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Titre : Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Antxon Salvador, Auteur Editeur : Rome [Italie] : Gremese Année de publication : 2011 Importance : 282 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-88-7301-739-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours [texte imprimé] / Antxon Salvador, Auteur . - Rome [Italie] : Gremese, 2011 . - 282 p.
ISBN : 978-88-7301-739-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303961 17 H.1.04460 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303961URL
Titre : Godard : biographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 24 cm Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Godard : biographie [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : B. Grasset, impr. 2010 . - 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 24 cm.
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301917 18 H.1.04220 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
301917URL
Titre : Gus Van Sant : Le cinéma entre les nuages Type de document : texte imprimé Auteurs : Edouard Arnoldy, Auteur ; Gus Van Sant (1952-....), Personne honorée Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2009 Collection : Côté cinéma Importance : 1 vol. (128 p.) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87340-246-4 Note générale : Gus Van Sant Jr. (né le 24 juillet 1952 à Louisville dans le Kentucky) est un réalisateur, directeur de la photographie, musicien et scénariste américain. Il vit à Portland, dans l'Orégon.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Drugstore Cowboy My Own Private Idaho Prête à tout Will Hunting À la rencontre de Forrester Gerry Elephant Harvey Milk Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parcours libre, parmi de nombreux possibles, entre quelques films et entre quelques images de Gus Van Sant, en aucune façon succession d'analyses, pas vraiment monographie, ce livre est sans doute d'abord une balade en cinéma.
La présence d'images appartenant à des supports différents (super-huit, 35 mm) ou de " régimes d'images " hétérogènes (télévision, jeu vidéo, photographie) dans son cinéma sont à l'origine de cette immersion. Parfois, cet essai quitte les films, pour mieux y revenir, considérant toujours le cinéma parmi les arts et les modes de pensée contemporains qui, en toute discrétion, se glissent entre quelques-unes des images de Gus Van Sant.Pays : Belgique Niveau : Secondaire supérieur et + Gus Van Sant : Le cinéma entre les nuages [texte imprimé] / Edouard Arnoldy, Auteur ; Gus Van Sant (1952-....), Personne honorée . - Crisnée [Belgique] : Yellow Now, 2009 . - 1 vol. (128 p.). - (Côté cinéma) .
ISBN : 978-2-87340-246-4
Gus Van Sant Jr. (né le 24 juillet 1952 à Louisville dans le Kentucky) est un réalisateur, directeur de la photographie, musicien et scénariste américain. Il vit à Portland, dans l'Orégon.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Drugstore Cowboy My Own Private Idaho Prête à tout Will Hunting À la rencontre de Forrester Gerry Elephant Harvey Milk Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parcours libre, parmi de nombreux possibles, entre quelques films et entre quelques images de Gus Van Sant, en aucune façon succession d'analyses, pas vraiment monographie, ce livre est sans doute d'abord une balade en cinéma.
La présence d'images appartenant à des supports différents (super-huit, 35 mm) ou de " régimes d'images " hétérogènes (télévision, jeu vidéo, photographie) dans son cinéma sont à l'origine de cette immersion. Parfois, cet essai quitte les films, pour mieux y revenir, considérant toujours le cinéma parmi les arts et les modes de pensée contemporains qui, en toute discrétion, se glissent entre quelques-unes des images de Gus Van Sant.Pays : Belgique Niveau : Secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301649 18 H.1.04182 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301649URL Nul mieux que Godard / Alain Bergala
Titre : Nul mieux que Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1999 Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-251-6 Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Nul mieux que Godard [texte imprimé] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1999. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-251-6
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302085 18 H.1.02976 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Pleasantville Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Gary Ross, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Metropolitan film & video Année de publication : 1998 Importance : 1 dvd Présentation : 119 min (sans les suppléments) Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : travail sur la couleur tout à fait remarquable 50's Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Pour s'extraire des angoisses d'une famille stressée et divisée des années 1990, David aime s'évader en regardant la télévision et plus particulièrement "Pleasantville", série en noir et blanc datant des années cinquante. Jennifer, sa sœur jumelle, est tout l'opposé de David : elle vit au jour le jour en parfaite harmonie avec le monde moderne. Jusqu'à ce que, par un étrange phénomène, Jennifer et David se retrouvent parachutés à "Pleasantville". Désormais intégrés au casting, ils vont parasiter la série au point de changer la vie bien réglée des protagonistes. Note de contenu : Suppléments :
- le commentaire audio du réalisateur (VO non sous-titrée)
- un documentaire sur la conception du film (vo sous-titrée) : les effets spéciaux, le tournage, les story-boards, les peintures du film
- la biographie et filmographie des acteurs et du réalisateur
- le vidéo-clip de Fiona Apple
- les bandes annonces (vf et vost)Genre : comédie Pays : USA Niveau : primaire, secondaire, enseignement supérieur et universitaire Pleasantville [document projeté ou vidéo] / Gary Ross, Metteur en scène, réalisateur . - Metropolitan film & video, 1998 . - 1 dvd : 119 min (sans les suppléments).
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : travail sur la couleur tout à fait remarquable 50's Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Pour s'extraire des angoisses d'une famille stressée et divisée des années 1990, David aime s'évader en regardant la télévision et plus particulièrement "Pleasantville", série en noir et blanc datant des années cinquante. Jennifer, sa sœur jumelle, est tout l'opposé de David : elle vit au jour le jour en parfaite harmonie avec le monde moderne. Jusqu'à ce que, par un étrange phénomène, Jennifer et David se retrouvent parachutés à "Pleasantville". Désormais intégrés au casting, ils vont parasiter la série au point de changer la vie bien réglée des protagonistes. Note de contenu : Suppléments :
- le commentaire audio du réalisateur (VO non sous-titrée)
- un documentaire sur la conception du film (vo sous-titrée) : les effets spéciaux, le tournage, les story-boards, les peintures du film
- la biographie et filmographie des acteurs et du réalisateur
- le vidéo-clip de Fiona Apple
- les bandes annonces (vf et vost)Genre : comédie Pays : USA Niveau : primaire, secondaire, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103675 92.1 N.1.1880 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
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