière Embrasse-moi idiot La Vie privée de Sherlock Holmes Avanti! Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Billy Wilder est sans conteste un maître de la comédie américaine, poussant comme personne le comique de situation aux limites de l'absurde. qui a oublié les quiproquos hilarants subis par deux musiciens travestis en femmes dans Certains l'aiment chauds ? Ce cinéaste-là sait faire rire ! Mais pas seulement. Il a tourné aussi des mélodrames pessimistes comme Boulevard du Crépuscule où Gloria Swanson campe une bouleversante star déchue du muet ou Fedora, où Marthe Keller se substitue par amour à sa mère, comédienne défigurée. Il a aussi à son actif quelques grands films noirs comme Assurance sur la mort ou Témoin à charge. Wilder a fait tourner les plus grandes stars, et les scènes d'anthologie émaillent sa filmographie : Marilyn jouant du banjo dans Certains l'aiment chauds, ou essayant de retenir sa jupe gonflée par une bouche de métro dans Sept ans de réflexion, Humphrey Bogart embrassant la juvénile Audrey Hepburn dans Sabrina, Marlene Dietrich dans son numéro de cabaret de La scandaleuse de Berlin, Jack Lemmon égouttant ses spaghettis avec une raquette de tennis dans La garçonnière ou encore Shirley MacLaine tapinant sur les trottoirs de Paris dans Irma la douce. Son humour est souvent incisif, sa vision du monde frôle le cynisme mais ses personnages finissent tous par trouver leur moment de vérité, et à ce titre, Billy Wilder est avant tout un immense moraliste.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300017 18 H.1.03182 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300017.gifImage GIFBowling for Columbine
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Titre : Bowling for Columbine Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Michael Moore (1954-....), Metteur en scène, réalisateur ; Jeff Gibbs, Compositeur Editeur : Paramount Année de publication : 2002 Importance : 2 dvd + 1 livret Présentation : 120 min Format : 16/9 compatible 4/3 Note générale : Documentaires en version originale anglaise sous-titrée en français et en version française
Contient aussi : lecture interactive du film, 4 analyses de séquences clés (commentaire audio par A. Tylski), bandes-annonces
Contient aussi : introduction audio de Michael Moore, commentaire audio de Michael Moore et de l'équipe du film
fiche du film téléchargeable sur:
http://www.lamediatheque.be/ext/thematiques/films_a_la_fiche/FichePDF/TJ1310.pdfLangues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : ;Bush;11 septembre 2001 Attentats du (États-Unis);Guerre d'Irak (2003);Armes à feu;Aspect social;États-Unis;États-Unis;Politique et gouvernement;2001-.... Index. décimale : 92.2 Documentaire Résumé : Michael Moore enquête sur la violence provoquée par les armes à feu aux Etats-Unis. Son point de départ est la tragédie du lycée Columbine dans le Colorado en 1999. Des dizaines de lycéens avaient alors été assassinés par deux de leurs camarades. Bowling for Columbine [document projeté ou vidéo] / Michael Moore (1954-....), Metteur en scène, réalisateur ; Jeff Gibbs, Compositeur . - USA : Paramount, 2002 . - 2 dvd + 1 livret : 120 min ; 16/9 compatible 4/3.
Documentaires en version originale anglaise sous-titrée en français et en version française
Contient aussi : lecture interactive du film, 4 analyses de séquences clés (commentaire audio par A. Tylski), bandes-annonces
Contient aussi : introduction audio de Michael Moore, commentaire audio de Michael Moore et de l'équipe du film
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : ;Bush;11 septembre 2001 Attentats du (États-Unis);Guerre d'Irak (2003);Armes à feu;Aspect social;États-Unis;États-Unis;Politique et gouvernement;2001-.... Index. décimale : 92.2 Documentaire Résumé : Michael Moore enquête sur la violence provoquée par les armes à feu aux Etats-Unis. Son point de départ est la tragédie du lycée Columbine dans le Colorado en 1999. Des dizaines de lycéens avaient alors été assassinés par deux de leurs camarades.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100170 92.2 N.1.0125 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Bowling for Columbine : l'enquête continue
Accompagne Bowling for Columbine
Titre : Bowling for Columbine : l'enquête continue Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Michael Moore (1954-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paramount Année de publication : 2002 Importance : 1 dvd Format : 16/9 compatible 4/3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : Bush;11 septembre 2001 Attentats du (États-Unis);Guerre d'Irak (2003);Armes à feu;Aspect social;États-Unis;États-Unis;Politique et gouvernement;2001-.... Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : Conférence de presse à Londres/Interview de Michael Moore/César 2003/Pour ou contre : débat
Accompagne Bowling for Columbine
Bowling for Columbine : l'enquête continue [document projeté ou vidéo] / Michael Moore (1954-....), Metteur en scène, réalisateur . - USA : Paramount, 2002 . - 1 dvd ; 16/9 compatible 4/3.
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : Bush;11 septembre 2001 Attentats du (États-Unis);Guerre d'Irak (2003);Armes à feu;Aspect social;États-Unis;États-Unis;Politique et gouvernement;2001-.... Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : Conférence de presse à Londres/Interview de Michael Moore/César 2003/Pour ou contre : débat Exemplaires
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303985URL
Titre : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Mandelbaum, Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 14 Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm Prix : 7 EUR Note générale : Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma suédois cinéma scandinave Le Septième Sceau Persona L'Heure du loup Cris et chuchotements Scènes de la vie conjugale Sonate d'automne Fanny et Alexandre Sarabande Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : L'œuvre d'Ingmar Bergman force l'admiration. Au cours d'une carrière riche de quelque cinquante longs métrages réalisés entre 1945 et 2003 (sans compter son infatigable activité de metteur en scène de théâtre), il remet sans cesse sur le métier ses obsessions intimes, ses fantasmes qui brouillent la représentation de la réalité, ses personnages dévorés par une culpabilité qui torture l'âme et le corps, sa lucidité à ausculter le couple qui se séduit puis se déchire, son angoisse devant le silence de Dieu, sa recherche chaotique d'une rédemption. Le Septième sceau, les Fraises sauvages, Une passion, A travers le miroir, autant de chefs-d'œuvre dans une œuvre qui traduit une capacité à exprimer ses sentiments restée inégalée. On peut lire ses films comme une transposition de son propre parcours, depuis son enfance dans une famille luthérienne ultrarigide, sa propre ambiguïté morale qui lui fait honte et horreur. Ingmar Bergman est aussi un cinéaste qui, au-delà des modes, capte l'esprit de son temps, dans ses aspirations et ses désillusions : Monika, dans lequel Harriet Anderson incarne une jeune femme à la sensualité sauvage et scandaleuse, lui apporte la notoriété en France, incarnant ce vent de liberté qui marque la modernité naissante au cinéma. Dans les années soixante, il expérimente avec Persona l'une des plus puissantes évocations de l'ambiguïté du mal. Scènes de la vie conjugale stigmatise cet individualisme qui induit insidieusement la déshumanisation du monde, monde qui se déploie avec joie et nostalgie dans Fanny et Alexandre et qui atteint sa représentation la plus dépouillée dans sarabande, son ultime film, à la fois leçon de cinéma et questionnement existentiel. Dans l'univers du cinéma, Bergman est un continent à part, celui d'un géant à la hauteur de Beethoven ou de Dostoïevski. Ingmar Bergman [texte imprimé] / Jacques Mandelbaum, Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (96 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 14) .
7 EUR
Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
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Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma suédois cinéma scandinave Le Septième Sceau Persona L'Heure du loup Cris et chuchotements Scènes de la vie conjugale Sonate d'automne Fanny et Alexandre Sarabande Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : L'œuvre d'Ingmar Bergman force l'admiration. Au cours d'une carrière riche de quelque cinquante longs métrages réalisés entre 1945 et 2003 (sans compter son infatigable activité de metteur en scène de théâtre), il remet sans cesse sur le métier ses obsessions intimes, ses fantasmes qui brouillent la représentation de la réalité, ses personnages dévorés par une culpabilité qui torture l'âme et le corps, sa lucidité à ausculter le couple qui se séduit puis se déchire, son angoisse devant le silence de Dieu, sa recherche chaotique d'une rédemption. Le Septième sceau, les Fraises sauvages, Une passion, A travers le miroir, autant de chefs-d'œuvre dans une œuvre qui traduit une capacité à exprimer ses sentiments restée inégalée. On peut lire ses films comme une transposition de son propre parcours, depuis son enfance dans une famille luthérienne ultrarigide, sa propre ambiguïté morale qui lui fait honte et horreur. Ingmar Bergman est aussi un cinéaste qui, au-delà des modes, capte l'esprit de son temps, dans ses aspirations et ses désillusions : Monika, dans lequel Harriet Anderson incarne une jeune femme à la sensualité sauvage et scandaleuse, lui apporte la notoriété en France, incarnant ce vent de liberté qui marque la modernité naissante au cinéma. Dans les années soixante, il expérimente avec Persona l'une des plus puissantes évocations de l'ambiguïté du mal. Scènes de la vie conjugale stigmatise cet individualisme qui induit insidieusement la déshumanisation du monde, monde qui se déploie avec joie et nostalgie dans Fanny et Alexandre et qui atteint sa représentation la plus dépouillée dans sarabande, son ultime film, à la fois leçon de cinéma et questionnement existentiel. Dans l'univers du cinéma, Bergman est un continent à part, celui d'un géant à la hauteur de Beethoven ou de Dostoïevski. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300018 18 H.1.03184 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300018.jpgImage JpegIngmar Bergman / N. T. Binh
Titre : Ingmar Bergman : Le magicien du Nord Type de document : texte imprimé Auteurs : N. T. Binh (1958-....), Auteur ; Ingmar Bergman, Personne honorée Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1993 Collection : Découvertes Gallimard num. 414 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-053218-6 Note générale : Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Septième Sceau Det Sjunde inseglet Les Fraises sauvages Smultronstället Le Silence Tystnaden cinéma suédois Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Le cinéma du maître suédois illumine les écrans depuis près d'un demi-siècle, parcouru par la dualité : la rigueur de la mise en scène contient les démons de son auteur, l'éclat des visages et la lumière transcendent les passions de ses personnages. L'auteur analyse les sortilèges de cette œuvre 'd' une pureté cinématographique éblouissante'... Ingmar Bergman : Le magicien du Nord [texte imprimé] / N. T. Binh (1958-....), Auteur ; Ingmar Bergman, Personne honorée . - Gallimard, 1993. - (Découvertes Gallimard; 414) .
ISBN : 978-2-07-053218-6
Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
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Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Septième Sceau Det Sjunde inseglet Les Fraises sauvages Smultronstället Le Silence Tystnaden cinéma suédois Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Le cinéma du maître suédois illumine les écrans depuis près d'un demi-siècle, parcouru par la dualité : la rigueur de la mise en scène contient les démons de son auteur, l'éclat des visages et la lumière transcendent les passions de ses personnages. L'auteur analyse les sortilèges de cette œuvre 'd' une pureté cinématographique éblouissante'... Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302116 18 H.1.01469 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Jean-Luc Godard / Jean Collet
Titre : Jean-Luc Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean-Luc Godard [texte imprimé] / Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302168 18 H.1.00076 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Mythes et idéologie du cinéma américain Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Aknin (1961-....), Auteur Mention d'édition : Nouvelle édition revue et augmentée Editeur : Paris : Vendémiaire Année de publication : 2014 Importance : 224 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-363-58128-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : science-fiction attentats du 11 septembre 2001 cinéma d'invasion films catastrophe super héros Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Films d’invasion extra-terrestre, films de monstres, films catastrophe, films de contamination, films de zombies ou de morts vivants, films de super héros enfin, où des hommes araignée, des hommes chauve-souris et autres mutants ont pour mission, au prix d’un combat héroïque, de sauver la planète et la démocratie...
Certes, le cinéma hollywoodien actuel, celui des grands studios et des blockbusters, est l’héritier de genres qui ont fait sa fortune. Mais ces vieilles recettes issues de la Guerre froide sont, depuis la disparition de l’Union soviétique et surtout depuis le 11 septembre 2001, remises au goût du jour dans des œuvres sombres et violentes où la hantise du cataclysme et le culte de la force s’affirment sans détours.
Des films où la famille est l’ultime refuge d’individus à la dérive, où le recours à la dictature n’est plus tabou, où les bons et les méchants ne sont plus clairement dissociés, où robots et demi-dieux usent bien mal des pouvoirs qui leur ont été accordés…
Messianisme, paranoïa et quête de sens : ce cinéma de circonstance, ou de propagande, est surtout le terrible révélateur d’une société qui semble avoir perdu tous ses repères.Genre : Essai Pays : France Niveau : secondaire inférieur, secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Mythes et idéologie du cinéma américain [texte imprimé] / Laurent Aknin (1961-....), Auteur . - Nouvelle édition revue et augmentée . - Paris : Vendémiaire, 2014 . - 224 p.
ISBN : 978-2-363-58128-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : science-fiction attentats du 11 septembre 2001 cinéma d'invasion films catastrophe super héros Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Films d’invasion extra-terrestre, films de monstres, films catastrophe, films de contamination, films de zombies ou de morts vivants, films de super héros enfin, où des hommes araignée, des hommes chauve-souris et autres mutants ont pour mission, au prix d’un combat héroïque, de sauver la planète et la démocratie...
Certes, le cinéma hollywoodien actuel, celui des grands studios et des blockbusters, est l’héritier de genres qui ont fait sa fortune. Mais ces vieilles recettes issues de la Guerre froide sont, depuis la disparition de l’Union soviétique et surtout depuis le 11 septembre 2001, remises au goût du jour dans des œuvres sombres et violentes où la hantise du cataclysme et le culte de la force s’affirment sans détours.
Des films où la famille est l’ultime refuge d’individus à la dérive, où le recours à la dictature n’est plus tabou, où les bons et les méchants ne sont plus clairement dissociés, où robots et demi-dieux usent bien mal des pouvoirs qui leur ont été accordés…
Messianisme, paranoïa et quête de sens : ce cinéma de circonstance, ou de propagande, est surtout le terrible révélateur d’une société qui semble avoir perdu tous ses repères.Genre : Essai Pays : France Niveau : secondaire inférieur, secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
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304651.jpgImage Jpeg
Titre : A l'ombre des tours mortes Type de document : texte imprimé Auteurs : Art Spiegelman, Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 2016 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-137919-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...):BD du réel (BD reportage, BD journalisme, BD autobiographique)Mots-clés : terrorisme 11 septembre attentats de Paris Charlie hebdo Index. décimale : 56.2 BD du réel (BD reportage, BD journalisme, BD autobiographique) Résumé : Témoin direct de l'attentat du 11 septembre contre les tours du World Trade center, Art Spiegelman a publié en 2004 A l'ombre des tours mortes, qu'il présenta comme un "journal au ralenti" lui permettant de mesurer les conséquences politiques et sociales de ces évènements. Dans cette nouvelle édition, il rend hommage aux victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo, aux caricaturistes danois menacés d'une fatwa en 2006 et à tous les auteurs victimes de la censure.
Une autre tour tombe aujourd'hui, celle de liberté d'expression.Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire A l'ombre des tours mortes [texte imprimé] / Art Spiegelman, Auteur . - Paris : Flammarion, 2016.
ISBN : 978-2-08-137919-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
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Education aux médias:Littérature:Genre paralittéraires (BD, roman-photo...):BD du réel (BD reportage, BD journalisme, BD autobiographique)Mots-clés : terrorisme 11 septembre attentats de Paris Charlie hebdo Index. décimale : 56.2 BD du réel (BD reportage, BD journalisme, BD autobiographique) Résumé : Témoin direct de l'attentat du 11 septembre contre les tours du World Trade center, Art Spiegelman a publié en 2004 A l'ombre des tours mortes, qu'il présenta comme un "journal au ralenti" lui permettant de mesurer les conséquences politiques et sociales de ces évènements. Dans cette nouvelle édition, il rend hommage aux victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo, aux caricaturistes danois menacés d'une fatwa en 2006 et à tous les auteurs victimes de la censure.
Une autre tour tombe aujourd'hui, celle de liberté d'expression.Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304965 56.2 H.1.04940 Bande dessinée Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304965.gifImage GIFOmbre vive / Jean-Louis Bory
Titre : Ombre vive Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Bory, Auteur Editeur : Paris : Union générale d'Editions Année de publication : 1973 Collection : 10/18 Note générale :
Jean-Louis Bory, né le 25 juin 1919 à Méréville et mort dans la nuit du 11 au 12 juin 1979 dans la même commune (aujourd’hui en Essonne), est un écrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste français.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : chronique d'anna magdalena bach mr freedom le vent des aurès silence et cri la femme infidèle théorème l'enfance nue la piscine fanny girl la charge de la brigade légère le diable par la queue la chevauchée de la vengeance cati delphine z la voie lactée un été américain père simon du désert bye bye barbara cérémonie secrete bullit la honte calcutta la chute des feuilles model shop un été capricieux pierre et paul one plus one point noir sweet charity adalen 31 andrei roublov ah ça ira paris n'existe pas ma nuit chez maud viêt-nam année du cochon le temps de vivre erotissimo l'heure des brasiers la sirène du mississipi thèrese et isabelle l'arche les chasses du comte zaroff che a bientôt j'espère classe de lutte une femme douce le viol d'une jeune fille douce sept jours ailleurs slogan l'escalier la pendaison éros + massacre more money money antonio das mortes porcherie l'arbre de noël la vie est à nous solo la terre the gladiators le retour de frankenstein tout peut arriver la fiancée du pirate satyricon détruire dit-elle les confessions d'un mangeur d'opium swing time top hat Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
À partir de novembre 1966, Jean-Louis Bory assure la critique cinématographique du Nouvel Observateur à la place de Michel Cournot. Michel Mardore assure avec lui jusqu'en 1971 le choix des films pour les critiques.
Mettant fin à sa collaboration à Arts, il s’impose comme le critique cinéma du journal même s’il y est peu présent, se contentant de passer pour déposer son article. Célèbre pour les joutes qui l'opposent à Georges Charensol et Michel Aubriant (alias Pierre des Vallières) au Masque et la plume, il défend notamment le cinéma du tiers-monde, particulièrement africain et arabe. Il apparaît aussi comme le plus influent des critiques du circuit "Art et Essai" du quartier latin. Mais son ardeur est encore plus vive en mai 68 où il est un de leaders qui font arrêter le Festival de Cannes dont il avait été membre du jury l’année précédente. Cela ne l'empêchera pas d’être membre de sa commission de sélection de 1970 à 1973 ni d’être des plus assidus au festival de La Rochelle.
Jean-Louis Bory n’intervient pas dans les choix du journal qu’il trouve politiquement discutables. Mais il téléphone régulièrement à Jean Daniel pour lui donner son avis sur un éditorial. Il plaide ainsi pour la cause palestinienne qu’il ne trouve pas assez défendue. Il défend quant à lui des films d’aspect avant-gardiste ou scandaleux qui s’attachent à remettre en question la société, ses institutions et ses valeurs traditionnelles. À côté de films explicitement politiques qu’il soutient en dehors de toutes considérations artistiques, il défend un cinéma dont l’aspect contestataire tient moins au sujet qu’à la subversion du langage cinématographique traditionnel.
Godard, Robbe-Grillet, Resnais, Pasolini, Duras ou les frères Taviani sont des cinéastes qui lui tiennent à cœur. Défenseur d’une culture « alternative », il se montre souvent agressif à l'égard des films de boulevard, de distraction ou à grande distribution qui ne remettent en cause ni les tabous de la morale et de la vie sociale, ni les habitudes de voir et de penser. Son mépris pour le cinéma de Michel Audiard, Bourvil ou Louis de Funès, qu'il juge bourgeois et franchouillard, n’a d’égal que celui pour des films qui, comme ceux de Henri Verneuil – exaltant selon lui des valeurs bourgeoises, d’argent et d’ambition – ou de Claude Lelouch - mettant en scène des personnages socialement « arrivés » - véhiculent des représentations légitimant à ses yeux la droite. Il défend des films difficiles comme Quelque part quelqu'un de Yannick Bellon, des œuvres rigoureuses sur lesquelles il écrit avec force et passion.
Cette liberté qui lui permet de consacrer sa chronique « à un film que ne sera vu que par l’auteur et par [lui] », est garantie à ses yeux par la modestie de sa rémunération. En effet, la direction du Nouvel Observateur déplore de le voir ignorer systématiquement les films à gros budget et à grand public et exerce sur lui une certaine pression en suscitant un concurrent moins militant[réf. nécessaire]. Malgré tout, il n’est pas réellement inquiété et refuse en 1972 de répondre à l’invitation chaleureuse de François Nourissier de venir travailler au Point. Au contraire, il fait entrer Michel Grisolia pour l’aider à rédiger les petites notices qu’on lui réclame sur les films.
Ombre vive [texte imprimé] / Jean-Louis Bory, Auteur . - Union générale d'Editions, 1973. - (10/18) .
Jean-Louis Bory, né le 25 juin 1919 à Méréville et mort dans la nuit du 11 au 12 juin 1979 dans la même commune (aujourd’hui en Essonne), est un écrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste français.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : chronique d'anna magdalena bach mr freedom le vent des aurès silence et cri la femme infidèle théorème l'enfance nue la piscine fanny girl la charge de la brigade légère le diable par la queue la chevauchée de la vengeance cati delphine z la voie lactée un été américain père simon du désert bye bye barbara cérémonie secrete bullit la honte calcutta la chute des feuilles model shop un été capricieux pierre et paul one plus one point noir sweet charity adalen 31 andrei roublov ah ça ira paris n'existe pas ma nuit chez maud viêt-nam année du cochon le temps de vivre erotissimo l'heure des brasiers la sirène du mississipi thèrese et isabelle l'arche les chasses du comte zaroff che a bientôt j'espère classe de lutte une femme douce le viol d'une jeune fille douce sept jours ailleurs slogan l'escalier la pendaison éros + massacre more money money antonio das mortes porcherie l'arbre de noël la vie est à nous solo la terre the gladiators le retour de frankenstein tout peut arriver la fiancée du pirate satyricon détruire dit-elle les confessions d'un mangeur d'opium swing time top hat Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
À partir de novembre 1966, Jean-Louis Bory assure la critique cinématographique du Nouvel Observateur à la place de Michel Cournot. Michel Mardore assure avec lui jusqu'en 1971 le choix des films pour les critiques.
Mettant fin à sa collaboration à Arts, il s’impose comme le critique cinéma du journal même s’il y est peu présent, se contentant de passer pour déposer son article. Célèbre pour les joutes qui l'opposent à Georges Charensol et Michel Aubriant (alias Pierre des Vallières) au Masque et la plume, il défend notamment le cinéma du tiers-monde, particulièrement africain et arabe. Il apparaît aussi comme le plus influent des critiques du circuit "Art et Essai" du quartier latin. Mais son ardeur est encore plus vive en mai 68 où il est un de leaders qui font arrêter le Festival de Cannes dont il avait été membre du jury l’année précédente. Cela ne l'empêchera pas d’être membre de sa commission de sélection de 1970 à 1973 ni d’être des plus assidus au festival de La Rochelle.
Jean-Louis Bory n’intervient pas dans les choix du journal qu’il trouve politiquement discutables. Mais il téléphone régulièrement à Jean Daniel pour lui donner son avis sur un éditorial. Il plaide ainsi pour la cause palestinienne qu’il ne trouve pas assez défendue. Il défend quant à lui des films d’aspect avant-gardiste ou scandaleux qui s’attachent à remettre en question la société, ses institutions et ses valeurs traditionnelles. À côté de films explicitement politiques qu’il soutient en dehors de toutes considérations artistiques, il défend un cinéma dont l’aspect contestataire tient moins au sujet qu’à la subversion du langage cinématographique traditionnel.
Godard, Robbe-Grillet, Resnais, Pasolini, Duras ou les frères Taviani sont des cinéastes qui lui tiennent à cœur. Défenseur d’une culture « alternative », il se montre souvent agressif à l'égard des films de boulevard, de distraction ou à grande distribution qui ne remettent en cause ni les tabous de la morale et de la vie sociale, ni les habitudes de voir et de penser. Son mépris pour le cinéma de Michel Audiard, Bourvil ou Louis de Funès, qu'il juge bourgeois et franchouillard, n’a d’égal que celui pour des films qui, comme ceux de Henri Verneuil – exaltant selon lui des valeurs bourgeoises, d’argent et d’ambition – ou de Claude Lelouch - mettant en scène des personnages socialement « arrivés » - véhiculent des représentations légitimant à ses yeux la droite. Il défend des films difficiles comme Quelque part quelqu'un de Yannick Bellon, des œuvres rigoureuses sur lesquelles il écrit avec force et passion.
Cette liberté qui lui permet de consacrer sa chronique « à un film que ne sera vu que par l’auteur et par [lui] », est garantie à ses yeux par la modestie de sa rémunération. En effet, la direction du Nouvel Observateur déplore de le voir ignorer systématiquement les films à gros budget et à grand public et exerce sur lui une certaine pression en suscitant un concurrent moins militant[réf. nécessaire]. Malgré tout, il n’est pas réellement inquiété et refuse en 1972 de répondre à l’invitation chaleureuse de François Nourissier de venir travailler au Point. Au contraire, il fait entrer Michel Grisolia pour l’aider à rédiger les petites notices qu’on lui réclame sur les films.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302183 19 H.1.00096 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Accompagne Le septième sceau / Ingmar Bergman
Titre : Le septième sceau : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Edmond Grandgeorge, Auteur Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2005 Collection : Synopsis num. 12 Importance : 1 vol. (127 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-34348-4 Note générale :
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
Accompagne Le septième sceau / Ingmar Bergman
Le septième sceau : Ingmar Bergman [texte imprimé] / Edmond Grandgeorge, Auteur . - Armand Colin, 2005 . - 1 vol. (127 p.) : ill., couv. ill. ; 18 cm. - (Synopsis; 12) .
ISBN : 978-2-200-34348-4
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300355 19 H.1.03866 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300355URLU.S. and the others / Stig A. Nohrstedt
Titre : U.S. and the others : Global media images on "The War on Terror" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stig A. Nohrstedt, Auteur ; Rune Ottosen, Auteur Editeur : Göteborg [Suède] : Nordicom Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (316 p.) ISBN/ISSN/EAN : 978-91-89471-24-5 Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel:Audiovisuel et médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : opinion publique globalisation vague de terreur 11 septembre Index. décimale : 12 Audiovisuel et médias Résumé : The 'War on Terror' declared by President George W Bush after the terrible events of September 11, 2001, has already had profound consequences on world political developments and global opinion. Media are - either actively or passively - actors in the resultant propaganda war and can as such influence public opinion. Globalization processes imply transnational mediated flows of meaning at the same time as the perceived meanings vary between cultures and countries. That media divide globally in the coverage of the War on Terror is not only obvious when comparing American and Arab media, but also between the U.S. and Western European media. This has partly to do with the difficult demands on journalists and media as to how to manage the flood of propaganda and the threats to professional integrity and standards.How images of the U.S. and the Others are portrayed by media in various countries after September 11 and the attack on Afghanistan is at the focus of this volume. The book contains a collection of essays by media researchers and journalists with backgrounds from a number of countries. Niveau : Enseignement secondaire supérieur et enseignement supérieur et universitaire U.S. and the others : Global media images on "The War on Terror" [texte imprimé] / Stig A. Nohrstedt, Auteur ; Rune Ottosen, Auteur . - Göteborg (Suède) : Nordicom, 2004 . - 1 vol. (316 p.).
ISBN : 978-91-89471-24-5
Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
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Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : opinion publique globalisation vague de terreur 11 septembre Index. décimale : 12 Audiovisuel et médias Résumé : The 'War on Terror' declared by President George W Bush after the terrible events of September 11, 2001, has already had profound consequences on world political developments and global opinion. Media are - either actively or passively - actors in the resultant propaganda war and can as such influence public opinion. Globalization processes imply transnational mediated flows of meaning at the same time as the perceived meanings vary between cultures and countries. That media divide globally in the coverage of the War on Terror is not only obvious when comparing American and Arab media, but also between the U.S. and Western European media. This has partly to do with the difficult demands on journalists and media as to how to manage the flood of propaganda and the threats to professional integrity and standards.How images of the U.S. and the Others are portrayed by media in various countries after September 11 and the attack on Afghanistan is at the focus of this volume. The book contains a collection of essays by media researchers and journalists with backgrounds from a number of countries. Niveau : Enseignement secondaire supérieur et enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303037 12 H.1.02547 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Zero dark thirty : La plus grande chasse à l'homme de l'histoire Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Kathryn Bigelow, Metteur en scène, réalisateur Editeur : AFilm Année de publication : 2013 Importance : 1 dvd Présentation : 151 min ISBN/ISSN/EAN : 8716777944318 Note générale : Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs 2.1
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : terrorisme 11 septembre services secrets Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Le récit de la traque d'Oussama Ben Laden par une unité des forces spéciales américaines... Genre : Thriller, film policier Pays : USA Niveau : Secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Zero dark thirty : La plus grande chasse à l'homme de l'histoire [document projeté ou vidéo] / Kathryn Bigelow, Metteur en scène, réalisateur . - Pays-Bas : AFilm, 2013 . - 1 dvd : 151 min.
ISSN : 8716777944318
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs 2.1
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
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Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes socialesMots-clés : terrorisme 11 septembre services secrets Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Le récit de la traque d'Oussama Ben Laden par une unité des forces spéciales américaines... Genre : Thriller, film policier Pays : USA Niveau : Secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104323 92.1 N.1.2148 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
Zero_dark_thirty.jpgImage JpegL'avant-scène cinéma, 113. Les sept samouraïs (d'Akira Kurosawa) / Collectif
Accompagne Les sept samouraïs / Akira Kurosawa
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 113 Titre : Les sept samouraïs (d'Akira Kurosawa) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1971 Note générale :
Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai) est un film japonais réalisé par Akira Kurosawa, sorti le 26 avril 1954.
L'histoire se déroule dans le Japon médiéval de la fin du XVIe siècle et montre comment un village paysan recrute sept samouraïs pour lutter contre les bandits qui ravagent les campagnes environnantes.
Ce film a largement contribué à la renommée internationale de son réalisateur, bien plus encore que Rashōmon sorti quatre ans plus tôt. De même, le rôle de Kikuchiyo a amplement participé à la notoriété mondiale de Toshirō Mifune.
C'est l'un des films japonais les plus célèbres dans le monde. Même si la version intégrale a longtemps été inconnue en-dehors de son pays d'origine, le film a obtenu un Lion d'argent à la Mostra de Venise en 1954 puis a connu un grand succès commercial dans le monde, notamment grâce à l'universalité de son histoire et à l'interprétation des acteurs. Il s'agit aussi de l'un des films de samouraïs les plus connus et il est parfois considéré comme l'un des meilleurs films d'action de l'histoire. Il n'a cessé d'exercer une grande influence sur le cinéma mondial et a connu plusieurs adaptations plus ou moins libres, dont le western Les Sept Mercenaires en 1960.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Sept Samouraïs Shichinin no samurai The Magnificent Seven Seven Samurai Akira Kurosawa Shinobu Hashimoto Hideo Oguni Sōjirō Motoki Fumio Hayasaka Masaru Satō Asakazu Nakai Takao Saitō Takashi Matsuyama Kōhei Ezaki Mieko Yamaguchi Seison Maeda Fumio Yanoguchi Shigeru Mori Yoshio Sugino Hiromichi Horikawa Teruyo Nogami Toho Takashi Shimura Toshirō Mifune Yoshio Inaba Seiji Miyaguchi Minoru Chiaki Daisuke Katō Isao Kimura cinéma japonais Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1586, à l'époque Sengoku, dans un Japon médiéval ravagé par des guerres civiles, les paysans sont fréquemment opprimés par des guerriers qui les rançonnent. Une troupe de bandits à cheval s'apprête à attaquer un village lorsque l'un d'entre eux se rappelle qu'ils en ont déjà raflé le riz à l'automne. Leur chef décide de reporter l'attaque et d'attendre la prochaine récolte. Yohei, un paysan qui a surpris la discussion, court aussitôt avertir les autres villageois. Réunis sur la place centrale, ils sont effondrés ; les uns se lamentent tandis que d'autres cherchent vainement des solutions. Ils finissent par consulter Gisaku, l'Ancien du village. À la surprise de tous, celui-ci est du même avis que Rikichi et conseille d'engager des samouraïs pour défendre le village.Quatre villageois partent donc dans le bourg le plus proche pour recruter des samouraïs. La tâche s'annonce délicate : le premier qu'ils abordent est offusqué et refuse en bousculant violemment Rikichi, invoquant une question d'honneur. Dix jours passent et le découragement gagne les paysans qui finissent par se disputer. Ils sont alors témoins d'un évènement qui provoque un attroupement : un vieux samouraï, Kanbei, a accepté de sauver un enfant qu'un voleur retient en otage dans une grange. Il se fait raser le crâne et se déguise en bonze afin de déjouer la méfiance du bandit, qu'il tue. Alors que les paysans suivent Kanbei, bien décidés à l'aborder, ils sont devancés par deux samouraïs qui se trouvaient parmi la foule ayant assisté à la scène. Katsushiro, le plus jeune, implore respectueusement Kanbei de le prendre comme disciple, mais celui-ci, annonçant qu'il est un rōnin, cherche à l'en dissuader et refuse son offre. Kikuchiyo, l'autre guerrier, s'approche à son tour : ses manières rustres et son allure de fanfaron déplaisent au vieux samouraï qui s'en détourne et s'éloigne avec Katsushiro.Les paysans parviennent enfin à lui faire leur demande mais Kanbei est perplexe : il estime qu'au moins sept samouraïs seront nécessaires pour défendre le village, alors que Gisaku n'avait demandé de n'en engager que quatre. Kanbei semble sur le point de refuser, évoquant à la fois sa lassitude des combats et la difficulté de recruter autant de bons samouraïs contre la seule récompense de repas, mais l'intervention d'un ouvrier lui fait alors prendre conscience du sacrifice consenti par les paysans : ceux-ci offrent du riz aux samouraïs alors qu'eux-mêmes ne se nourrissent que de millet. Kanbei accepte ainsi de les aider.
Deux paysans, dont Manzo, retournent au village pour annoncer la nouvelle. Gisaku n'est pas étonné de devoir recruter sept samouraïs et avoue même avoir pensé qu'il en fallait dix. Au bourg, les recherches se poursuivent : Gorobei accepte le premier, avant tout pour la personnalité de Kanbei, lequel est ensuite rejoint par Shichiroji, un de ses anciens compagnons d'armes. Gorobei rencontre par hasard Heihachi, un samouraï plein d'humour et de bon sens, qui fend le bois d'un aubergiste en échange de nourriture. Kanbei et Katsushiro sont enfin témoins d'un duel entre deux samouraïs, facilement gagné par Kyuzo dont la maîtrise impressionne les deux hommes, mais ce dernier refuse dans un premier temps la proposition de Kanbei.Le soir venu, Kanbei déclare ne pas considérer Katsushiro comme un membre de l'équipe, à cause de son trop jeune âge, mais Rikichi, soutenu par les autres samouraïs, parvient à le faire changer d'avis. Kyuzo apparaît alors sur le pas de la porte et les informe laconiquement qu'il a finalement décidé de les rejoindre. L'ouvrier déjà intervenu plus tôt fait alors irruption en annonçant avoir trouvé un samouraï féroce. Il s'agit en fait de Kikuchiyo, qui arrive saoul et tente vainement de prouver à Kanbei qu'il est un vrai samouraï, à l'aide d'un makimono qui mentionne la généalogie d'une famille de samouraïs. Il parvient seulement à provoquer l'hilarité de Kanbei et de ses compagnons car la personne dont il revendique l'identité est censée avoir treize ans. Kanbei décide de partir pour le village dès le lendemain bien qu'ils ne soient que six.Pendant ce temps, au village, Manzo coupe de force les cheveux de sa fille, Shino, et lui ordonne de s'habiller en garçon, pour la protéger du danger que représentent à ses yeux les samouraïs. Cet acte, commis par un des paysans ayant participé au recrutement, ne passe pas inaperçu et provoque une grande inquiétude chez les autres villageois. De leur côté, les samouraïs se mettent en route, accompagnés par Kikuchiyo qui s'entête à les suivre malgré leur évident désaccord. À l'annonce de leur arrivée au village, au lieu de les accueillir, tous les paysans courent se cacher, laissant la place déserte. Tandis que Gisaku reçoit Kanbei et ses hommes, une alerte retentit soudain : les villageois affolés sortent des maisons et se pressent autour des samouraïs, accourus aussitôt. Il s'agit en réalité d'une fausse alerte feinte par Kikuchiyo qui s'adresse de façon railleuse aux paysans pour les sermonner. Ayant ainsi démontré son utilité, il est finalement admis parmi les samouraïs qui sont dorénavant au nombre de sept.
Note de contenu :
Malgré la réputation déjà établie d' Akira Kurosawa, le film est distribué à l'étranger dans des versions écourtées, différentes selon les pays, par crainte que les spectateurs s'ennuient. Les scènes coupées comportent des éléments sur la condition des paysans, dont l'absence rend moins lisible leur relation parfois froide avec les samouraïs, alors que d'autres scènes manquantes permettent pourtant de mieux cerner la complexité du personnage de Kikuchiyo et la façon dont il peut rapprocher la communauté des paysans de celle des samouraïs. Les versions courtes ont tendance à idéaliser les paysans. Par exemple, elles ne comportent pas la scène où Kikuchiyo découvre que les paysans ont accumulé des armes et armures qu'ils ont probablement prises sur des combattants décédés. L'alternance entre réflexion et action est également moins équilibrée dans les versions raccourcies. Pour Donald Richie, cette distribution internationale tronquée constitue « l'une des plus grandes tragédies cinématographiques ». Au Japon, le film est d'abord exploité en version intégrale dans les grandes villes, avant d'être également écourté, mais de façon moindre par rapport aux versions internationales. Le film bénéficie d'un grand succès public au Japon.
Avant sa sortie internationale, le film connaît d'abord les honneurs de la Mostra de Venise en 1954, déjà dans une version tronquée imposée au réalisateur, et il obtient un Lion d'argent qu'il partage avec trois autres films : L'Intendant Sansho de Kenji Mizoguchi, La strada de Federico Fellini et Sur les quais d'Elia Kazan. Quelle que soit la version exploitée ensuite, le film confirme les succès précédents de Kurosawa, de façon à la fois critique et commerciale. Donald Richie relève toutefois un enthousiasme mitigé et une certaine incompréhension de la part des critiques de l'époque. Dans les années 1950, rares sont les films japonais à être distribués en Occident et ceux de Kurosawa font figure d'exceptions car ils semblent suffisamment proches des traditions cinématographiques européennes. Les Sept Samouraïs est ainsi le premier véritable succès commercial d'un film japonais en Occident. Le film est d'ailleurs un tel succès qu'il connaît par la suite de nombreuses ressorties dans le monde entier, cette fois en version intégrale, à partir des années 1980, ainsi que différentes adaptations. Lors de sa ressortie aux États-Unis en 2002, il engrange 269 061 dollars de recette sur un an de distribution.
À sa sortie, une partie des critiques occidentaux ont souligné des imperfections dans la première partie du film, alors que Kurosawa la considérait comme meilleure que la seconde. Le réalisateur avait son idée sur la raison de ces critiques : « Les défauts sont nés des coupures que j'ai dû faire ». À cause des versions raccourcies du film, certains connaisseurs de Kurosawa ont cru que le réalisateur avait délaissé l'aspect social de ses films précédents et avaient conclu à un appauvrissement de son œuvre.
Devenu l'un des films japonais les plus célèbres dans le monde, il a notamment obtenu un tel succès mondial grâce à l'universalité de son histoire et à l'interprétation des acteurs. Kurosawa lui-même le considérait comme l'un de ses deux meilleurs films au côté de Vivre et l'acteur Toshirō Mifune, l'un des héros les plus célèbres du film, citait six œuvres de Kurosawa parmi ses films préférés, dont Les Sept Samouraïs. De nombreuses personnalités ont évoqué Les Sept Samouraïs parmi leurs films favoris, comme le réalisateur George Lucas[43] ou, dans un autre domaine, Adam Yauch, du groupe Beastie Boys.
Le film est par la suite édité dans de nombreuses éditions vidéo, successivement en VHS, en Laserdisc, en DVD et en Blu-ray. The Criterion Collection a procédé à une importante restauration dans les années 2000, en se basant sur une ancienne copie du film car l'original a disparu. Le triple DVD ainsi édité par Criterion a obtenu une nomination pour le meilleur DVD de l'année aux Satellite Awards de 2006 et a reçu de très bonnes critiques.
Accompagne Les sept samouraïs / Akira Kurosawa
L'avant-scène cinéma, 113. Les sept samouraïs (d'Akira Kurosawa) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1971.
Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai) est un film japonais réalisé par Akira Kurosawa, sorti le 26 avril 1954.
L'histoire se déroule dans le Japon médiéval de la fin du XVIe siècle et montre comment un village paysan recrute sept samouraïs pour lutter contre les bandits qui ravagent les campagnes environnantes.
Ce film a largement contribué à la renommée internationale de son réalisateur, bien plus encore que Rashōmon sorti quatre ans plus tôt. De même, le rôle de Kikuchiyo a amplement participé à la notoriété mondiale de Toshirō Mifune.
C'est l'un des films japonais les plus célèbres dans le monde. Même si la version intégrale a longtemps été inconnue en-dehors de son pays d'origine, le film a obtenu un Lion d'argent à la Mostra de Venise en 1954 puis a connu un grand succès commercial dans le monde, notamment grâce à l'universalité de son histoire et à l'interprétation des acteurs. Il s'agit aussi de l'un des films de samouraïs les plus connus et il est parfois considéré comme l'un des meilleurs films d'action de l'histoire. Il n'a cessé d'exercer une grande influence sur le cinéma mondial et a connu plusieurs adaptations plus ou moins libres, dont le western Les Sept Mercenaires en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Sept Samouraïs Shichinin no samurai The Magnificent Seven Seven Samurai Akira Kurosawa Shinobu Hashimoto Hideo Oguni Sōjirō Motoki Fumio Hayasaka Masaru Satō Asakazu Nakai Takao Saitō Takashi Matsuyama Kōhei Ezaki Mieko Yamaguchi Seison Maeda Fumio Yanoguchi Shigeru Mori Yoshio Sugino Hiromichi Horikawa Teruyo Nogami Toho Takashi Shimura Toshirō Mifune Yoshio Inaba Seiji Miyaguchi Minoru Chiaki Daisuke Katō Isao Kimura cinéma japonais Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1586, à l'époque Sengoku, dans un Japon médiéval ravagé par des guerres civiles, les paysans sont fréquemment opprimés par des guerriers qui les rançonnent. Une troupe de bandits à cheval s'apprête à attaquer un village lorsque l'un d'entre eux se rappelle qu'ils en ont déjà raflé le riz à l'automne. Leur chef décide de reporter l'attaque et d'attendre la prochaine récolte. Yohei, un paysan qui a surpris la discussion, court aussitôt avertir les autres villageois. Réunis sur la place centrale, ils sont effondrés ; les uns se lamentent tandis que d'autres cherchent vainement des solutions. Ils finissent par consulter Gisaku, l'Ancien du village. À la surprise de tous, celui-ci est du même avis que Rikichi et conseille d'engager des samouraïs pour défendre le village.Quatre villageois partent donc dans le bourg le plus proche pour recruter des samouraïs. La tâche s'annonce délicate : le premier qu'ils abordent est offusqué et refuse en bousculant violemment Rikichi, invoquant une question d'honneur. Dix jours passent et le découragement gagne les paysans qui finissent par se disputer. Ils sont alors témoins d'un évènement qui provoque un attroupement : un vieux samouraï, Kanbei, a accepté de sauver un enfant qu'un voleur retient en otage dans une grange. Il se fait raser le crâne et se déguise en bonze afin de déjouer la méfiance du bandit, qu'il tue. Alors que les paysans suivent Kanbei, bien décidés à l'aborder, ils sont devancés par deux samouraïs qui se trouvaient parmi la foule ayant assisté à la scène. Katsushiro, le plus jeune, implore respectueusement Kanbei de le prendre comme disciple, mais celui-ci, annonçant qu'il est un rōnin, cherche à l'en dissuader et refuse son offre. Kikuchiyo, l'autre guerrier, s'approche à son tour : ses manières rustres et son allure de fanfaron déplaisent au vieux samouraï qui s'en détourne et s'éloigne avec Katsushiro.Les paysans parviennent enfin à lui faire leur demande mais Kanbei est perplexe : il estime qu'au moins sept samouraïs seront nécessaires pour défendre le village, alors que Gisaku n'avait demandé de n'en engager que quatre. Kanbei semble sur le point de refuser, évoquant à la fois sa lassitude des combats et la difficulté de recruter autant de bons samouraïs contre la seule récompense de repas, mais l'intervention d'un ouvrier lui fait alors prendre conscience du sacrifice consenti par les paysans : ceux-ci offrent du riz aux samouraïs alors qu'eux-mêmes ne se nourrissent que de millet. Kanbei accepte ainsi de les aider.
Deux paysans, dont Manzo, retournent au village pour annoncer la nouvelle. Gisaku n'est pas étonné de devoir recruter sept samouraïs et avoue même avoir pensé qu'il en fallait dix. Au bourg, les recherches se poursuivent : Gorobei accepte le premier, avant tout pour la personnalité de Kanbei, lequel est ensuite rejoint par Shichiroji, un de ses anciens compagnons d'armes. Gorobei rencontre par hasard Heihachi, un samouraï plein d'humour et de bon sens, qui fend le bois d'un aubergiste en échange de nourriture. Kanbei et Katsushiro sont enfin témoins d'un duel entre deux samouraïs, facilement gagné par Kyuzo dont la maîtrise impressionne les deux hommes, mais ce dernier refuse dans un premier temps la proposition de Kanbei.Le soir venu, Kanbei déclare ne pas considérer Katsushiro comme un membre de l'équipe, à cause de son trop jeune âge, mais Rikichi, soutenu par les autres samouraïs, parvient à le faire changer d'avis. Kyuzo apparaît alors sur le pas de la porte et les informe laconiquement qu'il a finalement décidé de les rejoindre. L'ouvrier déjà intervenu plus tôt fait alors irruption en annonçant avoir trouvé un samouraï féroce. Il s'agit en fait de Kikuchiyo, qui arrive saoul et tente vainement de prouver à Kanbei qu'il est un vrai samouraï, à l'aide d'un makimono qui mentionne la généalogie d'une famille de samouraïs. Il parvient seulement à provoquer l'hilarité de Kanbei et de ses compagnons car la personne dont il revendique l'identité est censée avoir treize ans. Kanbei décide de partir pour le village dès le lendemain bien qu'ils ne soient que six.Pendant ce temps, au village, Manzo coupe de force les cheveux de sa fille, Shino, et lui ordonne de s'habiller en garçon, pour la protéger du danger que représentent à ses yeux les samouraïs. Cet acte, commis par un des paysans ayant participé au recrutement, ne passe pas inaperçu et provoque une grande inquiétude chez les autres villageois. De leur côté, les samouraïs se mettent en route, accompagnés par Kikuchiyo qui s'entête à les suivre malgré leur évident désaccord. À l'annonce de leur arrivée au village, au lieu de les accueillir, tous les paysans courent se cacher, laissant la place déserte. Tandis que Gisaku reçoit Kanbei et ses hommes, une alerte retentit soudain : les villageois affolés sortent des maisons et se pressent autour des samouraïs, accourus aussitôt. Il s'agit en réalité d'une fausse alerte feinte par Kikuchiyo qui s'adresse de façon railleuse aux paysans pour les sermonner. Ayant ainsi démontré son utilité, il est finalement admis parmi les samouraïs qui sont dorénavant au nombre de sept.
Note de contenu :
Malgré la réputation déjà établie d' Akira Kurosawa, le film est distribué à l'étranger dans des versions écourtées, différentes selon les pays, par crainte que les spectateurs s'ennuient. Les scènes coupées comportent des éléments sur la condition des paysans, dont l'absence rend moins lisible leur relation parfois froide avec les samouraïs, alors que d'autres scènes manquantes permettent pourtant de mieux cerner la complexité du personnage de Kikuchiyo et la façon dont il peut rapprocher la communauté des paysans de celle des samouraïs. Les versions courtes ont tendance à idéaliser les paysans. Par exemple, elles ne comportent pas la scène où Kikuchiyo découvre que les paysans ont accumulé des armes et armures qu'ils ont probablement prises sur des combattants décédés. L'alternance entre réflexion et action est également moins équilibrée dans les versions raccourcies. Pour Donald Richie, cette distribution internationale tronquée constitue « l'une des plus grandes tragédies cinématographiques ». Au Japon, le film est d'abord exploité en version intégrale dans les grandes villes, avant d'être également écourté, mais de façon moindre par rapport aux versions internationales. Le film bénéficie d'un grand succès public au Japon.
Avant sa sortie internationale, le film connaît d'abord les honneurs de la Mostra de Venise en 1954, déjà dans une version tronquée imposée au réalisateur, et il obtient un Lion d'argent qu'il partage avec trois autres films : L'Intendant Sansho de Kenji Mizoguchi, La strada de Federico Fellini et Sur les quais d'Elia Kazan. Quelle que soit la version exploitée ensuite, le film confirme les succès précédents de Kurosawa, de façon à la fois critique et commerciale. Donald Richie relève toutefois un enthousiasme mitigé et une certaine incompréhension de la part des critiques de l'époque. Dans les années 1950, rares sont les films japonais à être distribués en Occident et ceux de Kurosawa font figure d'exceptions car ils semblent suffisamment proches des traditions cinématographiques européennes. Les Sept Samouraïs est ainsi le premier véritable succès commercial d'un film japonais en Occident. Le film est d'ailleurs un tel succès qu'il connaît par la suite de nombreuses ressorties dans le monde entier, cette fois en version intégrale, à partir des années 1980, ainsi que différentes adaptations. Lors de sa ressortie aux États-Unis en 2002, il engrange 269 061 dollars de recette sur un an de distribution.
À sa sortie, une partie des critiques occidentaux ont souligné des imperfections dans la première partie du film, alors que Kurosawa la considérait comme meilleure que la seconde. Le réalisateur avait son idée sur la raison de ces critiques : « Les défauts sont nés des coupures que j'ai dû faire ». À cause des versions raccourcies du film, certains connaisseurs de Kurosawa ont cru que le réalisateur avait délaissé l'aspect social de ses films précédents et avaient conclu à un appauvrissement de son œuvre.
Devenu l'un des films japonais les plus célèbres dans le monde, il a notamment obtenu un tel succès mondial grâce à l'universalité de son histoire et à l'interprétation des acteurs. Kurosawa lui-même le considérait comme l'un de ses deux meilleurs films au côté de Vivre et l'acteur Toshirō Mifune, l'un des héros les plus célèbres du film, citait six œuvres de Kurosawa parmi ses films préférés, dont Les Sept Samouraïs. De nombreuses personnalités ont évoqué Les Sept Samouraïs parmi leurs films favoris, comme le réalisateur George Lucas[43] ou, dans un autre domaine, Adam Yauch, du groupe Beastie Boys.
Le film est par la suite édité dans de nombreuses éditions vidéo, successivement en VHS, en Laserdisc, en DVD et en Blu-ray. The Criterion Collection a procédé à une importante restauration dans les années 2000, en se basant sur une ancienne copie du film car l'original a disparu. Le triple DVD ainsi édité par Criterion a obtenu une nomination pour le meilleur DVD de l'année aux Satellite Awards de 2006 et a reçu de très bonnes critiques.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302202 19 H.1.01444 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Premier Plan, 34. Ingmar Bergman / Collectif
Titre de série : Premier Plan, 34 Titre : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur ; Ingmar Bergman, Personne honorée Editeur : Serdoc Année de publication : 1964 Note générale : Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Septième Sceau Det Sjunde inseglet Les Fraises sauvages Smultronstället Le Silence Tystnaden cinéma suédois Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Premier Plan, 34. Ingmar Bergman [texte imprimé] / Collectif, Auteur ; Ingmar Bergman, Personne honorée . - [S.l.] : Serdoc, 1964.
Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Septième Sceau Det Sjunde inseglet Les Fraises sauvages Smultronstället Le Silence Tystnaden cinéma suédois Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302123 18 H.1.01226 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible