
La médiathèque du Centre audiovisuel de Liège c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services du CAV, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Le CAVL est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
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35 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'production industrielle' 



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Titre : Coffret Design. Vol. 1 Type de document : document projeté ou vidéo Editeur : arte vidéo Année de publication : 2003-2006 Importance : 1 DVD Présentation : 156 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Design
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : AUTOMOBILE / INFORMATIQUE / LUMIERE / ORDINATEUR / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE Index. décimale : 102 Design Résumé : "La DS 19": Lancée en octobre 1955, la DS 19, qui a dix ans d'avance sur la concurrence, rencontre d'emblée un énorme succès. Le public tombe en admiration devant sa technologie et son esthétique d'avant-garde. Roland Barthes voit dans cette voiture un "art humanisé" et un changement dans la mythologie automobile.
"Le sofa Bubble Club": "Hop, hop, hop,...", en trois coups de crayon Philippe Starck explique le concept de son sofa Bubble Club qui démocratise enfin l'idée du canapé. A partir d'un grand classique des années 20, il crée un canapé archétype en plastique rotomoulé, procédé inédit de la firme italienne Kartell.
"Le BIC cristal": C'est en 1950 que le Baron Marcel Bich lance le BIC Cristal. Remarquable par ses qualités d'usage et sa forme simple totalement adaptée à sa fonction, ce stylo à bille révolutionne les habitudes d'écriture. Plus d'un demi-siècle plus tard, cet objet au design intemporel continue dans le monde entier, à faire partie de notre vie quotidienne. Ce film suit le fil de cette réinvention de l'écriture.
"Les lampes Akari": Pour créer les lampes Akari, ces lampes de papier fragiles et légères mais résolument modernes, le sculpteur et designer américano-japonais Isamu Noguchi s'inspire des lanternes traditionnelles japonaises, travaillant la lumière en formes sculpturales.
"L'aspirateur Hoover": Dans l'histoire de l'aspirateur, le Hoover "One-fifty", créé par le designer Henry Dreyfuss en 1934, réussit une combinaison inédite de la forme et de la fonction. Le nom Hoover deviendra tellement populaire qu'il remplacera bientôt le mot aspirateur pour les consommateurs américains.
"L'iMac": Ovoïde, transparent, convivial et coloré: à sa sortie en 1998, le iMac d'Apple fait l'effet d'une bombe dans un marche de l'informatique jusqu'alors voué au beige et au gris. Le designer Jonathan Ive démythifie l'ordinateur qui investit alors l'espace privé.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
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Coffret Design. Vol. 1 [document projeté ou vidéo] . - [S.l.] : arte vidéo, 2003-2006 . - 1 DVD : 156 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Design
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : AUTOMOBILE / INFORMATIQUE / LUMIERE / ORDINATEUR / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE Index. décimale : 102 Design Résumé : "La DS 19": Lancée en octobre 1955, la DS 19, qui a dix ans d'avance sur la concurrence, rencontre d'emblée un énorme succès. Le public tombe en admiration devant sa technologie et son esthétique d'avant-garde. Roland Barthes voit dans cette voiture un "art humanisé" et un changement dans la mythologie automobile.
"Le sofa Bubble Club": "Hop, hop, hop,...", en trois coups de crayon Philippe Starck explique le concept de son sofa Bubble Club qui démocratise enfin l'idée du canapé. A partir d'un grand classique des années 20, il crée un canapé archétype en plastique rotomoulé, procédé inédit de la firme italienne Kartell.
"Le BIC cristal": C'est en 1950 que le Baron Marcel Bich lance le BIC Cristal. Remarquable par ses qualités d'usage et sa forme simple totalement adaptée à sa fonction, ce stylo à bille révolutionne les habitudes d'écriture. Plus d'un demi-siècle plus tard, cet objet au design intemporel continue dans le monde entier, à faire partie de notre vie quotidienne. Ce film suit le fil de cette réinvention de l'écriture.
"Les lampes Akari": Pour créer les lampes Akari, ces lampes de papier fragiles et légères mais résolument modernes, le sculpteur et designer américano-japonais Isamu Noguchi s'inspire des lanternes traditionnelles japonaises, travaillant la lumière en formes sculpturales.
"L'aspirateur Hoover": Dans l'histoire de l'aspirateur, le Hoover "One-fifty", créé par le designer Henry Dreyfuss en 1934, réussit une combinaison inédite de la forme et de la fonction. Le nom Hoover deviendra tellement populaire qu'il remplacera bientôt le mot aspirateur pour les consommateurs américains.
"L'iMac": Ovoïde, transparent, convivial et coloré: à sa sortie en 1998, le iMac d'Apple fait l'effet d'une bombe dans un marche de l'informatique jusqu'alors voué au beige et au gris. Le designer Jonathan Ive démythifie l'ordinateur qui investit alors l'espace privé.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102716 102 N.1.1394/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102715URL
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Titre : Coffret Design. Vol. 2 Type de document : document projeté ou vidéo Editeur : arte vidéo Année de publication : 1999-2007 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Design
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE / ARAD RON Index. décimale : 102 Design Résumé : "La bibliothèque Bookworm": Objet emblématique du design du XXe siècle, la bibliothèque Bookworm créée par Ron Arad est un rare exemple de forme souple et de ligne courbe pour le rangement des livres. Le choix du Bookworm pose une question essentielle, celle de la place des bibliothèques et des livres dans la vie.
"Le Concorde": En 1967, le Concorde fut le symbole d'une véritable coopération: chercheurs, ingénieurs, designers, stylistes ont tous participé à cette extraordinaire aventure industrielle qui permit aux passagers de voler à deux fois la vitesse du son dans un cadre moderne, esthétique et luxueux.
"La cafetière Conica": Dessinée par Aldo Rossi en 1984 pour Alessi, la cafetière Conica se veut "un monument miniature" de notre "paysage domestique". Exit l'aluminium économique de l'après guerre, la poignée de bakélite et les faces hexagonales de la cafetière italienne classique: la Conica est une tour cylindrique d'acier inoxydable, lisse comme un miroir.
"Le Leica": Conçu en 1914, le Leica est un objet unique dans l'histoire du design au regard de sa longévité. Objet génialement novateur, il a participé à la création d'une vision radicalement nouvelle du monde, celle du photo-journalisme.
"Le Lounge Chair": Créé en 1956 par le couple Charles et Ray Eames, le Lounge Chair est devenu le symbole du boom économique des années 1950, de l'aspiration au confort à l'attitude "relax" induite par l'usage nonchalant du repose-pied. Rendu célèbre par Billy Wilder, il est resté indémodable.
"La Vespa": Conçue dans l'Italie de l'après guerre, la Vespa rencontre un succès immédiat: elle est sûre, économique et les Italiens tombent amoureux de ses formes rondes. Plus qu'un produit industriel, la Vespa devient le symbole du renouveau de l'Italie que le cinéma transforme en véritable star.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
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Coffret Design. Vol. 2 [document projeté ou vidéo] . - [S.l.] : arte vidéo, 1999-2007 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Design
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE / ARAD RON Index. décimale : 102 Design Résumé : "La bibliothèque Bookworm": Objet emblématique du design du XXe siècle, la bibliothèque Bookworm créée par Ron Arad est un rare exemple de forme souple et de ligne courbe pour le rangement des livres. Le choix du Bookworm pose une question essentielle, celle de la place des bibliothèques et des livres dans la vie.
"Le Concorde": En 1967, le Concorde fut le symbole d'une véritable coopération: chercheurs, ingénieurs, designers, stylistes ont tous participé à cette extraordinaire aventure industrielle qui permit aux passagers de voler à deux fois la vitesse du son dans un cadre moderne, esthétique et luxueux.
"La cafetière Conica": Dessinée par Aldo Rossi en 1984 pour Alessi, la cafetière Conica se veut "un monument miniature" de notre "paysage domestique". Exit l'aluminium économique de l'après guerre, la poignée de bakélite et les faces hexagonales de la cafetière italienne classique: la Conica est une tour cylindrique d'acier inoxydable, lisse comme un miroir.
"Le Leica": Conçu en 1914, le Leica est un objet unique dans l'histoire du design au regard de sa longévité. Objet génialement novateur, il a participé à la création d'une vision radicalement nouvelle du monde, celle du photo-journalisme.
"Le Lounge Chair": Créé en 1956 par le couple Charles et Ray Eames, le Lounge Chair est devenu le symbole du boom économique des années 1950, de l'aspiration au confort à l'attitude "relax" induite par l'usage nonchalant du repose-pied. Rendu célèbre par Billy Wilder, il est resté indémodable.
"La Vespa": Conçue dans l'Italie de l'après guerre, la Vespa rencontre un succès immédiat: elle est sûre, économique et les Italiens tombent amoureux de ses formes rondes. Plus qu'un produit industriel, la Vespa devient le symbole du renouveau de l'Italie que le cinéma transforme en véritable star.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102717 102 N.1.1394/2 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102715URL
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Titre : Coffret Design. Vol. 3 Type de document : document projeté ou vidéo Editeur : arte vidéo Année de publication : 2000-2008 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Design
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANNEES 1960 / ART / AUTOMOBILE / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / MAGNETOPHONE / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / RECHERCHE / RECHERCHE APPLIQUEE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / ART PLASTIQUE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE Index. décimale : 102 Design Résumé : "Le pouf Sacco": Ce singulier "fauteuil anatomique" né en 1968, est un objet à la fois révolutionnaire et ludique, reflet d'une époque où la société, les comportements et les modes de vie ont tous été remis en question. A travers le prisme de cette période contestataire, riche en changements, le spectateur découvre ce fauteuil en forme de poire dans une "ambiance Pop Art".
"Le téléviseur Algol": Un écran incliné. Une poignée qui s'extrait pour le transporter. Le téléviseur Algol n°11, créé en 1964 par Marco Zanuso, et Richard Sapper, est un véritable objet de compagnie. Sa coque en plastique légère et incassable, ses couleurs vives et ses chromes en font un objet attrayant, conçu pour s'intégrer totalement dans son environnement.
"Le fauteuil Paimio": Conçu pour le sanatorium de Paimio en Finlande réalisé par Alvar Aalto, ce fauteuil révolutionnaire par sa conception offre au patient une position idéale pour respirer et profiter du soleil. "Accessoire de l'architecture", il épouse le projet architectural dans une relation forte à la nature et à l'humain.
"Le walkman": Le président de Sony souhaitait écouter de la musique tout en jouant au golf. De cette commande, est née l'idée d'un objet d'écoute musicale individuelle. Symbole de la jeunesse des années 80, sa technologie et son design n'ont pas cessé d'évoluer.
"La Valentine": Avec sa fameuse machine à écrire portable, Ettore Sottsass a introduit une dimension "pop" dans le secteur du design. De couleur rouge vif et gratifiée d'un prénom féminin, la "Valentine" est un outil érotisé et fortement emblématique de la fin des années 60. "Une fleur rouge posée par Sottsass sur les pavés gris de 68..."
"La Jaguar type E": En février 1961, au Salon de l'automobile de Genève, le stand Jaguar est submergé par une foule de journalistes et d'amateurs. Plus de 180 commandes sont enregistrées pour une voiture aux formes extravagantes, aux caractéristiques techniques révolutionnaires et aux performances époustouflantes.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
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Coffret Design. Vol. 3 [document projeté ou vidéo] . - [S.l.] : arte vidéo, 2000-2008 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
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Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANNEES 1960 / ART / AUTOMOBILE / ESTHETIQUE INDUSTRIELLE / FABRICATION / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / MAGNETOPHONE / MATERIEL INFORMATIQUE / MOBILIER / PRODUCTION INDUSTRIELLE / RECHERCHE / RECHERCHE APPLIQUEE / SOCIOLOGIE / TECHNOLOGIE / ART PLASTIQUE / CREATION ARTISTIQUE / OUTIL / 20è SIECLE Index. décimale : 102 Design Résumé : "Le pouf Sacco": Ce singulier "fauteuil anatomique" né en 1968, est un objet à la fois révolutionnaire et ludique, reflet d'une époque où la société, les comportements et les modes de vie ont tous été remis en question. A travers le prisme de cette période contestataire, riche en changements, le spectateur découvre ce fauteuil en forme de poire dans une "ambiance Pop Art".
"Le téléviseur Algol": Un écran incliné. Une poignée qui s'extrait pour le transporter. Le téléviseur Algol n°11, créé en 1964 par Marco Zanuso, et Richard Sapper, est un véritable objet de compagnie. Sa coque en plastique légère et incassable, ses couleurs vives et ses chromes en font un objet attrayant, conçu pour s'intégrer totalement dans son environnement.
"Le fauteuil Paimio": Conçu pour le sanatorium de Paimio en Finlande réalisé par Alvar Aalto, ce fauteuil révolutionnaire par sa conception offre au patient une position idéale pour respirer et profiter du soleil. "Accessoire de l'architecture", il épouse le projet architectural dans une relation forte à la nature et à l'humain.
"Le walkman": Le président de Sony souhaitait écouter de la musique tout en jouant au golf. De cette commande, est née l'idée d'un objet d'écoute musicale individuelle. Symbole de la jeunesse des années 80, sa technologie et son design n'ont pas cessé d'évoluer.
"La Valentine": Avec sa fameuse machine à écrire portable, Ettore Sottsass a introduit une dimension "pop" dans le secteur du design. De couleur rouge vif et gratifiée d'un prénom féminin, la "Valentine" est un outil érotisé et fortement emblématique de la fin des années 60. "Une fleur rouge posée par Sottsass sur les pavés gris de 68..."
"La Jaguar type E": En février 1961, au Salon de l'automobile de Genève, le stand Jaguar est submergé par une foule de journalistes et d'amateurs. Plus de 180 commandes sont enregistrées pour une voiture aux formes extravagantes, aux caractéristiques techniques révolutionnaires et aux performances époustouflantes.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102718 102 N.1.1394/3 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102715URL
Titre : Notre pain quotidien Titre original : Unser täglich Brot Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Nikolaus Geyrhalter, Auteur Année de publication : 2005 Importance : 1 dvd Présentation : 92 min Format : 16/9 ISBN/ISSN/EAN : 5425019000219 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheMots-clés : AGRICULTURE ALIMENTATION CONDITION DE TRAVAIL CONSOMMATION ÉLEVAGE INDUSTRIE PÊCHE PESTICIDE PRODUIT LAITIER TRAVAIL BOEUF ÉCONOMIE INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE INDUSTRIE DU FROID LÉGUME POLITIQUE AGRICOLE POLLUTION DU SOL PORC PRODUCTION INDUSTRIELLE ALIMENT FRUIT POULE PRODUCTIVITÉ INDUSTRIELLE CONTRÔLE DES ALIMENTS TYPE D’AGRICULTURE CULTURE MARAÎCHÈRE Index. décimale : 117.34 Agriculture / élevage / pêche Résumé : Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles, nous donnant accès des zones inaccessibles. Il a filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser un documentaire cinéma qui interroge et implique intimement chaque spectateur.
Notre pain quotidien ouvre une fenêtre sur l'industrie alimentaire de nos civilisations occidentales modernes. Réponse à notre sur-consommmation, la productivité nous a éloigné d'une réalité humaine pour entrer dans une démesure ultra-intensive qui a rejoint les descriptions des romans d'anticipation.
Cadrages minutieusement composés, images cristallines, montage fluide construisent un film sans commentaire, sans propagande, dont les images parlent et demeurent.
Notre Pain Quotidien questionne, inquiète et fascine.Genre : Documentaire, cinéma militant Niveau : secondaire et + Notre pain quotidien = Unser täglich Brot [document projeté ou vidéo] / Nikolaus Geyrhalter, Auteur . - 2005 . - 1 dvd : 92 min ; 16/9.
ISSN : 5425019000219
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheMots-clés : AGRICULTURE ALIMENTATION CONDITION DE TRAVAIL CONSOMMATION ÉLEVAGE INDUSTRIE PÊCHE PESTICIDE PRODUIT LAITIER TRAVAIL BOEUF ÉCONOMIE INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE INDUSTRIE DU FROID LÉGUME POLITIQUE AGRICOLE POLLUTION DU SOL PORC PRODUCTION INDUSTRIELLE ALIMENT FRUIT POULE PRODUCTIVITÉ INDUSTRIELLE CONTRÔLE DES ALIMENTS TYPE D’AGRICULTURE CULTURE MARAÎCHÈRE Index. décimale : 117.34 Agriculture / élevage / pêche Résumé : Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles, nous donnant accès des zones inaccessibles. Il a filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser un documentaire cinéma qui interroge et implique intimement chaque spectateur.
Notre pain quotidien ouvre une fenêtre sur l'industrie alimentaire de nos civilisations occidentales modernes. Réponse à notre sur-consommmation, la productivité nous a éloigné d'une réalité humaine pour entrer dans une démesure ultra-intensive qui a rejoint les descriptions des romans d'anticipation.
Cadrages minutieusement composés, images cristallines, montage fluide construisent un film sans commentaire, sans propagande, dont les images parlent et demeurent.
Notre Pain Quotidien questionne, inquiète et fascine.Genre : Documentaire, cinéma militant Niveau : secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100024 117.34 N.1.0701 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
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Titre : We feed the world : Le marché de la faim Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Erwin Wagenhofer, Auteur Editeur : Montparnasse Année de publication : 2006 Importance : 1 dvd Présentation : 96 min Format : 4/3 Accompagnement : bonus Langues : Français (fre) Allemand (ger) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêche
Education par les médias:Société:Emploi
Education par les médias:Société:MigrationsMots-clés : cinéma engagé cinéma militant société de consommation production industrielle culture en serres Almeria Andalousie immigration migration industrie agro-alimentaire semences Roumanie alimentation OGM pesticides malnutrition Brésil forêt amazonienne eau Index. décimale : 117.34 Agriculture / élevage / pêche Résumé : Chaque jour à Vienne, la quantité de pain inutilisée, et vouée à la destruction, pourrait nourrir la seconde plus grande ville d'Autriche, Graz... Environ 350 000 hectares de terres agricoles, essentiellement en Amérique latine, sont employés à la culture du soja destiné à la nourriture du cheptel des pays européens alors que près d'un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique. Chaque Européen consomme annuellement 10 kilogrammes de légumes verts, irrigués artificiellement dans le Sud de l'Espagne, et dont la culture provoque des pénuries d'eau locales... Note de contenu : bonus : témoignages Genre : Documentaire, cinéma militant Niveau : secondaire et + En ligne : www.we-feed-the-world.fr/ We feed the world : Le marché de la faim [document projeté ou vidéo] / Erwin Wagenhofer, Auteur . - [S.l.] : Montparnasse, 2006 . - 1 dvd : 96 min ; 4/3 + bonus.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêche
Education par les médias:Société:Emploi
Education par les médias:Société:MigrationsMots-clés : cinéma engagé cinéma militant société de consommation production industrielle culture en serres Almeria Andalousie immigration migration industrie agro-alimentaire semences Roumanie alimentation OGM pesticides malnutrition Brésil forêt amazonienne eau Index. décimale : 117.34 Agriculture / élevage / pêche Résumé : Chaque jour à Vienne, la quantité de pain inutilisée, et vouée à la destruction, pourrait nourrir la seconde plus grande ville d'Autriche, Graz... Environ 350 000 hectares de terres agricoles, essentiellement en Amérique latine, sont employés à la culture du soja destiné à la nourriture du cheptel des pays européens alors que près d'un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique. Chaque Européen consomme annuellement 10 kilogrammes de légumes verts, irrigués artificiellement dans le Sud de l'Espagne, et dont la culture provoque des pénuries d'eau locales... Note de contenu : bonus : témoignages Genre : Documentaire, cinéma militant Niveau : secondaire et + En ligne : www.we-feed-the-world.fr/
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100025 117.34 N.1.0702 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100025URL
Titre : 100 techniques de pros pour le cinéma amateur Type de document : texte imprimé Auteurs : Chris Kenworthy (1968-....), Auteur ; Daniel Garance, Traducteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2006 Importance : 191 p. Présentation : ill. en coul., couv ill. en noir et en coul. Format : 24 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...) Mots-clés : Films d'amateurs Guides manuels etc. Vidéo Production et réalisation Manuels d'amateurs Index. décimale : 31 Vidéo et enseignement/animation Résumé : Cet ouvrage s'adresse à tous les réalisateurs amateurs qui savent déjà utiliser et manier leur caméra vidéo, qui ont de bonnes notions de cinéma et de montage, et qui pourtant sont déçus par le rendu de leurs premiers films. Des effets d'éclaircie à la création d'illusions (brume et contre-jour, flash-back, jeux de miroirs, reflets, cadre dans le cadre), des mouvements de caméra aux effets spéciaux (lumières mouvantes, traversée d'un trou de serrure, fausse pluie, vent d'automne, passe-muraille...), sans oublier les cascades et les maquillages des acteurs, cent astuces techniques faciles à mettre en oeuvre sont détaillées pas à pas au fil des rubriques pour vous aider à enrichir vos mises en scène. Vous améliorerez ainsi les effets visuels et sonores de vos films et apprendrez à accentuer l'impact de vos plans pour obtenir au final, avec un matériel et des moyens tout à fait accessibles, une mise en images de rendu professionnel. Note de contenu : * Introduction
* Effets d'éclairage
* Illusions de caméra
* Mouvements de caméra
* Illusions au montage
* Effets spéciaux
* Effets visuels
* Cascades
* Effets avancés
* Extérieurs nuit
* Météo
* Sons
* Maquillage
* RemerciementsPays : Angleterre Niveau : secondaire supérieur et + 100 techniques de pros pour le cinéma amateur [texte imprimé] / Chris Kenworthy (1968-....), Auteur ; Daniel Garance, Traducteur . - Paris : Eyrolles, 2006 . - 191 p. : ill. en coul., couv ill. en noir et en coul. ; 24 cm.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...) Mots-clés : Films d'amateurs Guides manuels etc. Vidéo Production et réalisation Manuels d'amateurs Index. décimale : 31 Vidéo et enseignement/animation Résumé : Cet ouvrage s'adresse à tous les réalisateurs amateurs qui savent déjà utiliser et manier leur caméra vidéo, qui ont de bonnes notions de cinéma et de montage, et qui pourtant sont déçus par le rendu de leurs premiers films. Des effets d'éclaircie à la création d'illusions (brume et contre-jour, flash-back, jeux de miroirs, reflets, cadre dans le cadre), des mouvements de caméra aux effets spéciaux (lumières mouvantes, traversée d'un trou de serrure, fausse pluie, vent d'automne, passe-muraille...), sans oublier les cascades et les maquillages des acteurs, cent astuces techniques faciles à mettre en oeuvre sont détaillées pas à pas au fil des rubriques pour vous aider à enrichir vos mises en scène. Vous améliorerez ainsi les effets visuels et sonores de vos films et apprendrez à accentuer l'impact de vos plans pour obtenir au final, avec un matériel et des moyens tout à fait accessibles, une mise en images de rendu professionnel. Note de contenu : * Introduction
* Effets d'éclairage
* Illusions de caméra
* Mouvements de caméra
* Illusions au montage
* Effets spéciaux
* Effets visuels
* Cascades
* Effets avancés
* Extérieurs nuit
* Météo
* Sons
* Maquillage
* RemerciementsPays : Angleterre Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301290 31 H.1.04021 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
100_techniques_de_pros_pour_le_cinéma_amateurURLArchitectures volume 1 / Collectif
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102703 96 N.1.1390/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : Les artisans de l'imaginaire : Comment la télévision fabrique la culture de masse ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique Dagnaud (1947-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2006 Importance : 1 vol. (319 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26954-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Mots-clés : Culture de masse France 1990-.... Télévision et société France 1990-.... Télévision Production et réalisation Enquêtes France 1990-.... Producteurs de télévision Statistiques France 1990-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Vingt millions de fidèles chaque soir, en France. Plus de deux millions de téléspectateurs pour le moindre téléfilm. Plus de trois heures par personne et par jour : la télévision façonne largement notre univers mental. Elle colonise notre temps libre, " télémorphose " nos vies, et nourrit notre imaginaire, véhiculant une " culture de masse " qui nous imprègne tous, même ceux qui s'en défendent et la critiquent. Face à cet état de fait, rien de plus surprenant, et de plus limitant pour le débat que notre ignorance de la réalité sociologique et des finalités de ceux qui " fabriquent " cette culture spécifique dans sa variante française. Nous sommes ici loin de la puissante et riche industrie américaine du spectacle. Derrière nos quelques grands groupes télévisuels se cache un milieu restreint, fonctionnant dans une logique de réseaux et de connivence, modelé par l'intervention de l'Etat sous la bannière de l'" exception culturelle " : celui des producteurs de télévision et des petites entreprises qu'ils dirigent. Fruit de la première grande enquête jamais réalisée auprès des producteurs de télévision et d'une parfaite connaissance de ce milieu, cet ouvrage soulève le couvercle. Sans parti pris polémique, avec un regard sociologique parfois amusé, mais toujours rigoureux, il nous permet d'appréhender les modalités de l'intervention, sur notre vie démocratique, de ces industries de l'imaginaire qui se rêvent critiques et sont passées championnes dans l'art de renvoyer au public une vision " enchantée " et positive de la collectivité nationale.
Les artisans de l'imaginaire : Comment la télévision fabrique la culture de masse ? [texte imprimé] / Monique Dagnaud (1947-....), Auteur . - Paris (France) : Armand Colin, 2006 . - 1 vol. (319 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-200-26954-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Mots-clés : Culture de masse France 1990-.... Télévision et société France 1990-.... Télévision Production et réalisation Enquêtes France 1990-.... Producteurs de télévision Statistiques France 1990-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Vingt millions de fidèles chaque soir, en France. Plus de deux millions de téléspectateurs pour le moindre téléfilm. Plus de trois heures par personne et par jour : la télévision façonne largement notre univers mental. Elle colonise notre temps libre, " télémorphose " nos vies, et nourrit notre imaginaire, véhiculant une " culture de masse " qui nous imprègne tous, même ceux qui s'en défendent et la critiquent. Face à cet état de fait, rien de plus surprenant, et de plus limitant pour le débat que notre ignorance de la réalité sociologique et des finalités de ceux qui " fabriquent " cette culture spécifique dans sa variante française. Nous sommes ici loin de la puissante et riche industrie américaine du spectacle. Derrière nos quelques grands groupes télévisuels se cache un milieu restreint, fonctionnant dans une logique de réseaux et de connivence, modelé par l'intervention de l'Etat sous la bannière de l'" exception culturelle " : celui des producteurs de télévision et des petites entreprises qu'ils dirigent. Fruit de la première grande enquête jamais réalisée auprès des producteurs de télévision et d'une parfaite connaissance de ce milieu, cet ouvrage soulève le couvercle. Sans parti pris polémique, avec un regard sociologique parfois amusé, mais toujours rigoureux, il nous permet d'appréhender les modalités de l'intervention, sur notre vie démocratique, de ces industries de l'imaginaire qui se rêvent critiques et sont passées championnes dans l'art de renvoyer au public une vision " enchantée " et positive de la collectivité nationale.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300570 32 H.1.03017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300570URL
Titre : Billy Elliot Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Stephen Daldry, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Studio Canal Année de publication : 1999 Importance : 1 dvd Présentation : 105 min (sans les suppléments) ISBN/ISSN/EAN : 3259119630821 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Arts et médias:Danse/Arts de la scène
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : danse classique ballet Lac des cygnes ville industrielle grève mine Index. décimale : 110 Gender studies + féminisme Résumé : Dans un petit village minier du Nord-Est de l'Angleterre, Billy, onze ans, découvre avec stupeur qu'un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D'abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève.
Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy.
Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l'argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse.
Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui-même.Note de contenu : Suppléments :
- making of (13 min)
- interview : Billy Elliot vu par Patrick Dupont (15 min)
- bandes annonces
- filmographieGenre : Comédie dramatique Pays : Royaume Uni Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Billy Elliot [document projeté ou vidéo] / Stephen Daldry, Metteur en scène, réalisateur . - France : Studio Canal, 1999 . - 1 dvd : 105 min (sans les suppléments).
ISSN : 3259119630821
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Arts et médias:Danse/Arts de la scène
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : danse classique ballet Lac des cygnes ville industrielle grève mine Index. décimale : 110 Gender studies + féminisme Résumé : Dans un petit village minier du Nord-Est de l'Angleterre, Billy, onze ans, découvre avec stupeur qu'un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D'abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève.
Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy.
Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l'argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse.
Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui-même.Note de contenu : Suppléments :
- making of (13 min)
- interview : Billy Elliot vu par Patrick Dupont (15 min)
- bandes annonces
- filmographieGenre : Comédie dramatique Pays : Royaume Uni Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103771 110 N.1.1894 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
103771URLLe cinéma / Francis Vanoye
Titre : Le cinéma : Histoire, genres et formes, réalisation, production-diffusion, techniques, lire un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Vanoye, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 2000 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-177816-7 Note générale : les ouvrages de la Collection Repères pratique répondent à une exigence de formation générale et professionnelle. Chaque titre propose à tous des références précises et actualisées ainsi que des synthèses faciles à mémoriser. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Cinéma histoire genre forme réalisation production diffusion technique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Le cinéma : Histoire, genres et formes, réalisation, production-diffusion, techniques, lire un film [texte imprimé] / Francis Vanoye, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Nathan, 2000.
ISBN : 978-2-09-177816-7
les ouvrages de la Collection Repères pratique répondent à une exigence de formation générale et professionnelle. Chaque titre propose à tous des références précises et actualisées ainsi que des synthèses faciles à mémoriser.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Cinéma histoire genre forme réalisation production diffusion technique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301229 17 H.1.01804 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le cinéma hollywoodien Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-532-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le cinéma hollywoodien [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-532-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301269 21 H.1.04023 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
Cinéma_hollywoodienURLCitizen Kane / Jean Roy
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Titre : Citizen Kane Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Roy, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1989 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-188622-0 Note générale :
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Citizen Kane [texte imprimé] / Jean Roy, Auteur . - Paris : Nathan, 1989.
ISBN : 978-2-09-188622-0
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302187 19 H.1.00820 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302229 19 H.1.02017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le court métrage Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Méranger Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-460-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le court métrage [texte imprimé] / Thierry Méranger . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-86642-460-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302428 17 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301266 21 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
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Titre : Découvrir l'éclairage vidéo Type de document : texte imprimé Auteurs : Des Lyver, Auteur ; Graham Swainson, Auteur ; René Bouillot (1930-....), Adaptateur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2000 Importance : VII-202 p. Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-05518-4 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Télévision:Technologie de la télévision
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Vidéo Production et réalisation Cinéma éclairage direction photo Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : Enfin, des exemples pratiques illustrent la manière de bien éclairer les scènes les plus courantes. Ces " exercices " ne donnent pas les réponses à tous les problèmes, mais proposent à chaque fois une bonne base de départ. Découvrir l'éclairage vidéo a pour ambition de communiquer au lecteur les bases d'un processus assez complexe, cela sans abuser de termes techniques. On n'y donne que les indications techniques nécessaires à la compréhension d'un problème. Cet ouvrage s'adresse à l'étudiant ou à l'amateur n'ayant aucune connaissance préalable de l'éclairage vidéo, ou du moins très peu. Découvrir l'éclairage vidéo [texte imprimé] / Des Lyver, Auteur ; Graham Swainson, Auteur ; René Bouillot (1930-....), Adaptateur . - Paris : Eyrolles, 2000 . - VII-202 p. : ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-212-05518-4
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
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Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Vidéo Production et réalisation Cinéma éclairage direction photo Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : Enfin, des exemples pratiques illustrent la manière de bien éclairer les scènes les plus courantes. Ces " exercices " ne donnent pas les réponses à tous les problèmes, mais proposent à chaque fois une bonne base de départ. Découvrir l'éclairage vidéo a pour ambition de communiquer au lecteur les bases d'un processus assez complexe, cela sans abuser de termes techniques. On n'y donne que les indications techniques nécessaires à la compréhension d'un problème. Cet ouvrage s'adresse à l'étudiant ou à l'amateur n'ayant aucune connaissance préalable de l'éclairage vidéo, ou du moins très peu. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300817 29 H.1.01806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300817URLDossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible DVD Guide pratique du tournage vidéo / Olivier Ponthus
Accompagne Guide pratique du tournage vidéo / Olivier Ponthus
Titre : DVD Guide pratique du tournage vidéo Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Olivier Ponthus, Auteur Editeur : [Paris] : Dunod Année de publication : 2008 Importance : 1 dvd Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignement
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Cinéma Production et réalisation France Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : DVD interactif de 30 min commenté par l'auteur illustrant par séquences les notions clés d'un tournage vidéo réussi. Observez, écoutez et laissez-vous guider pour savoir ce qu'il faut faire ou ne pas faire. Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et +
Accompagne Guide pratique du tournage vidéo / Olivier Ponthus
DVD Guide pratique du tournage vidéo [document projeté ou vidéo] / Olivier Ponthus, Auteur . - [Paris] : Dunod, 2008 . - 1 dvd.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignement
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : Cinéma Production et réalisation France Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : DVD interactif de 30 min commenté par l'auteur illustrant par séquences les notions clés d'un tournage vidéo réussi. Observez, écoutez et laissez-vous guider pour savoir ce qu'il faut faire ou ne pas faire. Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102485 29 H.1.04210 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Faire un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Sidney Lumet (1924-...), Auteur Mention d'édition : Première édition : 1995 Editeur : Capricci Editions Année de publication : 2016 Importance : 279 p. ISBN/ISSN/EAN : 979-1-02-390109-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Cinéma scénario tournage production bande-son conception film casting costumes montage Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Comment choisit-on un scénario ? Qu’est-ce qui détermine le style d’un film ? Comment gérer un tournage en extérieur avec une centaine de figurants ? Que faire pour maintenir la concentration d’un acteur au bout de la dixième prise ?
Étape par étape, Sidney Lumet aborde tous les aspects de la création cinématographique, de l’écriture à la post-production : le casting, les répétitions, le choix des décors et des costumes, le tournage et le montage, la conception de la bande-son…, jusqu’au moment fatidique de la première projection. Lumet offre avec ce livre le point de vue rare d’un cinéaste sur son propre travail et sur son art, nourri d’une longue expérience à Hollywood où il a tourné avec les plus grandes stars (de Katharine Hepburn à Al Pacino). À la fois mémoires professionnelles fourmillant d’anecdotes et guide pour apprenti réalisateur, Faire un film est une plongée saisissante dans les coulisses du cinéma.Niveau : enseignement supérieur et universitaire Faire un film [texte imprimé] / Sidney Lumet (1924-...), Auteur . - Première édition : 1995 . - [S.l.] : Capricci Editions, 2016 . - 279 p.
ISBN : 979-1-02-390109-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Cinéma scénario tournage production bande-son conception film casting costumes montage Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Comment choisit-on un scénario ? Qu’est-ce qui détermine le style d’un film ? Comment gérer un tournage en extérieur avec une centaine de figurants ? Que faire pour maintenir la concentration d’un acteur au bout de la dixième prise ?
Étape par étape, Sidney Lumet aborde tous les aspects de la création cinématographique, de l’écriture à la post-production : le casting, les répétitions, le choix des décors et des costumes, le tournage et le montage, la conception de la bande-son…, jusqu’au moment fatidique de la première projection. Lumet offre avec ce livre le point de vue rare d’un cinéaste sur son propre travail et sur son art, nourri d’une longue expérience à Hollywood où il a tourné avec les plus grandes stars (de Katharine Hepburn à Al Pacino). À la fois mémoires professionnelles fourmillant d’anecdotes et guide pour apprenti réalisateur, Faire un film est une plongée saisissante dans les coulisses du cinéma.Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305043 20.2 H.1.04992 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
faire un film.jpgImage JpegFaire un film / François Chevassu
Titre : Faire un film : produire, écrire, réaliser, diffuser Type de document : texte imprimé Auteurs : François Chevassu, Auteur Editeur : Paris : Edilig Année de publication : 1987 Collection : Médiathèque, ISSN 0751-9273 Importance : 263 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85601-179-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma Mots-clés : Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Résumé : Présenté en quatre parties, accompagnées de quinze annexes techniques et d'un index de 360 termes techniques. Faire un film : produire, écrire, réaliser, diffuser [texte imprimé] / François Chevassu, Auteur . - Edilig, 1987 . - 263 p.. - (Médiathèque, ISSN 0751-9273) .
ISBN : 978-2-85601-179-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma Mots-clés : Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Résumé : Présenté en quatre parties, accompagnées de quinze annexes techniques et d'un index de 360 termes techniques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300953 20 H.1.00706 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Gaumont, un siècle de cinéma / François Garçon
Titre : Gaumont, un siècle de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : François Garçon, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1994 Collection : Découvertes Gallimard Sous-collection : Cinéma ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-053251-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma des premiers temps cinéma muet production Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
A l'origine, la rencontre d'un jeune ingénieur passionné par la technique photographique, Léon Gaumont, et du cinématographe. Aujourd'hui, une société qui produit, distribue et exploite aux quatre coins du monde un patrimoine comptant parmi ses nombreux talents Alice Guy, première réalisatrice, Louis Feuillade et ses Vampires, Jean Vigo le rebelle, Martine Carol la sulfureuse ou les mythiques Tontons flingueurs. Plus près de nous, de La Boum à 37°2 le matin, de La Gloire de mon père au Grand bleu, de La Folie des grandeurs à La Chèvre ou aux Visiteurs, les nouveaux films cultes. Gaumont, doyenne mondiale des compagnies de cinéma : une histoire qui se confond avec celle du cinéma français.Gaumont, un siècle de cinéma [texte imprimé] / François Garçon, Auteur . - , 1994. - (. Cinéma) .
ISBN : 978-2-07-053251-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma des premiers temps cinéma muet production Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
A l'origine, la rencontre d'un jeune ingénieur passionné par la technique photographique, Léon Gaumont, et du cinématographe. Aujourd'hui, une société qui produit, distribue et exploite aux quatre coins du monde un patrimoine comptant parmi ses nombreux talents Alice Guy, première réalisatrice, Louis Feuillade et ses Vampires, Jean Vigo le rebelle, Martine Carol la sulfureuse ou les mythiques Tontons flingueurs. Plus près de nous, de La Boum à 37°2 le matin, de La Gloire de mon père au Grand bleu, de La Folie des grandeurs à La Chèvre ou aux Visiteurs, les nouveaux films cultes. Gaumont, doyenne mondiale des compagnies de cinéma : une histoire qui se confond avec celle du cinéma français.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302322 17 H.1.01379 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible La grammaire du langage filmé / Daniel Arijon
Titre : La grammaire du langage filmé : Encyclopédie de la mise en scène Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Arijon, Auteur ; Bonnet, Évelyne, Traducteur Editeur : Editions Dujarric Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (623 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 25 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85947-046-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : production et réalisation sémiotique et cinéma guides pratiques et mémentos langage du cinéma langage cinématographique Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Cet ouvrage de référence, traduit dans plusieurs langues, réunit l'ensemble des méthodes de narration, de mise en scène et de montage appliquées à la création cinématographique et audiovisuelle. Dédiée au professionnel, à l'étudiant comme au cinéphile, la "grammaire du langage filmé" offre les points de repère nécessaires pour organiser un tournage. La grammaire du langage filmé : Encyclopédie de la mise en scène [texte imprimé] / Daniel Arijon, Auteur ; Bonnet, Évelyne, Traducteur . - [S.l.] : Editions Dujarric, 2004 . - 1 vol. (623 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm.
ISBN : 978-2-85947-046-3
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : production et réalisation sémiotique et cinéma guides pratiques et mémentos langage du cinéma langage cinématographique Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Cet ouvrage de référence, traduit dans plusieurs langues, réunit l'ensemble des méthodes de narration, de mise en scène et de montage appliquées à la création cinématographique et audiovisuelle. Dédiée au professionnel, à l'étudiant comme au cinéphile, la "grammaire du langage filmé" offre les points de repère nécessaires pour organiser un tournage. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301520 21 H.1.02945 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Est accompagné de
Titre : Guide pratique du tournage vidéo Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Ponthus, Auteur Editeur : [Paris] : Dunod Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. (135 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Accompagnement : 1 dvd interactif ISBN/ISSN/EAN : 978-2-10-051021-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Cinéma Production et réalisation France Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : Etudiants débutants en audiovisuel ou simples amateurs à la recherche de conseils avisés, ce petit guide pratique, richement illustré et tout en couleurs, est pour vous !
Fort de son expérience de journaliste reporter d'image, l'auteur vous expose les règles de base de la vidéo et vous dévoile ses trucs et astuces pour un tournage réussi :
-· comprendre et maîtriser les réglages de votre caméra : zoom, mise au point, lumière, filtres, profondeur de champ, balance des blancs, son, etc. ;
-· adopter les bons gestes pour cadrer, donner du sens à vos images et transmettre le message souhaité au spectateur : plans fixes, interviews, mouvements et effets de caméra, construction en séquences, etc. ;
-· apprendre à respecter les règles élémentaires de tournage selon vos moyens techniques, vos envies et bien sûr la situation tournée.
Le DVD interactif propose un film de 30 minutes, commenté par l'auteur, illustrant par séquences les notions clés d'un tournage vidéo réussi.
Observez, écoutez et laissez-vous guider pour savoir ce qu'il faut faire ou ne pas faire !Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et + Guide pratique du tournage vidéo [texte imprimé] / Olivier Ponthus, Auteur . - [Paris] : Dunod, 2008 . - 1 vol. (135 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. + 1 dvd interactif.
ISBN : 978-2-10-051021-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Cinéma Production et réalisation France Index. décimale : 29 Technologie de la vidéo Résumé : Etudiants débutants en audiovisuel ou simples amateurs à la recherche de conseils avisés, ce petit guide pratique, richement illustré et tout en couleurs, est pour vous !
Fort de son expérience de journaliste reporter d'image, l'auteur vous expose les règles de base de la vidéo et vous dévoile ses trucs et astuces pour un tournage réussi :
-· comprendre et maîtriser les réglages de votre caméra : zoom, mise au point, lumière, filtres, profondeur de champ, balance des blancs, son, etc. ;
-· adopter les bons gestes pour cadrer, donner du sens à vos images et transmettre le message souhaité au spectateur : plans fixes, interviews, mouvements et effets de caméra, construction en séquences, etc. ;
-· apprendre à respecter les règles élémentaires de tournage selon vos moyens techniques, vos envies et bien sûr la situation tournée.
Le DVD interactif propose un film de 30 minutes, commenté par l'auteur, illustrant par séquences les notions clés d'un tournage vidéo réussi.
Observez, écoutez et laissez-vous guider pour savoir ce qu'il faut faire ou ne pas faire !Pays : France Niveau : Secondaire supérieur et +
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301722 29 H.1.04210 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301722URL
Titre : Hollywood, la norme et la marge Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Loup Bourget (1944-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Armand Colin Année de publication : 2005 Collection : Armand Colin cinéma, ISSN 1771-5563 Importance : 1 vol. (315 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-34176-3 Prix : 26 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : ;Genres cinématographiques;Histoire;états-Unis;Cinéma;Histoire et critique;états-Unis;1929-1945;Cinéma;Histoire et critique;états-Unis;1945-1960;Cinéma;Production et réalisation;états-Unis;Hollywood (Calif.);1900-1945;Cinéma;Production et réalisation;états-Unis;Hollywood (Calif.);1945-1970 Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La double ambition d'Hollywood, la norme et la marge, est d'offrir un panorama du " cinéma hollywoodien classique " (1930-1960), et de formuler quelques hypothèses permettant d'expliquer la diversité et la complexité, trop souvent méconnues, de ce cinéma.
Sont d'abord étudiés les principaux genres (comédie, mélodrame, western, film criminel, comédie musicale, film historique . ), l'esthétique des grands studios, les implications du code d'autocensure, la typologie des stars. Souvent perçu comme moyen de propagande et de réforme sociale, même à Hollywood, le cinéma est d'abord envisagé dans son contexte idéologique, puis dans son environnement artistique: art de masse, il s'inscrit dans un horizon culturel complexe.
Ce livre fait enfin le point sur les échanges artistiques entre Hollywood et les autres cinématographies, allemande, anglaise, scandinave, italienne. Il se conclut par une étude des marges esthétiques qui ne cessent de parasiter la belle ordonnance du classicisme hollywoodien. L'hypothèse d'ensemble est celle d'une " hybridation " constante, d'échanges réciproques entre le cinéma et les autres arts, entre l'art savant et l'art populaire, entre la norme et ses marges.Hollywood, la norme et la marge [texte imprimé] / Jean-Loup Bourget (1944-....), Auteur . - Armand Colin, 2005 . - 1 vol. (315 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Armand Colin cinéma, ISSN 1771-5563) .
ISBN : 978-2-200-34176-3 : 26 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : ;Genres cinématographiques;Histoire;états-Unis;Cinéma;Histoire et critique;états-Unis;1929-1945;Cinéma;Histoire et critique;états-Unis;1945-1960;Cinéma;Production et réalisation;états-Unis;Hollywood (Calif.);1900-1945;Cinéma;Production et réalisation;états-Unis;Hollywood (Calif.);1945-1970 Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La double ambition d'Hollywood, la norme et la marge, est d'offrir un panorama du " cinéma hollywoodien classique " (1930-1960), et de formuler quelques hypothèses permettant d'expliquer la diversité et la complexité, trop souvent méconnues, de ce cinéma.
Sont d'abord étudiés les principaux genres (comédie, mélodrame, western, film criminel, comédie musicale, film historique . ), l'esthétique des grands studios, les implications du code d'autocensure, la typologie des stars. Souvent perçu comme moyen de propagande et de réforme sociale, même à Hollywood, le cinéma est d'abord envisagé dans son contexte idéologique, puis dans son environnement artistique: art de masse, il s'inscrit dans un horizon culturel complexe.
Ce livre fait enfin le point sur les échanges artistiques entre Hollywood et les autres cinématographies, allemande, anglaise, scandinave, italienne. Il se conclut par une étude des marges esthétiques qui ne cessent de parasiter la belle ordonnance du classicisme hollywoodien. L'hypothèse d'ensemble est celle d'une " hybridation " constante, d'échanges réciproques entre le cinéma et les autres arts, entre l'art savant et l'art populaire, entre la norme et ses marges.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300464 17 H.1.03918 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300464URLJoris Ivens / A. Zalzman
Titre : Joris Ivens Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nous construisons Wij Bouwen Creosote The Reichstag Fire Terre d'Espagne The Spanish Earth Les 400 Millions The 400 Million Les Premières Années Pierwze Lata Weltjugendfestival Le Chant des fleuves Das Lied der Strome Les Aventures de Till l'espiègle L'Italie n'est pas un pays pauvre L'Italia non è un paese povero Gérard Philipe Le Pont De Brug Pluie Regen Zuyderzee Zuiderzeewerken Symphonie industrielle Philips-Radio Komsomol ou le chant des héros Pesn o gerojach Komsomol Misère au Borinage Henri Storck Power and the Land Our Russian Front Action Stations Indonesia Calling La paix vaincra My za Mir La Seine a rencontré Paris Demain à Nanguila Carnet de voyage Carnet de viaje Pueblo en armas À Valparaíso Le Petit Chapiteau documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.
Joris Ivens [texte imprimé] / A. Zalzman, Auteur ; Georges Sadoul, Préfacier, etc. ; Joris Ivens (1898-1989), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Joris Ivens est un réalisateur néerlandais, né le 18 novembre 1898 à Nimègue et décédé le 28 juin 1989 à Paris.
Ce grand nom du cinéma documentaire, surnommé «le Hollandais volant», porte un regard engagé et poétique sur le développement et ses inégalités.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nous construisons Wij Bouwen Creosote The Reichstag Fire Terre d'Espagne The Spanish Earth Les 400 Millions The 400 Million Les Premières Années Pierwze Lata Weltjugendfestival Le Chant des fleuves Das Lied der Strome Les Aventures de Till l'espiègle L'Italie n'est pas un pays pauvre L'Italia non è un paese povero Gérard Philipe Le Pont De Brug Pluie Regen Zuyderzee Zuiderzeewerken Symphonie industrielle Philips-Radio Komsomol ou le chant des héros Pesn o gerojach Komsomol Misère au Borinage Henri Storck Power and the Land Our Russian Front Action Stations Indonesia Calling La paix vaincra My za Mir La Seine a rencontré Paris Demain à Nanguila Carnet de voyage Carnet de viaje Pueblo en armas À Valparaíso Le Petit Chapiteau documentaire cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302167 18 H.1.00077 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Mettre en scène pour le cinéma : Mouvements d'acteurs et de caméras Type de document : texte imprimé Auteurs : Steven D. Katz (1950-....), Auteur ; Bertrand Perrotin, Traducteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2006 Importance : 1 vol. (XIV-281 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 26 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-11772-1 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Cet ouvrage destiné aux apprentis réalisateurs, cinéma ou vidéo, propose un " catalogue " d'idées de mise en scène couvrant un vaste champ de situations dramatiques et de styles de cadrage. A travers une douzaine d'études de cas complètes, des story-boards très détaillés et commentés décrivent ainsi les mouvements de caméras et des acteurs, ainsi que les diagrammes des décors et d'espaces de jeu de séquences plus ou moins complexes, tout en tenant compte des éventuelles difficultés techniques posées par chaque stratégie de mise en scène. Chacun de ces ateliers propose également des plannings prévisionnels adaptés et offre les conseils pratiques d'un réalisateur professionnel. Comme le précédent opus de Steven D. Katz, Réaliser ses films plan par plan, ce manuel de référence s'adresse à tous les étudiants en écoles de cinéma, classes prépa, BTS audiovisuels et aux lycéens qui suivent une option cinéma-audiovisuel. Mettre en scène pour le cinéma : Mouvements d'acteurs et de caméras [texte imprimé] / Steven D. Katz (1950-....), Auteur ; Bertrand Perrotin, Traducteur . - Paris : Eyrolles, 2006 . - 1 vol. (XIV-281 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 26 cm.
ISBN : 978-2-212-11772-1
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Cet ouvrage destiné aux apprentis réalisateurs, cinéma ou vidéo, propose un " catalogue " d'idées de mise en scène couvrant un vaste champ de situations dramatiques et de styles de cadrage. A travers une douzaine d'études de cas complètes, des story-boards très détaillés et commentés décrivent ainsi les mouvements de caméras et des acteurs, ainsi que les diagrammes des décors et d'espaces de jeu de séquences plus ou moins complexes, tout en tenant compte des éventuelles difficultés techniques posées par chaque stratégie de mise en scène. Chacun de ces ateliers propose également des plannings prévisionnels adaptés et offre les conseils pratiques d'un réalisateur professionnel. Comme le précédent opus de Steven D. Katz, Réaliser ses films plan par plan, ce manuel de référence s'adresse à tous les étudiants en écoles de cinéma, classes prépa, BTS audiovisuels et aux lycéens qui suivent une option cinéma-audiovisuel. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300911 22 H.1.02991 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300911URLLa mise en scène / Jacques Aumont
Titre : La mise en scène Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Aumont (1942-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Bruxelles : De Boeck université Année de publication : 2000 Importance : 329 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8041-3564-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : acteurs direction d'acteurs production et réalisation Index. décimale : 20.1 Pré-production : scénario, story-board... Résumé : Ce livre regroupe vingt-trois interventions autour de la "scène" du cinéma, de la "mise-en-scène" comme concept du cinéma, mais aussi de propositions nouvelles pour étendre le sens (notamment, au cinéma documentaire). Pour la première fois, des critiques, des universitaires et des cinéastes présentent, d'un point de vue essentiel, un panorama de l'esthétique du cinéma. La mise en scène [texte imprimé] / Jacques Aumont (1942-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Bruxelles : De Boeck université, 2000 . - 329 p.
ISBN : 978-2-8041-3564-5
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Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : acteurs direction d'acteurs production et réalisation Index. décimale : 20.1 Pré-production : scénario, story-board... Résumé : Ce livre regroupe vingt-trois interventions autour de la "scène" du cinéma, de la "mise-en-scène" comme concept du cinéma, mais aussi de propositions nouvelles pour étendre le sens (notamment, au cinéma documentaire). Pour la première fois, des critiques, des universitaires et des cinéastes présentent, d'un point de vue essentiel, un panorama de l'esthétique du cinéma. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302015 20.1 H.1.01863 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Mythes et idéologie du cinéma américain Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Aknin (1961-....), Auteur Editeur : Paris : Vendémiaire Année de publication : impr. 2012 Importance : 224 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-363-58031-3 Prix : 20 EUR Note générale : Filmogr. p. 161-185. Bibliogr., 1 p. Glossaire Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : Films fantastiques Histoire et critique ?Etats-Unis 1990-.... Cin?ema Production et r?ealisation ?Etats-Unis Hollywood (Calif.) 1990-.... Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma hollywoodien actuel, celui des grands studios et des blockbusters, est l'héritier de genres qui ont fait sa fortune, depuis l'immédiat après-guerre : films d'invasion extraterrestre, films de monstres, films catastrophe, films d'horreur, films de super héros enfin, où des hommes araignée, des hommes chauve-souris et autres mutants, au prix d'un combat héroïque, sauvent la planète et la démocratie.
Ces vieilles recettes sont, depuis une dizaine d'années, en écho aux tourmentes géopolitiques qui ont suivi la chute de l'Union soviétique, remises au goût du jour, dans des oeuvres sombres et violentes où la hantise du cataclysme et le culte de la force s'affirment sans détours.
L'ouvrage présente une analyse détaillée des thématiques qui parcourent ces sagas, auxquelles le public adhère si volontiers qu'on ne compte plus les « suites » et les déclinaisons autour d'un même personnage providentiel. Nationalisme, messianisme et xénophobie : le cinéma de propagande a de beaux jours devant lui.Genre : Essai Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Mythes et idéologie du cinéma américain [texte imprimé] / Laurent Aknin (1961-....), Auteur . - Paris : Vendémiaire, impr. 2012 . - 224 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-363-58031-3 : 20 EUR
Filmogr. p. 161-185. Bibliogr., 1 p. Glossaire
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : Films fantastiques Histoire et critique ?Etats-Unis 1990-.... Cin?ema Production et r?ealisation ?Etats-Unis Hollywood (Calif.) 1990-.... Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma hollywoodien actuel, celui des grands studios et des blockbusters, est l'héritier de genres qui ont fait sa fortune, depuis l'immédiat après-guerre : films d'invasion extraterrestre, films de monstres, films catastrophe, films d'horreur, films de super héros enfin, où des hommes araignée, des hommes chauve-souris et autres mutants, au prix d'un combat héroïque, sauvent la planète et la démocratie.
Ces vieilles recettes sont, depuis une dizaine d'années, en écho aux tourmentes géopolitiques qui ont suivi la chute de l'Union soviétique, remises au goût du jour, dans des oeuvres sombres et violentes où la hantise du cataclysme et le culte de la force s'affirment sans détours.
L'ouvrage présente une analyse détaillée des thématiques qui parcourent ces sagas, auxquelles le public adhère si volontiers qu'on ne compte plus les « suites » et les déclinaisons autour d'un même personnage providentiel. Nationalisme, messianisme et xénophobie : le cinéma de propagande a de beaux jours devant lui.Genre : Essai Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304043 17 N.1.04529 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304043URL
Titre : Les plans au cinéma : Les grands effets de cinéma que tout réalisateur doit connaître Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeremy Vineyard (1977-....), Auteur ; Jose Cruz, Illustrateur ; Thierry Le Nouvel, Traducteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2004 Importance : 135 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 19 x 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-11466-9 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Techniques du cinéma guides manuels Production et réalisation Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Ce livre est l'oeuvre d'un amoureux du cinéma. Il est le résultat d'un nombre impressionnant d'heures passées à visionner des films pour en décortiquer l'écriture. Les Plans au cinéma s'est ainsi constitué en un large répertoire des techniques utilisées par le langage cinématographique. L'auteur le dédie aux réalisateurs débutants ou confirmés, aux dessinateurs de story-boards, aux étudiants en cinéma, aux cinéphiles, et à toute personne intéressée par la réalisation. Simple d'approche comme de présentation, cet outil de travail fonctionne à deux vitesses : ouvrage d'introduction classique pour les novices, guide pratique pour les réalisateurs confirmés. Près d'une centaine de procédés de cadrage, prise de vue, déplacement de la caméra ou montage donnant lieu à un effet sont ici décrits. Chacun s'accompagne de story-boards originaux de Jose Cruz et d'une série d'exemples puisés dans tous les genres cinématographiques. Quelque 150 références aux plans de films d'anthologie, classiques, récents, à gros ou petit budget, permettront à tous les cinéphiles de découvrir l'envers du décor et aux professionnels de fortifier leur passion et leur intelligence du cinéma : 2001, l'Odyssée de l'espace, Blade Runner, Blue Velvet, Buffalo 66, Le Parrain, La Strada, Sueurs froides, M. le Maudit, Rashomon, Nola Darling n'en fait qu'à sa tête, Matrix, Titanic, et bien d'autres encore... Les plans au cinéma : Les grands effets de cinéma que tout réalisateur doit connaître [texte imprimé] / Jeremy Vineyard (1977-....), Auteur ; Jose Cruz, Illustrateur ; Thierry Le Nouvel, Traducteur . - Paris : Eyrolles, 2004 . - 135 p. : ill., couv. ill. ; 19 x 28 cm.
ISBN : 978-2-212-11466-9
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Techniques du cinéma guides manuels Production et réalisation Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Ce livre est l'oeuvre d'un amoureux du cinéma. Il est le résultat d'un nombre impressionnant d'heures passées à visionner des films pour en décortiquer l'écriture. Les Plans au cinéma s'est ainsi constitué en un large répertoire des techniques utilisées par le langage cinématographique. L'auteur le dédie aux réalisateurs débutants ou confirmés, aux dessinateurs de story-boards, aux étudiants en cinéma, aux cinéphiles, et à toute personne intéressée par la réalisation. Simple d'approche comme de présentation, cet outil de travail fonctionne à deux vitesses : ouvrage d'introduction classique pour les novices, guide pratique pour les réalisateurs confirmés. Près d'une centaine de procédés de cadrage, prise de vue, déplacement de la caméra ou montage donnant lieu à un effet sont ici décrits. Chacun s'accompagne de story-boards originaux de Jose Cruz et d'une série d'exemples puisés dans tous les genres cinématographiques. Quelque 150 références aux plans de films d'anthologie, classiques, récents, à gros ou petit budget, permettront à tous les cinéphiles de découvrir l'envers du décor et aux professionnels de fortifier leur passion et leur intelligence du cinéma : 2001, l'Odyssée de l'espace, Blade Runner, Blue Velvet, Buffalo 66, Le Parrain, La Strada, Sueurs froides, M. le Maudit, Rashomon, Nola Darling n'en fait qu'à sa tête, Matrix, Titanic, et bien d'autres encore... Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300892 22 H.1.02525 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300892URLLe procès / Jean-Philippe Trias
AccompagneLe Procès / Orson Welles
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
AccompagneLe Procès / Orson Welles Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Réaliser ses films plan par plan : Concevoir et visualiser sa mise en images Type de document : texte imprimé Auteurs : Steven D. Katz (1950-....), Auteur ; Bertrand Perrotin, Traducteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2005 Importance : 1 vol. (331 p.) Présentation : ill. - Format : 26 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-11682-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Vidéo Production et réalisation Guides manuels etc. Cinéma Production et réalisation Guides manuels etc. Cinéma Technique Guides manuels etc. Index. décimale : 31 Vidéo et enseignement/animation Résumé : Parce qu'avant de pouvoir inventer son propre cinéma il faut acquérir de solides connaissances techniques, cet ouvrage s'adresse aux apprentis réalisateurs, cinéma ou vidéo, et plus largement à tous les étudiants en écoles de cinéma, classes prépa et BTS audiovisuels (futurs monteurs, cadreurs, chefs opérateurs, assistants caméra) - sans oublier les lycéens qui suivent une option cinéma-audiovisuel.
Il propose un catalogue complet des procédés cinématographiques et de leur impact visuel outils de visualisation, découpage classique, organisation des scènes dialoguées, techniques de caméra, méthodes de cadrage et de composition, mouvements de caméra et analyse de scénarios. Illustré de plus de 750 schémas, photographies et extraits de story-boards originaux de films d'anthologie, comme Citizen Kane, Les Oiseaux ou Empire du soleil, ce manuel s'appuie tout particulièrement sur l'étude de story-boards et de photo-boards pour comparer les techniques cinématographiques et vous apprendre, au fil des chapitres, à traduire en images ce que le scénario décrit par le texte.Réaliser ses films plan par plan : Concevoir et visualiser sa mise en images [texte imprimé] / Steven D. Katz (1950-....), Auteur ; Bertrand Perrotin, Traducteur . - Paris : Eyrolles, 2005 . - 1 vol. (331 p.) : ill. - ; 26 cm.
ISBN : 978-2-212-11682-3
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Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Technologie de la vidéo
Education aux médias:Vidéo et nouvelles images:Vidéo et enseignementMots-clés : Vidéo Production et réalisation Guides manuels etc. Cinéma Production et réalisation Guides manuels etc. Cinéma Technique Guides manuels etc. Index. décimale : 31 Vidéo et enseignement/animation Résumé : Parce qu'avant de pouvoir inventer son propre cinéma il faut acquérir de solides connaissances techniques, cet ouvrage s'adresse aux apprentis réalisateurs, cinéma ou vidéo, et plus largement à tous les étudiants en écoles de cinéma, classes prépa et BTS audiovisuels (futurs monteurs, cadreurs, chefs opérateurs, assistants caméra) - sans oublier les lycéens qui suivent une option cinéma-audiovisuel.
Il propose un catalogue complet des procédés cinématographiques et de leur impact visuel outils de visualisation, découpage classique, organisation des scènes dialoguées, techniques de caméra, méthodes de cadrage et de composition, mouvements de caméra et analyse de scénarios. Illustré de plus de 750 schémas, photographies et extraits de story-boards originaux de films d'anthologie, comme Citizen Kane, Les Oiseaux ou Empire du soleil, ce manuel s'appuie tout particulièrement sur l'étude de story-boards et de photo-boards pour comparer les techniques cinématographiques et vous apprendre, au fil des chapitres, à traduire en images ce que le scénario décrit par le texte.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304208 20.1 H.1.2947 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 300155 31 H.1.02947 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
300155URLTechniques du cinéma / Vincent Pinel
Titre : Techniques du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France Année de publication : 1981 Collection : Que sais-je ?, ISSN 0768-0066 num. 1873 Importance : 127 p. Présentation : ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-036593-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma Mots-clés : Cinéma Appareils et matériel Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Note de contenu : L'émergence des principes
L'image de cinéma
Les appareils d'enregistrement et de reproduction
De la réalisation à la diffusionTechniques du cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - Presses universitaires de France, 1981 . - 127 p. : ill. ; 18 cm. - (Que sais-je ?, ISSN 0768-0066; 1873) .
ISBN : 978-2-13-036593-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma Mots-clés : Cinéma Appareils et matériel Cinéma Production et réalisation Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Note de contenu : L'émergence des principes
L'image de cinéma
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De la réalisation à la diffusionExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300957 20 H.1.00733 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : La télévision : Enquête sur un univers impitoyable Type de document : texte imprimé Auteurs : Véronique Brocard, Auteur Editeur : Paris : Lieu Commun Année de publication : 1994 Importance : 278 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86705-194-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Mots-clés : Télévision Production et réalisation France Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : En 70 rubriques, tout ce que vous voulez savoir sur la réalité du fonctionnement de la télévision, les secrets des grandes chaînes, la guerre TF1-France 2. La télévision : Enquête sur un univers impitoyable [texte imprimé] / Véronique Brocard, Auteur . - Paris : Lieu Commun, 1994 . - 278 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-86705-194-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Mots-clés : Télévision Production et réalisation France Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : En 70 rubriques, tout ce que vous voulez savoir sur la réalité du fonctionnement de la télévision, les secrets des grandes chaînes, la guerre TF1-France 2. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300614 32 H.1.01124 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300614URLLes Temps Modernes. Le film / Charles Chaplin
in Les Temps Modernes / Charles Chaplin
Titre : Les Temps Modernes. Le film : Edition collector Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Charles Chaplin (1889-1977), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris [France] : MK2 Année de publication : 1936 Importance : 1 dvd Note générale : fiche du film téléchargeable sur:
http://www.lamediatheque.be/ext/thematiques/films_a_la_fiche/FichePDF/VT1606.pdfLangues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Techniques:IndustriesMots-clés : révolution industrielle Index. décimale : 92 Cinéma Résumé : Chaplin incarne son personnage Charlot, ouvrier à la chaine, soumis à la loi du taylorisme. Devenu fou à cause des machines il sera hospitalisé puis, une fois guéri, sera pris pour un leader syndical et envoyé en prison. Là-bas il empêchera une évasion ce qui lui rendra sa liberté. Recommandé par le directeur de la prison, Charlot trouve un travail qu’il perdra à cause d’une maladresse et rencontrera ensuite une orpheline vagabonde dite « la gamine ». Pour elle, il se fait engager comme veilleur de nuit dans un grand magasin où il la fait profiter d’un instant de luxe avant de se faire arrêter injustement comme complice d’un cambriolage. A sa sortie la gamine lui trouve un travail avec elle comme serveur-chanteur. Rattrapés par les policiers de la brigade des mineurs, ils réussiront à s’enfuir et, main dans la main, ils repartent vers de nouvelles aventures. Genre : Burlesque Pays : Etats-Unis Niveau : primaire, secondaire et enseignement universitaire
in Les Temps Modernes / Charles Chaplin
Les Temps Modernes. Le film : Edition collector [document projeté ou vidéo] / Charles Chaplin (1889-1977), Metteur en scène, réalisateur . - Paris (55 rue Traversière, 75012, France) : MK2, 1936 . - 1 dvd.
fiche du film téléchargeable sur:
http://www.lamediatheque.be/ext/thematiques/films_a_la_fiche/FichePDF/VT1606.pdf
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Techniques:IndustriesMots-clés : révolution industrielle Index. décimale : 92 Cinéma Résumé : Chaplin incarne son personnage Charlot, ouvrier à la chaine, soumis à la loi du taylorisme. Devenu fou à cause des machines il sera hospitalisé puis, une fois guéri, sera pris pour un leader syndical et envoyé en prison. Là-bas il empêchera une évasion ce qui lui rendra sa liberté. Recommandé par le directeur de la prison, Charlot trouve un travail qu’il perdra à cause d’une maladresse et rencontrera ensuite une orpheline vagabonde dite « la gamine ». Pour elle, il se fait engager comme veilleur de nuit dans un grand magasin où il la fait profiter d’un instant de luxe avant de se faire arrêter injustement comme complice d’un cambriolage. A sa sortie la gamine lui trouve un travail avec elle comme serveur-chanteur. Rattrapés par les policiers de la brigade des mineurs, ils réussiront à s’enfuir et, main dans la main, ils repartent vers de nouvelles aventures. Genre : Burlesque Pays : Etats-Unis Niveau : primaire, secondaire et enseignement universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101377 92 N.1.0154 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) / Collectif
Accompagne Easy Rider / Dennis Hopper
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 117 Titre : Easy rider (de Dennis Hopper) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1971 Note générale :
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn Peter Fonda William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
Accompagne Easy Rider / Dennis Hopper
L'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1971.
Easy Rider est un film américain réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le film est répertorié par le National Film Registry en 1998 pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture américaine.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Easy rider Dennis Hopper Peter Fonda Terry Southern Laszlo Kovacs Donn Cambern Roger McGuinn Peter Fonda William Hayward Columbia Pictures Corporation Pando Company Inc. Rayber Productions Columbia Pictures Bernard Tiphaine Pierre Trabaud Jack Nicholson Michel Roux Phil Spector Mac Mashourian Luke Askew Paul-Émile Deiber Karen Black Nelly Vignon Toni Basil Antonio Mendoza Warren Finnerty Tita Colorado Luana Anders Anne Jolivet Sabrina Scharf Robert Walker Jr. Robert Walker Sandy Brown Wyeth Hayward Robilard Claude Bertrand Arnold Hess Gérard Hernandez George Fowler Jr. contre culture cinéma américain road movie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film est un road movie qui est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970. Il raconte le voyage de deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui après avoir vendu une grosse quantité de drogue, décident de quitter Los Angeles avec l'argent gagné afin d'aller participer à la célébration du carnaval de la Nouvelle-Orléans. Durant leur traversée des États-Unis, les protagonistes rencontrent une communauté hippie et découvrent leur mode de vie. Accusés abusivement de participer illégalement à un défilé, ils se retrouvent rapidement en prison où ils rencontrent George Hanson, avocat défenseur des droits civiques. Il se joint à eux pour la suite du périple. Les trois compères sont confrontés à l'Amérique profonde, raciste et conservatrice, qui refuse l'évolution des années 1960.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302201 19 H.1.01447 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard Imperia Films ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible