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La raison du plus faible / Lucas Belvaux
Titre : La raison du plus faible Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Lucas Belvaux, Auteur Editeur : Cinéart Année de publication : 2006 Importance : 1 dvd Présentation : 116 min Format : 16/9 compatible 4/3 ISBN/ISSN/EAN : 5413356108217 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Liège Wallonie industrie métallurgie sidérurgie travail à la chaîne chômage classe ouvrière pauvreté précarité Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : À Liège, pour pouvoir offrir une mobylette à la femme de leur copain Patrick, trois hommes vont tenter un très gros hold-up.
Il y a Patrick et Carole, un jeune couple qui ne s'en sort plus, Jean-Pierre et Robert, deux anciens métallos au chômage, dont un paralytique, et Marc, un petit délinquant repris de justice qui voudrait bien se ranger. L'étincelle qui va mettre le feu aux poudres est la panne du moteur de la mobylette de Carole, sans laquelle elle ne peut se rendre à la blanchisserie industrielle où elle gagne péniblement la paie du ménage. Patrick, sans emploi, n'a pas de quoi lui en acheter une nouvelle, et refuse par fierté l'aide d'un beau-père qui lui fait sentir son mépris.
Ces hommes décident de faire un casse, assorti d'une prise d'otages, chez des ferrailleurs qui démantèle le haut-fourneau où travaillaient Jean-Pierre et Robert.
La préparation de ce hold-up donne lieu à une effervescence d'autant plus joyeuse et grotesque que les protagonistes sont a priori peu taillés pour l'action violente, la considérant avant tout comme un geste presque ludique de révolte et de réappropriation d'une dignité bafouée.Genre : Drame Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur et + La raison du plus faible [document projeté ou vidéo] / Lucas Belvaux, Auteur . - Cinéart, 2006 . - 1 dvd : 116 min ; 16/9 compatible 4/3.
ISSN : 5413356108217
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Liège Wallonie industrie métallurgie sidérurgie travail à la chaîne chômage classe ouvrière pauvreté précarité Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : À Liège, pour pouvoir offrir une mobylette à la femme de leur copain Patrick, trois hommes vont tenter un très gros hold-up.
Il y a Patrick et Carole, un jeune couple qui ne s'en sort plus, Jean-Pierre et Robert, deux anciens métallos au chômage, dont un paralytique, et Marc, un petit délinquant repris de justice qui voudrait bien se ranger. L'étincelle qui va mettre le feu aux poudres est la panne du moteur de la mobylette de Carole, sans laquelle elle ne peut se rendre à la blanchisserie industrielle où elle gagne péniblement la paie du ménage. Patrick, sans emploi, n'a pas de quoi lui en acheter une nouvelle, et refuse par fierté l'aide d'un beau-père qui lui fait sentir son mépris.
Ces hommes décident de faire un casse, assorti d'une prise d'otages, chez des ferrailleurs qui démantèle le haut-fourneau où travaillaient Jean-Pierre et Robert.
La préparation de ce hold-up donne lieu à une effervescence d'autant plus joyeuse et grotesque que les protagonistes sont a priori peu taillés pour l'action violente, la considérant avant tout comme un geste presque ludique de révolte et de réappropriation d'une dignité bafouée.Genre : Drame Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100049 92.7 N.1.0720 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 12 - Automne 2018 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 127 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Politique Charleroi alcool police chasse Ardennes féminisme prison hôpital Résumé : Ce nouveau numéro, en librairie dès le 5 septembre, s’attaque à quelques tabous de notre société : l’alcool au travail (chez les médecins et les policiers), la puissance d’un lobby ardennais, la concertation dans le secteur culturel, le salafisme ou la parentalité chez les handicapés. L’édito quant à lui dévoile un autre sujet houleux, touchant le secteur médiatique cette fois-ci : la diversité au sein des rédactions.
Médor fait partie, comme tant d’autres, des médias aux rédactions trop homogènes. Le reconnaître explicitement est un premier pas. Nous avons déjà progressé sur la question de la parité de genre (lire l’édito du numéro 7). Le défi à relever est important. La diversité ne doit pas consister à faire écrire des Maghrébins sur Molenbeek ou des handicapés sur le handicap, mais bien à collaborer avec des journalistes de tous horizons, origines, âges, background social,... sur tous les sujets. Et veiller à la façon dont on aborde la diversité dans notre traitement de l’info.
Médor œuvre à devenir une rédaction « trait d’union », qui raconte, mais aussi incarne, les versants et détours de notre société et permet aux lecteurs de (re)connaître l’autre, dans sa différence, de couleur, de revenu, d’éducation, de culture, de sexe mais aussi de pensée. Autant le dire : tout ou presque reste à faire.
Ce que raconte ce Médor #12
Ce numéro automnal traque les luttes de pouvoir à l’œuvre dans les forêts ardennaises, affronte la tempête créée par un projet culturel bulldozer, fait connaissance avec une directrice de prison, des salafistes et un couple de rifains, interroge la BD féministe comme phénomène de mode, souligne les conséquences du changement sur la loi « caméras » et scrute la place de l’alcool dans deux professions clés : médecin et policier, premier grand volet de notre enquête ouverte illustrée par Lucie Castel.
Il
est trop tôt pour vous en révéler davantage. Mais il est encore tout juste temps pour vous de prendre un abonnement afin de profiter du plaisir de voir arriver ce numéro et les suivants directement chez vous et d’être certain·e de ne rater aucun épisode de notre grande enquête ouverte.
Observer la société au départ de votre boîte aux lettres
Seul média belge financé à 95 % par son lectorat (abonnements et ventes en librairie), Médor peut investiguer en tout indépendance pour jouer son rôle de quatrième pouvoir et vous offrir une information utile à l’exercice de la démocratie. S’abonner à Médor n’est pas un geste anodin, c’est un engagement porteur de sens.
Le 3 septembre, nous clôturons notre liste d’abonné·e·s pour ce numéro 12. Vous avez encore le temps de vous lancer mais ne tardez plus, votre commande et votre paiement doivent nous parvenir avant le 3 septembre.Note de contenu :
Éditorial
Tous les mêmes ?
« Pouvez-vous me mettre en contact avec un de vos journalistes d’origine maghrébine ? » En substance, c’est la question qu’a posée, en janvier 2015, le journaliste noir américain Ta-Nehisi Coates (The Atlantic) à la rédaction de Libération. Nous sommes quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo et le...
Lire la suite
L’enquêteke
N-VA et Proximus. Infiniment proches
Luis Van Ginneken
Le sexe de Médor
handicapées
et stérilisées
Françoise Raes
Aire libre
Vidéosurveillance.
La fascination des pixels
Quentin Noirfalisse
Trait belge
Immatriculation.
Les à-côtés de la plaque
Quentin Noirfalisse
Étude du milieu
Les nouvelles cordes du diable
Isabelle Masson-Loodts (collectif Huma)
enquête ouverte
La Belgique pompette
Illustrations du dossier alcool : Lucie Castel
enquête ouverte
Trop pleins
Anne-Laure Buisson Texte : Chloé Andries et Céline Gautier
enquête ouverte
Ces médecins qui trinquent
Par Anne-Cécile Huwart
enquête ouverte
Adieu, chère buvette
Anne-Cécile Huwart
Enquête
Poulets sans tête
Par Philippe Engels
Médor à jouer
Belgopoly
Enquête
Les seigneurs des Ardennes
Par Olivier Bailly
Photographies : Pierre Liebaert
BD
BD féministe
Photo
6 Mille
Par Sarah Lowie
médias
Mariages cathodiques
Par Grégoire Comhaire. Illustrations : Ludwick Hernandez
Moment flamand
Le dilemme de l’ourson Haribo
Par Chams Eddine Zaougui.
Illustrations : Pauline Rivière
Enquête
Tempête dans le Kanal
Par Cédric Vallet
Portrait
Jean-Michel Javaux. Toujours
du bon côté
Par Grégoire Comhaire.
Photographies : Kevin Faingnaert
Entretien
Lʼenvers des prisons
Par Quentin Noirfalisse et Chloé Andries. Photos : Colin Delfosse
Récit
Les larmes du Rif
Par Camille Crucifix. Photographies : Pauline BeugniesGenre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 12 - Automne 2018 [texte imprimé] . - 2018 . - 127 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Politique Charleroi alcool police chasse Ardennes féminisme prison hôpital Résumé : Ce nouveau numéro, en librairie dès le 5 septembre, s’attaque à quelques tabous de notre société : l’alcool au travail (chez les médecins et les policiers), la puissance d’un lobby ardennais, la concertation dans le secteur culturel, le salafisme ou la parentalité chez les handicapés. L’édito quant à lui dévoile un autre sujet houleux, touchant le secteur médiatique cette fois-ci : la diversité au sein des rédactions.
Médor fait partie, comme tant d’autres, des médias aux rédactions trop homogènes. Le reconnaître explicitement est un premier pas. Nous avons déjà progressé sur la question de la parité de genre (lire l’édito du numéro 7). Le défi à relever est important. La diversité ne doit pas consister à faire écrire des Maghrébins sur Molenbeek ou des handicapés sur le handicap, mais bien à collaborer avec des journalistes de tous horizons, origines, âges, background social,... sur tous les sujets. Et veiller à la façon dont on aborde la diversité dans notre traitement de l’info.
Médor œuvre à devenir une rédaction « trait d’union », qui raconte, mais aussi incarne, les versants et détours de notre société et permet aux lecteurs de (re)connaître l’autre, dans sa différence, de couleur, de revenu, d’éducation, de culture, de sexe mais aussi de pensée. Autant le dire : tout ou presque reste à faire.
Ce que raconte ce Médor #12
Ce numéro automnal traque les luttes de pouvoir à l’œuvre dans les forêts ardennaises, affronte la tempête créée par un projet culturel bulldozer, fait connaissance avec une directrice de prison, des salafistes et un couple de rifains, interroge la BD féministe comme phénomène de mode, souligne les conséquences du changement sur la loi « caméras » et scrute la place de l’alcool dans deux professions clés : médecin et policier, premier grand volet de notre enquête ouverte illustrée par Lucie Castel.
Il
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Éditorial
Tous les mêmes ?
« Pouvez-vous me mettre en contact avec un de vos journalistes d’origine maghrébine ? » En substance, c’est la question qu’a posée, en janvier 2015, le journaliste noir américain Ta-Nehisi Coates (The Atlantic) à la rédaction de Libération. Nous sommes quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo et le...
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L’enquêteke
N-VA et Proximus. Infiniment proches
Luis Van Ginneken
Le sexe de Médor
handicapées
et stérilisées
Françoise Raes
Aire libre
Vidéosurveillance.
La fascination des pixels
Quentin Noirfalisse
Trait belge
Immatriculation.
Les à-côtés de la plaque
Quentin Noirfalisse
Étude du milieu
Les nouvelles cordes du diable
Isabelle Masson-Loodts (collectif Huma)
enquête ouverte
La Belgique pompette
Illustrations du dossier alcool : Lucie Castel
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Trop pleins
Anne-Laure Buisson Texte : Chloé Andries et Céline Gautier
enquête ouverte
Ces médecins qui trinquent
Par Anne-Cécile Huwart
enquête ouverte
Adieu, chère buvette
Anne-Cécile Huwart
Enquête
Poulets sans tête
Par Philippe Engels
Médor à jouer
Belgopoly
Enquête
Les seigneurs des Ardennes
Par Olivier Bailly
Photographies : Pierre Liebaert
BD
BD féministe
Photo
6 Mille
Par Sarah Lowie
médias
Mariages cathodiques
Par Grégoire Comhaire. Illustrations : Ludwick Hernandez
Moment flamand
Le dilemme de l’ourson Haribo
Par Chams Eddine Zaougui.
Illustrations : Pauline Rivière
Enquête
Tempête dans le Kanal
Par Cédric Vallet
Portrait
Jean-Michel Javaux. Toujours
du bon côté
Par Grégoire Comhaire.
Photographies : Kevin Faingnaert
Entretien
Lʼenvers des prisons
Par Quentin Noirfalisse et Chloé Andries. Photos : Colin Delfosse
Récit
Les larmes du Rif
Par Camille Crucifix. Photographies : Pauline BeugniesGenre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305228 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305228.pngPortable Network Graphics 13 - Hiver 2018-2019 (Bulletin de Médor. Trimestriel belge d'enquête et de récits)
[n° ou bulletin]
Titre : 13 - Hiver 2018-2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 128 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 13 - Hiver 2018-2019 [texte imprimé] . - 2018 . - 128 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305270 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible L'adaptation / Frédéric Sabouraud
Titre : L'adaptation : Le cinéma a tant besoin d'histoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sabouraud, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2006 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-441-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques Mots-clés : Adaptation cinématographique adaptation d'oeuvres littéraires littérature et cinéma Le journal d'un curé de campagne L'Odyssée Charlie et la chocolaterie Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : L'adaptation des œuvres littéraires en films est un sujet de prédilection pour comprendre la place qu'occupe aujourd'hui le cinéma et pour réfléchir sur deux pratiques familières et dissemblables : celle du lecteur et celle du spectateur. Dès ses débuts, le cinéma adapte à l'écran des œuvres littéraires, et le cinéma parlant renforce encore davantage ce phénomène. L'auteur dégage dans son ouvrage ce qui est commun aux deux médias, et ce qui les différencie : le cinéma est certes soumis comme une bonne part de la littérature au besoin de " raconter une histoire ". Dans le même temps, il est représentation, image fondée sur des codes issus de la peinture, de la photo, du théâtre. Et enfin, il est fait de cadrage, de montage, de temps, de corps, d'espaces et de sons. Il montre en quoi la narration cinématographique est bien spécifique avec sa capacité à créer par les molles d'expression qui lui sont propres une gamme inépuisable de significations et d'émotions. Les questions de la fidélité et de la trahison, de l'écriture littéraire et de l'écriture du scénario et des dialogues y sont très concrètement abordées à partir d'exemples précis et documentés : Renoir adapte Maupassant, Gorki ou Flaubert, tandis que Welles adapte Shakespeare et David Cronenberg William Burroughs ; Robert Bresson adapte "Le journal d'un curé de campagne" quand les frères Coen choisissent "L'Odyssée" et Tim Burton "Charlie et la chocolaterie". L'adaptation : Le cinéma a tant besoin d'histoires [texte imprimé] / Frédéric Sabouraud, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2006 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-441-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques Mots-clés : Adaptation cinématographique adaptation d'oeuvres littéraires littérature et cinéma Le journal d'un curé de campagne L'Odyssée Charlie et la chocolaterie Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : L'adaptation des œuvres littéraires en films est un sujet de prédilection pour comprendre la place qu'occupe aujourd'hui le cinéma et pour réfléchir sur deux pratiques familières et dissemblables : celle du lecteur et celle du spectateur. Dès ses débuts, le cinéma adapte à l'écran des œuvres littéraires, et le cinéma parlant renforce encore davantage ce phénomène. L'auteur dégage dans son ouvrage ce qui est commun aux deux médias, et ce qui les différencie : le cinéma est certes soumis comme une bonne part de la littérature au besoin de " raconter une histoire ". Dans le même temps, il est représentation, image fondée sur des codes issus de la peinture, de la photo, du théâtre. Et enfin, il est fait de cadrage, de montage, de temps, de corps, d'espaces et de sons. Il montre en quoi la narration cinématographique est bien spécifique avec sa capacité à créer par les molles d'expression qui lui sont propres une gamme inépuisable de significations et d'émotions. Les questions de la fidélité et de la trahison, de l'écriture littéraire et de l'écriture du scénario et des dialogues y sont très concrètement abordées à partir d'exemples précis et documentés : Renoir adapte Maupassant, Gorki ou Flaubert, tandis que Welles adapte Shakespeare et David Cronenberg William Burroughs ; Robert Bresson adapte "Le journal d'un curé de campagne" quand les frères Coen choisissent "L'Odyssée" et Tim Burton "Charlie et la chocolaterie". Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303511 21.2 H.1.02801 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300020.gifImage GIF Andrzej Wajda / Hadelin Trinon
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PermalinkExploitation de la violence - Violence de l'exploitation / Louis Mouchet
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