Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
10 recherche sur le mot-clé 'Cahiers'
trié(s) par (Année d'édition décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Titre : Godard : biographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 24 cm Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Godard : biographie [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : B. Grasset, impr. 2010 . - 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 24 cm.
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301917 18 H.1.04220 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
301917URL
Titre : Libération : Les unes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Joffrin (1952-....), Directeur de publication Editeur : Paris : La Martinière Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. Format : 45 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7324-4083-5 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Photographie:Photoreportage, photo de presseMots-clés : Libération Premières pages Fac-similés Cahiers chroniques etc. Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé :
De la mort de Sartre à celle de Lévi-Strauss. De la chute de l'URSS à l'écroulement des Twin Towers. De Mesrine à Salman Rushdie, William Burroughs ou Bilai, en passant par l'IRA, le Rwanda et les plages du Débarquement... Tour d'horizon d'un monde en mouvement, fait de coups de coeur et de coups de gueule ; un monde saisi sur le vif par les journalistes d'un quotidien incontournable, qui cherche à capter, à travers ses choix éditoriaux, graphiques et ses articles, l'air du temps.
Page après page, comme le note Serge July, les unes de Libération forment un "authentique roman d'époque".
Les unes les plus marquantes et les plus grands articles de Libération réunis dans un livre-référence.
Pays : France Libération : Les unes [texte imprimé] / Laurent Joffrin (1952-....), Directeur de publication . - Paris : La Martinière, 2010 . - 1 vol. ; 45 cm.
ISBN : 978-2-7324-4083-5
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Littérature:Presse écrite
Education aux médias:Photographie:Photoreportage, photo de presseMots-clés : Libération Premières pages Fac-similés Cahiers chroniques etc. Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé :
De la mort de Sartre à celle de Lévi-Strauss. De la chute de l'URSS à l'écroulement des Twin Towers. De Mesrine à Salman Rushdie, William Burroughs ou Bilai, en passant par l'IRA, le Rwanda et les plages du Débarquement... Tour d'horizon d'un monde en mouvement, fait de coups de coeur et de coups de gueule ; un monde saisi sur le vif par les journalistes d'un quotidien incontournable, qui cherche à capter, à travers ses choix éditoriaux, graphiques et ses articles, l'air du temps.
Page après page, comme le note Serge July, les unes de Libération forment un "authentique roman d'époque".
Les unes les plus marquantes et les plus grands articles de Libération réunis dans un livre-référence.
Pays : France Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302693 58 H.1.04272 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
302693URL
Titre : Le goût de la télévision : Anthologie des "Cahiers du cinéma" Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Jousse (1961-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (685 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-470-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:JT
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Téléréalité
Education aux médias:Télévision:Télévision et enseignementMots-clés : Cahiers du cinéma Télévision Émissions -- Comptes rendus France 1945-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Avec cette anthologie, c'est l'histoire d'un regard et d'un discours critique qui est racontée à travers l'exploration des formes télévisuelles que sont les dramatiques télé, les débats politiques, les émissions littéraires, les séries, le cinéma à la télé, les matchs de football, les documentaires de création, les clips ou la télé-réalité, sans oublier quelques moments forts de notre histoire contemporaine et télévisuelle comme la chute de Ceaucescu, la Guerre du Golfe, le procès Barbie ou la Guerre en Irak... Tout à la fois réflexion historique et ontologique sur l'évolution d'un médium et questionnement sur l'existence d'une critique de télévision, le Goût de la télévision fait coexister dans un même ouvrage, André Bazin, Eric Rohmer, André S. Labarthe, Gilles Deleuze, Serge Daney, Jean Baudrillard, Olivier Assayas, Paul Virilio avec Jean-Christophe Averty, Pierre Bellemare, Serge Moati, Pierre Dumayet, Bernard Pivot, Guillaume Durand ou Pierre Chevalier. Les Cahiers du cinéma n'ont cessé, depuis le commencement de leur histoire en 1951, d'écrire sur la télévision. Le premier numéro des Cahiers y consacrait déjà un article, alors intitulé " Film, cinéma et télévision ". Considérée d'abord comme un espace utopique, ouvert à tous les possibles, la télévision est peu à peu devenue, pour les Cahiers, un sujet de réflexion, depuis l'expérience des pionniers de l'ORTF comme Pierre Sabbagh, Pierre Lazareff, Stellio Lorenzi jusqu'aux tentatives de quelques grands cinéastes comme Hitchcock, Renoir, Welles, Rossellini, Godard ou Fassbinder, pour investir le medium. Après 1981, et les multiples modifications du paysage audiovisuel (création de Canal +, irruption des chaînes privées, arrivée d'Arte, généralisation du câble et du satellite...), la télé prend une place grandissante dans la revue mais devient dans le même temps de plus en plus polémique. L'institut national de l'audiovisuel conserve la mémoire de la télévision depuis ses origines. En s'associant à cet ouvrage, l'Ina a souhaité proposer de nouvelles clés de lecture pour l'histoire de la télévision et de des programmes. Le goût de la télévision : Anthologie des "Cahiers du cinéma" [texte imprimé] / Thierry Jousse (1961-....), Directeur de publication . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (685 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-86642-470-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:JT
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Téléréalité
Education aux médias:Télévision:Télévision et enseignementMots-clés : Cahiers du cinéma Télévision Émissions -- Comptes rendus France 1945-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Avec cette anthologie, c'est l'histoire d'un regard et d'un discours critique qui est racontée à travers l'exploration des formes télévisuelles que sont les dramatiques télé, les débats politiques, les émissions littéraires, les séries, le cinéma à la télé, les matchs de football, les documentaires de création, les clips ou la télé-réalité, sans oublier quelques moments forts de notre histoire contemporaine et télévisuelle comme la chute de Ceaucescu, la Guerre du Golfe, le procès Barbie ou la Guerre en Irak... Tout à la fois réflexion historique et ontologique sur l'évolution d'un médium et questionnement sur l'existence d'une critique de télévision, le Goût de la télévision fait coexister dans un même ouvrage, André Bazin, Eric Rohmer, André S. Labarthe, Gilles Deleuze, Serge Daney, Jean Baudrillard, Olivier Assayas, Paul Virilio avec Jean-Christophe Averty, Pierre Bellemare, Serge Moati, Pierre Dumayet, Bernard Pivot, Guillaume Durand ou Pierre Chevalier. Les Cahiers du cinéma n'ont cessé, depuis le commencement de leur histoire en 1951, d'écrire sur la télévision. Le premier numéro des Cahiers y consacrait déjà un article, alors intitulé " Film, cinéma et télévision ". Considérée d'abord comme un espace utopique, ouvert à tous les possibles, la télévision est peu à peu devenue, pour les Cahiers, un sujet de réflexion, depuis l'expérience des pionniers de l'ORTF comme Pierre Sabbagh, Pierre Lazareff, Stellio Lorenzi jusqu'aux tentatives de quelques grands cinéastes comme Hitchcock, Renoir, Welles, Rossellini, Godard ou Fassbinder, pour investir le medium. Après 1981, et les multiples modifications du paysage audiovisuel (création de Canal +, irruption des chaînes privées, arrivée d'Arte, généralisation du câble et du satellite...), la télé prend une place grandissante dans la revue mais devient dans le même temps de plus en plus polémique. L'institut national de l'audiovisuel conserve la mémoire de la télévision depuis ses origines. En s'associant à cet ouvrage, l'Ina a souhaité proposer de nouvelles clés de lecture pour l'histoire de la télévision et de des programmes. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300574 32 H.1.02971 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300574URL L'économie du cinéma / Pierre Gras
Titre : L'économie du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Gras, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-436-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : industrie cinématographique les cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Pour cette initiation à l'économie du cinéma, Pierre Gras a choisi de partir des expériences concrètes de chaque lecteur, qui est aussi un spectateur de films en salles de cinéma, à la télévision, en DVD ou grâce à la vidéo à la demande sur internet. Cette introduction répond de manière vivante et précise aux questions que peut se poser tout amateur curieux des aspects économiques du cinéma, dès qu'il réfléchit à sa place de spectateur au sein d'une industrie culturelle, et qu'il veut également comprendre en quoi la connaissance de l'économie du cinéma permet de mieux connaître l'histoire et l'esthétique du cinéma. Un premier chapitre présente les caractéristiques du spectateur, et la salle de cinéma tant du point de vue économique que culturel et social. Le deuxième chapitre est consacré à la vie d'un film depuis sa conception chez les auteurs et les producteurs, jusqu'à sa distribution, sa projection publique et sa diffusion sur les nouveaux supports (télévision, DVD, internet). Enfin, l'auteur expose les enjeux de l'action de l'État et des collectivités locales en faveur du cinéma français et de la diversité cinématographique, dans le contexte mondial de domination du cinéma hollywoodien.L'économie du cinéma [texte imprimé] / Pierre Gras, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-436-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : industrie cinématographique les cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Pour cette initiation à l'économie du cinéma, Pierre Gras a choisi de partir des expériences concrètes de chaque lecteur, qui est aussi un spectateur de films en salles de cinéma, à la télévision, en DVD ou grâce à la vidéo à la demande sur internet. Cette introduction répond de manière vivante et précise aux questions que peut se poser tout amateur curieux des aspects économiques du cinéma, dès qu'il réfléchit à sa place de spectateur au sein d'une industrie culturelle, et qu'il veut également comprendre en quoi la connaissance de l'économie du cinéma permet de mieux connaître l'histoire et l'esthétique du cinéma. Un premier chapitre présente les caractéristiques du spectateur, et la salle de cinéma tant du point de vue économique que culturel et social. Le deuxième chapitre est consacré à la vie d'un film depuis sa conception chez les auteurs et les producteurs, jusqu'à sa distribution, sa projection publique et sa diffusion sur les nouveaux supports (télévision, DVD, internet). Enfin, l'auteur expose les enjeux de l'action de l'État et des collectivités locales en faveur du cinéma français et de la diversité cinématographique, dans le contexte mondial de domination du cinéma hollywoodien.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302385 17 H.1.02800 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II Titre : Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-289-9 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
Petite anthologie des Cahiers du cinéma, II. Vive le cinéma français! : 50 ans de cinéma français dans les Cahiers du cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-289-9
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Jean Renoir Robert Bresson Leos Carex Arnaud Desplechin Jacques Tati Alain Resnais Maurice Pialat Cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
Jean Renoir, Robert Bresson, Leos Carax, Arnaud Desplechin, Jacques Tati, Alain Resnais, Maurice Pialat
Les cahiers du cinéma cultivent depuis leurs origines un rapport polémique au cinéma français, sévèrement critique et méfiant à l’égard d’un cinéma considéré dans sa globalité comme médiocre, mais au sein duquel la revue distingue le travail de certains auteurs qui deviennent les compagnons de route de la revue.
En 1954, le célèbre texte de François Truffaut "Une certaine tendance du cinéma français", engage le combat de la revue contre la qualité française et s’achève sur la défense de Jean Renoir, Robert Bresson, Jean Cocteau, Jacques Becker, Sacha Guitry, Abel Gance, Jacques Tati. Bientôt la rédaction recherchera dans la Nouvelle Vague une proposition alternative au sein du cinéma français, et le rôle des anciens rédacteurs des Cahiers devenus cinéastes y restera crucial jusqu’à aujourd’hui. Ces cinéastes ont réussi avec le temps à construire un dispositif d’indépendance qui les place à la fois au centre et à la marge du cinéma français, et leurs expériences vont dès lors compter dans la vie de la revue. Aujourd’hui, l’identité du cinéma français dans les Cahiers tourne autour de quelques questions récurrentes : comment être un jeune cinéaste sans être écrasé par le poids de la nouvelle vague ? Comment garder son âme en travaillant au coeur du système ?
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302374 17 H.1.01919 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, IV. La politique des auteurs / Antoine de Baecque
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, V. La politique des auteurs / Antoine de Baecque
PermalinkLe cinéma, un art moderne / Dominique Païni
PermalinkPermalinkFrançois Truffaut / Annette Insdorf
Permalink