Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
6 recherche sur le mot-clé 'mann'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Titre : Les grands réalisateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 240 p. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les grands réalisateurs [texte imprimé] / Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 240 p.. - (Comprendre et reconnaître) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303948 18 H.1.0443 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303948URL
Titre : Le septième sceau : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Edmond Grandgeorge, Auteur Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2005 Collection : Synopsis num. 12 Importance : 1 vol. (127 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-34348-4 Note générale :
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
Le septième sceau : Ingmar Bergman [texte imprimé] / Edmond Grandgeorge, Auteur . - Paris [France] : Armand Colin, 2005 . - 1 vol. (127 p.) : ill., couv. ill. ; 18 cm. - (Synopsis; 12) .
ISBN : 978-2-200-34348-4
Le Septième Sceau (Det sjunde inseglet) est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1957.
* Festival de Cannes 1957: Prix spécial du jury, ex æquo avec Kanal.
* Ruban d'Argent (Syndicat National des Journalistes de Cinéma, Italie) 1961 : Meilleur Réalisateur d'un film étranger.
* Cercle des écrivains de Cinéma (Espagne, 1962) : Prix du Meilleur Film Étranger.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Septième Sceau Det sjunde inseglet Ingmar Bergman Erik Nordgren Gunnar Fischer Lennart Wallén P.A. Lundgren Manne Lindholm Allan Ekelund Svensk Filmindustri Max von Sydow Gunnar Björnstrand Bengt Ekerot Nils Poppe Bibi Andersson Inga Gill Maud Hansson Inga Landgré Mona Malm Cinéma fantastique Cinéma suédois Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
XIVe siècle, Suède. La grande peste ravage le pays. De retour des croisades où il a passé dix ans de sa vie, un chevalier et son écuyer rencontrent la Mort sur une plage déserte. Le chevalier lui propose une partie d'échecs, espérant retarder l'échéance fatidique, le temps de trouver une solution à ses problèmes métaphysiques : Dieu existe-il ? la vie a t-elle un sens ? l'épidémie de peste est-elle celle dont parle l'Apocalypse ? Tandis que l'écuyer professe l'idée de néant, le chevalier refuse de le croire.
Non loin d'eux, une jeune famille de baladins chemine au cœur du pays tourmenté. A leur contact, le chevalier découvre le bonheur de l'insouciance des âmes pures et redécouvre les plaisirs simples de la vie qu'il dit avoir oublié depuis son départ en croisade.
Le chevalier, son écuyer et quelques compagnons de rencontre retrouvent le château qu'ils avaient quitté dix ans auparavant. Ils sont accueillis par la châtelaine. Mais la Mort frappe à la porte et les entraîne dans une fantastique danse macabre.
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits de critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion.
Biographie de l'auteur :
Edmond Grangeorge, agrégé de lettres classiques enseigne en Lettres et Cinéma au lycée Stanislas de Wissembourg. Formateur en analyse filmique dans l'académie de Strasbourg, il est animateur d'équipes pédagogiques pour " Ecole et Cinéma ".
* Le titre provient d'une phrase de l'Apocalypse selon saint Jean l'Évangéliste, chapitre 8 :
« Et lorsque l'Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure.
Et je vis les sept Anges qui se tiennent devant Dieu; on leur remit sept trompettes. »
Les sept anges soufflent tour à tour dans leur trompette, et à chaque retentissement un fléau s'abat sur le monde.
Albertus Pictor, La Mort jouant aux échecs. Église de Täby, Diocèse de Stockholm.
* Bergman aurait été inspiré par une peinture de Albertus Pictor.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300355 19 H.1.03866 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300355URL Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'homme de la plaine / Bernard Benoliel
Titre : L'homme de la plaine : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Benoliel, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 9872866423962 Note générale :
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
L'homme de la plaine : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Bernard Benoliel, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2004. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866423962
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302232 19 H.1.02669 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le western / Christian González
Titre : Le western Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian González, Auteur Editeur : Paris [France] : Presses Universitaires de France (PUF) Année de publication : 1979 Collection : Que sais-je ?, ISSN 0768-0066 num. 1760 Importance : 127 p. Présentation : couv. ill. en coul. Note générale : La conquête de L'Ouest s'achève quand le western paraît, en 1903, à l'aube du cinéma américain. Véhicule idéal du mythe glorieux de la conquête, le western magnifie l'aventure héroïque des pionniers en marche vers la Terre promise et exalte la genèse de la nation américaine. D'emblée, il fascine la foule de ses spectateurs et suscite l'enthousiasme de fanatiques qui se recruteront aussi bien aux États-Unis qu'en Europe (où il est diffusé massivement dès 1919), en Asie et en Afrique. Car, bien que fait à l'origine par et pour les Américains, le western se révélera vite une passion géographiquement prospère. Un engouement qui, jusqu'à aujourd'hui et malgré quelques éclipses passagères, ne s'est pas démenti et qui fait du western une des passions les plus universelles de ce siècle et un phénomène unique dans l'histoire du cinéma. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : western muet western parlant John Ford Howard Hamks Raoul Walsh sur-western William Wellman Delmer Daves Anthony Mann Western européen Sergio Leone western contemporain Sam Peckinpah Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Le western [texte imprimé] / Christian González, Auteur . - Paris [France] : Presses Universitaires de France (PUF), 1979 . - 127 p. : couv. ill. en coul.. - (Que sais-je ?, ISSN 0768-0066; 1760) .
La conquête de L'Ouest s'achève quand le western paraît, en 1903, à l'aube du cinéma américain. Véhicule idéal du mythe glorieux de la conquête, le western magnifie l'aventure héroïque des pionniers en marche vers la Terre promise et exalte la genèse de la nation américaine. D'emblée, il fascine la foule de ses spectateurs et suscite l'enthousiasme de fanatiques qui se recruteront aussi bien aux États-Unis qu'en Europe (où il est diffusé massivement dès 1919), en Asie et en Afrique. Car, bien que fait à l'origine par et pour les Américains, le western se révélera vite une passion géographiquement prospère. Un engouement qui, jusqu'à aujourd'hui et malgré quelques éclipses passagères, ne s'est pas démenti et qui fait du western une des passions les plus universelles de ce siècle et un phénomène unique dans l'histoire du cinéma.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : western muet western parlant John Ford Howard Hamks Raoul Walsh sur-western William Wellman Delmer Daves Anthony Mann Western européen Sergio Leone western contemporain Sam Peckinpah Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302252 17 H.1.00712 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le western / Clélia Cohen
Permalink