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32 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'serpents de mer' 



DVD 3. Les grandes plaines, À la surface des mers, Les jungles / BBC
contenu dans Planète Terre / Alastair Fothergill
Titre : DVD 3. Les grandes plaines, À la surface des mers, Les jungles Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : BBC, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Montparnasse Année de publication : 2006 Importance : 1 dvd Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Paysages ruraux (dont forêts)
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Géomorphologie et cartographie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : gorilles singes araignées insectes éléphants baleines parades nuptiales coraux hippocampes serpents de mer dauphins phoques étoiles de mer manchots toundra loups plaines mers jungle Index. décimale : 108.2 Biologie animale Note de contenu : 7. Les grandes plaines
Lundi 23 juin 2008 à 20h15
Les grandes étendues de la savane africaine, des steppes de l’Asie, de la toundra de l’Arctique et des prairies d’Amérique du Nord sont les plaines les plus vastes de toute la planète : elles représentent plus d’un quart des terres émergées. Le même organisme vivant est au coeur de chacune d’elles : l’herbe. Cette simple plante nourrit les plus gros troupeaux d’animaux du globe…
8. À la surface des mers
Mardi 24 juin 2008 à 20h15
Les barrières de corail découvertes récemment en Indonésie comptent parmi les plus riches au monde. Elles abritent des créatures sorties tout droit de l’imaginaire, comme l’hippocampe pygmée, le clam “électrique” et des serpents à queue plate, filmés pour la première fois en train de chasser en groupe. L’occasion aussi de voir la plus grande étoile de mer existante, l’étoile soleil géante…11. Les jungles
Vendredi 27 juin 2008 à 20h15
Située autour de la zone équatoriale, chaude, ensoleillée, la jungle abrite 50 % des espèces existantes. De magnifiques prises de vue aériennes nous présentent les panoramas forestiers les plus spectaculaires au monde et les caméras HD offrent des plans inédits sur les espèces qui vivent sur le sol de la jungle.
contenu dans Planète Terre / Alastair Fothergill
DVD 3. Les grandes plaines, À la surface des mers, Les jungles [document projeté ou vidéo] / BBC, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Montparnasse, 2006 . - 1 dvd.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Paysages ruraux (dont forêts)
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Géomorphologie et cartographie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : gorilles singes araignées insectes éléphants baleines parades nuptiales coraux hippocampes serpents de mer dauphins phoques étoiles de mer manchots toundra loups plaines mers jungle Index. décimale : 108.2 Biologie animale Note de contenu : 7. Les grandes plaines
Lundi 23 juin 2008 à 20h15
Les grandes étendues de la savane africaine, des steppes de l’Asie, de la toundra de l’Arctique et des prairies d’Amérique du Nord sont les plaines les plus vastes de toute la planète : elles représentent plus d’un quart des terres émergées. Le même organisme vivant est au coeur de chacune d’elles : l’herbe. Cette simple plante nourrit les plus gros troupeaux d’animaux du globe…
8. À la surface des mers
Mardi 24 juin 2008 à 20h15
Les barrières de corail découvertes récemment en Indonésie comptent parmi les plus riches au monde. Elles abritent des créatures sorties tout droit de l’imaginaire, comme l’hippocampe pygmée, le clam “électrique” et des serpents à queue plate, filmés pour la première fois en train de chasser en groupe. L’occasion aussi de voir la plus grande étoile de mer existante, l’étoile soleil géante…11. Les jungles
Vendredi 27 juin 2008 à 20h15
Située autour de la zone équatoriale, chaude, ensoleillée, la jungle abrite 50 % des espèces existantes. De magnifiques prises de vue aériennes nous présentent les panoramas forestiers les plus spectaculaires au monde et les caméras HD offrent des plans inédits sur les espèces qui vivent sur le sol de la jungle.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101022 108.2 N.1.0812 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
in Regards sur le réel. Documentaires belges du XXème siècle
Titre : Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition 2015 Editeur : Bruxelles [Belgique] : Cinematek Année de publication : 1992 - 1993 - 2000 Autre Editeur : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles Importance : 1 DVD (86' - 57' - 46') Note générale : "Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel. Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire
in Regards sur le réel. Documentaires belges du XXème siècle
Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille [document projeté ou vidéo] / Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur . - Edition 2015 . - Bruxelles (Belgique) : Cinematek : Belgique : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 1992 - 1993 - 2000 . - 1 DVD (86' - 57' - 46').
"Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104861 92.2 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104829 92.7 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104827.jpgImage JpegL'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
AccompagneLa prisonnière du désert
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Alan Le May Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
AccompagneLa prisonnière du désert L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - [S.l.] : Editions du Céfal, 2007.
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Alan Le May Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Contient
Titre : Chaos sur la planète : Quand la nature reprend ses droits Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : M6 Vidéo Année de publication : 2006 Importance : 2 DVD ISBN/ISSN/EAN : 3545020009482 Note générale : Cette série de documentaires fictions scientifiques tente de montrer ce que nous pourrions subir si les accidents climatiques que nous connaissons aujourd'hui atteignaient des proportions inconnues jusqu'ici.
Chaque film présente les circonstances dans lesquelles nos grandes villes et nos campagnes pourraient être frappées par ces catastrophes: Londres victime d'une inondation, Sydney ravagée par un incendie équivalent à ceux que nous connaissons chaque été en Europe, ou Montréal paralysée par une tempête de glace. Pour ces réalisations (plus proches des films "catastrophes" que des documentaires), les techniques les plus modernes ont été utilisées - images de synthèse et 3D de dernière génération. Pour la première fois, les plus grands scientifiques, spécialistes du climat, nous expliquent de façon simple et compréhensible par tous, les dérèglements climatiques présentés.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo Mots-clés : CLIMAT / EAU / ENVIRONNEMENT / GEOGRAPHIE / INCENDIE / MER / PHYSIQUE / SOLEIL / CATASTROPHE NATURELLE / CLIMATOLOGIE / ERUPTION VOLCANIQUE / GEOGRAPHIE PHYSIQUE / GLACIER / HYDROGRAPHIE / INONDATION / RESSOURCE NATURELLE / SCIENCE / PLANETE TERRE / TREMBLEMENT DE TERRE / RAZ-DE-MAREE / CYCLONE / *ENR / DOCUMENTAIRE FICTION Index. décimale : 117.24 Phénomènes naturels, climat et météo Niveau : secondaire supérieur et + Chaos sur la planète : Quand la nature reprend ses droits [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : M6 Vidéo, 2006 . - 2 DVD.
ISSN : 3545020009482
Cette série de documentaires fictions scientifiques tente de montrer ce que nous pourrions subir si les accidents climatiques que nous connaissons aujourd'hui atteignaient des proportions inconnues jusqu'ici.
Chaque film présente les circonstances dans lesquelles nos grandes villes et nos campagnes pourraient être frappées par ces catastrophes: Londres victime d'une inondation, Sydney ravagée par un incendie équivalent à ceux que nous connaissons chaque été en Europe, ou Montréal paralysée par une tempête de glace. Pour ces réalisations (plus proches des films "catastrophes" que des documentaires), les techniques les plus modernes ont été utilisées - images de synthèse et 3D de dernière génération. Pour la première fois, les plus grands scientifiques, spécialistes du climat, nous expliquent de façon simple et compréhensible par tous, les dérèglements climatiques présentés.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo Mots-clés : CLIMAT / EAU / ENVIRONNEMENT / GEOGRAPHIE / INCENDIE / MER / PHYSIQUE / SOLEIL / CATASTROPHE NATURELLE / CLIMATOLOGIE / ERUPTION VOLCANIQUE / GEOGRAPHIE PHYSIQUE / GLACIER / HYDROGRAPHIE / INONDATION / RESSOURCE NATURELLE / SCIENCE / PLANETE TERRE / TREMBLEMENT DE TERRE / RAZ-DE-MAREE / CYCLONE / *ENR / DOCUMENTAIRE FICTION Index. décimale : 117.24 Phénomènes naturels, climat et météo Niveau : secondaire supérieur et +
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102962 117.24 N.1.1502 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102962URL
Titre : Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Antxon Salvador, Auteur Editeur : Rome [Italie] : Gremese Année de publication : 2011 Importance : 282 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-88-7301-739-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours [texte imprimé] / Antxon Salvador, Auteur . - Rome (Italie) : Gremese, 2011 . - 282 p.
ISBN : 978-88-7301-739-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303961 17 H.1.04460 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303961URLCitizen Kane / Jean Roy
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Titre : Citizen Kane Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Roy, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1989 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-188622-0 Note générale :
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Citizen Kane [texte imprimé] / Jean Roy, Auteur . - Paris : Nathan, 1989.
ISBN : 978-2-09-188622-0
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302187 19 H.1.00820 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302229 19 H.1.02017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Depuis qu'Otar est parti Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Julie Bertuccelli, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Home Screen Video Année de publication : 2003 Importance : 1 dvd Présentation : 98 min Format : 16/9 ISBN/ISSN/EAN : 8717249473640 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Société
Education par les médias:Société:Ages de la vie:Troisième âgeMots-clés : rapport mère fils famille rapports parents enfants Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Eka vit avec sa fille et sa petite-fille sous le même toit, à Tbilissi, en Géorgie. Otar, son fils chéri, travaille sur des chantiers à Paris, et envoie de temps à autre des lettres. Un jour, la fille et la petite-fille apprennent la mort accidentelle d'Otar. Pour épargner Eke de cette tragédie, elles décident de lui cacher la vérité et d'écrire de fausses lettres... Depuis qu'Otar est parti [document projeté ou vidéo] / Julie Bertuccelli, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Home Screen Video, 2003 . - 1 dvd : 98 min ; 16/9.
ISSN : 8717249473640
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Société:Ages de la vie:Troisième âgeMots-clés : rapport mère fils famille rapports parents enfants Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Eka vit avec sa fille et sa petite-fille sous le même toit, à Tbilissi, en Géorgie. Otar, son fils chéri, travaille sur des chantiers à Paris, et envoie de temps à autre des lettres. Un jour, la fille et la petite-fille apprennent la mort accidentelle d'Otar. Pour épargner Eke de cette tragédie, elles décident de lui cacher la vérité et d'écrire de fausses lettres... Exemplaires
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in Regards sur le réel. Documentaires belges du XXème siècle
Titre : Dimanche - Week-end - Du verbe aimer Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Edmond Bernhard, Metteur en scène, réalisateur ; Jean-Jacques Péché, Metteur en scène, réalisateur ; Mary Jimenez, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition 2015 Editeur : Bruxelles [Belgique] : Cinematek Année de publication : 1963, 1972, 1984 Autre Editeur : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles Importance : 1 DVD (19' - 67' - 75') Note générale : "Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel. Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - DIMANCHE :
Bruxelles, un dimanche, au début des Sixties. Bruxelles hors tension, rendue à l'inertie, rues désertes, gare, musée, terrasses vides, sinon les promeneurs du dimanche, une file de spectateurs figés sous le néon du cinéma Aventure, le public sage d'un match de foot au stade, les internes d'un pensionnat... Animée par les sonorités atonales de Schirren, une vision lyrique de Bruxelles qui s'ennuie et attend le lundi.
- WEEK-END :
Michel D., fonctionnaire, va passer un week-end à la mer du Nord en famille. À partir de cette anecdote, ce documentaire-fiction aborde quelques thèmes à la mode en 1972 : la fuite devant les aliénations de la vie urbaine, les excès de la société de consommation, la commercialisation des loisirs, etc. Bref, la fameuse "qualité de la vie" chère aux sociologues et futurologues. Une histoire apparemment drôle, dans un bidonville balnéaire aux cabanes étroites sans la moindre vue sur la mer : des pleurs d'enfants en voiture, des bagages à transporter comme s'il s'agissait d'une lointaine expédition, des embouteillages sous la pluie, une embardée... Une certaine gravité derrière une histoire qui se fait et se défait au hasard des rencontres.
- DU VERBE AIMER :
La première histoire d'amour, la plus importante sans doute, est celle de la relation à la mère. Quand cette histoire est ratée, l'enfant dans sa douleur peut se déconstruire jusqu'à la folie.
Le film de Mary Jiménez raconte cette souffrance, qui opère un double travail de deuil puisque la mère tant aimée, à l'amour inaccessible, a disparu dans un accident. La cinéaste remonte à l'enfance, aux racines du malheur, à ses efforts désespérés pour être acceptée par celle-ci, à son sentiment permanent d'échec. Du verbe aime est un remarquable récit autobiographique, construit comme un essai, d'une écriture très inventive.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire
in Regards sur le réel. Documentaires belges du XXème siècle
Dimanche - Week-end - Du verbe aimer [document projeté ou vidéo] / Edmond Bernhard, Metteur en scène, réalisateur ; Jean-Jacques Péché, Metteur en scène, réalisateur ; Mary Jimenez, Metteur en scène, réalisateur . - Edition 2015 . - Bruxelles (Belgique) : Cinematek : Belgique : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 1963, 1972, 1984 . - 1 DVD (19' - 67' - 75').
"Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - DIMANCHE :
Bruxelles, un dimanche, au début des Sixties. Bruxelles hors tension, rendue à l'inertie, rues désertes, gare, musée, terrasses vides, sinon les promeneurs du dimanche, une file de spectateurs figés sous le néon du cinéma Aventure, le public sage d'un match de foot au stade, les internes d'un pensionnat... Animée par les sonorités atonales de Schirren, une vision lyrique de Bruxelles qui s'ennuie et attend le lundi.
- WEEK-END :
Michel D., fonctionnaire, va passer un week-end à la mer du Nord en famille. À partir de cette anecdote, ce documentaire-fiction aborde quelques thèmes à la mode en 1972 : la fuite devant les aliénations de la vie urbaine, les excès de la société de consommation, la commercialisation des loisirs, etc. Bref, la fameuse "qualité de la vie" chère aux sociologues et futurologues. Une histoire apparemment drôle, dans un bidonville balnéaire aux cabanes étroites sans la moindre vue sur la mer : des pleurs d'enfants en voiture, des bagages à transporter comme s'il s'agissait d'une lointaine expédition, des embouteillages sous la pluie, une embardée... Une certaine gravité derrière une histoire qui se fait et se défait au hasard des rencontres.
- DU VERBE AIMER :
La première histoire d'amour, la plus importante sans doute, est celle de la relation à la mère. Quand cette histoire est ratée, l'enfant dans sa douleur peut se déconstruire jusqu'à la folie.
Le film de Mary Jiménez raconte cette souffrance, qui opère un double travail de deuil puisque la mère tant aimée, à l'amour inaccessible, a disparu dans un accident. La cinéaste remonte à l'enfance, aux racines du malheur, à ses efforts désespérés pour être acceptée par celle-ci, à son sentiment permanent d'échec. Du verbe aime est un remarquable récit autobiographique, construit comme un essai, d'une écriture très inventive.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104860 92.2 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104828 92.7 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104827.jpgImage JpegDossier pédagogique de "La mort aux trousses" / Jean-Philippe Tessé
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Tessé, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Importance : 22 pp. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Dossier pédagogique de "La mort aux trousses" [texte imprimé] / Jean-Philippe Tessé, Auteur . - Paris : CNC, 2008 . - 22 pp.
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
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Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303693 19 H.1.04339/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible DVD 4. Les saisons en forêt, Les fonds marins / BBC
contenu dans Planète Terre / Alastair Fothergill
Titre : DVD 4. Les saisons en forêt, Les fonds marins Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : BBC, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Montparnasse Année de publication : 2006 Importance : 1 dvd Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Paysages ruraux (dont forêts)
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Hydrologie/Hydrographie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : forêts séquoias baobabs abysses océans mers Index. décimale : 108.2 Biologie animale Note de contenu : 9. Les saisons en forêt
Mercredi 25 juin 2008 à 20h15
Cet épisode dévoile les plus beaux paysages forestiers de la planète, des forêts sempervirentes du Grand Nord aux forêts sèches caducifoliées de l’Équateur, des séquoias de Californie aux baobabs de Madagascar.
10. Les fonds marins
Jeudi 26 juin 2008 à 20h15
Bien qu’ils recouvrent deux tiers de la planète, les océans restent en grande partie inexplorés. Pour les animaux, qu’ils vivent à la surface ou dans les profondeurs abyssales, trouver sa nourriture et conserver son énergie sont la priorité. Dans ce dernier épisode, nous observons les extraordinaires efforts qu’ils fournissent pour tenter de survivre dans ce royaume immense.
contenu dans Planète Terre / Alastair Fothergill
DVD 4. Les saisons en forêt, Les fonds marins [document projeté ou vidéo] / BBC, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Montparnasse, 2006 . - 1 dvd.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Paysages ruraux (dont forêts)
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Hydrologie/Hydrographie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : forêts séquoias baobabs abysses océans mers Index. décimale : 108.2 Biologie animale Note de contenu : 9. Les saisons en forêt
Mercredi 25 juin 2008 à 20h15
Cet épisode dévoile les plus beaux paysages forestiers de la planète, des forêts sempervirentes du Grand Nord aux forêts sèches caducifoliées de l’Équateur, des séquoias de Californie aux baobabs de Madagascar.
10. Les fonds marins
Jeudi 26 juin 2008 à 20h15
Bien qu’ils recouvrent deux tiers de la planète, les océans restent en grande partie inexplorés. Pour les animaux, qu’ils vivent à la surface ou dans les profondeurs abyssales, trouver sa nourriture et conserver son énergie sont la priorité. Dans ce dernier épisode, nous observons les extraordinaires efforts qu’ils fournissent pour tenter de survivre dans ce royaume immense.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101023 108.2 N.1.0812 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : Genres et mouvements au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-582661-9 Note générale : Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Genres et mouvements au cinéma [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - Larousse, 2006 . - 1 vol. (239 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-582661-9
Voici la novelle édition d’un guide qui est devenue une référence incontournable pour tous les étudiants et les cinéphiles depuis sa parution.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : Action actors studio actualités amateur animation art arts martiaux auteur avant-garde aventure biographique brighton burlesque caligarisme calligraphique cape et d'épée catastrophe ciné-œil comédie comédie musicale course-pousuite criminel danse dessin animé cinéma direct divisme documentaire documentaire britanique dogma 95 drame érotique espionnage essai expédition expérimental expressionnisme fantastique feks free cinéma gangsters gore guerre historique horreur humour impressionnisme jeune cinéma 19660 kammerspielfilm marionnettes mélodrame merveilleux militant musical néoréalisme neue sachlichkeit nouvelle objectivité film noir nouvelle vague nouvelle image novo parodique peinture sur film péplum policier politique printemps de Prague propagande publicitaire réalisme réalisme poétique réalisme socialiste reportage road movie science-fiction scientifique sérial série série B Sketches social star-system superproduction surréalisme suspense théatre filmé thèse le groupe des trente truquage underground western Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De film d'action à western, Genres et mouvements au cinéma propose une synthèse unique sur le septième art à travers : les grands genres (comédie, fantastique, policier, science-fiction...), les écoles et les mouvements (Dogma 95, Néoréalisme, Nouvelle Vague...), mais aussi les styles et les traitements stylistiques (film d'animation, série, films à sketches,...). Chacune de ces catégories est replacée dans son contexte historique puis analysée à travers ses caractéristiques stylistiques. Une filmographie donne des références filmiques précises. En mettant ainsi en avant les phénomènes collectifs qui jalonnent l'histoire du cinéma mondial, cette nouvelle édition actualisée de Genres et mouvements au cinéma fournit au cinéphile d'utiles points de repères pour analyser les films et comprendre les évolutions du septième art.
Note de contenu : Du film d’action au Western, Vincent Pinel propose, par ordre alphabétique des genres ou mouvements, 92 fiches synthétiques sur les genres (comédie musicale, dessin animé, science-fiction, western…) les styles, mouvements, (expressionnisme, néoréalisme, nouvelle vague,…) et les écoles et les groupes (Actor’s Studio, école de Brighton, Kammerspielfilm, etc.) qui ont marqué l’évolution du septième art des frères Lumière à nos jours.
Chaque fiche est structurée en cinq parties :
- Eléments d’histoire : apparition, évolution et influence des genres, écoles et mouvements
- Caractéristiques >: ce qui les définit stylistiquement ou thématiquement
- Hommes et œuvres : principaux réalisateurs et films essentiels
- Une photo d’un ou deux films emblématiques accompagnée d’une brève analyse
- Bibliographie
Diplômé de la FEMIS, Vincent Pinel a été monteur et réalisateur de films puis directeur du Département du film à la Cinémathèque française. Collaborateur de plusieurs revues cinématographiques, il est également l’auteur du Siècle du cinéma chez Larousse.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300959 21 H.1.02806 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300959URLGeorges Méliès / Georges Sadoul
Titre : Georges Méliès Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Sadoul, Auteur ; Georges Méliès (1861-1938), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1961 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Georges Méliès, né Marie Georges Jean Méliès le 8 décembre 1861 et mort le 21 janvier 1938, est un réalisateur de films français. Il est connu pour les développements qu'il apporta aux techniques du cinéma, essentiellement des scénarios et des trucages. Il est considéré comme le père des effets spéciaux, le premier réalisateur , le créateur du premier studio de cinéma en France ainsi que l'un des premiers initiateurs du cinéma de divertissement. À ce titre, son film le « Voyage dans la Lune » (1902) est le premier film à être classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cendrillon L'Affaire Dreyfus Le Voyage dans la Lune Le Voyage à travers l'Impossible Vingt mille lieues sous les mers A la Conquête du Pôle cinéma science-fiction cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Georges Méliès [texte imprimé] / Georges Sadoul, Auteur ; Georges Méliès (1861-1938), Personne honorée . - Editions Seghers, 1961. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Georges Méliès, né Marie Georges Jean Méliès le 8 décembre 1861 et mort le 21 janvier 1938, est un réalisateur de films français. Il est connu pour les développements qu'il apporta aux techniques du cinéma, essentiellement des scénarios et des trucages. Il est considéré comme le père des effets spéciaux, le premier réalisateur , le créateur du premier studio de cinéma en France ainsi que l'un des premiers initiateurs du cinéma de divertissement. À ce titre, son film le « Voyage dans la Lune » (1902) est le premier film à être classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cendrillon L'Affaire Dreyfus Le Voyage dans la Lune Le Voyage à travers l'Impossible Vingt mille lieues sous les mers A la Conquête du Pôle cinéma science-fiction cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302178 18 H.1.00063 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URL
contenu dans Il était une fois notre terre / Albert Barillé
Titre : Il était une fois notre terre vol. 1 : Les premiers dvd ludo-éducatifs sur le développement durable Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Albert Barillé, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Procidis Année de publication : 2008 Importance : 2 dvd ISBN/ISSN/EAN : 886973415399 Note générale : Il était une fois... notre Terre est une série télévisée d'animation française en 26 épisodes de 25 minutes, créée par Albert Barillé pour les studios Procidis et diffusée à partir du 15 décembre 2008 sur Gulli puis sur France 3 à partir du 22 décembre 2008. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Sciences
Education par les médias:Sciences humaines
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la citoyenneté
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/Anthropologie
Education par les médias:Sciences:Biologie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)
Education par les médias:Sciences:Physique/MécaniqueMots-clés : DéFORESTATION POLLUTION INDIGèNES CATASTROPHES NATURELLES GULFSTREAM BOULEVERSEMENTS éCOLOGIQUES FONTE DES GLACIERS DéDERT AFRIQUE PUIT
fusion nucléaire déchets nucléaires pollution des eaux Gange fleuve corail coraux mer Méditerranée animaux des abysses tectonique des plaques pollinisation mangrove chaîne alimentaire bombe nucléaire label équitable déchets radioactifs déchets nucléaires fusion atomique fusion nucléaireIndex. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : DVD 1.
# Les héritiers de la planète
# Climat : le grand nord
# L'eau précieuse en Inde
# L'eau précieuse du Sahel
DVD 2
# La forêt amazonienne
# Nos énergies s'épuisent
# Le commerce équitable
# La mer poubelle
# Les écosystèmes
Genre : Dessin animé Pays : France Niveau : Maternelle et + En ligne : http://www.google.com/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=2&ved=0CBQQFjAB&url=http%3A% [...]
contenu dans Il était une fois notre terre / Albert Barillé
Il était une fois notre terre vol. 1 : Les premiers dvd ludo-éducatifs sur le développement durable [document projeté ou vidéo] / Albert Barillé, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Procidis, 2008 . - 2 dvd.
ISSN : 886973415399
Il était une fois... notre Terre est une série télévisée d'animation française en 26 épisodes de 25 minutes, créée par Albert Barillé pour les studios Procidis et diffusée à partir du 15 décembre 2008 sur Gulli puis sur France 3 à partir du 22 décembre 2008.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences
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Education par les médias:Sciences:Physique/MécaniqueMots-clés : DéFORESTATION POLLUTION INDIGèNES CATASTROPHES NATURELLES GULFSTREAM BOULEVERSEMENTS éCOLOGIQUES FONTE DES GLACIERS DéDERT AFRIQUE PUIT
fusion nucléaire déchets nucléaires pollution des eaux Gange fleuve corail coraux mer Méditerranée animaux des abysses tectonique des plaques pollinisation mangrove chaîne alimentaire bombe nucléaire label équitable déchets radioactifs déchets nucléaires fusion atomique fusion nucléaireIndex. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : DVD 1.
# Les héritiers de la planète
# Climat : le grand nord
# L'eau précieuse en Inde
# L'eau précieuse du Sahel
DVD 2
# La forêt amazonienne
# Nos énergies s'épuisent
# Le commerce équitable
# La mer poubelle
# Les écosystèmes
Genre : Dessin animé Pays : France Niveau : Maternelle et + En ligne : http://www.google.com/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=2&ved=0CBQQFjAB&url=http%3A% [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102327 93.2 N.1.1232/1 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102327URL
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Titre : Il était une fois notre terre vol. 2 : Les premiers dvd ludo-éducatifs sur le développement durable Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Albert Barillé, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Procidis Année de publication : 2008 Importance : 2 dvd Note générale : Il était une fois... notre Terre est une série télévisée d'animation française en 26 épisodes de 25 minutes, créée par Albert Barillé pour les studios Procidis et diffusée à partir du 15 décembre 2008 sur Gulli puis sur France 3 à partir du 22 décembre 2008. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma d'animation
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la citoyenneté
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:GéographieMots-clés : mer d'Aral catastrophe écologique barrage migration émigration immigration déforestation pollution animaux en voie d'extinction bouleversement climatique tectonique des plaques glaciation culture biologique pesticides culture de proximité Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : DVD 1.
# L'eau précieuse dans le monde
# La pauvreté dans le monde
# Forêts du monde
# La pêche abusive
DVD 2
# Climat : origines
# L'agriculture
# La biodiversité
# Climat, les effetsGenre : Dessin animé Pays : France Niveau : Maternelle et + En ligne : http://www.google.com/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=2&ved=0CBQQFjAB&url=http%3A% [...]
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Il était une fois notre terre vol. 2 : Les premiers dvd ludo-éducatifs sur le développement durable [document projeté ou vidéo] / Albert Barillé, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Procidis, 2008 . - 2 dvd.
Il était une fois... notre Terre est une série télévisée d'animation française en 26 épisodes de 25 minutes, créée par Albert Barillé pour les studios Procidis et diffusée à partir du 15 décembre 2008 sur Gulli puis sur France 3 à partir du 22 décembre 2008.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Education à la citoyenneté
Education par les médias:Sciences humaines:Environnement
Education par les médias:Sciences humaines:GéographieMots-clés : mer d'Aral catastrophe écologique barrage migration émigration immigration déforestation pollution animaux en voie d'extinction bouleversement climatique tectonique des plaques glaciation culture biologique pesticides culture de proximité Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : DVD 1.
# L'eau précieuse dans le monde
# La pauvreté dans le monde
# Forêts du monde
# La pêche abusive
DVD 2
# Climat : origines
# L'agriculture
# La biodiversité
# Climat, les effetsGenre : Dessin animé Pays : France Niveau : Maternelle et + En ligne : http://www.google.com/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=2&ved=0CBQQFjAB&url=http%3A% [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102330 124 N.1.1232/2 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 102355 93.2 N.1.1232/2 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102327URLJean Epstein / Pierre Leprohon
Titre : Jean Epstein Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Leprohon, Auteur ; Jean Epstein, Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1964 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean Epstein (Varsovie, 25 mars 1897 - Paris, 3 avril 1953), réalisateur de films, essayiste et romancier français
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les Vendanges Pasteur La Montagne infidèle Cœur fidèle La Belle Nivernaise L'Auberge rouge Honoré de Balzac La Goutte de sang L'Affiche Le Lion des Mogols Le Double Amour Les Aventures de Robert Macaire Au pays de George Sand Mauprat Six et demi onze La Glace à trois faces La Chute de la maison Usher Sa tête Finis terrae Le Pas de la mule Notre-Dame de Paris La Mer des corbeaux Mor vran L'Or des mers L'Homme à l'Hispano La Vie d'un grand journal La Châtelaine du Liban Chanson d'Armor Cuor di vagabondo La Bretagne La Bourgogne Vive la vie La Femme du bout du monde La Relève Eau vive Les Bâtisseurs Artères de France Le Tempestaire Les Feux de la mer cinéma français cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean Epstein [texte imprimé] / Pierre Leprohon, Auteur ; Jean Epstein, Personne honorée . - Editions Seghers, 1964. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean Epstein (Varsovie, 25 mars 1897 - Paris, 3 avril 1953), réalisateur de films, essayiste et romancier français
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les Vendanges Pasteur La Montagne infidèle Cœur fidèle La Belle Nivernaise L'Auberge rouge Honoré de Balzac La Goutte de sang L'Affiche Le Lion des Mogols Le Double Amour Les Aventures de Robert Macaire Au pays de George Sand Mauprat Six et demi onze La Glace à trois faces La Chute de la maison Usher Sa tête Finis terrae Le Pas de la mule Notre-Dame de Paris La Mer des corbeaux Mor vran L'Or des mers L'Homme à l'Hispano La Vie d'un grand journal La Châtelaine du Liban Chanson d'Armor Cuor di vagabondo La Bretagne La Bourgogne Vive la vie La Femme du bout du monde La Relève Eau vive Les Bâtisseurs Artères de France Le Tempestaire Les Feux de la mer cinéma français cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302161 18 H.1.00082 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Journaliste : Dans les pas d'Hubert Beuve-Méry Type de document : texte imprimé Auteurs : François Simon (1930-....), Auteur Editeur : Paris : Arléa Année de publication : 2005 Importance : 156 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86959-698-6 Prix : 15 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Pratiques et techniques journalistiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Problèmes juridiques, droits d'auteur, déontologie
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : Beuve-Méry;Le Monde;Journalistes;Déontologie Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Ecouté, lu, sollicité en permanence, le journaliste est souvent l'objet de fortes critiques. On le soupçonne de collusion avec les pouvoirs, politiques et économiques, on doute de sa liberté au moment où se renforcent les concentrations dans les médias, et quand les hommes d'affaires prennent le contrôle des groupes de presse. Résister, garder sa liberté de penser et d'agir paraît de plus en plus difficile pour qui fait profession d'informer. Le journaliste se retrouve, in fine, seul face à sa conscience. Il agira selon son éthique personnelle, comme le fit, tout au long de sa carrière, Hubert Beuve-Méry. François Simon s'appuie sur l'exemple du fondateur du Monde - dont il fut proche - pour procéder à une analyse en finesse du métier de journaliste. Cet essai qui mêle histoire et pédagogie devrait être mis entre les mains de tous ceux qui ont fait le choix du journalisme. Journaliste : Dans les pas d'Hubert Beuve-Méry [texte imprimé] / François Simon (1930-....), Auteur . - Paris : Arléa, 2005 . - 156 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-86959-698-6 : 15 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Information/Journalisme
Education aux médias:Information/Journalisme:Histoire du journalisme et aspects socio-économiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Pratiques et techniques journalistiques
Education aux médias:Information/Journalisme:Problèmes juridiques, droits d'auteur, déontologie
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : Beuve-Méry;Le Monde;Journalistes;Déontologie Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Ecouté, lu, sollicité en permanence, le journaliste est souvent l'objet de fortes critiques. On le soupçonne de collusion avec les pouvoirs, politiques et économiques, on doute de sa liberté au moment où se renforcent les concentrations dans les médias, et quand les hommes d'affaires prennent le contrôle des groupes de presse. Résister, garder sa liberté de penser et d'agir paraît de plus en plus difficile pour qui fait profession d'informer. Le journaliste se retrouve, in fine, seul face à sa conscience. Il agira selon son éthique personnelle, comme le fit, tout au long de sa carrière, Hubert Beuve-Méry. François Simon s'appuie sur l'exemple du fondateur du Monde - dont il fut proche - pour procéder à une analyse en finesse du métier de journaliste. Cet essai qui mêle histoire et pédagogie devrait être mis entre les mains de tous ceux qui ont fait le choix du journalisme. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300445 58 H.1.03912 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300445URL
Titre : Mémoires du monde : Cent films de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 6 films issus de la collection Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Herman van der Horst, Metteur en scène, réalisateur ; Joris Ivens (1898-1989), Metteur en scène, réalisateur ; Luc De Heusch, Metteur en scène, réalisateur ; Mario Ruspoli, Metteur en scène, réalisateur ; Olivier Smolders (1956-....), Metteur en scène, réalisateur ; Janusz Morgenstern, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles Année de publication : s.d. Collection : Mémoires du monde Importance : 1 DVD Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : mer psychiatrie théâtre amateur journal intime Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : 6 films :
1. Chantez la mer - Prijs de zee
Herman Van der Horst
1958 – PaysBas – 25’ – NB
Le vent tend les voiles, force la houle et défie les pêcheurs ; le vent bat la cadence sur les ailes des moulins, anime les champs de blé et la
vie des polders, alors que les cloches du beffroi résonnent sur le bas pays.
Un poème symphonique qui magnifie la relation de l’homme avec la nature. Le réalisateur révèle un art majeur du rythme, celui des images lentes ou subitement accélérées, une bande sonore qui les entrechoque ou les caresse. Un carrousel fou... puis le silence.
2. ... à Valparaíso
Joris Ivens
1962 – FranceChili – 27' – NB+coul. – VO fr.
« Valparaíso, Chili, 300 000 habitants entre la cordillère et l'océan. » Immersion dans la ville aux 42 collines, et autant de quartiers-villages, où la vie se déploie à la verticale, d'escaliers en ascenseurs. En bas, la ville, l'eau, le port, les activités, poissons et marchandises. En haut, les maisons et cabanes empilées sur leur butte, où le soleil donne ses lumières à la misère. La caméra de Joris Ivens va et vient, joue avec la topographie de la ville, au rythme des habitants en perpétuel mouvement, tandis que Chris Marker commente et distille par touches l'insolite, l'humanité ou la mélancolie.
3. Les Amis du plaisir
Luc de Heusch
1961 – Belgique – 30' – NB – VO fr.
Ethnofiction à Moulbaix, en Hainaut. Quand le théâtre cimente la vie d'un village, quand la petite troupe locale, orchestrée par le maïeur, répète l'hiver au café, quand, le printemps venu, tout le village se vide pour assister ou participer au spectacle, quand la joie, la solidarité et les rêves partagés sont au rendez-vous, Luc de Heusch filme des débordements d'humanité.
En 1995, le réalisateur reprendra la route de Moulbaix pour filmer Les Amis du plaisir, 30 ans après.
4. Regard sur la folie
Mario Ruspoli
1962 – France – 40’ – NB – VO fr.
La vie quotidienne à l’hôpital psychiatrique de Saint-Alban (Lozère). L’équipe de tournage s’installe parmi les pensionnaires. Équipe mobile, caméra légère, une des premières qui offre le son synchrone et introduit le cinéma direct. La désespérance, les peurs, l’enfermement, le travail des soignants mais aussi, à la fin du film, une séquence intitulée « La Fête prisonnière » durant laquelle pensionnaires, habitants et équipe du film, dans une sorte de mise en abyme, font, l'espace d’un instant, sauter les barrières.
5. Mort à Vignole
Olivier Smolders
1999 – Belgique – 25' – NB+coul. – VO fr.
Le cinéma filme, dit-on, la mort au travail. Des images granuleuses d'un film familial, tourné en Super 8 dans la lagune de Venise, de l'écheveau des moments fixés sur la pellicule, des images d'enfance, les siennes, celles de ses enfants, celles que son enfant mort-né n'aura pas eues, le cinéaste tire les fils d'une réflexion intime, profonde, sereine sur la vie et la mort. Des êtres chers, et des images laissées comme autant de balises de soi et de défis à la fugacité du temps.
6. Ambulance - Ambulans
Janusz Morgenstern
1961 – Pologne – 11’ – NB
Un camion frappé d'une croix rouge s'arrête. Plus loin, un groupe d'enfants et leur instituteur attendent, gardés par un soldat et un chien. Deux soldats descendent du véhicule, l'un branche le conduit des gaz d’échappement au fourgon, l’autre pousse le groupe à l’intérieur, referme la portière, et le camion s’éloigne. Une épure, toute en tension, pour dire l'innommable. Filmée à hauteur d'enfants, captant les gestes, les regards, les bruits, l’envol ultime d’une nuée d’oiseaux... Une œuvre méconnue et pourtant magistrale du regretté Morgenstern, qui fut le collaborateur de Wajda et l'ami de Polanski.Genre : Documentaire Pays : Belgique - Pays-Bas -France - France/Chili - Pologne Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Mémoires du monde : Cent films de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 6 films issus de la collection [document projeté ou vidéo] / Herman van der Horst, Metteur en scène, réalisateur ; Joris Ivens (1898-1989), Metteur en scène, réalisateur ; Luc De Heusch, Metteur en scène, réalisateur ; Mario Ruspoli, Metteur en scène, réalisateur ; Olivier Smolders (1956-....), Metteur en scène, réalisateur ; Janusz Morgenstern, Metteur en scène, réalisateur . - Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, s.d. . - 1 DVD. - (Mémoires du monde) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : mer psychiatrie théâtre amateur journal intime Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : 6 films :
1. Chantez la mer - Prijs de zee
Herman Van der Horst
1958 – PaysBas – 25’ – NB
Le vent tend les voiles, force la houle et défie les pêcheurs ; le vent bat la cadence sur les ailes des moulins, anime les champs de blé et la
vie des polders, alors que les cloches du beffroi résonnent sur le bas pays.
Un poème symphonique qui magnifie la relation de l’homme avec la nature. Le réalisateur révèle un art majeur du rythme, celui des images lentes ou subitement accélérées, une bande sonore qui les entrechoque ou les caresse. Un carrousel fou... puis le silence.
2. ... à Valparaíso
Joris Ivens
1962 – FranceChili – 27' – NB+coul. – VO fr.
« Valparaíso, Chili, 300 000 habitants entre la cordillère et l'océan. » Immersion dans la ville aux 42 collines, et autant de quartiers-villages, où la vie se déploie à la verticale, d'escaliers en ascenseurs. En bas, la ville, l'eau, le port, les activités, poissons et marchandises. En haut, les maisons et cabanes empilées sur leur butte, où le soleil donne ses lumières à la misère. La caméra de Joris Ivens va et vient, joue avec la topographie de la ville, au rythme des habitants en perpétuel mouvement, tandis que Chris Marker commente et distille par touches l'insolite, l'humanité ou la mélancolie.
3. Les Amis du plaisir
Luc de Heusch
1961 – Belgique – 30' – NB – VO fr.
Ethnofiction à Moulbaix, en Hainaut. Quand le théâtre cimente la vie d'un village, quand la petite troupe locale, orchestrée par le maïeur, répète l'hiver au café, quand, le printemps venu, tout le village se vide pour assister ou participer au spectacle, quand la joie, la solidarité et les rêves partagés sont au rendez-vous, Luc de Heusch filme des débordements d'humanité.
En 1995, le réalisateur reprendra la route de Moulbaix pour filmer Les Amis du plaisir, 30 ans après.
4. Regard sur la folie
Mario Ruspoli
1962 – France – 40’ – NB – VO fr.
La vie quotidienne à l’hôpital psychiatrique de Saint-Alban (Lozère). L’équipe de tournage s’installe parmi les pensionnaires. Équipe mobile, caméra légère, une des premières qui offre le son synchrone et introduit le cinéma direct. La désespérance, les peurs, l’enfermement, le travail des soignants mais aussi, à la fin du film, une séquence intitulée « La Fête prisonnière » durant laquelle pensionnaires, habitants et équipe du film, dans une sorte de mise en abyme, font, l'espace d’un instant, sauter les barrières.
5. Mort à Vignole
Olivier Smolders
1999 – Belgique – 25' – NB+coul. – VO fr.
Le cinéma filme, dit-on, la mort au travail. Des images granuleuses d'un film familial, tourné en Super 8 dans la lagune de Venise, de l'écheveau des moments fixés sur la pellicule, des images d'enfance, les siennes, celles de ses enfants, celles que son enfant mort-né n'aura pas eues, le cinéaste tire les fils d'une réflexion intime, profonde, sereine sur la vie et la mort. Des êtres chers, et des images laissées comme autant de balises de soi et de défis à la fugacité du temps.
6. Ambulance - Ambulans
Janusz Morgenstern
1961 – Pologne – 11’ – NB
Un camion frappé d'une croix rouge s'arrête. Plus loin, un groupe d'enfants et leur instituteur attendent, gardés par un soldat et un chien. Deux soldats descendent du véhicule, l'un branche le conduit des gaz d’échappement au fourgon, l’autre pousse le groupe à l’intérieur, referme la portière, et le camion s’éloigne. Une épure, toute en tension, pour dire l'innommable. Filmée à hauteur d'enfants, captant les gestes, les regards, les bruits, l’envol ultime d’une nuée d’oiseaux... Une œuvre méconnue et pourtant magistrale du regretté Morgenstern, qui fut le collaborateur de Wajda et l'ami de Polanski.Genre : Documentaire Pays : Belgique - Pays-Bas -France - France/Chili - Pologne Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104599 92.2 N.1.2258 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
memoires_du_monde.jpgImage Jpeg
Titre : Mommy Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Xavier Dolan, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Diaphana Année de publication : 2014 Importance : 1 DVD (130 min.) ISBN/ISSN/EAN : 3384442264921 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : relations familiales relation intergénérationnelle relation mère - fils famille espoir Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Une veuve mono-parentale hérite de la garde de son fils, un adolescent TDAH impulsif et violent. Au coeur de leurs emportements et difficultés, ils tentent de joindre les deux bouts, notamment grâce à l’aide inattendue de l’énigmatique voisine d’en face, Kyla. Tous les trois, ils retrouvent une forme d’équilibre et, bientôt, d’espoir. Genre : Drame psychologique, drame familial Pays : Canada Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Mommy [document projeté ou vidéo] / Xavier Dolan, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Diaphana, 2014 . - 1 DVD (130 min.).
ISSN : 3384442264921
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : relations familiales relation intergénérationnelle relation mère - fils famille espoir Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Une veuve mono-parentale hérite de la garde de son fils, un adolescent TDAH impulsif et violent. Au coeur de leurs emportements et difficultés, ils tentent de joindre les deux bouts, notamment grâce à l’aide inattendue de l’énigmatique voisine d’en face, Kyla. Tous les trois, ils retrouvent une forme d’équilibre et, bientôt, d’espoir. Genre : Drame psychologique, drame familial Pays : Canada Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104785 92.1 N.1.2322 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104785.jpgImage Jpeg
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : La mort aux trousses Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Du Mesnildot, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
La mort aux trousses [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2007 . - 95 p.. - (Les petits cahiers) .
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301270 19 H.1.04022 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
La_mort_aux_troussesURLMousses, algues et lichens / Charles Godefroid
Titre : Mousses, algues et lichens Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Charles Godefroid, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur Editeur : Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française Année de publication : 1983 Collection : La télévision scolaire Importance : 1 vidéocassette (VHS) Présentation : 20 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences:Biologie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : Lichens -- Manche (mer) Cryptogames -- Manche (mer) Mousses -- Manche (mer) Algues -- Manche (mer) Sciences -- 108.3 Botanique/Minéralogie Index. décimale : 108.3 Biologie végétale/minérale Résumé : Ce reportage présente les différents types d’algues, de lichens et de mousses rencontrés notamment sur les côtes marines de la Manche. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : primaire Mousses, algues et lichens [document projeté ou vidéo] / Charles Godefroid, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur . - Radio-Télévision belge de la Communauté française, 1983 . - 1 vidéocassette (VHS) : 20 min. - (La télévision scolaire) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences:Biologie
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : Lichens -- Manche (mer) Cryptogames -- Manche (mer) Mousses -- Manche (mer) Algues -- Manche (mer) Sciences -- 108.3 Botanique/Minéralogie Index. décimale : 108.3 Biologie végétale/minérale Résumé : Ce reportage présente les différents types d’algues, de lichens et de mousses rencontrés notamment sur les côtes marines de la Manche. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : primaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Contient
Titre : Nos meilleures années Titre original : La Meglio gioventu Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marco Tullio Giordana, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Tf1 Video Année de publication : 2003 Importance : 2 DVD Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : CRIMINALITÉ / ITALIE / MER / PSYCHIATRIE / ROME / FAMILLE / SICILE / TURIN / PALERME / POLITIQUE Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Rome, fin des années '60. Nicola et Matteo sont étudiants à l'université. Nicola fait la médecine, Matteo la littérature. Leur père dirige un magasin d'articles de bureau, leur mère est prof, leur soeur aînée est juge quelque part dans le Nord, et leur soeur cadette est encore une petite fille. Matteo travaille comme bénévole dans un hôpital psychiatrique et kidnappe une jeune autiste qu'on lui a confiée car il se rend compte que les traitements ne font que l'enfermer plus. La jeune fille est récupérée par la police. Les deux frères se séparent alors, Matteo décide de faire son service militaire pendant que Nicola part en Norvège. Les inondations de Florence le ramènent au pays où il retrouve Matteo sous l'uniforme et rencontre Giulia, une jeune pianiste. Ils se mettent en ménage et ont une petite fille. Le couple milite dans les mouvements d'extrême-gauche, Giulia abandonne le piano, se radicalise, quitte sa famille et entre dans les Brigades Rouges alors que Nicola est lentement récupéré par le système. Matteo, engagé dans la police, part réprimer les émeutes à Turin et retouve Nicola qui défend les droits des malades mentaux, ainsi que sa soeur qui est juge d'instruction... Une oeuvre commandée par la RAI, une grande saga familiale qui parcourt l'Histoire de l'Italie des années '60 à la fin du vingtième siècle. Genre : Fresque sociale, drame historique Pays : Italie Niveau : secondaire et + Nos meilleures années = La Meglio gioventu [document projeté ou vidéo] / Marco Tullio Giordana, Metteur en scène, réalisateur . - France : Tf1 Video, 2003 . - 2 DVD.
Langues : Français (fre) Italien (ita) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : CRIMINALITÉ / ITALIE / MER / PSYCHIATRIE / ROME / FAMILLE / SICILE / TURIN / PALERME / POLITIQUE Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Rome, fin des années '60. Nicola et Matteo sont étudiants à l'université. Nicola fait la médecine, Matteo la littérature. Leur père dirige un magasin d'articles de bureau, leur mère est prof, leur soeur aînée est juge quelque part dans le Nord, et leur soeur cadette est encore une petite fille. Matteo travaille comme bénévole dans un hôpital psychiatrique et kidnappe une jeune autiste qu'on lui a confiée car il se rend compte que les traitements ne font que l'enfermer plus. La jeune fille est récupérée par la police. Les deux frères se séparent alors, Matteo décide de faire son service militaire pendant que Nicola part en Norvège. Les inondations de Florence le ramènent au pays où il retrouve Matteo sous l'uniforme et rencontre Giulia, une jeune pianiste. Ils se mettent en ménage et ont une petite fille. Le couple milite dans les mouvements d'extrême-gauche, Giulia abandonne le piano, se radicalise, quitte sa famille et entre dans les Brigades Rouges alors que Nicola est lentement récupéré par le système. Matteo, engagé dans la police, part réprimer les émeutes à Turin et retouve Nicola qui défend les droits des malades mentaux, ainsi que sa soeur qui est juge d'instruction... Une oeuvre commandée par la RAI, une grande saga familiale qui parcourt l'Histoire de l'Italie des années '60 à la fin du vingtième siècle. Genre : Fresque sociale, drame historique Pays : Italie Niveau : secondaire et +
- Nos meilleures années. Suppléments
- Nos meilleures années. Deuxième époque / Marco Tullio Giordana
- Nos meilleures années. Première époque / Marco Tullio Giordana
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102452 92 N.1.1275 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102452URLContient
Titre : À perdre la raison Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Joachim Lafosse, Metteur en scène, réalisateur ; Reynaert, Matthieu, Scénariste ; Bidegain, Thomas, Scénariste ; Libert, Gwenaëlle, Producteur ; Rahim, Tahar, Acteur ; Arestrup, Niels, Acteur ; Dequenne, Emilie, Acteur Editeur : Versus production Année de publication : 2012 Autre Editeur : Les films du Worso Importance : 2 dvd vidéo (116 min. + 102 min.) Note générale : Film en version originale française. Sous-titrage optionnel en français pour sourds et malentendants (uniquement pour le film). Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : psychologie famille maternité mère Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Murielle et Mounir s'aiment passionnément. Depuis son enfance, le jeune homme vit chez le Docteur Pinget, qui lui assure une vie matérielle aisée. Quand Mounir et Murielle décident de se marier et d'avoir des enfants, la dépendance du couple envers le médecin devient excessive. Murielle se retrouve alors enfermée dans un climat affectif irrespirable, ce qui mène insidieusement la famille vers une issue tragique. Note de contenu : 1 DVD bonus contenant: Focus sur le réalisateur Joachim Lafosse, interview (16 min.). "Folie privée" moyen métrage (61 min.). "Avant les mots" court métrage (25 min.). Bande annonce. Genre : drame psychologique Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire À perdre la raison [document projeté ou vidéo] / Joachim Lafosse, Metteur en scène, réalisateur ; Reynaert, Matthieu, Scénariste ; Bidegain, Thomas, Scénariste ; Libert, Gwenaëlle, Producteur ; Rahim, Tahar, Acteur ; Arestrup, Niels, Acteur ; Dequenne, Emilie, Acteur . - Belgique : Versus production : Belgique : Les films du Worso, 2012 . - 2 dvd vidéo (116 min. + 102 min.).
Film en version originale française. Sous-titrage optionnel en français pour sourds et malentendants (uniquement pour le film).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : psychologie famille maternité mère Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Murielle et Mounir s'aiment passionnément. Depuis son enfance, le jeune homme vit chez le Docteur Pinget, qui lui assure une vie matérielle aisée. Quand Mounir et Murielle décident de se marier et d'avoir des enfants, la dépendance du couple envers le médecin devient excessive. Murielle se retrouve alors enfermée dans un climat affectif irrespirable, ce qui mène insidieusement la famille vers une issue tragique. Note de contenu : 1 DVD bonus contenant: Focus sur le réalisateur Joachim Lafosse, interview (16 min.). "Folie privée" moyen métrage (61 min.). "Avant les mots" court métrage (25 min.). Bande annonce. Genre : drame psychologique Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104237 92.7 N.1.2091 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104237URLPlanète Terre / Alastair Fothergill
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Contient
Titre : Planète Terre : L'intégrale de la série Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Alastair Fothergill (1960-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Montparnasse Année de publication : 2006 Importance : 4 dvd ISBN/ISSN/EAN : 3607483159156 Note générale : Considérée comme la meilleure série documentaire sur la faune et la flore sauvages jamais réalisée, cette série a nécessité cinq ans de tournage – c’est l’un des plus gros budgets documentaires de la BBC. Chaque épisode présente des images époustouflantes : un phoque luttant pour échapper à un grand requin blanc, des macaques nageant dans le delta du Gange, des lions attaquant un éléphant, un “vampire des enfers” évoluant dans les profondeurs abyssales… Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Hydrologie/Hydrographie
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : pôles région polaire animaux faune hydrographie géographie adaptation montagnes reliefs plaines rivières fleuves océans migrations végétation mers jungle forêt grotte abysses Index. décimale : 108.2 Biologie animale Planète Terre : L'intégrale de la série [document projeté ou vidéo] / Alastair Fothergill (1960-....), Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Montparnasse, 2006 . - 4 dvd.
ISSN : 3607483159156
Considérée comme la meilleure série documentaire sur la faune et la flore sauvages jamais réalisée, cette série a nécessité cinq ans de tournage – c’est l’un des plus gros budgets documentaires de la BBC. Chaque épisode présente des images époustouflantes : un phoque luttant pour échapper à un grand requin blanc, des macaques nageant dans le delta du Gange, des lions attaquant un éléphant, un “vampire des enfers” évoluant dans les profondeurs abyssales…
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Hydrologie/Hydrographie
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie physique:Phénomènes naturels, climat et météo
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie végétale (botanique)Mots-clés : pôles région polaire animaux faune hydrographie géographie adaptation montagnes reliefs plaines rivières fleuves océans migrations végétation mers jungle forêt grotte abysses Index. décimale : 108.2 Biologie animale
- DVD 4. Les saisons en forêt, Les fonds marins / BBC
- DVD 1. D'un pôle à l'autre, Les montagnes, Les eaux vives / BBC
- DVD 2. Les mondes souterrains, Les déserts, Les régions glacières / BBC
- DVD 3. Les grandes plaines, À la surface des mers, Les jungles / BBC
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101019 108.2 N.1.0812 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
101019URL
planeteterre.jpgImage Jpeg
Titre : Post partum Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Delphine Noels, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Frakas Année de publication : 2013 Importance : 1 DVD (95 min.) ISBN/ISSN/EAN : 5414939861819 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : grossesse dépression relation mère fille mère enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Luce et Ulysse s'aiment. Ils vivent une vie pleine et heureuse à la tête de leur petite clinique vétérinaire le long de la côte atlantique. Luce attend un heureux événement. L'avenir est radieux. A priori. Car à la naissance de la petite Rose, rien ne se passe comme prévu. Luce perd pied devant les pleurs incessants de son bébé. Pourquoi diable son bébé pleure-t-il ? Serait-ce pour l'avertir de quelque chose ? La petite famille serait-elle en danger ? Genre : Drame psychologique Pays : Belgique/Luxembourg/France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Post partum [document projeté ou vidéo] / Delphine Noels, Metteur en scène, réalisateur . - [S.l.] : Frakas, 2013 . - 1 DVD (95 min.).
ISSN : 5414939861819
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminismeMots-clés : grossesse dépression relation mère fille mère enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Luce et Ulysse s'aiment. Ils vivent une vie pleine et heureuse à la tête de leur petite clinique vétérinaire le long de la côte atlantique. Luce attend un heureux événement. L'avenir est radieux. A priori. Car à la naissance de la petite Rose, rien ne se passe comme prévu. Luce perd pied devant les pleurs incessants de son bébé. Pourquoi diable son bébé pleure-t-il ? Serait-ce pour l'avertir de quelque chose ? La petite famille serait-elle en danger ? Genre : Drame psychologique Pays : Belgique/Luxembourg/France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104716 92.7 N.1.2308 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104716.jpgImage JpegLe procès / Jean-Philippe Trias
AccompagneLe Procès / Orson Welles
Titre : Le procès : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Trias, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Note générale :
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
AccompagneLe Procès / Orson Welles Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
Prix Méliès en 1962.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Procès The Trial Il Processo Der Prozess Orson Welles Franz Kafka Pierre Cholot Jean Ledrut Albinoni de Remo Giazotto Edmond Richard Adolphe Charlet Robert Fraisse Marc Maurette Paul Seban Sophie Becker Roger Corbeau Jean Mandaroux Guy Villette Julien Coutellier Hélène Thibault Louis Dor Marie-Josée Kling Yvonne Martin Frederick Muller Yves Laplanche Alexander Salkind Michael Salkind Robert Florat Mercury Productions Paris Europa Productions FICIT Hisa Films GmbH UFA Universum Film Aktien Gesellschaft COMACICO Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale Anthony Perkins Pierre Vaneck Orson Welles Jean Topart Romy Schneider Jeanne Moreau Elsa Martinelli Madeleine Robinson Suzanne Flon Akim Tamiroff Arnoldo Foa Fernand Ledoux Jess Hahn Maurice Teynac Michael Lonsdale Cinéma français Cinéma allemand Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
Note de contenu :
On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
* Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
* Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
* Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
* Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302235 19 H.1.2678 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Les remakes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Bourdon, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2012 Collection : Comprendre et reconnaître ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-584326-5 Note générale : Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois le dernier tournant féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les remakes [texte imprimé] / Laurent Bourdon, Auteur . - Larousse, 2012. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-584326-5
Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
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Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois le dernier tournant féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304033 17 H.1.04521 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304033URLSjöström / René Jeanne
Titre : Sjöström Type de document : texte imprimé Auteurs : René Jeanne, Auteur ; Charles Ford, Auteur ; Victor Sjöström, Personne honorée Editeur : Paris : Editions Universitaires Année de publication : 1963 Collection : Classiques du cinéma Note générale : Victor Sjöström (Victor Seastrom aux États-Unis) (1879-1960) est un acteur et réalisateur de cinéma suédois. Il doit être considéré, tout à la fois, comme l'un des pères fondateurs (avec Mauritz Stiller) de l'école suédoise et l'un des pionniers de l'art cinématographique Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Jardinier Trädgårdsmästaren Un mariage secret Ett hemligt giftermål Sourires et larmes Löjen och tårar Le Bureau des mariages Aekenskapsbyrån Le Flirt d'été de Lady Marion Lady Marions sommarflirt La Voix du sang Blodets röst Les Conflits de la vie Livets konflikter Ingeborg Holm Le Miracle Miraklet L'Amour plus fort que la haine Kärlok starkare än hat Demi-sang Halvblod Le Pasteur Prästen La Grève Strejken La Fille de la haute montagne Högfjällets dotter Ne jugez pas Dömen icke L'Enfant de la rue Gatans barn Les cœurs se rencontrèrent Hjärten som motas La Fille du gouverneur Landshövdingens döttrar Les Vautours de la mer Havsgamar Thérèse L'Étrange aventure de l'ingénieur Lebel Dödkyssen Terje Vigen La Fille de la tourbière Tösen från stormyrtorpet Les Proscrits Berg-Ejvind och hans hustru La Voix des ancêtres Ingmarssönerna Le Monastère de Sendomir Klostret i Sendomir La Montre brisée Karin Ingmarsdotter Maître Samuel Mästerman La Charrette fantôme Körkarlen L'Épreuve du feu Vem dömer ? La Maison cernée Det omringade huset Le Vaisseau tragique Eld ombord Le Glaive de la loi Name the Man Larmes de clown He who gets slapped Les Confessions d'une reine Confessions of a Queen La Tour des mensonges The Tower of Lies La Lettre écarlate The Scarlet Letter Le Vent The Wind La Femme divine The Divine Woman Une femme à aimer A Lady to love Sous la robe rouge Under the Red Robe L'Étrange aventure de l'ingénieur Lebel Dödkyssen Terje vigen La Charrette fantôme Körkarlen Ordet Gustaf Molander Vers la joie Till glädje Ingmar Bergman Les Fraises sauvages Smultronstället cinéma suédois cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Sjöström [texte imprimé] / René Jeanne, Auteur ; Charles Ford, Auteur ; Victor Sjöström, Personne honorée . - Editions Universitaires, 1963. - (Classiques du cinéma) .
Victor Sjöström (Victor Seastrom aux États-Unis) (1879-1960) est un acteur et réalisateur de cinéma suédois. Il doit être considéré, tout à la fois, comme l'un des pères fondateurs (avec Mauritz Stiller) de l'école suédoise et l'un des pionniers de l'art cinématographique
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Le Jardinier Trädgårdsmästaren Un mariage secret Ett hemligt giftermål Sourires et larmes Löjen och tårar Le Bureau des mariages Aekenskapsbyrån Le Flirt d'été de Lady Marion Lady Marions sommarflirt La Voix du sang Blodets röst Les Conflits de la vie Livets konflikter Ingeborg Holm Le Miracle Miraklet L'Amour plus fort que la haine Kärlok starkare än hat Demi-sang Halvblod Le Pasteur Prästen La Grève Strejken La Fille de la haute montagne Högfjällets dotter Ne jugez pas Dömen icke L'Enfant de la rue Gatans barn Les cœurs se rencontrèrent Hjärten som motas La Fille du gouverneur Landshövdingens döttrar Les Vautours de la mer Havsgamar Thérèse L'Étrange aventure de l'ingénieur Lebel Dödkyssen Terje Vigen La Fille de la tourbière Tösen från stormyrtorpet Les Proscrits Berg-Ejvind och hans hustru La Voix des ancêtres Ingmarssönerna Le Monastère de Sendomir Klostret i Sendomir La Montre brisée Karin Ingmarsdotter Maître Samuel Mästerman La Charrette fantôme Körkarlen L'Épreuve du feu Vem dömer ? La Maison cernée Det omringade huset Le Vaisseau tragique Eld ombord Le Glaive de la loi Name the Man Larmes de clown He who gets slapped Les Confessions d'une reine Confessions of a Queen La Tour des mensonges The Tower of Lies La Lettre écarlate The Scarlet Letter Le Vent The Wind La Femme divine The Divine Woman Une femme à aimer A Lady to love Sous la robe rouge Under the Red Robe L'Étrange aventure de l'ingénieur Lebel Dödkyssen Terje vigen La Charrette fantôme Körkarlen Ordet Gustaf Molander Vers la joie Till glädje Ingmar Bergman Les Fraises sauvages Smultronstället cinéma suédois cinéma muet Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302179 18 H.1.00062 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Strip-tease vol 2 : 7 films
contenu dans Strip-tease vol. 1-2-3
Titre : Strip-tease vol 2 : 7 films Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique Editeur : Paris [France] : MK2 Année de publication : 2007 Importance : 1 dvd Note générale : En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision Mots-clés : côte belge mer vieillesse 3eme age colonies colonisations Afrique armée patriotisme réformé chasse chasseur adolescence éducation école absentéisme décrochage scolaire cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : pile
brise-larmes (13’07)
merci patron (15’15)
les aventures de la famille debecker (14’07)
le patriote illustre (14’27)
face
le theatre de la biche (12’43)
conversations (11’03)
classe touriste (26’32)
bonus cache : auto-strip (2’50)Genre : Documentaire Pays : Belgique
contenu dans Strip-tease vol. 1-2-3
Strip-tease vol 2 : 7 films [document projeté ou vidéo] / Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique . - Paris (55 rue Traversière, 75012, France) : MK2, 2007 . - 1 dvd.
En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision Mots-clés : côte belge mer vieillesse 3eme age colonies colonisations Afrique armée patriotisme réformé chasse chasseur adolescence éducation école absentéisme décrochage scolaire cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : pile
brise-larmes (13’07)
merci patron (15’15)
les aventures de la famille debecker (14’07)
le patriote illustre (14’27)
face
le theatre de la biche (12’43)
conversations (11’03)
classe touriste (26’32)
bonus cache : auto-strip (2’50)Genre : Documentaire Pays : Belgique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100270 93.2 N.1.0662 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Strip-tease vol 5 : 8 films
contenu dans Strip-tease vol. 4-5-6
Titre : Strip-tease vol 5 : 8 films Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique Editeur : Paris [France] : MK2 Année de publication : 2007 Importance : 1 dvd Note générale : En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision Mots-clés : vieillesse relation mère-fils mariage péché esthétique esthéticienne beauté musique chanson commerce baccalauréat études examen cité balnéaire vacances cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : La guerre du Golfe, Mon Pierre, Scarface, J'englobe, j'adhère, j'envoûte, Un navre de paix, Types au top, Passe ton bac d'abord…, Dernier tango à Benidorm Genre : Documentaire Pays : Belgique
contenu dans Strip-tease vol. 4-5-6
Strip-tease vol 5 : 8 films [document projeté ou vidéo] / Marco Lamensch, Antécédent bibliographique ; Jean Libon, Antécédent bibliographique . - Paris (55 rue Traversière, 75012, France) : MK2, 2007 . - 1 dvd.
En 1985, Marco Lamensch et Jean Libon, journaliste et caméraman belges (aujourd’hui producteurs) créent l’émission en réaction contre une information télévisée jugée insatisfaisante. On ne s’étonnera donc pas que le succès ne se démente pas...
Strip-Tease se donne en effet l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser aussi bien les analphabètes que les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner autant la province que Paris.
Strip-Tease voudrait, au fil du temps, dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés. Sa volonté est de prouver qu’il n’est pas absolument nécessaire de bêtifier pour récupérer une partie du public parfois attiré par l’infantilisme de la concurrence.
D'abord diffusée jusqu'en 2002 en prime time sur la R.T.B.F. puis réalisée en partie en France et diffusée sur France 3 et TV5, l'émission qui déshabille la société est au fil des années devenue un objet de culte. Elle a été récompensée par de nombreux prix, dont 4 Sept d'Or.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision Mots-clés : vieillesse relation mère-fils mariage péché esthétique esthéticienne beauté musique chanson commerce baccalauréat études examen cité balnéaire vacances cinéma belge film belge Index. décimale : 93.2 Emissions télévisées / Reportages
Note de contenu : La guerre du Golfe, Mon Pierre, Scarface, J'englobe, j'adhère, j'envoûte, Un navre de paix, Types au top, Passe ton bac d'abord…, Dernier tango à Benidorm Genre : Documentaire Pays : Belgique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100274 93.2 N.1.0662 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Vie quotidienne au Moyen âge : les Mérovingiens / Jean Govaers
Titre : Vie quotidienne au Moyen âge : les Mérovingiens Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean Govaers, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Bernard Faure Editeur : Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française Année de publication : 1984 Collection : La télévision scolaire Importance : 1 vidéocassette (VHS) Présentation : 19 min Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Moyen Age (600 à 1492)Mots-clés : Childéric 1 (roi des Francs ; 0436?-481) Tournai (Belgique) -- Trésor de Childéric Royaume des Francs Clovis I (roi des Francs ; 0465-0511) Tournai (Belgique) -- Cathédrale Notre-Dame Art mérovingien Sciences humaines -- 116.2 Histoire de l'Antiquité (-3000 à 600) Sciences humaines -- 117.14 Géographie d'Europe Index. décimale : 116.3 Moyen Age (600 à 1492) Résumé : Ce reportage présente la ville de Tournai avec sa cathédrale qui, sous Childéric Ier, devient la première capitale franque mais aussi les coutumes mérovingiennes, l’art (bijoux, objets usuels, etc.), le commerce, les rites funéraires et la religion. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : secondaire Vie quotidienne au Moyen âge : les Mérovingiens [document projeté ou vidéo] / Jean Govaers, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Bernard Faure . - Radio-Télévision belge de la Communauté française, 1984 . - 1 vidéocassette (VHS) : 19 min. - (La télévision scolaire) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Moyen Age (600 à 1492)Mots-clés : Childéric 1 (roi des Francs ; 0436?-481) Tournai (Belgique) -- Trésor de Childéric Royaume des Francs Clovis I (roi des Francs ; 0465-0511) Tournai (Belgique) -- Cathédrale Notre-Dame Art mérovingien Sciences humaines -- 116.2 Histoire de l'Antiquité (-3000 à 600) Sciences humaines -- 117.14 Géographie d'Europe Index. décimale : 116.3 Moyen Age (600 à 1492) Résumé : Ce reportage présente la ville de Tournai avec sa cathédrale qui, sous Childéric Ier, devient la première capitale franque mais aussi les coutumes mérovingiennes, l’art (bijoux, objets usuels, etc.), le commerce, les rites funéraires et la religion. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : secondaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre précédent Tarnation / Jonathan Caouette
Titre : Walk away Renee Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jonathan Caouette, Metteur en scène, réalisateur Editeur : [Paris] : Zylo éd., distrib. Année de publication : 2012 Importance : 1 dvd Présentation : 87 min ISBN/ISSN/EAN : 3760121801036 Note générale : EnVO anglaise sous-titrée en français Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux:Psychologie
Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : schizophrénie troubles mentaux trouble bipolaire maniaco-dépression électrochocs relation mère-fils relation familiale famille Index. décimale : 92.2 Documentaire Résumé : En compagnie de sa mère, Renée, qui souffre d'importants troubles mentaux, le réalisateur Jonathan Caouette entreprend un voyage à travers les Etats-Unis, pour la déménager de Houston à New York. Les obstacles qu'ils rencontrent sur leur route sont entrecoupés de retours dans le temps qui donnent un aperçu de cette relation mère-fils hors du commun. A travers un montage musical et parfois psychédélique, alternant réalité et imaginaire, Walk Away Renée traite de l'amour, du sacrifice et de la perception de la réalité qui nous entoure.
Le film est présenté en compétition officielle lors de la 50ème Semaine de la Critique.Genre : Documentaire Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire
Titre précédent Tarnation / Jonathan Caouette
Walk away Renee [document projeté ou vidéo] / Jonathan Caouette, Metteur en scène, réalisateur . - [Paris] : Zylo éd., distrib., 2012 . - 1 dvd : 87 min.
ISSN : 3760121801036
EnVO anglaise sous-titrée en français
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux:Psychologie
Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : schizophrénie troubles mentaux trouble bipolaire maniaco-dépression électrochocs relation mère-fils relation familiale famille Index. décimale : 92.2 Documentaire Résumé : En compagnie de sa mère, Renée, qui souffre d'importants troubles mentaux, le réalisateur Jonathan Caouette entreprend un voyage à travers les Etats-Unis, pour la déménager de Houston à New York. Les obstacles qu'ils rencontrent sur leur route sont entrecoupés de retours dans le temps qui donnent un aperçu de cette relation mère-fils hors du commun. A travers un montage musical et parfois psychédélique, alternant réalité et imaginaire, Walk Away Renée traite de l'amour, du sacrifice et de la perception de la réalité qui nous entoure.
Le film est présenté en compétition officielle lors de la 50ème Semaine de la Critique.Genre : Documentaire Pays : USA Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104220 92.2 N.1.2081 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
104220.jpgImage Jpeg