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Détail de l'éditeur
Éditeur Cahiers du Cinéma
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Titre : Le cinéma chinois Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Frodon (1953-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2006 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-464-0 Note générale :
Jean-Michel Frodon est directeur de la rédaction des Cahiers du cinéma après avoir été longtemps responsable de la rubrique cinéma du quotidien Le Monde. Bon connaisseur du cinéma chinois, il en a suivi, au cours de multiples voyages et de nombreuses rencontres avec les protagonistes, les évolutions depuis vingt ans. Il a notamment dirigé un ouvrage collectif consacré à Hou Hsiao-hsien et vient de faire paraître Horizon cinéma aux éditions des Cahiers du cinéma.La couv. porte en plus : "Chine : 6 générations de cinéastes, Hong-Kong : arts martiaux et polars, Taiwan : l'île des auteurs"Langues : Français (fre) Mots-clés : cinéma asiatique cinéma chinois Tienanmen Hong-Kong Taiwan cinéma hong-kongais cinéma taïwanais Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Un nouveau venu récent. Films d’action aux inventions visuelles ébouriffantes, bastion du cinéma d’auteur contemporain, ressource en stars mondiales comme en récits singuliers, le cinéma chinois a aujourd’hui conquis droit de cité à part entière sur nos écrans. Au cours des quinze dernières années, des Chinois ont gagné toutes les grandes récompenses internationales. Ce statut est récent, il était même totalement imprévisible il y a un quart de siècle.Existant depuis plus de cent ans, riche d’une histoire longue et complexe, le cinéma chinois est resté longtemps quasiment ignoré des spectateurs occidentaux. En outre, la première reconnaissance de films chinois n’est pas passée par les cinéphiles, les festivals, la critique, mais par l’importation d’un genre populaire, dans le courant des années 1970 : les films de kung-fu, qui allaient donner naissance à la première star internationale chinoise, Bruce Lee.Un cinéma chinois, des cinémas chinois.Il y a bien un cinéma chinois : il existe un monde chinois, une culture chinoise, reflétés par le cinéma qui en est issu. Et, simultanément, il y a quatre cinéma chinois : ceux de Chine continentale, de Hong Kong, de Taïwan et de la diaspora chinoise. Les noms de Zhang Yi-mou, de Jia Zhang-ke, de Wong Kar-wai, de Hou Hsiao-hsien et d’Ang Lee incarnent, aujourd’hui, la diversité de cet ensemble marqué par les grandes tempêtes de l’histoire du XXe siècle.Une approche historique et artistique.Le Petit Cahier Le Cinéma chinois présente les principaux repères historiques de cette histoire complexe : comment, à partir du « tronc commun » des quarante premières années, se sont développées les « générations » successives en Chine continentale, par delà la catastrophe de la Révolution culturelle et se sont constitués la puissante industrie hongkongaise et l’inventif cinéma d’auteur taïwanais. Ce livre à vocation pédagogique met aussi en évidence les principaux traits stylistiques du cinéma chinois, leurs relations avec la culture chinoise, les raisons de la récente reconnaissance internationale de ce cinéma, en se référant surtout à quelques figures marquantes de cette étonnante aventure.A partir de juin 2007, le film de Wong Kar-wai 2046 figure au programme du bac.Le cinéma chinois [texte imprimé] / Jean-Michel Frodon (1953-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2006 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-464-0
Jean-Michel Frodon est directeur de la rédaction des Cahiers du cinéma après avoir été longtemps responsable de la rubrique cinéma du quotidien Le Monde. Bon connaisseur du cinéma chinois, il en a suivi, au cours de multiples voyages et de nombreuses rencontres avec les protagonistes, les évolutions depuis vingt ans. Il a notamment dirigé un ouvrage collectif consacré à Hou Hsiao-hsien et vient de faire paraître Horizon cinéma aux éditions des Cahiers du cinéma.La couv. porte en plus : "Chine : 6 générations de cinéastes, Hong-Kong : arts martiaux et polars, Taiwan : l'île des auteurs"
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cinéma asiatique cinéma chinois Tienanmen Hong-Kong Taiwan cinéma hong-kongais cinéma taïwanais Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Un nouveau venu récent. Films d’action aux inventions visuelles ébouriffantes, bastion du cinéma d’auteur contemporain, ressource en stars mondiales comme en récits singuliers, le cinéma chinois a aujourd’hui conquis droit de cité à part entière sur nos écrans. Au cours des quinze dernières années, des Chinois ont gagné toutes les grandes récompenses internationales. Ce statut est récent, il était même totalement imprévisible il y a un quart de siècle.Existant depuis plus de cent ans, riche d’une histoire longue et complexe, le cinéma chinois est resté longtemps quasiment ignoré des spectateurs occidentaux. En outre, la première reconnaissance de films chinois n’est pas passée par les cinéphiles, les festivals, la critique, mais par l’importation d’un genre populaire, dans le courant des années 1970 : les films de kung-fu, qui allaient donner naissance à la première star internationale chinoise, Bruce Lee.Un cinéma chinois, des cinémas chinois.Il y a bien un cinéma chinois : il existe un monde chinois, une culture chinoise, reflétés par le cinéma qui en est issu. Et, simultanément, il y a quatre cinéma chinois : ceux de Chine continentale, de Hong Kong, de Taïwan et de la diaspora chinoise. Les noms de Zhang Yi-mou, de Jia Zhang-ke, de Wong Kar-wai, de Hou Hsiao-hsien et d’Ang Lee incarnent, aujourd’hui, la diversité de cet ensemble marqué par les grandes tempêtes de l’histoire du XXe siècle.Une approche historique et artistique.Le Petit Cahier Le Cinéma chinois présente les principaux repères historiques de cette histoire complexe : comment, à partir du « tronc commun » des quarante premières années, se sont développées les « générations » successives en Chine continentale, par delà la catastrophe de la Révolution culturelle et se sont constitués la puissante industrie hongkongaise et l’inventif cinéma d’auteur taïwanais. Ce livre à vocation pédagogique met aussi en évidence les principaux traits stylistiques du cinéma chinois, leurs relations avec la culture chinoise, les raisons de la récente reconnaissance internationale de ce cinéma, en se référant surtout à quelques figures marquantes de cette étonnante aventure.A partir de juin 2007, le film de Wong Kar-wai 2046 figure au programme du bac.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300029 17 H.1.03201 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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[périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique
Titre : Cahiers du Cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Note générale : Sur le site Internet de la revue, une consultation des archives est possible grâce à un moteur de recherche (http://www.archives-cahiersducinema.com/ ).
La médiathèque possédant presque tous les numéros, il suffit de prendre les références de la revue qui vous intéresse et nous la retrouverons dans les rayons.
Les numéros normaux et spéciaux se trouvent dans les archives. Les suppléments et les hors séries sont en rayon sur l'étagère correspondante.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaIndex. décimale : 70 Cahiers du cinéma Note de contenu : Collection du n°369 (mars 1985) à aujourd'hui, avec quelques numéros manquants. Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.net/-Archives-.html [périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique Cahiers du Cinéma [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma.
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Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaIndex. décimale : 70 Cahiers du cinéma Note de contenu : Collection du n°369 (mars 1985) à aujourd'hui, avec quelques numéros manquants. Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.net/-Archives-.html
Titre : Roberto Rossellini Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Frappat (1969-....), Auteur ; Roberto Rossellini (1906-1977), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 19 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-483-1 Note générale : Roberto Rossellini est un réalisateur italien de cinéma et de télévision, né le 8 mai 1906, à Rome, où il est mort le 3 juin 1977. Rossellini est l’un des réalisateurs les plus importants du cinéma néoréaliste italien, mouvement qui s'est très largement constitué autour de lui et de ses films Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945, ou Païsa (Paisà) en 1946.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma italien Rome ville ouverte Païsa Allemagne année zéro Stromboli Voyage en Italie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Roberto Rossellini est pour la postérité le fondateur du néoréalisme avec Rome, ville ouverte et le précurseur du cinéma moderne avec voyage en Italie. Premier documentaire sur la destruction de la vieille Europe par le nazisme, la force inédite de Rome, ville ouverte provient de la position morale de son auteur pour qui le réalisme en art est avant tout affaire de vérité. Avec Paisà, traversée de l'Italie du sud au nord dans les pas des soldats américains, et Allemagne année zéro, tourné dans les rues de Berlin en ruines, il signe une trilogie en forme d'exploration d'un monde inconnu, celui de l'après-guerre. Il est difficile aujourd'hui de se représenter le scandale provoqué par le " couple adultère " Ingrid Bergman-Roberto Rossellini qui engendre cinq grands films que l'on peut voir autant comme des documentaires sur leur relation que comme l'observation clinique du nouveau monde " moderne " qui tente de se rebâtir sur les ruines de l'ancien. Voyage en Italie est le film de cette révolution du cinéma qui bouscule les règles du récit comme la nature des personnages, proposant au spectateur lui-même de vivre le temps du film une véritable expérience intime. La voie de la nouvelle vague est ouverte. A partir des années soixante, Rossellini, persuadé que la télévision est désormais le lieu de toutes les inventions, consacre la fin de sa vie à une série de téléfilms didactiques sur l'histoire de l'humanité et de ses grands penseurs : L'âge du fer, Le Messie, Socrate. Cette dernière partie de son œuvre, la moins connue, tire encore aujourd'hui sa force de la puissante utopie qui l'a vue naître.
« MoinsRoberto Rossellini [texte imprimé] / Hélène Frappat (1969-....), Auteur ; Roberto Rossellini (1906-1977), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 19) .
ISBN : 978-2-86642-483-1
Roberto Rossellini est un réalisateur italien de cinéma et de télévision, né le 8 mai 1906, à Rome, où il est mort le 3 juin 1977. Rossellini est l’un des réalisateurs les plus importants du cinéma néoréaliste italien, mouvement qui s'est très largement constitué autour de lui et de ses films Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945, ou Païsa (Paisà) en 1946.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma italien Rome ville ouverte Païsa Allemagne année zéro Stromboli Voyage en Italie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Roberto Rossellini est pour la postérité le fondateur du néoréalisme avec Rome, ville ouverte et le précurseur du cinéma moderne avec voyage en Italie. Premier documentaire sur la destruction de la vieille Europe par le nazisme, la force inédite de Rome, ville ouverte provient de la position morale de son auteur pour qui le réalisme en art est avant tout affaire de vérité. Avec Paisà, traversée de l'Italie du sud au nord dans les pas des soldats américains, et Allemagne année zéro, tourné dans les rues de Berlin en ruines, il signe une trilogie en forme d'exploration d'un monde inconnu, celui de l'après-guerre. Il est difficile aujourd'hui de se représenter le scandale provoqué par le " couple adultère " Ingrid Bergman-Roberto Rossellini qui engendre cinq grands films que l'on peut voir autant comme des documentaires sur leur relation que comme l'observation clinique du nouveau monde " moderne " qui tente de se rebâtir sur les ruines de l'ancien. Voyage en Italie est le film de cette révolution du cinéma qui bouscule les règles du récit comme la nature des personnages, proposant au spectateur lui-même de vivre le temps du film une véritable expérience intime. La voie de la nouvelle vague est ouverte. A partir des années soixante, Rossellini, persuadé que la télévision est désormais le lieu de toutes les inventions, consacre la fin de sa vie à une série de téléfilms didactiques sur l'histoire de l'humanité et de ses grands penseurs : L'âge du fer, Le Messie, Socrate. Cette dernière partie de son œuvre, la moins connue, tire encore aujourd'hui sa force de la puissante utopie qui l'a vue naître.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300015 18 H.1.03181 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Alfred Hitchcock Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 25 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-521-0 Note générale : Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Alfred Hitchcock [texte imprimé] / Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 25) .
ISBN : 978-2-86642-521-0
Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300016 18 H.1.03183 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Billy Wilder Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 23 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-505-0 Prix : 7 EUR Note générale : Billy Wilder est un producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel Wilder, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain Assurance sur la mort Boulevard du crépuscule Stalag 17 Sabrina Sept Ans de réflexion Certains l'aiment chaud La Garçonnière Embrasse-moi idiot La Vie privée de Sherlock Holmes Avanti! Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Billy Wilder est sans conteste un maître de la comédie américaine, poussant comme personne le comique de situation aux limites de l'absurde. qui a oublié les quiproquos hilarants subis par deux musiciens travestis en femmes dans Certains l'aiment chauds ? Ce cinéaste-là sait faire rire ! Mais pas seulement. Il a tourné aussi des mélodrames pessimistes comme Boulevard du Crépuscule où Gloria Swanson campe une bouleversante star déchue du muet ou Fedora, où Marthe Keller se substitue par amour à sa mère, comédienne défigurée. Il a aussi à son actif quelques grands films noirs comme Assurance sur la mort ou Témoin à charge. Wilder a fait tourner les plus grandes stars, et les scènes d'anthologie émaillent sa filmographie : Marilyn jouant du banjo dans Certains l'aiment chauds, ou essayant de retenir sa jupe gonflée par une bouche de métro dans Sept ans de réflexion, Humphrey Bogart embrassant la juvénile Audrey Hepburn dans Sabrina, Marlene Dietrich dans son numéro de cabaret de La scandaleuse de Berlin, Jack Lemmon égouttant ses spaghettis avec une raquette de tennis dans La garçonnière ou encore Shirley MacLaine tapinant sur les trottoirs de Paris dans Irma la douce. Son humour est souvent incisif, sa vision du monde frôle le cynisme mais ses personnages finissent tous par trouver leur moment de vérité, et à ce titre, Billy Wilder est avant tout un immense moraliste.
Billy Wilder [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 23) .
ISBN : 978-2-86642-505-0 : 7 EUR
Billy Wilder est un producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel Wilder, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma américain Assurance sur la mort Boulevard du crépuscule Stalag 17 Sabrina Sept Ans de réflexion Certains l'aiment chaud La Garçonnière Embrasse-moi idiot La Vie privée de Sherlock Holmes Avanti! Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Billy Wilder est sans conteste un maître de la comédie américaine, poussant comme personne le comique de situation aux limites de l'absurde. qui a oublié les quiproquos hilarants subis par deux musiciens travestis en femmes dans Certains l'aiment chauds ? Ce cinéaste-là sait faire rire ! Mais pas seulement. Il a tourné aussi des mélodrames pessimistes comme Boulevard du Crépuscule où Gloria Swanson campe une bouleversante star déchue du muet ou Fedora, où Marthe Keller se substitue par amour à sa mère, comédienne défigurée. Il a aussi à son actif quelques grands films noirs comme Assurance sur la mort ou Témoin à charge. Wilder a fait tourner les plus grandes stars, et les scènes d'anthologie émaillent sa filmographie : Marilyn jouant du banjo dans Certains l'aiment chauds, ou essayant de retenir sa jupe gonflée par une bouche de métro dans Sept ans de réflexion, Humphrey Bogart embrassant la juvénile Audrey Hepburn dans Sabrina, Marlene Dietrich dans son numéro de cabaret de La scandaleuse de Berlin, Jack Lemmon égouttant ses spaghettis avec une raquette de tennis dans La garçonnière ou encore Shirley MacLaine tapinant sur les trottoirs de Paris dans Irma la douce. Son humour est souvent incisif, sa vision du monde frôle le cynisme mais ses personnages finissent tous par trouver leur moment de vérité, et à ce titre, Billy Wilder est avant tout un immense moraliste.
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Titre : Ingmar Bergman Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Mandelbaum, Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 14 Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm Prix : 7 EUR Note générale : Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma suédois cinéma scandinave Le Septième Sceau Persona L'Heure du loup Cris et chuchotements Scènes de la vie conjugale Sonate d'automne Fanny et Alexandre Sarabande Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : L'œuvre d'Ingmar Bergman force l'admiration. Au cours d'une carrière riche de quelque cinquante longs métrages réalisés entre 1945 et 2003 (sans compter son infatigable activité de metteur en scène de théâtre), il remet sans cesse sur le métier ses obsessions intimes, ses fantasmes qui brouillent la représentation de la réalité, ses personnages dévorés par une culpabilité qui torture l'âme et le corps, sa lucidité à ausculter le couple qui se séduit puis se déchire, son angoisse devant le silence de Dieu, sa recherche chaotique d'une rédemption. Le Septième sceau, les Fraises sauvages, Une passion, A travers le miroir, autant de chefs-d'œuvre dans une œuvre qui traduit une capacité à exprimer ses sentiments restée inégalée. On peut lire ses films comme une transposition de son propre parcours, depuis son enfance dans une famille luthérienne ultrarigide, sa propre ambiguïté morale qui lui fait honte et horreur. Ingmar Bergman est aussi un cinéaste qui, au-delà des modes, capte l'esprit de son temps, dans ses aspirations et ses désillusions : Monika, dans lequel Harriet Anderson incarne une jeune femme à la sensualité sauvage et scandaleuse, lui apporte la notoriété en France, incarnant ce vent de liberté qui marque la modernité naissante au cinéma. Dans les années soixante, il expérimente avec Persona l'une des plus puissantes évocations de l'ambiguïté du mal. Scènes de la vie conjugale stigmatise cet individualisme qui induit insidieusement la déshumanisation du monde, monde qui se déploie avec joie et nostalgie dans Fanny et Alexandre et qui atteint sa représentation la plus dépouillée dans sarabande, son ultime film, à la fois leçon de cinéma et questionnement existentiel. Dans l'univers du cinéma, Bergman est un continent à part, celui d'un géant à la hauteur de Beethoven ou de Dostoïevski. Ingmar Bergman [texte imprimé] / Jacques Mandelbaum, Auteur ; Billy Wilder, Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (96 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 14) .
7 EUR
Ernst Ingmar Bergman est un metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur de cinéma suédois, né à Uppsala le 14 juillet 1918 et mort le 30 juillet 2007 sur l'île de Fårö.
Il s'est imposé comme l'un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma en proposant une œuvre s'attachant à des thèmes métaphysiques (Le Septième Sceau), à l'introspection psychologique (Persona) ou familiale (Cris et chuchotements, Fanny et Alexandre) et à l'analyse des comportements du couple (Scènes de la vie conjugale). Il est le premier cinéaste à obtenir la Palme des Palmes au Festival de Cannes en 1997.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma suédois cinéma scandinave Le Septième Sceau Persona L'Heure du loup Cris et chuchotements Scènes de la vie conjugale Sonate d'automne Fanny et Alexandre Sarabande Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : L'œuvre d'Ingmar Bergman force l'admiration. Au cours d'une carrière riche de quelque cinquante longs métrages réalisés entre 1945 et 2003 (sans compter son infatigable activité de metteur en scène de théâtre), il remet sans cesse sur le métier ses obsessions intimes, ses fantasmes qui brouillent la représentation de la réalité, ses personnages dévorés par une culpabilité qui torture l'âme et le corps, sa lucidité à ausculter le couple qui se séduit puis se déchire, son angoisse devant le silence de Dieu, sa recherche chaotique d'une rédemption. Le Septième sceau, les Fraises sauvages, Une passion, A travers le miroir, autant de chefs-d'œuvre dans une œuvre qui traduit une capacité à exprimer ses sentiments restée inégalée. On peut lire ses films comme une transposition de son propre parcours, depuis son enfance dans une famille luthérienne ultrarigide, sa propre ambiguïté morale qui lui fait honte et horreur. Ingmar Bergman est aussi un cinéaste qui, au-delà des modes, capte l'esprit de son temps, dans ses aspirations et ses désillusions : Monika, dans lequel Harriet Anderson incarne une jeune femme à la sensualité sauvage et scandaleuse, lui apporte la notoriété en France, incarnant ce vent de liberté qui marque la modernité naissante au cinéma. Dans les années soixante, il expérimente avec Persona l'une des plus puissantes évocations de l'ambiguïté du mal. Scènes de la vie conjugale stigmatise cet individualisme qui induit insidieusement la déshumanisation du monde, monde qui se déploie avec joie et nostalgie dans Fanny et Alexandre et qui atteint sa représentation la plus dépouillée dans sarabande, son ultime film, à la fois leçon de cinéma et questionnement existentiel. Dans l'univers du cinéma, Bergman est un continent à part, celui d'un géant à la hauteur de Beethoven ou de Dostoïevski. Exemplaires
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Titre : Buster Keaton Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Goudet, Auteur ; Buster Keaton (1895-1966), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 26 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-525-8 Note générale : Buster Keaton est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain, né Joseph Frank Keaton Junior le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas), mort le 1er février 1966 à Hollywood (Californie) ; « Buster » est un surnom générique (« pote ») signifiant aussi « casse-cou ». Humoriste célèbre pour son flegme, il fut entre autres surnommé « l'homme qui ne rit jamais » par contraste avec Charles Chaplin.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Burlesque cinéma muet cinéma américain Sherlock Jr. La Croisière du Navigator Le Mécano de la General Cadet d'eau douce Le Cameraman Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Keaton doit son prénom, Buster - " casse-cou ", à une dégringolade, miraculeusement sans conséquences, qu'il fit bébé dans l'escalier. C'est sans doute ce que l'on peut appeler une scène primitive pour se maître du burlesque dont le corps perpétuellement en déséquilibre allait devenir une marque de fabrique. Alors qu'il se produit au music-hall avec ses parents depuis tout petit, une société de protection de l'enfant s'émeut des chutes et contorsions que lui valent ses rôles d'adultes miniatures. Il est recruté par Mack Sennett pour donner la réplique à Fatty Arbuckle, " l'obèse au visage de poupon ", dans d'hilarantes comédies à base de poursuites et de batailles de tartes à la crème. Mais, plus largement, c'est un genre à part entière du cinéma qui s'y invente, le burlesque, qui, qu'au-delà du rire, traite du rapport difficile qu'entretient l'homme avec les objets l'espace et les autres. Au début des années vingt, Kaeton crée ses propres studios. Acteur, metteur en scène, scénariste, il produit nombre de courts métrages, au meilleur de son talent dans l'inoubliable Maison démontable. Il passe bientôt au long métrage et réalise une succession de chefs-d'œuvre comme Sherlock Junior, La Croisière du " Navigator ", ou Le Mécano de la " General ", merveilleuses de rythme, de logique et de géométrie. Le temps n'est plus où il fallait légitimer Buster Keaton pour lui assurer une place centrale qui lui revient de droit dans l'histoire du cinéma mondial. Il n'est donc plus besoin de l'opposer à Charlie Chaplin. Ce combat de cinéphilie a été gagné, et Charlie Chaplin et Keaton en sont tous deux sortis vainqueurs, maîtres incontestés du comique et du burlesque. Buster Keaton [texte imprimé] / Stéphane Goudet, Auteur ; Buster Keaton (1895-1966), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 26) .
ISBN : 978-2-86642-525-8
Buster Keaton est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain, né Joseph Frank Keaton Junior le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas), mort le 1er février 1966 à Hollywood (Californie) ; « Buster » est un surnom générique (« pote ») signifiant aussi « casse-cou ». Humoriste célèbre pour son flegme, il fut entre autres surnommé « l'homme qui ne rit jamais » par contraste avec Charles Chaplin.
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Burlesque cinéma muet cinéma américain Sherlock Jr. La Croisière du Navigator Le Mécano de la General Cadet d'eau douce Le Cameraman Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Keaton doit son prénom, Buster - " casse-cou ", à une dégringolade, miraculeusement sans conséquences, qu'il fit bébé dans l'escalier. C'est sans doute ce que l'on peut appeler une scène primitive pour se maître du burlesque dont le corps perpétuellement en déséquilibre allait devenir une marque de fabrique. Alors qu'il se produit au music-hall avec ses parents depuis tout petit, une société de protection de l'enfant s'émeut des chutes et contorsions que lui valent ses rôles d'adultes miniatures. Il est recruté par Mack Sennett pour donner la réplique à Fatty Arbuckle, " l'obèse au visage de poupon ", dans d'hilarantes comédies à base de poursuites et de batailles de tartes à la crème. Mais, plus largement, c'est un genre à part entière du cinéma qui s'y invente, le burlesque, qui, qu'au-delà du rire, traite du rapport difficile qu'entretient l'homme avec les objets l'espace et les autres. Au début des années vingt, Kaeton crée ses propres studios. Acteur, metteur en scène, scénariste, il produit nombre de courts métrages, au meilleur de son talent dans l'inoubliable Maison démontable. Il passe bientôt au long métrage et réalise une succession de chefs-d'œuvre comme Sherlock Junior, La Croisière du " Navigator ", ou Le Mécano de la " General ", merveilleuses de rythme, de logique et de géométrie. Le temps n'est plus où il fallait légitimer Buster Keaton pour lui assurer une place centrale qui lui revient de droit dans l'histoire du cinéma mondial. Il n'est donc plus besoin de l'opposer à Charlie Chaplin. Ce combat de cinéphilie a été gagné, et Charlie Chaplin et Keaton en sont tous deux sortis vainqueurs, maîtres incontestés du comique et du burlesque. Exemplaires
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Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires
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Titre : La critique de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Frodon (1953-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-526-5 Prix : 9,95 eur Note générale :
François Truffaut disait : "Tout le monde a deux métiers : le sien et critique de cinéma." Voir des films et aimer en parler avec passion est une manifestation répandue de l'esprit critique de tout un chacun. Quelle serait alors la spécificité du travail du critique ? Jean-Michel Frodon, critique de cinéma depuis de nombreuses années, met ici en évidence les enjeux de cette activité, son inscription dans le cadre des médias, et surtout l'importance de l'écriture. Il décrit comment s'effectue concrètement le travail du critique, des projections de presse à la salle de rédaction, dans les revues de cinéma comme dans les journaux, à la radio et à la télévision comme sur Internet.
Du journalisme à la littérature, entre sollicitations promotionnelles et tentation du guide à la consommation, la critique fascine et irrite à la fois. Elle tire sa noblesse de l'expression d'un avis personnel, inspiré par des émotions qui nourrissent une réflexion offerte en partage. Héritière de la critique d'art née sous les auspices de Diderot et de Baudelaire, la critique de cinéma possède, en France, une histoire particulièrement riche, retracée ici. Ses engagements esthétiques, son dialogue avec les créateurs ont suscité de nombreux mouvements artistiques, du "Cinéma d'art" des années 20 à la Politique des auteurs et la Nouvelle Vague dans les années 60. Une comparaison avec les situations dans d'autres pays permet de mieux en apprécier la spécificité. Un florilège de textes représentatifs des grands critiques, du début du XXe siècle à aujourd'hui complète l'ouvrage.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : critique de film critique de cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Étude de la critique cinématographique française à travers l'analyse des différentes acceptions du mot critique, son histoire, une réflexion sur les effets esthétiques, économiques et politiques de la critique, une comparaison avec d'autres pays et cultures. L'ensemble est accompagné d'une sélection de textes critiques du début du XXe siècle à aujourd'hui. Note de contenu :
Au sommaire
Première partie
Définitions et distinctions
Pratique et effets : concrètement, comment ça se passe ?
Repères historiques de la critique en France
Deuxième partie - Exemples de différentes pratiques critiques, textes de références
AnnexesLa critique de cinéma [texte imprimé] / Jean-Michel Frodon (1953-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-86642-526-5 : 9,95 eur
François Truffaut disait : "Tout le monde a deux métiers : le sien et critique de cinéma." Voir des films et aimer en parler avec passion est une manifestation répandue de l'esprit critique de tout un chacun. Quelle serait alors la spécificité du travail du critique ? Jean-Michel Frodon, critique de cinéma depuis de nombreuses années, met ici en évidence les enjeux de cette activité, son inscription dans le cadre des médias, et surtout l'importance de l'écriture. Il décrit comment s'effectue concrètement le travail du critique, des projections de presse à la salle de rédaction, dans les revues de cinéma comme dans les journaux, à la radio et à la télévision comme sur Internet.
Du journalisme à la littérature, entre sollicitations promotionnelles et tentation du guide à la consommation, la critique fascine et irrite à la fois. Elle tire sa noblesse de l'expression d'un avis personnel, inspiré par des émotions qui nourrissent une réflexion offerte en partage. Héritière de la critique d'art née sous les auspices de Diderot et de Baudelaire, la critique de cinéma possède, en France, une histoire particulièrement riche, retracée ici. Ses engagements esthétiques, son dialogue avec les créateurs ont suscité de nombreux mouvements artistiques, du "Cinéma d'art" des années 20 à la Politique des auteurs et la Nouvelle Vague dans les années 60. Une comparaison avec les situations dans d'autres pays permet de mieux en apprécier la spécificité. Un florilège de textes représentatifs des grands critiques, du début du XXe siècle à aujourd'hui complète l'ouvrage.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : critique de film critique de cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Étude de la critique cinématographique française à travers l'analyse des différentes acceptions du mot critique, son histoire, une réflexion sur les effets esthétiques, économiques et politiques de la critique, une comparaison avec d'autres pays et cultures. L'ensemble est accompagné d'une sélection de textes critiques du début du XXe siècle à aujourd'hui. Note de contenu :
Au sommaire
Première partie
Définitions et distinctions
Pratique et effets : concrètement, comment ça se passe ?
Repères historiques de la critique en France
Deuxième partie - Exemples de différentes pratiques critiques, textes de références
AnnexesExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300083 17 H.1.03241 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Histoire et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-476-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma et histoire Films historiques Histoire critique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès ses origines le cinéma a été fasciné par l'Histoire : en témoignent les centaines de reconstitutions historiques, de la Passion du Christ à la Révolution française. La Rome antique, quant à elle, a donné naissance à un genre, le péplum, et la conquête de l'Ouest à un autre, le western. La révolution soviétique s'est propagée à travers des films mythiques comme Le Cuirassé Potemkine. Dans sa nature même, le cinéma est une forme d'enregistrement de la réalité qui possède une authenticité documentaire. Il donne forme à l'histoire du XXe siècle comme le roman a été la forme du XIXe. Ambitions de reconstitutions ou miroirs d'archives, l'histoire d'un art et l'histoire d'un siècle ont donc à faire ensemble, leur rencontre est des plus stimulantes. Le sens de l'Histoire passe par la mise en scène et le montage, et il y a bien plus d'Histoire dans une fiction cinématographique que dans une bande d'actualités filmées. Ces deux modèles de représentation que sont le cinéma et l'Histoire ont aussi en commun la capacité exemplaire de rendre le monde visible et lisible. Les hommes peuvent y puiser pour se figurer leur histoire et se constituer une vision du monde.Histoire et cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-476-3
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Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma et histoire Films historiques Histoire critique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès ses origines le cinéma a été fasciné par l'Histoire : en témoignent les centaines de reconstitutions historiques, de la Passion du Christ à la Révolution française. La Rome antique, quant à elle, a donné naissance à un genre, le péplum, et la conquête de l'Ouest à un autre, le western. La révolution soviétique s'est propagée à travers des films mythiques comme Le Cuirassé Potemkine. Dans sa nature même, le cinéma est une forme d'enregistrement de la réalité qui possède une authenticité documentaire. Il donne forme à l'histoire du XXe siècle comme le roman a été la forme du XIXe. Ambitions de reconstitutions ou miroirs d'archives, l'histoire d'un art et l'histoire d'un siècle ont donc à faire ensemble, leur rencontre est des plus stimulantes. Le sens de l'Histoire passe par la mise en scène et le montage, et il y a bien plus d'Histoire dans une fiction cinématographique que dans une bande d'actualités filmées. Ces deux modèles de représentation que sont le cinéma et l'Histoire ont aussi en commun la capacité exemplaire de rendre le monde visible et lisible. Les hommes peuvent y puiser pour se figurer leur histoire et se constituer une vision du monde.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300353 17 H.1.03864 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 300857 17 H.1.03864 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300353URLDu visage au cinéma / Jacques Aumont
Titre : Du visage au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Aumont (1942-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1992 Autre Editeur : Paris : Éd. de l'Étoile Collection : Essais Importance : 1 vol. (219 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-124-3 Note générale : Bibliographie p. 205-209 . - Index p. 211-219 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : cinéma esthétique le visage au cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Nous avons tous un visage, ou du moins, nous sommes tous persuadés d'en avoir un. C'est même, depuis longtemps, la plus banale et la plus simple définition de l'humain: l'homme est celui qui a un visage, et qui peut, l'offrant à autrui, communiquer, exprimer ses émotions, et aussi faire bonne figure en société.
C'est le sort du visage au cinéma qui est en cause. parce que le cinéma est le seul art qui ait accompagné tout le XXe siècle. Parce que son statut esthétique incertain, ambigu, d'art jeune, a fait du cinéma un révélateur plus sensible que d'autres. Si, après l'avoir exalté et glorifié, le cinéma prend aujourd'hui un visage pour le défigurer ou le vider, c'est que ce vieil objet, le visage (et aussi, cette vieille chose, l'humanité) n'est plus tout à fait le même. En somme, l'auteur se demande comment la représentation a affecté, au plus haut point, celui de tous ses objets qu'elle a le plus chéri. La thèse de ce livre pourrait être qu'à trop se laisser dévisager, on perd la face.Du visage au cinéma [texte imprimé] / Jacques Aumont (1942-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : Paris : Éd. de l'Étoile, 1992 . - 1 vol. (219 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm.. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-124-3
Bibliographie p. 205-209 . - Index p. 211-219
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : cinéma esthétique le visage au cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Nous avons tous un visage, ou du moins, nous sommes tous persuadés d'en avoir un. C'est même, depuis longtemps, la plus banale et la plus simple définition de l'humain: l'homme est celui qui a un visage, et qui peut, l'offrant à autrui, communiquer, exprimer ses émotions, et aussi faire bonne figure en société.
C'est le sort du visage au cinéma qui est en cause. parce que le cinéma est le seul art qui ait accompagné tout le XXe siècle. Parce que son statut esthétique incertain, ambigu, d'art jeune, a fait du cinéma un révélateur plus sensible que d'autres. Si, après l'avoir exalté et glorifié, le cinéma prend aujourd'hui un visage pour le défigurer ou le vider, c'est que ce vieil objet, le visage (et aussi, cette vieille chose, l'humanité) n'est plus tout à fait le même. En somme, l'auteur se demande comment la représentation a affecté, au plus haut point, celui de tous ses objets qu'elle a le plus chéri. La thèse de ce livre pourrait être qu'à trop se laisser dévisager, on perd la face.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302042 21 H.1.01026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Coffret Akerman / Chantal Akerman
Contient
Titre : Coffret Akerman Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 2 dvd + 1 livret ISBN/ISSN/EAN : 3760129730062 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Note de contenu : Golden Eighties
Toute une nuit
Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur et + Coffret Akerman [document projeté ou vidéo] / Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, [s.d.] . - 2 dvd + 1 livret.
ISSN : 3760129730062
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Note de contenu : Golden Eighties
Toute une nuit
Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur et +
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100648 92.7 N.1.0483 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Golden Eighties / Chantal Akerman
contenu dans Coffret Akerman / Chantal Akerman
Titre : Golden Eighties Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1986 Importance : 1 dvd Présentation : 96 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge Bruxelles Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Dans "Golden eighties", le bal des amours perdues et retrouvées bat son plein dans le huis clos d'une galerie marchande. son salon de coiffure, son cinéma, son snack bar et sa boutique de vêtements évoquent les décors des films de Jacques Demy. Les voix inoubliables de Delphine Seyrig et Charles Denner en Mr et Mme Scharwtz lestent d'une proondeur humaine et cinématographique ce film par ailleurs gai, léger et coloré, où l'imperméable en plastique côtoie la jupe fendue dans le vestiaire des shampouineuses.
Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire
contenu dans Coffret Akerman / Chantal Akerman
Golden Eighties [document projeté ou vidéo] / Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1986 . - 1 dvd : 96 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge Bruxelles Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Dans "Golden eighties", le bal des amours perdues et retrouvées bat son plein dans le huis clos d'une galerie marchande. son salon de coiffure, son cinéma, son snack bar et sa boutique de vêtements évoquent les décors des films de Jacques Demy. Les voix inoubliables de Delphine Seyrig et Charles Denner en Mr et Mme Scharwtz lestent d'une proondeur humaine et cinématographique ce film par ailleurs gai, léger et coloré, où l'imperméable en plastique côtoie la jupe fendue dans le vestiaire des shampouineuses.
Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100649 92.7 N.1.0483 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Toute une nuit / Chantal Akerman
contenu dans Coffret Akerman / Chantal Akerman
Titre : Toute une nuit Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1982 Importance : 1 dvd Présentation : 90 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge histoire de couples Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Le Bruxelles de "Toute une nuit" n'est pas sous-terrain mais il est confiné à une poignée d'espaces - appartements ou cafés - familiers à la cinéaste. Les amours y sont aussi, le temps de la préparation d'un orage, nouées puis défaites, ponctuées par trois danses. A peine dialogué, le film bruisse cependant du pas des amants qui se courent après dans la rue, du grincement des gonds d'une porte qu'une femme ouvre discrètement pour quitter son mari, du papier journal que le vent, fenêtre ouverte, fait gonfler sur le lit d'un insomniaque, de l'air du dernier slow qu'on danse au bar en attendant que le sol sèche. Pas encore installation mais déjà expérience, ce ballet urbain et intime chuchote ce que "Golden eighties" entonnera à tue-tête. Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire
contenu dans Coffret Akerman / Chantal Akerman
Toute une nuit [document projeté ou vidéo] / Chantal Akerman, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1982 . - 1 dvd : 90 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : cinéma belge histoire de couples Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Le Bruxelles de "Toute une nuit" n'est pas sous-terrain mais il est confiné à une poignée d'espaces - appartements ou cafés - familiers à la cinéaste. Les amours y sont aussi, le temps de la préparation d'un orage, nouées puis défaites, ponctuées par trois danses. A peine dialogué, le film bruisse cependant du pas des amants qui se courent après dans la rue, du grincement des gonds d'une porte qu'une femme ouvre discrètement pour quitter son mari, du papier journal que le vent, fenêtre ouverte, fait gonfler sur le lit d'un insomniaque, de l'air du dernier slow qu'on danse au bar en attendant que le sol sèche. Pas encore installation mais déjà expérience, ce ballet urbain et intime chuchote ce que "Golden eighties" entonnera à tue-tête. Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100650 92.7 N.1.0483 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible La lumière au cinéma / fabrice Revault D'Allonnes
Titre : La lumière au cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : fabrice Revault D'Allonnes, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1991 Collection : Essais Importance : 1 vol. (205 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-076-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : technologie du cinéma cinéma esthétique éclairage Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Que ce soit à la prise de vue ou pour la projection d’un film, c’est la lumière qui donne à voir l’image. C’est aussi elle qui donne du sens à l’image par la façon dont elle « éclaire le sujet et l’ambiance émotionnelle qu’elle crée ». La lumière au cinéma [texte imprimé] / fabrice Revault D'Allonnes, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 1991 . - 1 vol. (205 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm.. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-076-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinémaMots-clés : technologie du cinéma cinéma esthétique éclairage Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Que ce soit à la prise de vue ou pour la projection d’un film, c’est la lumière qui donne à voir l’image. C’est aussi elle qui donne du sens à l’image par la façon dont elle « éclaire le sujet et l’ambiance émotionnelle qu’elle crée ». Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302001 21 H.1.02110 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 302046 21 H.1.02110 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt
Titre : Au Sud du cinéma : films d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Frodon (1953-....), Editeur scientifique ; Véronique Foz, Traducteur ; Charlotte Garson, Traducteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (255 p.) Présentation : nombreuses ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-395-7 Prix : 40 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma Histoire et critique Afrique Asie Cinéma latino-américain Pays en voie de développement Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le monde est différent. Le cinéma est différent. Depuis 20 ans, la planète cinématographique a changé de forme, de taille, de couleur, de rythme et d'intensité. Elle s'est agrandie aux dimensions de nouveaux continents entiers. C'est cet enrichissement que nous appelons ici le Sud du cinéma. Ces apports viennent de ce qu'on nomme " les pays du Sud ", la formule est contestable, pas la formidable ouverture qui s'est produite depuis deux décennies. D'Iran, de Chine, d'Argentine, d'Afrique noire, d'Asie centrale, du Moyen-Orient... sont venus de nouveaux artistes, de nouvelles histoires et de nouvelles manières de les raconter, de nouvelles images et de nouvelles manières de les montrer. Neuf régions où les héritages traditionnels originaux nourrissent des regards
au présent, en phase avec une actualité méconnue, passionnante, souvent tragique, parfois joyeuse. Pour en rendre compte, cet ouvrage propose neuf essais écrits par les meilleurs connaisseurs des cinématographies de ces régions. Ils composent ensemble le portrait contrasté d'un monde tel que le cinéma contemporain le donne à voir, à comprendre. Notre monde. Ces cinématographies ont trouvé depuis 20 ans des relais, des appuis, des interlocuteurs dans les pays du " Nord ", et singulièrement en France. Parmi ces alliés figure en bonne
place le Fonds Sud Cinéma, organe de soutien mis en place conjointement par les ministères des Affaires étrangères et de la Culture (Centre national de la cinématographie). C'est à l'occasion des 20 ans du Fonds Sud Cinéma que le présent livre a été composé sous la direction de Jean-Michel Frodon.Au Sud du cinéma : films d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine [texte imprimé] / Jean-Michel Frodon (1953-....), Editeur scientifique ; Véronique Foz, Traducteur ; Charlotte Garson, Traducteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2004 . - 1 vol. (255 p.) : nombreuses ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-86642-395-7 : 40 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma Histoire et critique Afrique Asie Cinéma latino-américain Pays en voie de développement Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le monde est différent. Le cinéma est différent. Depuis 20 ans, la planète cinématographique a changé de forme, de taille, de couleur, de rythme et d'intensité. Elle s'est agrandie aux dimensions de nouveaux continents entiers. C'est cet enrichissement que nous appelons ici le Sud du cinéma. Ces apports viennent de ce qu'on nomme " les pays du Sud ", la formule est contestable, pas la formidable ouverture qui s'est produite depuis deux décennies. D'Iran, de Chine, d'Argentine, d'Afrique noire, d'Asie centrale, du Moyen-Orient... sont venus de nouveaux artistes, de nouvelles histoires et de nouvelles manières de les raconter, de nouvelles images et de nouvelles manières de les montrer. Neuf régions où les héritages traditionnels originaux nourrissent des regards
au présent, en phase avec une actualité méconnue, passionnante, souvent tragique, parfois joyeuse. Pour en rendre compte, cet ouvrage propose neuf essais écrits par les meilleurs connaisseurs des cinématographies de ces régions. Ils composent ensemble le portrait contrasté d'un monde tel que le cinéma contemporain le donne à voir, à comprendre. Notre monde. Ces cinématographies ont trouvé depuis 20 ans des relais, des appuis, des interlocuteurs dans les pays du " Nord ", et singulièrement en France. Parmi ces alliés figure en bonne
place le Fonds Sud Cinéma, organe de soutien mis en place conjointement par les ministères des Affaires étrangères et de la Culture (Centre national de la cinématographie). C'est à l'occasion des 20 ans du Fonds Sud Cinéma que le présent livre a été composé sous la direction de Jean-Michel Frodon.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300397 17 H.1.03884 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300397URLLe documentaire / Jean Breschand
Titre : Le documentaire : l'autre face du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Breschand, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-348-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : Histoire du film documentaire Index. décimale : 21.1 Cinéma documentaire Résumé : Le documentaire est aussi vieux que le cinéma, puisqu'on peut dire que les Frères Lumière, tels monsieur Jourdain, font du documentaire sans le savoir.
Le genre recouvre des pratiques fort différentes et toute définition est forcément réductrice par rapport à leur diversité. Questionner le cinéma à partir de son approche documentaire, c'est s'interroger sur le statut du réel face à la caméra, ou encore du rapport du film à la réalité. Fiction et documentaire sont donc deux axes d'un même art qui ressaisit la réalité. Aujourd'hui les limites entre les deux s'estompent, et ont tendance à se croiser.
Par contre, la frontière entre le cinéma documentaire et le reportage, le magazine ou encore toute forme de télé-réalité tend à se définir de plus en plus clairement. La capture d'images, le " direct ", le dispositif, tels que la télévision les pratique, s'éloignent de plus en plus de l'art de la mise en scène, seul susceptible de restituer la richesse et la complexité du réel. Jean Breschand appuie son analyse sur des films et des cinéastes, depuis les pionniers, Lumière, on l'a dit, mais aussi Flaherty et Vertov ; Jean Vigo également, inventeur du fameux " point de vue documenté ".
Les grandes figures de Jean Rouch et de Joris Ivens, des cinéastes qui éprouvent le besoin, pour mieux exprimer leur créativité, de passer du documentaire à la fiction et retour, comme Abbas Kiarostami, Alain Cavalier, Chantal Akerman. Les questions de la mémoire et de l'histoire sont consubstantielles au genre, de Nuit et Brouillard d'Alain Resnais à Shoah de Claude Lanzmann, en passant par l'œuvre essentielle de Chris Marker.
Les cinéastes contemporains tels Johan van der Keuken, Raymond Depardon, Robert Wiseman ou encore Jean-Louis Comolli complètent un panorama forcément non exhaustif. Un accent particulier est mis sur l'influence prégnante de l'évolution des techniques dans l'histoire du documentaire.Le documentaire : l'autre face du cinéma [texte imprimé] / Jean Breschand, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2002 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-348-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaireMots-clés : Histoire du film documentaire Index. décimale : 21.1 Cinéma documentaire Résumé : Le documentaire est aussi vieux que le cinéma, puisqu'on peut dire que les Frères Lumière, tels monsieur Jourdain, font du documentaire sans le savoir.
Le genre recouvre des pratiques fort différentes et toute définition est forcément réductrice par rapport à leur diversité. Questionner le cinéma à partir de son approche documentaire, c'est s'interroger sur le statut du réel face à la caméra, ou encore du rapport du film à la réalité. Fiction et documentaire sont donc deux axes d'un même art qui ressaisit la réalité. Aujourd'hui les limites entre les deux s'estompent, et ont tendance à se croiser.
Par contre, la frontière entre le cinéma documentaire et le reportage, le magazine ou encore toute forme de télé-réalité tend à se définir de plus en plus clairement. La capture d'images, le " direct ", le dispositif, tels que la télévision les pratique, s'éloignent de plus en plus de l'art de la mise en scène, seul susceptible de restituer la richesse et la complexité du réel. Jean Breschand appuie son analyse sur des films et des cinéastes, depuis les pionniers, Lumière, on l'a dit, mais aussi Flaherty et Vertov ; Jean Vigo également, inventeur du fameux " point de vue documenté ".
Les grandes figures de Jean Rouch et de Joris Ivens, des cinéastes qui éprouvent le besoin, pour mieux exprimer leur créativité, de passer du documentaire à la fiction et retour, comme Abbas Kiarostami, Alain Cavalier, Chantal Akerman. Les questions de la mémoire et de l'histoire sont consubstantielles au genre, de Nuit et Brouillard d'Alain Resnais à Shoah de Claude Lanzmann, en passant par l'œuvre essentielle de Chris Marker.
Les cinéastes contemporains tels Johan van der Keuken, Raymond Depardon, Robert Wiseman ou encore Jean-Louis Comolli complètent un panorama forcément non exhaustif. Un accent particulier est mis sur l'influence prégnante de l'évolution des techniques dans l'histoire du documentaire.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300891 21.1 H.1.02446 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 300405 21.1 H.1.02685 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 301947 21.1 H.1.02685 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Virtuel ? : A l'ère du numérique, le cinéma est toujours le plus réaliste des arts Type de document : texte imprimé Auteurs : Angel Quintana Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-535-7 Prix : 9 eur Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique Index. décimale : 20.4 Technologie numérique Résumé : Qu’advient-il du cinéma quand la caméra numérique capte le monde pour le transformer en pixels, en codes et en chiffres ? L’image n’est plus une image argentique, fixe et lumineuse du monde, elle est transformée en données numériques, manipulables et transformables à l’infini. Cet ouvrage questionne la nature même de l’art cinématographique dans son rapport au réel.
Partant de la thèse d’André Bazin selon laquelle ce qui caractérise le cinéma, c’est sa capacité à reproduire le monde et à le donner à voir, Angel Quintana constate qu’aujourd’hui le cinéma a perdu son rôle central, dans un monde où les images (à la télévision, sur Internet...) sont omniprésentes et multiples. Quelle place doit, dès lors, tenir le cinéma dans cette prolifération d’images ?
Dans les années 80, dans la pensée de Baudrillard par exemple, le modèle envisagé est celui de la création de mondes virtuels, à partir d’images de synthèse. Aujourd’hui l’invention du numérique a changé les modes de production des films. Toute la chaîne des métiers s’en trouve bouleversée, du budget du producteur, à l’organisation du tournage, à la post production et à la diffusion.
Le numérique redéfinit également les frontières entre l’image "noble" du cinéma professionnel et l’image "ignoble" de l’amateur, de ces images qu’on trouve par exemple sur Youtube. Le film Redacted, de Brian de Palma, est exemplaire de ce mélange des genres et augure une nouvelle voie pour le cinéma, où les images numériques sont un moyen supplémentaire pour questionner le réel. Les travaux de Abbas Kiarostami ou de Wang Bing, par exemple, entre documentaire et fiction, montrent que la légèreté du dispositif rendu possible par le numérique, renouvelle l’ « utopie politique » du cinéma comme capture du réel.
Le pari d’Angel Quintana est donc que le numérique, loin de menacer l’ontologie du cinéma, en renouvelle les possibilités comme art réaliste .Virtuel ? : A l'ère du numérique, le cinéma est toujours le plus réaliste des arts [texte imprimé] / Angel Quintana . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008.
ISBN : 978-2-86642-535-7 : 9 eur
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numérique Index. décimale : 20.4 Technologie numérique Résumé : Qu’advient-il du cinéma quand la caméra numérique capte le monde pour le transformer en pixels, en codes et en chiffres ? L’image n’est plus une image argentique, fixe et lumineuse du monde, elle est transformée en données numériques, manipulables et transformables à l’infini. Cet ouvrage questionne la nature même de l’art cinématographique dans son rapport au réel.
Partant de la thèse d’André Bazin selon laquelle ce qui caractérise le cinéma, c’est sa capacité à reproduire le monde et à le donner à voir, Angel Quintana constate qu’aujourd’hui le cinéma a perdu son rôle central, dans un monde où les images (à la télévision, sur Internet...) sont omniprésentes et multiples. Quelle place doit, dès lors, tenir le cinéma dans cette prolifération d’images ?
Dans les années 80, dans la pensée de Baudrillard par exemple, le modèle envisagé est celui de la création de mondes virtuels, à partir d’images de synthèse. Aujourd’hui l’invention du numérique a changé les modes de production des films. Toute la chaîne des métiers s’en trouve bouleversée, du budget du producteur, à l’organisation du tournage, à la post production et à la diffusion.
Le numérique redéfinit également les frontières entre l’image "noble" du cinéma professionnel et l’image "ignoble" de l’amateur, de ces images qu’on trouve par exemple sur Youtube. Le film Redacted, de Brian de Palma, est exemplaire de ce mélange des genres et augure une nouvelle voie pour le cinéma, où les images numériques sont un moyen supplémentaire pour questionner le réel. Les travaux de Abbas Kiarostami ou de Wang Bing, par exemple, entre documentaire et fiction, montrent que la légèreté du dispositif rendu possible par le numérique, renouvelle l’ « utopie politique » du cinéma comme capture du réel.
Le pari d’Angel Quintana est donc que le numérique, loin de menacer l’ontologie du cinéma, en renouvelle les possibilités comme art réaliste .Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300463 20.4 H.1.03917 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
300463URL2 films de Jean-Luc Godart / Jean-Luc Godard
Contient
Titre : 2 films de Jean-Luc Godart Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 2 dvd Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionIndex. décimale : 92.1 Fiction Note de contenu : Prénom Carmen
Hélas pour moi2 films de Jean-Luc Godart [document projeté ou vidéo] / Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, [s.d.] . - 2 dvd.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionIndex. décimale : 92.1 Fiction Note de contenu : Prénom Carmen
Hélas pour moi
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101193 92.1 N.1.0326 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Prénom Carmen / Jean-Luc Godard
contenu dans 2 films de Jean-Luc Godart / Jean-Luc Godard
Titre : Prénom Carmen Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1983 Importance : 1 dvd Présentation : 85 min Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Histoires d'amours entre Carmen X et son complice Joseph. Un jeu dangereux orchestré par Beethoven et Jean-Luc Godard.
contenu dans 2 films de Jean-Luc Godart / Jean-Luc Godard
Prénom Carmen [document projeté ou vidéo] / Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1983 . - 1 dvd : 85 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Histoires d'amours entre Carmen X et son complice Joseph. Un jeu dangereux orchestré par Beethoven et Jean-Luc Godard. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101194 92.1 N.1.0326 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Hélas pour moi / Jean-Luc Godard
contenu dans 2 films de Jean-Luc Godart / Jean-Luc Godard
Titre : Hélas pour moi Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1993 Importance : 1 dvd Présentation : 85 min Note générale : Genre : Comédie dramatique Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : A travers un texte de Leopardi, réflexion sur l'amour, le divin et la création.
contenu dans 2 films de Jean-Luc Godart / Jean-Luc Godard
Hélas pour moi [document projeté ou vidéo] / Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1993 . - 1 dvd : 85 min.
Genre : Comédie dramatique
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : A travers un texte de Leopardi, réflexion sur l'amour, le divin et la création. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101195 92.1 N.1.0326 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : L'Évangile selon Saint Matthieu : Un Film de Pier Paolo Pasolini Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Bouquet, Auteur ; Pier Paolo Pasolini, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Collection : Les petits cahiers Importance : 96 p. Présentation : ill. Format : 19 x 13,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-240-00886-0 Prix : 8,95 Euros Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège;lycée;enseignement supérieur; cinéma et audiovisuel; éducation artistique et culturelle;Italie;courant cinématographique;Bible;1960- Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : En mettant en scène les paroles du Christ, Pasolini portait à l'écran, non seulement un texte fondateur de la culture occidentale, mais un personnage qui jouait pour lui un rôle déterminant : Il vangelo est surtout un autoportrait. Influencé par le communisme et les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, il dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire qui appelle à la lutte, vers un monde meilleur. Pasolini invente une nouvelle esthétique en restant littéralement fidèle au texte et bouleverse la grammaire classique du cinéma. Documents, témoignages, textes et analyses de plans complètent cet ouvrage. L'Évangile selon Saint Matthieu : Un Film de Pier Paolo Pasolini [texte imprimé] / Stéphane Bouquet, Auteur ; Pier Paolo Pasolini, Metteur en scène, réalisateur . - Cahiers du Cinéma, 2003 . - 96 p. : ill. ; 19 x 13,5 cm. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 2-240-00886-0 : 8,95 Euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : collège;lycée;enseignement supérieur; cinéma et audiovisuel; éducation artistique et culturelle;Italie;courant cinématographique;Bible;1960- Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : En mettant en scène les paroles du Christ, Pasolini portait à l'écran, non seulement un texte fondateur de la culture occidentale, mais un personnage qui jouait pour lui un rôle déterminant : Il vangelo est surtout un autoportrait. Influencé par le communisme et les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, il dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire qui appelle à la lutte, vers un monde meilleur. Pasolini invente une nouvelle esthétique en restant littéralement fidèle au texte et bouleverse la grammaire classique du cinéma. Documents, témoignages, textes et analyses de plans complètent cet ouvrage. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101237 121 N.1.0247 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
101237URL
Titre : Le goût de la télévision : Anthologie des "Cahiers du cinéma" Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Jousse (1961-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (685 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-470-1 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:JT
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Téléréalité
Education aux médias:Télévision:Télévision et enseignementMots-clés : Cahiers du cinéma Télévision Émissions -- Comptes rendus France 1945-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Avec cette anthologie, c'est l'histoire d'un regard et d'un discours critique qui est racontée à travers l'exploration des formes télévisuelles que sont les dramatiques télé, les débats politiques, les émissions littéraires, les séries, le cinéma à la télé, les matchs de football, les documentaires de création, les clips ou la télé-réalité, sans oublier quelques moments forts de notre histoire contemporaine et télévisuelle comme la chute de Ceaucescu, la Guerre du Golfe, le procès Barbie ou la Guerre en Irak... Tout à la fois réflexion historique et ontologique sur l'évolution d'un médium et questionnement sur l'existence d'une critique de télévision, le Goût de la télévision fait coexister dans un même ouvrage, André Bazin, Eric Rohmer, André S. Labarthe, Gilles Deleuze, Serge Daney, Jean Baudrillard, Olivier Assayas, Paul Virilio avec Jean-Christophe Averty, Pierre Bellemare, Serge Moati, Pierre Dumayet, Bernard Pivot, Guillaume Durand ou Pierre Chevalier. Les Cahiers du cinéma n'ont cessé, depuis le commencement de leur histoire en 1951, d'écrire sur la télévision. Le premier numéro des Cahiers y consacrait déjà un article, alors intitulé " Film, cinéma et télévision ". Considérée d'abord comme un espace utopique, ouvert à tous les possibles, la télévision est peu à peu devenue, pour les Cahiers, un sujet de réflexion, depuis l'expérience des pionniers de l'ORTF comme Pierre Sabbagh, Pierre Lazareff, Stellio Lorenzi jusqu'aux tentatives de quelques grands cinéastes comme Hitchcock, Renoir, Welles, Rossellini, Godard ou Fassbinder, pour investir le medium. Après 1981, et les multiples modifications du paysage audiovisuel (création de Canal +, irruption des chaînes privées, arrivée d'Arte, généralisation du câble et du satellite...), la télé prend une place grandissante dans la revue mais devient dans le même temps de plus en plus polémique. L'institut national de l'audiovisuel conserve la mémoire de la télévision depuis ses origines. En s'associant à cet ouvrage, l'Ina a souhaité proposer de nouvelles clés de lecture pour l'histoire de la télévision et de des programmes. Le goût de la télévision : Anthologie des "Cahiers du cinéma" [texte imprimé] / Thierry Jousse (1961-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (685 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-86642-470-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Télévision:Histoire de la télévision et aspects socio-économiques
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:JT
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Séries TV
Education aux médias:Télévision:Langage télévisuel:Téléréalité
Education aux médias:Télévision:Télévision et enseignementMots-clés : Cahiers du cinéma Télévision Émissions -- Comptes rendus France 1945-.... Index. décimale : 32 Histoire de la télévision et aspects socio-économiques Résumé : Avec cette anthologie, c'est l'histoire d'un regard et d'un discours critique qui est racontée à travers l'exploration des formes télévisuelles que sont les dramatiques télé, les débats politiques, les émissions littéraires, les séries, le cinéma à la télé, les matchs de football, les documentaires de création, les clips ou la télé-réalité, sans oublier quelques moments forts de notre histoire contemporaine et télévisuelle comme la chute de Ceaucescu, la Guerre du Golfe, le procès Barbie ou la Guerre en Irak... Tout à la fois réflexion historique et ontologique sur l'évolution d'un médium et questionnement sur l'existence d'une critique de télévision, le Goût de la télévision fait coexister dans un même ouvrage, André Bazin, Eric Rohmer, André S. Labarthe, Gilles Deleuze, Serge Daney, Jean Baudrillard, Olivier Assayas, Paul Virilio avec Jean-Christophe Averty, Pierre Bellemare, Serge Moati, Pierre Dumayet, Bernard Pivot, Guillaume Durand ou Pierre Chevalier. Les Cahiers du cinéma n'ont cessé, depuis le commencement de leur histoire en 1951, d'écrire sur la télévision. Le premier numéro des Cahiers y consacrait déjà un article, alors intitulé " Film, cinéma et télévision ". Considérée d'abord comme un espace utopique, ouvert à tous les possibles, la télévision est peu à peu devenue, pour les Cahiers, un sujet de réflexion, depuis l'expérience des pionniers de l'ORTF comme Pierre Sabbagh, Pierre Lazareff, Stellio Lorenzi jusqu'aux tentatives de quelques grands cinéastes comme Hitchcock, Renoir, Welles, Rossellini, Godard ou Fassbinder, pour investir le medium. Après 1981, et les multiples modifications du paysage audiovisuel (création de Canal +, irruption des chaînes privées, arrivée d'Arte, généralisation du câble et du satellite...), la télé prend une place grandissante dans la revue mais devient dans le même temps de plus en plus polémique. L'institut national de l'audiovisuel conserve la mémoire de la télévision depuis ses origines. En s'associant à cet ouvrage, l'Ina a souhaité proposer de nouvelles clés de lecture pour l'histoire de la télévision et de des programmes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300574 32 H.1.02971 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300574URL
Titre : Le récit de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Anne Guérin, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-339-1 Note générale : La couv. porte en plus : "Pas de cinéma sans récit ; le scénario, première étape du récit ; le récit de cinéma a inventé son langage"
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Récit filmique Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Le récit existait bien avant l'apparition du cinéma, et le cinéma a emprunté à tous les autres arts pour inventer ses propres manières de raconter des histoires, tant il est vrai qu'il n'existe pas de cinéma sans récit.
Par contre, le récit cinématographique se différencie radicalement du récit littéraire par exemple. Et l'ouvrage va à l'encontre des idées reçues qui réduisent souvent le récit du film à son scénario. Or le récit d'un film passe par toutes les étapes de sa création, y compris le tournage et le montage. Il s'incarne dans le jeu des acteurs, passe par leurs corps, leurs voix et toute l'élaboration de la bande son ; il se sert de son propre langage, utilisant tour à tour l'ellipse, le fondu au noir, le flash back ou flash forward, la voix off, les effets spéciaux.
bref au cinéma, pour ce qui concerne le récit, tout dépend de la mise en scène, et c'est bien là sa spécificité. L'auteur s'appuie sur les grands maîtres du cinéma comme Grifflth, Murnau et Stroheim pour retracer l'invention du récit cinématographique et comprendre les filiations qui se sont opérées à travers les générations de cinéastes jusqu'à aujourd'hui, en s'appuyant sur les exemples de films classiques comme ceux de Renoir, Hitchcock, Welles ou Lang par exemple, mais tout aussi bien de David Lynch, Eric Rohmer ou Lucas Belvaux.
Analyses de séquences, extraits de scénarios, textes et commentaires de cinéastes et scénaristes viennent à l'appui de son propos.Le récit de cinéma [texte imprimé] / Marie Anne Guérin, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2003 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-339-1
La couv. porte en plus : "Pas de cinéma sans récit ; le scénario, première étape du récit ; le récit de cinéma a inventé son langage"
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Récit filmique Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Le récit existait bien avant l'apparition du cinéma, et le cinéma a emprunté à tous les autres arts pour inventer ses propres manières de raconter des histoires, tant il est vrai qu'il n'existe pas de cinéma sans récit.
Par contre, le récit cinématographique se différencie radicalement du récit littéraire par exemple. Et l'ouvrage va à l'encontre des idées reçues qui réduisent souvent le récit du film à son scénario. Or le récit d'un film passe par toutes les étapes de sa création, y compris le tournage et le montage. Il s'incarne dans le jeu des acteurs, passe par leurs corps, leurs voix et toute l'élaboration de la bande son ; il se sert de son propre langage, utilisant tour à tour l'ellipse, le fondu au noir, le flash back ou flash forward, la voix off, les effets spéciaux.
bref au cinéma, pour ce qui concerne le récit, tout dépend de la mise en scène, et c'est bien là sa spécificité. L'auteur s'appuie sur les grands maîtres du cinéma comme Grifflth, Murnau et Stroheim pour retracer l'invention du récit cinématographique et comprendre les filiations qui se sont opérées à travers les générations de cinéastes jusqu'à aujourd'hui, en s'appuyant sur les exemples de films classiques comme ceux de Renoir, Hitchcock, Welles ou Lang par exemple, mais tout aussi bien de David Lynch, Eric Rohmer ou Lucas Belvaux.
Analyses de séquences, extraits de scénarios, textes et commentaires de cinéastes et scénaristes viennent à l'appui de son propos.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301967 21 H.1.02679 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 300890 22 H.1.02445 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
300890URL
Titre : L'hypothèse cinéma : Petit traité de transmission du cinéma à l'école et ailleurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Collection : Essais Importance : 131 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-330-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement Mots-clés : Cinéma étude et enseignement Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Il s'agit d’un livre de parti pris, d’intervention, à chaud écrit sur le vif par un praticien dans le feu de son action sur le terrain. Comment enseigner le cinéma dans le cadre de l’école ? L’art pour rester tel doit rester un ferment d’anarchie dans le système, une rencontre avec l’altérité, des gens de métier venus de l’extérieur. Comment choisir les films à montrer aux élèves ? Partir de ceux qu’ils connaissent et aiment pour les amener à des oeuvres du patrimoine ou laisser la " nécessaire étrangeté " de l’oeuvre d’art faire son chemin d’elle-même. La question du passage à l’acte. L’éducation au cinéma passe-t-elle par la réalisation de petits films en classe ? Peut-on faire de l’éducation au cinéma sans passer par l’expérience de la salle de cinéma. Qu’apporte le DVD et avec quelles limites ? Quelles peurs, angoisses, aberrations suscite l’arrivée du cinéma à l’école ? Quels outils mettre à la disposition des enseignants pour redonner confiance et tracer des objectifs ? S’agit-il de reproduire une cinéphilie en voie de disparition ? Comment gérer l’espace de l’émotion et du plaisir suscité par l’oeuvre d’art dans le cadre de la classe ? Quel rapport établir entre la télévision que regardent beaucoup les élèves et le film que l’on regarde désormais en classe ? L’hypothèse cinéma d’Alain Bergala se résume en une hiérarchie de priorités pour définir le cadre de sa transmission à l’école : 1. Le cinéma est d’abord un art 2. Le cinéma est aussi une culture et même une culture populaire 3. le cinéma est un langage, et favorise à ce titre apprentissage et communication. Au moment où les classes cinéma font le bilan de leurs premières expériences, cet essai permet de situer les enjeux de leur développement à grande échelle dans l’ensemble du dispositif de l’éducation nationale de la maternelle à la terminale.
L'hypothèse cinéma : Petit traité de transmission du cinéma à l'école et ailleurs [texte imprimé] / Alain Bergala (1943-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2002 . - 131 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-330-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement Mots-clés : Cinéma étude et enseignement Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Il s'agit d’un livre de parti pris, d’intervention, à chaud écrit sur le vif par un praticien dans le feu de son action sur le terrain. Comment enseigner le cinéma dans le cadre de l’école ? L’art pour rester tel doit rester un ferment d’anarchie dans le système, une rencontre avec l’altérité, des gens de métier venus de l’extérieur. Comment choisir les films à montrer aux élèves ? Partir de ceux qu’ils connaissent et aiment pour les amener à des oeuvres du patrimoine ou laisser la " nécessaire étrangeté " de l’oeuvre d’art faire son chemin d’elle-même. La question du passage à l’acte. L’éducation au cinéma passe-t-elle par la réalisation de petits films en classe ? Peut-on faire de l’éducation au cinéma sans passer par l’expérience de la salle de cinéma. Qu’apporte le DVD et avec quelles limites ? Quelles peurs, angoisses, aberrations suscite l’arrivée du cinéma à l’école ? Quels outils mettre à la disposition des enseignants pour redonner confiance et tracer des objectifs ? S’agit-il de reproduire une cinéphilie en voie de disparition ? Comment gérer l’espace de l’émotion et du plaisir suscité par l’oeuvre d’art dans le cadre de la classe ? Quel rapport établir entre la télévision que regardent beaucoup les élèves et le film que l’on regarde désormais en classe ? L’hypothèse cinéma d’Alain Bergala se résume en une hiérarchie de priorités pour définir le cadre de sa transmission à l’école : 1. Le cinéma est d’abord un art 2. Le cinéma est aussi une culture et même une culture populaire 3. le cinéma est un langage, et favorise à ce titre apprentissage et communication. Au moment où les classes cinéma font le bilan de leurs premières expériences, cet essai permet de situer les enjeux de leur développement à grande échelle dans l’ensemble du dispositif de l’éducation nationale de la maternelle à la terminale.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300897 22 H.1.02213 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 300901 22 H.1.02213 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
300897URL
Titre : Le montage : L'espace et le temps du film Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pinel (1937-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 Collection : Les petits cahiers Importance : 94 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-314-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : montage analyse filmique cinéma esthétique Index. décimale : 20.3 Post-production : montage, effets spéciaux, doublage... Résumé : Le montage est unanimement considéré aujourd’hui non seulement comme un élément essentiel du « langage cinématographique », mais aussi comme le plus spécifique.
Pourtant, le cinéma est né sans lui et l’a quasiment ignoré au cours de ses quinze premières années. Le raisonnement de l’auteur s’appuie sur une iconographie riche, constituée de séquences de photogrammes de grands classiques du cinéma.
Vincent Pinel lui-même monteur, est également l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages sur le cinéma.Le montage : L'espace et le temps du film [texte imprimé] / Vincent Pinel (1937-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2001 . - 94 p.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-314-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : montage analyse filmique cinéma esthétique Index. décimale : 20.3 Post-production : montage, effets spéciaux, doublage... Résumé : Le montage est unanimement considéré aujourd’hui non seulement comme un élément essentiel du « langage cinématographique », mais aussi comme le plus spécifique.
Pourtant, le cinéma est né sans lui et l’a quasiment ignoré au cours de ses quinze premières années. Le raisonnement de l’auteur s’appuie sur une iconographie riche, constituée de séquences de photogrammes de grands classiques du cinéma.
Vincent Pinel lui-même monteur, est également l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages sur le cinéma.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301994 20.3 H.1.02031 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 300913 21 H.1.03937 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 301969 21 H.1.03937 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
300913URLThéâtre et cinéma / Charles Tesson
Titre : Théâtre et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-459-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :ThéatreMots-clés : Adaptation de pièces de théâtre adaptation cinématographique théâtre et cinéma Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Le dialogue entre le théâtre et le cinéma débute avec l’invention du cinéma lui-même et connaît un spectaculaire développement avec le cinéma parlant. Le cinéma a trouvé dans le théâtre un répertoire de situations et un modèle de dramaturgie, un art du jeu d’acteur, du décor et de la mise en scène. L’exemple de La Règle du jeu de Jean Renoir permet de développer concrètement cette problématique. En passant des scènes de la représentation théâtrale, où chacun des personnages joue sa partition, aux scènes d’extérieur où le jeu de rôles les confronte à des déterminations sociales bien plus tangibles, la mise en scène du cinéaste expose les enjeux esthétiques spécifiques au cinéma : son attrait pour la réalité capté par la caméra au tournage, et tous les pièges de ses faux-semblants, attachés à tout art de la représentation.
Ce débat est sans doute une passion bien française. Dans le cinéma français, le rôle du théâtre est redoublé par le goût de la parole, de la conversation filmée, et l’apport de dramaturges comme Pagnol ou Guitry, Cocteau…. On peut dire aussi que la relation theâtre-cinéma a cristallisé les enjeux critiques et théoriques pour définir et imposer le cinéma en tant qu’art.
Charles Tesson livre ici une synthèse historique des rapports entre le théâtre et le cinéma qui déborde largement le cadre de l’adaptation de pièces de théâtre au cinéma pour analyser toute la richesse de la confrontation entre deux arts de la représentation et de la mise en scène.Théâtre et cinéma [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2007 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-459-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :ThéatreMots-clés : Adaptation de pièces de théâtre adaptation cinématographique théâtre et cinéma Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Le dialogue entre le théâtre et le cinéma débute avec l’invention du cinéma lui-même et connaît un spectaculaire développement avec le cinéma parlant. Le cinéma a trouvé dans le théâtre un répertoire de situations et un modèle de dramaturgie, un art du jeu d’acteur, du décor et de la mise en scène. L’exemple de La Règle du jeu de Jean Renoir permet de développer concrètement cette problématique. En passant des scènes de la représentation théâtrale, où chacun des personnages joue sa partition, aux scènes d’extérieur où le jeu de rôles les confronte à des déterminations sociales bien plus tangibles, la mise en scène du cinéaste expose les enjeux esthétiques spécifiques au cinéma : son attrait pour la réalité capté par la caméra au tournage, et tous les pièges de ses faux-semblants, attachés à tout art de la représentation.
Ce débat est sans doute une passion bien française. Dans le cinéma français, le rôle du théâtre est redoublé par le goût de la parole, de la conversation filmée, et l’apport de dramaturges comme Pagnol ou Guitry, Cocteau…. On peut dire aussi que la relation theâtre-cinéma a cristallisé les enjeux critiques et théoriques pour définir et imposer le cinéma en tant qu’art.
Charles Tesson livre ici une synthèse historique des rapports entre le théâtre et le cinéma qui déborde largement le cadre de l’adaptation de pièces de théâtre au cinéma pour analyser toute la richesse de la confrontation entre deux arts de la représentation et de la mise en scène.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303508 21.2 H.1.02978 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cinéma africain / Elisabeth Lequeret
Titre : Le cinéma africain : Un continent à la recherche de son propre regard Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Lequeret, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-338-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médiasMots-clés : Cinéma africain Cinéma coloniale cinéma politique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'ouvrage retrace l'histoire du cinéma africain : de son année de naissance en 1955 jusqu'au début des années 2000. S'en suivent des documents, textes et analyse de plans relatifs à plusieurs films majeurs africains.Le cinéma africain : Un continent à la recherche de son propre regard [texte imprimé] / Elisabeth Lequeret, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2003. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-338-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médiasMots-clés : Cinéma africain Cinéma coloniale cinéma politique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'ouvrage retrace l'histoire du cinéma africain : de son année de naissance en 1955 jusqu'au début des années 2000. S'en suivent des documents, textes et analyse de plans relatifs à plusieurs films majeurs africains.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302391 17 H.1.02676 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'économie du cinéma / Pierre Gras
Titre : L'économie du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Gras, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-436-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : industrie cinématographique les cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Pour cette initiation à l'économie du cinéma, Pierre Gras a choisi de partir des expériences concrètes de chaque lecteur, qui est aussi un spectateur de films en salles de cinéma, à la télévision, en DVD ou grâce à la vidéo à la demande sur internet. Cette introduction répond de manière vivante et précise aux questions que peut se poser tout amateur curieux des aspects économiques du cinéma, dès qu'il réfléchit à sa place de spectateur au sein d'une industrie culturelle, et qu'il veut également comprendre en quoi la connaissance de l'économie du cinéma permet de mieux connaître l'histoire et l'esthétique du cinéma. Un premier chapitre présente les caractéristiques du spectateur, et la salle de cinéma tant du point de vue économique que culturel et social. Le deuxième chapitre est consacré à la vie d'un film depuis sa conception chez les auteurs et les producteurs, jusqu'à sa distribution, sa projection publique et sa diffusion sur les nouveaux supports (télévision, DVD, internet). Enfin, l'auteur expose les enjeux de l'action de l'État et des collectivités locales en faveur du cinéma français et de la diversité cinématographique, dans le contexte mondial de domination du cinéma hollywoodien.L'économie du cinéma [texte imprimé] / Pierre Gras, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-436-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : industrie cinématographique les cahiers du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Pour cette initiation à l'économie du cinéma, Pierre Gras a choisi de partir des expériences concrètes de chaque lecteur, qui est aussi un spectateur de films en salles de cinéma, à la télévision, en DVD ou grâce à la vidéo à la demande sur internet. Cette introduction répond de manière vivante et précise aux questions que peut se poser tout amateur curieux des aspects économiques du cinéma, dès qu'il réfléchit à sa place de spectateur au sein d'une industrie culturelle, et qu'il veut également comprendre en quoi la connaissance de l'économie du cinéma permet de mieux connaître l'histoire et l'esthétique du cinéma. Un premier chapitre présente les caractéristiques du spectateur, et la salle de cinéma tant du point de vue économique que culturel et social. Le deuxième chapitre est consacré à la vie d'un film depuis sa conception chez les auteurs et les producteurs, jusqu'à sa distribution, sa projection publique et sa diffusion sur les nouveaux supports (télévision, DVD, internet). Enfin, l'auteur expose les enjeux de l'action de l'État et des collectivités locales en faveur du cinéma français et de la diversité cinématographique, dans le contexte mondial de domination du cinéma hollywoodien.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302385 17 H.1.02800 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le Film Noir / Noël Simsolo
Titre : Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-402-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort John Huston La Dame de Shanghai Orson Welles Règlement de compte Fritz Lang Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Otto Preminger Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-402-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort John Huston La Dame de Shanghai Orson Welles Règlement de compte Fritz Lang Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Otto Preminger Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302386 17 H.1.02784 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Luis Buñuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1995 Collection : Auteurs Importance : 320 p Présentation : Quelques reproductions de photogrammes en noir et blan Note générale : Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma espagnol Cinéma mexicain Cinéma français Un chien andalou L'Âge d'or Los Olvidados Viridiana Belle de Jour Le Charme discret de la bourgeoisie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : J'ai toujours été du côté de ceux qui cherchent la vérité, mais je les quitte lorsqu'ils croient l'avoir trouvée. C'est ainsi que Buñuel, homme de toutes les aventures, intellectuelles, artistiques et politiques, a accompagné pas à pas le siècle en faisant des films. S'il est facile de voir dans son œuvre le moment où elle colle à son temps (le surréalisme), adhère aux grands courants de pensée (l'engagement communiste) et à des formes préétablies (le cinéma commercial mexicain), il est plus difficile de sentir ce moment où Luis Buñuel, tel Nazarin se méfiant du mensonge des Institutions et de l'hypocrisie de son époque, s'extrait du moule esthétique et politique de l'air du temps dans lequel il s'est glissé afin de poursuivre sa route en solitaire, ni vu, ni connu. Plus que nul autre cinéaste, Luis Buñuel a peint inlassablement l'homme sous toutes ses coutures. Cet animal social pas toujours sociable, Buñuel, fin architecte de l'homme, l'a filmé en plan et en coupe, afin d'éprouver le degré de résistance des divers matériaux qui le composent. Tout le monde peut se reconnaître dans un de ses films, y déceler un travers familier, en avoir peur ou avoir le courage et l'honnêteté d'en rire. Soit cinéma a permis à chacun, avec une facilité hors du commun, de réaliser tout ce qu'il peut en attendre : lui montrer ce dont l'homme est capable, le réfléchir, en acte, en pensée. Il a accompli cette chose en apparence bien ordinaire, en construisant une œuvre unique, qui n'a plus son pareil aujourd'hui. Beau paradoxe, comme il les aimait, qui ne demande qu'à être éclairci. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Luis Buñuel [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée . - Cahiers du Cinéma, 1995 . - 320 p : Quelques reproductions de photogrammes en noir et blan. - (Auteurs) .
Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma espagnol Cinéma mexicain Cinéma français Un chien andalou L'Âge d'or Los Olvidados Viridiana Belle de Jour Le Charme discret de la bourgeoisie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : J'ai toujours été du côté de ceux qui cherchent la vérité, mais je les quitte lorsqu'ils croient l'avoir trouvée. C'est ainsi que Buñuel, homme de toutes les aventures, intellectuelles, artistiques et politiques, a accompagné pas à pas le siècle en faisant des films. S'il est facile de voir dans son œuvre le moment où elle colle à son temps (le surréalisme), adhère aux grands courants de pensée (l'engagement communiste) et à des formes préétablies (le cinéma commercial mexicain), il est plus difficile de sentir ce moment où Luis Buñuel, tel Nazarin se méfiant du mensonge des Institutions et de l'hypocrisie de son époque, s'extrait du moule esthétique et politique de l'air du temps dans lequel il s'est glissé afin de poursuivre sa route en solitaire, ni vu, ni connu. Plus que nul autre cinéaste, Luis Buñuel a peint inlassablement l'homme sous toutes ses coutures. Cet animal social pas toujours sociable, Buñuel, fin architecte de l'homme, l'a filmé en plan et en coupe, afin d'éprouver le degré de résistance des divers matériaux qui le composent. Tout le monde peut se reconnaître dans un de ses films, y déceler un travers familier, en avoir peur ou avoir le courage et l'honnêteté d'en rire. Soit cinéma a permis à chacun, avec une facilité hors du commun, de réaliser tout ce qu'il peut en attendre : lui montrer ce dont l'homme est capable, le réfléchir, en acte, en pensée. Il a accompli cette chose en apparence bien ordinaire, en construisant une œuvre unique, qui n'a plus son pareil aujourd'hui. Beau paradoxe, comme il les aimait, qui ne demande qu'à être éclairci. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301691 18 H.1.02967 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301691URL
Titre : Cinéma et philosophie Type de document : texte imprimé Auteurs : Cerf Juliette, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2009 Importance : 95 p Mots-clés : 2001 resnais volte-face bergman cronenberg kurosawa rohmer hitchcock bazin philosophie Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
En exposant le mythe de la caverne, Platon prépare, sans le savoir, un rapprochement entre cinéma et philosophie que Godard formulera de façon impérative : " Je pense, donc le cinéma existe ". Pourtant, le cinéaste fabrique des images et des sons bien matériels quand le philosophe manie des concepts invisibles et abstraits. Et lorsque le cinéma naît à la fin du XIXe siècle, il est considéré comme un divertissement populaire et les philosophes ne se précipitent guère sur son berceau. Comment ces deux domaines hétérogènes, jeune art du mouvement d'un côté, connaissance conceptuelle ancestrale de l'autre, ont-ils fini par se rencontrer ? C'est ce que Juliette Cerf nous raconte à la manière d'une " comédie du remariage ", chère à Stanley Cavell. Passé le temps des désaccords, vient celui du " réaccord ". André Bazin, philosophe " d'occasion " selon le mot de Jacques Rancière, pose la question de l'essence du cinéma. Au temps de la cinéphilie, Godard, Rivette, Rohmer, Douchet, Daney convoquent Platon, Kierkegaard ou Merleau-Ponty au chevet des " auteurs ", Rossellini, Lang, Hawks ou Hitchcock. La philosophie investit désormais le cinéma, Deleuze, renouant avec Bergson, crée le concept de l'image-temps, et Matrix est évalué à l'aune de la pensée grecque. Cet ouvrage révèle des rapports passionnés et souvent surprenants entre Sartre et John Huston, Heidegger et Resnais, Slavoj Zizek et John Woo... Sans oublier les débats de " cinéphilo ", qui ont pris place aujourd'hui dans ces cavernes modernes que sont aussi bien salles d'Art et d'Essai que multiplexes.Cinéma et philosophie [texte imprimé] / Cerf Juliette, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2009 . - 95 p.
Mots-clés : 2001 resnais volte-face bergman cronenberg kurosawa rohmer hitchcock bazin philosophie Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
En exposant le mythe de la caverne, Platon prépare, sans le savoir, un rapprochement entre cinéma et philosophie que Godard formulera de façon impérative : " Je pense, donc le cinéma existe ". Pourtant, le cinéaste fabrique des images et des sons bien matériels quand le philosophe manie des concepts invisibles et abstraits. Et lorsque le cinéma naît à la fin du XIXe siècle, il est considéré comme un divertissement populaire et les philosophes ne se précipitent guère sur son berceau. Comment ces deux domaines hétérogènes, jeune art du mouvement d'un côté, connaissance conceptuelle ancestrale de l'autre, ont-ils fini par se rencontrer ? C'est ce que Juliette Cerf nous raconte à la manière d'une " comédie du remariage ", chère à Stanley Cavell. Passé le temps des désaccords, vient celui du " réaccord ". André Bazin, philosophe " d'occasion " selon le mot de Jacques Rancière, pose la question de l'essence du cinéma. Au temps de la cinéphilie, Godard, Rivette, Rohmer, Douchet, Daney convoquent Platon, Kierkegaard ou Merleau-Ponty au chevet des " auteurs ", Rossellini, Lang, Hawks ou Hitchcock. La philosophie investit désormais le cinéma, Deleuze, renouant avec Bergson, crée le concept de l'image-temps, et Matrix est évalué à l'aune de la pensée grecque. Cet ouvrage révèle des rapports passionnés et souvent surprenants entre Sartre et John Huston, Heidegger et Resnais, Slavoj Zizek et John Woo... Sans oublier les débats de " cinéphilo ", qui ont pris place aujourd'hui dans ces cavernes modernes que sont aussi bien salles d'Art et d'Essai que multiplexes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301260 17 H.1.04013 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
Cinéma_et_philosophieURL
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
Titre : La mort aux trousses Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Du Mesnildot, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Note générale :
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et +
Accompagne La mort aux trousses / Alfred Hitchcock
La mort aux trousses [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2007 . - 95 p.. - (Les petits cahiers) .
La Mort aux trousses (North By Northwest) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1959.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : La Mort aux trousses North by Northwest Alfred Hitchcock Ernest Lehman Bernard Herrmann William A. Horning Merrill Pye Robert Boyle Henry Grace Franck McKelvey William Tuttle Sydney Guilaroff Robert Burks Franklin Milton A. Arnold Gillespie Lee LeBlanc George Tomasini Herbert Coleman Metro-Goldwyn-Mayer Loew's Incorporated Cary Grant Michel Roux Eva Marie Saint Nelly Benedetti James Mason Jacques Dacqmine Jessie Royce Landis Hélène Tossy Leo G. Carroll Jean-Henri Chambois Josephine Hutchinson Philip Ober Martin Landau Jacques Plée Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Roger Thornhill, un publicitaire new-yorkais, a un rendez-vous d'affaires à l'hôtel Plaza. Mais il y est kidnappé à la suite d'un malentendu : ses ravisseurs le prennent pour un certain George Kaplan. Thornhill est amené dans la somptueuse maison de Mr Townsend. Il fait la rencontre de ce dernier, qui est bien persuadé d'avoir enlevé George Kaplan. Refusant de coopérer avec ses ravisseurs, l'assistant de Mr Townsend, Leonard, fait avaler à Thornhill une bouteille entière de whisky. Puis, aidé d'un autre sbire de Townsend, il met Thornhill dans une voiture volée, et pousse celle-ci en direction d'un ravin afin de faire croire à un accident. Mais Roger Thornhill, qui réussit à reprendre ses esprits, empêche la chute mortelle dans le ravin et roule, jusqu'à ce qu'il se fasse arrêter par la police. En état d'ébriété, il passe la nuit dans une cellule. Le lendemain, personne ne croit à son histoire, pas même sa mère. Les enquêteurs se rendent à la maison de Mr Townsend. La femme de celui-ci les informe que son mari tient l'après-midi même un discours aux Nations-Unies. Les enquêteurs sont alors persuadés que Thornhill ment. Mais le publicitaire, bien déterminé à prouver son innocence, se rend à l'hôtel Plaza dans la chambre de George Kaplan. Après avoir interrogé le personnel, il se rend compte que personne n'avait jamais vu le mystérieux Kaplan. Après avoir réussi une fois de plus à échapper aux sbires de Townsend, Roger Thornhill se rend aux Nations-Unies. Il y demande à rencontrer Mr Townsend, mais quelle n'est pas sa surprise : ce n'est pas le même homme que la veille au soir. Au moment où la vérité saute aux yeux de Thornhill (l'homme qui occupait la maison de Townsend n'était pas Townsend, mais le dangereux malfaiteur Philip Vandamm), le vrai Mr Townsend est poignardé par un sbire de Vandamm et tombe dans les bras de Thornhill, immédiatement accusé.
Il s'enfuit à la gare et monte dans un train pour Chicago, poursuivi par la police. Une séduisante blonde l'aide alors à se cacher. Thornhill la retrouve au wagon-restaurant. Elle s'appelle Eve Kendall. Les deux tombent sous le charme. Eve Kendall cache Kaplan dans son compartiment, où elle embrasse Thornhill langoureusement. Mais un petit mot arrivant dans les mains de Vandamm ("Qu'est-ce que je fais de lui demain matin ? Eve") fait comprendre qu'elle est en fait liée aux méchants. Au matin, le train arrive en gare de LaSalle à Chicago. Thornhill, déguisé, va se changer aux toilettes pendant qu'Eve téléphone à George Kaplan pour qu'il prenne rendez-vous avec Thornhill. La jeune femme remet à Thornhill les instructions de Kaplan, que le new-yorkais suit à la lettre pour se retrouver dans une immense prairie peu fréquentée. Mais personne n'est au rendez-vous... C'est alors qu'un petit avion attaque Thornhill, qui se réfugie dans un champ de maïs. L'avion largue alors des produits chimiques sur le champ, et Thornhill est forcé de sortir. Coup de chance, un camion transportant de l'essence passe. Il s'arrête au dernier moment et renverse Thornhill. L'avion percute alors le camion, provoquant une immense explosion. Thornhill vole la voiture de témoins de la scène et retourne vers Chicago. Il se rend à l'Hôtel Ambassador. Mais au lieu d'y trouver Kaplan, il trouve Eve Kendall, qui semble surprise de le voir vivant. Kendall s'échappe pendant que Thornhill fait mine de prendre une douche. Ce dernier avait réussi à récupérer l'adresse d'une salle des ventes, où Eve Kendall est allée. Il la retrouve alors avec Vandamm, et comprend que le malfaiteur s'est servi d'elle pour provoquer sa mort. Mais Vandamm est bien décidé à ne pas laisser partir Thornhill, qui doit donc simuler d'être un dérangé mental pour se faire évacuer par la police. Les policiers reçoivent l'instruction d'emmener Thornhill à l'aéroport, où les attend le Professeur, chef de la CIA. Il révèle à Thornhill qu'Eve Kendall travaille en fait pour le compte de la CIA et est donc un agent double, et que le personnage de George Kaplan est en fait un leurre destiné à tromper Vandamm...
Les deux hommes s'envolent pour Rapid City, dans le Dakota. Dans une cafeteria du Mont Rushmore, où Thornhill qui continue à personnifier Kaplan a donné rendez-vous à Vandamm et Kendall, cette-dernière tire sur Thornhill avec un faux pistolet pour enlever les soupçons qui pesaient sur elle. Thornhill et Kendall se retrouvent alors un peu plus loin, dans une forêt, et Thornhill, après s'être excusé, apprend que Eve va accompagner Vandamm dans sa fuite en avion le soir-même. Thornhill se retrouve dans un hôpital, d'où il s'enfuit pour la maison de Vandamm dans le but d'empêcher Eve de partir. Espionnant, il surprend une conversation entre Vandamm et Leonard. Ce-dernier a tout compris : le rôle d'agent double d'Eve et la mise en scène du Mont Rushmore. Vandamm décide de l'emmener quand même avec lui, dans le but de la supprimer au-dessus de l'océan... Thornhill réussit à la prévenir, et au moment de monter dans l'avion, elle s'empare de la statuette qui contient des microfilms que Vandamm trafique, et s'enfuit en voiture avec Thornhill. Mais la grille de la propriété étant fermée, et les sbires de Vandamm étant à leurs trousses, les deux n'ont d'autre choix que de fuir en descendant le monument du Mont Rushmore. Après de périlleuses péripéties et l'arrestation de Vandamm, Thornhill et Kendall rentrent à New-York par le train qu'ils avaient pris à l'aller.
Note de contenu :
Qui aurait parié à la sortie de La Mort aux trousses en 1959 que ce divertissement grand public serait un jour donné en modèle de l'art cinématographique, chef-d'oeuvre parmi les plus grands de son histoire ? Lorsqu'Hitchcock entreprend La Mort aux trousses, il est le " maître du suspense ". La distribution est sous le signe du charme irrésistible de Cary Grant, au sommet de sa séduction et de ses performances d'homme d'action, et d'Eva Marie Saint, symbole même des héroïnes hitchcockiennes blondes glacées... mais les méchants ne sont pas en reste, particulièrement réussis dans la peau de James Mason ou Martin Landau. Le film est tourné tant en studio que dans des extérieurs naturels à travers les Etats-Unis, et les meilleures techniques des effets spéciaux de l'époque y sont convoquées. Ainsi la séquence de la poursuite de Cary Grant par un avion en plein désert est devenue une scène d'anthologie, exercice de style hitchcockien par excellence. S'ajoute l'une des plus célèbres musiques de film signée du grand compositeur Bernard Hermann. L'enlèvement, la perte d'identité subis ici par le faux espion Roger Thornill font partie des terreurs du monde selon Hitchcock où tout n'est que trucage et manipulation. La comédie devient plus grave, c'est bien des peurs de son époque, celle de la Guerre Froide, et des forces obscures guidant le destin des hommes que nous parle aussi Hitchcock à travers La Mort aux trousses.
* Caméo : Hitchcock rate son bus, à la deuxième minute du film.
* La Mort aux trousses contient quelques scènes d'anthologie, dont la moindre n'est pas celle où Thornhill (Grant) pense avoir rendez-vous avec l'agent fantôme Kaplan en rase campagne. Au lieu de la rencontre qu'il prévoyait, il se retrouve être la proie d'un petit avion dont les occupants finissent par le mitrailler. La séquence entière constitue un condensé de l'art et du génie du réalisateur.
* Une petite erreur s'est glissée dans le film : lors de la scène se déroulant dans le restaurant jouxtant le Mont Rushmore, on peut voir un jeune figurant se boucher les oreilles déjà quelques secondes avant que le coup de feu ne soit tiré… (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
Dessin d'une partie de la façade Est de la maison
* La maison de Vandamm que l'on voit à la fin du film n'est pas une maison de Frank Lloyd Wright. Elle a été conçue par l'équipe de décorateurs du film à la demande du cinéaste. En effet, suite à une expérience frustrante (il avait demandé 10 % du budget d'un film pour en concevoir les projets architecturaux), Wright refusait de travailler pour le cinéma. La maison n'a jamais existé, il s'agit d'un décor partiel construit dans la campagne près des studios et inséré en matte painting dans les plans de paysages. Une légende tenace veut pourtant que l'on attribue cette maison à Wright qui avait 92 ans au moment du tournage. Elle est néanmoins inspirée de la maison de la cascade.
* La séquence ayant pour décors les statues sculptées dans la montagne est censée se dérouler au Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud. En fait, la majeure partie a été tournée en studio et les détails des statues ont été reconstitués. (Destination Hitchcock : le "Making of" de La Mort aux Trousses (en bonus dans le DVD) - Turner Entertainement - 2000)
* La scène finale, dans laquelle les deux héros se retrouvent dans le train fonçant dans un tunnel et consomment leur amour est une des plus célèbres du cinéma, grâce à l'ultime plan du film symbolisant par une ellipse visuelle l'acte sexuel afin de contourner le code Hays. D'après Bill Krohn, devant l'insistance des producteurs à mettre dans la bouche de Cary Grant / Thornhill une réplique indiquant qu'il allait épouser Eva Marie Saint (Come on, Mrs Thornhill !), Hitchcock, légèrement irrité par ce respect des convenances, décida d'introduire ce plan symbolique — le seul de sa carrière, avoua-t-il à François Truffaut.
* Depuis l'année scolaire 2007-2008, la Mort aux Trousses d'Alfred Hitchcock est au programme du Baccalauréat littéraire option cinéma audiovisuel et aux autres Baccalauréats en option Musique.
* Le scénario est en partie inspiré d'une histoire vraie : l'affaire dite « Galindez », un professeur enlevé en plein milieu de New York.
* Cary Grant ne voulait plus tourner et disait avoir pris sa retraite lorsque Hitchcock le supplia de venir faire le film. Il accepta mais fut quelque peu déboussolé par un tournage qui lui semblait ne pas avoir de sens, et demanda à plusieurs reprises à Hitchcock s'il savait exactement ce qu'il faisait. Après l'immense succès du film, Cary Grant, rencontrant par hasard Hitchcock à la cafétéria des studios MGM, se prosterna à ses pieds devant tout le monde et se répandit en salutations à l'orientale, remerciant ainsi le maître du suspens de lui avoir donné un si beau rôle.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301270 19 H.1.04022 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Le cinéma hollywoodien Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-532-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le cinéma hollywoodien [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-532-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301269 21 H.1.04023 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Le décor de cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Puaux, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 95 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : La définition même du décor de cinéma porte en elle un paradoxe : pour être réussi il se doit de passer inaperçu, la création personnelle du décorateur s'efface au profit du film, c'est l'art suprême de l'illusion. Il interprète et reproduit un monde né de l'imagination d'un réalisateur, d'un scénariste.
Production designer ou art director pour les anglo-saxons, architekt pour les germaniques, artiste-peintre pour les slaves, le décorateur, selon l'expression en vigueur dans le cinéma français, est au croisement de plusieurs arts. Son rôle est d'inventer et de réaliser un espace qui permet au cinéaste d'élaborer sa mise en scène, le cadrage, la place de la caméra, avec le minimum de contraintes, le maximum de liberté. Cet espace peut être élaboré à l'aide de décors construits en studio, de décors aménagés en extérieurs naturels ou aujourd'hui d'images numériques.
Cet ouvrage parcourt l'histoire du décor, depuis la toile peinte et le panneau de staff jusqu'au virtuel en 3D ; il présente le travail des grands décorateurs comme Mallet-Stevens, Meerson, Trauner, Barsacq, Douy, Gibbons, Ferretti, Saulnier, et donne la parole aux créateurs d'aujourd'hui tels Pierre Guffroy, Pierre Buffin, Benoît Barouh, Patricia de Brandenstein, Michel Vandestein... Car le décor n'est pas l'apanage d'un âge d'or passé du cinéma de studio, c'est un art bien vivant qui s'enseigne, se transmet et renouvelle sans cesse ses champs de création en fonction des évolutions technologiques du cinéma.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le décor de cinéma [texte imprimé] / Françoise Puaux, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2008 . - 95 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : La définition même du décor de cinéma porte en elle un paradoxe : pour être réussi il se doit de passer inaperçu, la création personnelle du décorateur s'efface au profit du film, c'est l'art suprême de l'illusion. Il interprète et reproduit un monde né de l'imagination d'un réalisateur, d'un scénariste.
Production designer ou art director pour les anglo-saxons, architekt pour les germaniques, artiste-peintre pour les slaves, le décorateur, selon l'expression en vigueur dans le cinéma français, est au croisement de plusieurs arts. Son rôle est d'inventer et de réaliser un espace qui permet au cinéaste d'élaborer sa mise en scène, le cadrage, la place de la caméra, avec le minimum de contraintes, le maximum de liberté. Cet espace peut être élaboré à l'aide de décors construits en studio, de décors aménagés en extérieurs naturels ou aujourd'hui d'images numériques.
Cet ouvrage parcourt l'histoire du décor, depuis la toile peinte et le panneau de staff jusqu'au virtuel en 3D ; il présente le travail des grands décorateurs comme Mallet-Stevens, Meerson, Trauner, Barsacq, Douy, Gibbons, Ferretti, Saulnier, et donne la parole aux créateurs d'aujourd'hui tels Pierre Guffroy, Pierre Buffin, Benoît Barouh, Patricia de Brandenstein, Michel Vandestein... Car le décor n'est pas l'apanage d'un âge d'or passé du cinéma de studio, c'est un art bien vivant qui s'enseigne, se transmet et renouvelle sans cesse ses champs de création en fonction des évolutions technologiques du cinéma.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301268 20.2 H.1.04024 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Le court métrage Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Méranger Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-460-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le court métrage [texte imprimé] / Thierry Méranger . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-86642-460-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302428 17 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301266 21 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
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Titre : La lumiere en cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Loiseleux, Auteur ; Association française des directeurs de la photographie cinématographique, Editeur scientifique Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-375-9 Note générale : Présentation du travail spécifique de la lumière au cinéma qui nécessite des connaissances techniques, un sens de l'observation développé et des références en culture esthétique. L'ouvrage définit la place du chef-opérateur et les décisions auxquelles il est confronté aux côtés du metteur en scène Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Cinéma éclairage cinéma esthétique Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Que ce soit à la prise de vue ou pour la projection d'un film, c'est la lumière qui donne à voir l'image. Sans lumière, pas d'image. C'est aussi elle qui donne du sens à l'image par la façon dont elle éclaire le sujet et l'ambiance émotionnelle qu'elle crée. Les peintres, les photographes, et à leur suite les cinéastes, ont exploré toutes les distorsions que l'on pouvait faire subir à la lumière pour travailler cette émotion.
"Faire la lumière au cinéma", c'est participer au déroulement de l'histoire que raconte le réalisateur, en maîtrisant les émotions qu'elle produit. Pour construire la lumière d'une scène, le directeur de la photographie fait appel à ses connaissances techniques, son observation du réel et sa culture esthétique, ses références à la peinture, à la photographie, à la littérature, voire à la musique, au langage, à l'architecture... Jacques Loiseleux propose au lecteur de partager cette expérience. Par l'étude de ses carnets, le commentaire de ses propres documents de travail, le dialogue avec d'autres chefs-opérateurs, il délivre ici le savoir-faire de son métier et les secrets de son art.
Il en va aujourd'hui du cinéma comme de la littérature, et au cours de sa formation, chacun s'approprie des films aussi bien que des romans; les petits Cahiers proposent aux étudiants, enseignants ou lycéens, aux autodidactes et autres amateurs, d'accompagner leur initiation vers un cinéma éclairé.
Les petits Cahiers font la paire : une étude de synthèse pour former le regard du spectateur; des documents commentés pour ouvrir des pistes nouvelles au lecteur. La collection « les petits Cahiers » est une coédition des Cahiers du cinéma et du SCÉRÉN-CNDP. Elle accompagne le développement des Arts et de la Culture à l'écoleNote de contenu : * Un technique au service de l'émotion
* Les sources
* Les effets de la lumière
* Faire la lumière
* Témoignages, documents, analyses de plans et de séquences
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + La lumiere en cinéma [texte imprimé] / Jacques Loiseleux, Auteur ; Association française des directeurs de la photographie cinématographique, Editeur scientifique . - Cahiers du Cinéma, 2004 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-375-9
Présentation du travail spécifique de la lumière au cinéma qui nécessite des connaissances techniques, un sens de l'observation développé et des références en culture esthétique. L'ouvrage définit la place du chef-opérateur et les décisions auxquelles il est confronté aux côtés du metteur en scène
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Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Cinéma éclairage cinéma esthétique Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Que ce soit à la prise de vue ou pour la projection d'un film, c'est la lumière qui donne à voir l'image. Sans lumière, pas d'image. C'est aussi elle qui donne du sens à l'image par la façon dont elle éclaire le sujet et l'ambiance émotionnelle qu'elle crée. Les peintres, les photographes, et à leur suite les cinéastes, ont exploré toutes les distorsions que l'on pouvait faire subir à la lumière pour travailler cette émotion.
"Faire la lumière au cinéma", c'est participer au déroulement de l'histoire que raconte le réalisateur, en maîtrisant les émotions qu'elle produit. Pour construire la lumière d'une scène, le directeur de la photographie fait appel à ses connaissances techniques, son observation du réel et sa culture esthétique, ses références à la peinture, à la photographie, à la littérature, voire à la musique, au langage, à l'architecture... Jacques Loiseleux propose au lecteur de partager cette expérience. Par l'étude de ses carnets, le commentaire de ses propres documents de travail, le dialogue avec d'autres chefs-opérateurs, il délivre ici le savoir-faire de son métier et les secrets de son art.
Il en va aujourd'hui du cinéma comme de la littérature, et au cours de sa formation, chacun s'approprie des films aussi bien que des romans; les petits Cahiers proposent aux étudiants, enseignants ou lycéens, aux autodidactes et autres amateurs, d'accompagner leur initiation vers un cinéma éclairé.
Les petits Cahiers font la paire : une étude de synthèse pour former le regard du spectateur; des documents commentés pour ouvrir des pistes nouvelles au lecteur. La collection « les petits Cahiers » est une coédition des Cahiers du cinéma et du SCÉRÉN-CNDP. Elle accompagne le développement des Arts et de la Culture à l'écoleNote de contenu : * Un technique au service de l'émotion
* Les sources
* Les effets de la lumière
* Faire la lumière
* Témoignages, documents, analyses de plans et de séquences
Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301286 20.2 H.1.04017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301966 21 H.1.04017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
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Titre : Jean Rouch, cinéma et anthropologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Paul Colleyn, Autre ; Jean Rouch, Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2009 Importance : 190 pages Note générale : Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle.
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Ouvrages généraux:Sociologie/InterculturalismeMots-clés : Ethnologie documentaire Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean Rouch est une figure centrale du cinéma ethnographique. Dès les années 40, il filme avec sa caméra 16 mm ses missions sur et autour du fleuve Niger, et en 1949, il remporte avec L'Initiation à la danse des possédés le Prix du Festival du film maudit de Biarritz qui sera suivi de bien d'autres avec Les Maîtres, fous, Moi, un noir, Chronique d'un été, La Pyramide humaine, La Chasse au lion à l'arc pour ne citer que les plus connus. Les critiques des Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard, Eric Rohmer ou Jacques Rivette, convaincus de l'originalité créatrice et de la portée novatrice de sa démarche, reconnurent dans son défi lancé au « cinéma professionnel » le précurseur de la Nouvelle vague. Lorsque le cinéaste, caméra à l'épaule, filme un rituel africain, il improvise ses cadrages, ses mouvements, le rythme de ses plans dans une chorégraphie qui évoque celle du jazz. Le film s'accomplit lorsque son inspiration est à l'unisson de l'inspiration collective. Il brouille les frontières des genres en réalisant avec ses amis nigériens des sortes d'ethno-fictions, et à l'intérieur même du documentaire, il invente un nouveau mode cinématographique, celui du documentariste qui s'immerge totalement dans la réalité qu'il décrit et interagit avec elle. Jean-Paul Colleyn réunit ici les textes où Jean Rouch raconte sa trajectoire, ses années de formation, son métier d'ingénieur, son goût pour le cinéma, ses voyages en pays dogon, synthétise ses expériences d'anthropologue aux côtés de Germaine Dieterlen sur les traces de Marcel Griaule, retrace la réalisation de ses films, revenant sur les questions de méthode, sur le « cinéma-vérité » comme sur la poésie du cinéma. Pays : France Niveau : Supérieur et universitaire Jean Rouch, cinéma et anthropologie [texte imprimé] / Jean-Paul Colleyn, Autre ; Jean Rouch, Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2009 . - 190 pages.
Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle.
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Cinéma documentaire
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Ouvrages généraux:Sociologie/InterculturalismeMots-clés : Ethnologie documentaire Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean Rouch est une figure centrale du cinéma ethnographique. Dès les années 40, il filme avec sa caméra 16 mm ses missions sur et autour du fleuve Niger, et en 1949, il remporte avec L'Initiation à la danse des possédés le Prix du Festival du film maudit de Biarritz qui sera suivi de bien d'autres avec Les Maîtres, fous, Moi, un noir, Chronique d'un été, La Pyramide humaine, La Chasse au lion à l'arc pour ne citer que les plus connus. Les critiques des Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard, Eric Rohmer ou Jacques Rivette, convaincus de l'originalité créatrice et de la portée novatrice de sa démarche, reconnurent dans son défi lancé au « cinéma professionnel » le précurseur de la Nouvelle vague. Lorsque le cinéaste, caméra à l'épaule, filme un rituel africain, il improvise ses cadrages, ses mouvements, le rythme de ses plans dans une chorégraphie qui évoque celle du jazz. Le film s'accomplit lorsque son inspiration est à l'unisson de l'inspiration collective. Il brouille les frontières des genres en réalisant avec ses amis nigériens des sortes d'ethno-fictions, et à l'intérieur même du documentaire, il invente un nouveau mode cinématographique, celui du documentariste qui s'immerge totalement dans la réalité qu'il décrit et interagit avec elle. Jean-Paul Colleyn réunit ici les textes où Jean Rouch raconte sa trajectoire, ses années de formation, son métier d'ingénieur, son goût pour le cinéma, ses voyages en pays dogon, synthétise ses expériences d'anthropologue aux côtés de Germaine Dieterlen sur les traces de Marcel Griaule, retrace la réalisation de ses films, revenant sur les questions de méthode, sur le « cinéma-vérité » comme sur la poésie du cinéma. Pays : France Niveau : Supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301314 18 H.1.04053 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301314URL
Titre : Jean Rouch (textes) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Paul Colleyn Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2009 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-543-2 Prix : 25 eur Résumé : Jean Rouch est une figure centrale du cinéma ethnographique. Dès les années 40, il filme avec sa caméra 16 mm ses missions sur et autour du fleuve Niger, et en 1949, il remporte avec L'Initiation à la danse des possédés le Prix du Festival du film maudit de Biarritz qui sera suivi de bien d'autres avec Les Maîtres, fous, Moi, un noir, Chronique d'un été, La Pyramide humaine, La Chasse au lion à l'arc pour ne citer que les plus connus. Les critiques des Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard, Eric Rohmer ou Jacques Rivette, convaincus de l'originalité créatrice et de la portée novatrice de sa démarche, reconnurent dans son défi lancé au « cinéma professionnel » le précurseur de la Nouvelle vague. Lorsque le cinéaste, caméra à l'épaule, filme un rituel africain, il improvise ses cadrages, ses mouvements, le rythme de ses plans dans une chorégraphie qui évoque celle du jazz. Le film s'accomplit lorsque son inspiration est à l'unisson de l'inspiration collective. Il brouille les frontières des genres en réalisant avec ses amis nigériens des sortes d'ethno-fictions, et à l'intérieur même du documentaire, il invente un nouveau mode cinématographique, celui du documentariste qui s'immerge totalement dans la réalité qu'il décrit et interagit avec elle. Jean-Paul Colleyn réunit ici les textes où Jean Rouch raconte sa trajectoire, ses années de formation, son métier d'ingénieur, son goût pour le cinéma, ses voyages en pays dogon, synthétise ses expériences d'anthropologue aux côtés de Germaine Dieterlen sur les traces de Marcel Griaule, retrace la réalisation de ses films, revenant sur les questions de méthode, sur le « cinéma-vérité » comme sur la poésie du cinéma. En ligne : http://www.amazon.fr/Jean-Rouch-textes-Jean-Paul-Colleyn/dp/286642543X%3FSubscri [...] Jean Rouch (textes) [texte imprimé] / Jean-Paul Colleyn . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2009.
ISBN : 978-2-86642-543-2 : 25 eur
Résumé : Jean Rouch est une figure centrale du cinéma ethnographique. Dès les années 40, il filme avec sa caméra 16 mm ses missions sur et autour du fleuve Niger, et en 1949, il remporte avec L'Initiation à la danse des possédés le Prix du Festival du film maudit de Biarritz qui sera suivi de bien d'autres avec Les Maîtres, fous, Moi, un noir, Chronique d'un été, La Pyramide humaine, La Chasse au lion à l'arc pour ne citer que les plus connus. Les critiques des Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard, Eric Rohmer ou Jacques Rivette, convaincus de l'originalité créatrice et de la portée novatrice de sa démarche, reconnurent dans son défi lancé au « cinéma professionnel » le précurseur de la Nouvelle vague. Lorsque le cinéaste, caméra à l'épaule, filme un rituel africain, il improvise ses cadrages, ses mouvements, le rythme de ses plans dans une chorégraphie qui évoque celle du jazz. Le film s'accomplit lorsque son inspiration est à l'unisson de l'inspiration collective. Il brouille les frontières des genres en réalisant avec ses amis nigériens des sortes d'ethno-fictions, et à l'intérieur même du documentaire, il invente un nouveau mode cinématographique, celui du documentariste qui s'immerge totalement dans la réalité qu'il décrit et interagit avec elle. Jean-Paul Colleyn réunit ici les textes où Jean Rouch raconte sa trajectoire, ses années de formation, son métier d'ingénieur, son goût pour le cinéma, ses voyages en pays dogon, synthétise ses expériences d'anthropologue aux côtés de Germaine Dieterlen sur les traces de Marcel Griaule, retrace la réalisation de ses films, revenant sur les questions de méthode, sur le « cinéma-vérité » comme sur la poésie du cinéma. En ligne : http://www.amazon.fr/Jean-Rouch-textes-Jean-Paul-Colleyn/dp/286642543X%3FSubscri [...] Exemplaires
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Titre : Le cinéma fantastique Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Henry (19..-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2009 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-544-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma fantastique cinéma science-fiction genres cinématographique créatures au cinéma monstres au cinéma surnaturel Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Une ombre entrevue, imaginée, le surgissement d'une créature d'outre-tombe, d'un monstre aux chairs assemblées par d'horribles cicatrices, un vol d'oiseaux familiers qui fond sur d'innocents écoliers...
La raison vacille, la peur surgit... Tout le monde reconnaît là le point de départ d'un film fantastique. Pourtant, tout ce qui semble échapper au rationnel ne relève pas du fantastique. Issu d'un genre littéraire né au début du XIXe siècle avec Hoffmann et ses Contes fantastiques, Mary Shelley ou Edgar Allan Poe, le fantastique a des frontières bien précises qui ne sont pas simplement celles d'un genre. Franck Henry suit son émergence régulière à travers l'histoire du cinéma : expressionnisme allemand, âge d'or Universal des années trente, épouvante gothique britannique des années 50-60 ( la Hammer ), série B, science-fiction sur fond de guerre froide, blockbusters des " horror pictures ", effets spéciaux et nouveaux mythes des dernières décennies...
Il nous fait rencontrer Nosferatu, Dracula, la Créature de Frankenstein, Jekyll et Hyde, King Kong, Alien, Terminator, loups-garous, zombies et profanateurs de sépultures..., leurs interprètes mythiques ( Lon Chaney, Bela Lugosi, Boris Karloff, Christopher Lee, Peter Cushing, Johnny Depp... ), leurs auteurs ( F.W. Murnau, Tod Browning, Terence Fisher, Jacques Tourneur, John Carpenter, George Romero, David Lynch, M.
Night Shyamalan, Bong Joon-ho... ), et leurs techniques. Une bibliographie et une filmographie sélectives complètent l'ouvrage.Pays : France Niveau : Secondaire et + Le cinéma fantastique [texte imprimé] / Franck Henry (19..-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2009 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-544-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma fantastique cinéma science-fiction genres cinématographique créatures au cinéma monstres au cinéma surnaturel Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Une ombre entrevue, imaginée, le surgissement d'une créature d'outre-tombe, d'un monstre aux chairs assemblées par d'horribles cicatrices, un vol d'oiseaux familiers qui fond sur d'innocents écoliers...
La raison vacille, la peur surgit... Tout le monde reconnaît là le point de départ d'un film fantastique. Pourtant, tout ce qui semble échapper au rationnel ne relève pas du fantastique. Issu d'un genre littéraire né au début du XIXe siècle avec Hoffmann et ses Contes fantastiques, Mary Shelley ou Edgar Allan Poe, le fantastique a des frontières bien précises qui ne sont pas simplement celles d'un genre. Franck Henry suit son émergence régulière à travers l'histoire du cinéma : expressionnisme allemand, âge d'or Universal des années trente, épouvante gothique britannique des années 50-60 ( la Hammer ), série B, science-fiction sur fond de guerre froide, blockbusters des " horror pictures ", effets spéciaux et nouveaux mythes des dernières décennies...
Il nous fait rencontrer Nosferatu, Dracula, la Créature de Frankenstein, Jekyll et Hyde, King Kong, Alien, Terminator, loups-garous, zombies et profanateurs de sépultures..., leurs interprètes mythiques ( Lon Chaney, Bela Lugosi, Boris Karloff, Christopher Lee, Peter Cushing, Johnny Depp... ), leurs auteurs ( F.W. Murnau, Tod Browning, Terence Fisher, Jacques Tourneur, John Carpenter, George Romero, David Lynch, M.
Night Shyamalan, Bong Joon-ho... ), et leurs techniques. Une bibliographie et une filmographie sélectives complètent l'ouvrage.Pays : France Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301349 17 H.1.04095 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301267 21 H.1.04025 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
301349URLLes effets spéciaux / Réjane Hamus-Vallée
Titre : Les effets spéciaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Réjane Hamus-Vallée, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Collection : Les petits cahiers Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : Cinéma éclairage Index. décimale : 20.3 Post-production : montage, effets spéciaux, doublage... Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Les effets spéciaux [texte imprimé] / Réjane Hamus-Vallée, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2004. - (Les petits cahiers) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)Mots-clés : Cinéma éclairage Index. décimale : 20.3 Post-production : montage, effets spéciaux, doublage... Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301452 20.3 H.1.02674 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le dialogue / Claire Vassé
Titre : Le dialogue : Du texte écrit à la voix mise en scène Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Vassé, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Collection : Les petits cahiers Importance : 94 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-357-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Son:Sémiologie du sonMots-clés : histoire du cinéma Index. décimale : 20.1 Pré-production : scénario, story-board... Résumé : La parole, au cinéma, est arrivée après l'image. Certains y ont vu un épanouissement, d'autres en ont fait la mauvaise conscience d'un art qui se rêvait langage universel. De Hitchcock à Wong Kar-wai, de Lubitsch à Moretti, en passant par la Nouvelle Vague, un voyage à travers le cinéma pour tenter de répondre à cette question: comment et pourquoi parle-t-on dans un film? Le dialogue : Du texte écrit à la voix mise en scène [texte imprimé] / Claire Vassé, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2003 . - 94 p.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-357-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Son:Sémiologie du sonMots-clés : histoire du cinéma Index. décimale : 20.1 Pré-production : scénario, story-board... Résumé : La parole, au cinéma, est arrivée après l'image. Certains y ont vu un épanouissement, d'autres en ont fait la mauvaise conscience d'un art qui se rêvait langage universel. De Hitchcock à Wong Kar-wai, de Lubitsch à Moretti, en passant par la Nouvelle Vague, un voyage à travers le cinéma pour tenter de répondre à cette question: comment et pourquoi parle-t-on dans un film? Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301451 20.1 H.1.02681 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, 6. Critique et cinéphilie / Olivier Assayas
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, 6 Titre : Critique et cinéphilie Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Assayas, Auteur ; Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; André Bazin, Auteur ; Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Antoine de Baecque (1962-....), Préfacier, etc. ; Lucantonio, Gabrielle, Collaborateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 Collection : Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, ISSN 1275-2517 Importance : 1 vol. (250 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-292-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : critique cinématographique film et comptes rendus Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : En 1955, François Truffaut disait qu’« aucun enfant de France n’a jamais rêvé de devenir critique de cinéma lorsqu’il serait grand »… Au moment même où Truffaut l’écrivait, cette phrase perdait sa part de vérité. Car c’est précisément le parcours de jeunes Turcs, de la critique à la mise en scène, de la prise d’assaut d’une revue à celle du cinéma, raconté désormais sous la forme d’un récit initiatique, qui va devenir le modèle, le rêve de l’adolescent cinéphile. Être critique aux Cahiers, c’est déjà faire des films, construire une représentation du monde sous la forme de l’écriture. Cela n’a pas cessé : aujourd’hui encore, le nombre de lettres reçues aux Cahiers du cinéma faisant part de ce désir irrépressible d’écrire sur le cinéma ne décroît pas.
Pourtant lorsque se pose la question : « Qu’est-ce qu’un critique ? », la réponse n’est guère facile. Sans doute tourne-t-elle autour du passage. Car être critique consiste peut-être aujourd’hui, à faire passer les films : vers les lecteurs, vers les autres films, vers la communauté des cinéphiles, vers les autres arts, vers les métaphores du monde.
Ce volume, en réunissant les principaux textes parus dans les Cahiers sur ce que Serge Daney nommait la « fonction critique », tente d’expliquer les ressorts et les ressources de cette écriture, et la place qu’elle occupe en France dans l’amour du cinéma.Petite anthologie des Cahiers du cinéma, 6. Critique et cinéphilie [texte imprimé] / Olivier Assayas, Auteur ; Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; André Bazin, Auteur ; Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Antoine de Baecque (1962-....), Préfacier, etc. ; Lucantonio, Gabrielle, Collaborateur . - Cahiers du Cinéma, 2001 . - 1 vol. (250 p.) : couv. ill. ; 18 cm.. - (Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, ISSN 1275-2517) .
ISBN : 978-2-86642-292-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : critique cinématographique film et comptes rendus Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : En 1955, François Truffaut disait qu’« aucun enfant de France n’a jamais rêvé de devenir critique de cinéma lorsqu’il serait grand »… Au moment même où Truffaut l’écrivait, cette phrase perdait sa part de vérité. Car c’est précisément le parcours de jeunes Turcs, de la critique à la mise en scène, de la prise d’assaut d’une revue à celle du cinéma, raconté désormais sous la forme d’un récit initiatique, qui va devenir le modèle, le rêve de l’adolescent cinéphile. Être critique aux Cahiers, c’est déjà faire des films, construire une représentation du monde sous la forme de l’écriture. Cela n’a pas cessé : aujourd’hui encore, le nombre de lettres reçues aux Cahiers du cinéma faisant part de ce désir irrépressible d’écrire sur le cinéma ne décroît pas.
Pourtant lorsque se pose la question : « Qu’est-ce qu’un critique ? », la réponse n’est guère facile. Sans doute tourne-t-elle autour du passage. Car être critique consiste peut-être aujourd’hui, à faire passer les films : vers les lecteurs, vers les autres films, vers la communauté des cinéphiles, vers les autres arts, vers les métaphores du monde.
Ce volume, en réunissant les principaux textes parus dans les Cahiers sur ce que Serge Daney nommait la « fonction critique », tente d’expliquer les ressorts et les ressources de cette écriture, et la place qu’elle occupe en France dans l’amour du cinéma.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301631 21 H.1.02096 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : 100 films pour une cinémathèque idéale Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude-Jean Philippe, Présentateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2009 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-563-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Ouvrages de références:Annuaires et répertoiresIndex. décimale : 02 Annuaires et répertoires Résumé : 100 films pour une cinémathèque idéale est né du projet de Claude-Jean Philippe de dresser une liste des " cent plus beaux films du monde ". Le célèbre présentateur du Ciné-club de France 2 demande alors à près de 100 personnalités du cinéma (critiques, directeurs de festivals ou de cinémathèques, journalistes) de voter pour leurs films préférés. À l'arrivée, une surprise : malgré les différences d'âge et de sensibilité, la convergence l'emporte. Citizen Kane d'Orson Welles est sacré numéro un, suivi de près par La Nuit du chasseur de Charles Laughton et par La Règle du jeu de Jean Renoir. La liste comprend 97 autres films, tous exceptionnels, de tout temps et de tout genre : L'Aurore de Friedrich Wilhelm Murnau, Amarcord de Federico Fellini, Vertigo d'Alfred Hitchcock ou encore Mulholland Drive de David Lynch. Chaque film, présenté sur une double-page, est introduit par un texte écrit par l'un des membres du comité de sélection et illustré par une à trois photographies emblématiques. Un synopsis et un générique accompagnent l'ensemble. Pays : France Niveau : Secondaire et + 100 films pour une cinémathèque idéale [texte imprimé] / Claude-Jean Philippe, Présentateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2009 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-86642-563-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Ouvrages de références:Annuaires et répertoiresIndex. décimale : 02 Annuaires et répertoires Résumé : 100 films pour une cinémathèque idéale est né du projet de Claude-Jean Philippe de dresser une liste des " cent plus beaux films du monde ". Le célèbre présentateur du Ciné-club de France 2 demande alors à près de 100 personnalités du cinéma (critiques, directeurs de festivals ou de cinémathèques, journalistes) de voter pour leurs films préférés. À l'arrivée, une surprise : malgré les différences d'âge et de sensibilité, la convergence l'emporte. Citizen Kane d'Orson Welles est sacré numéro un, suivi de près par La Nuit du chasseur de Charles Laughton et par La Règle du jeu de Jean Renoir. La liste comprend 97 autres films, tous exceptionnels, de tout temps et de tout genre : L'Aurore de Friedrich Wilhelm Murnau, Amarcord de Federico Fellini, Vertigo d'Alfred Hitchcock ou encore Mulholland Drive de David Lynch. Chaque film, présenté sur une double-page, est introduit par un texte écrit par l'un des membres du comité de sélection et illustré par une à trois photographies emblématiques. Un synopsis et un générique accompagnent l'ensemble. Pays : France Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301651 02 H.1.04184 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
export1302006.panPlain text: documents; program listings
Titre : La chinoise Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1967 Importance : 1 dvd Présentation : 96 min ISBN/ISSN/EAN : 5060034572497 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeIndex. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Dans un appartement dont les murs sont recouverts de petits livres rouges, des jeunes gens étudient la pensée marxiste-léniniste. Leur leader, Véronique, propose au groupe l'assassinat d'une personnalité. Réalisé un an avant les évènements de Mai 68, "la Chinoise" est considéré comme un film prophétique. Genre : Comédie dramatique Pays : France Niveau : Secondaire et + La chinoise [document projeté ou vidéo] / Jean-Luc Godard (1930-....), Metteur en scène, réalisateur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1967 . - 1 dvd : 96 min.
ISSN : 5060034572497
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeIndex. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Dans un appartement dont les murs sont recouverts de petits livres rouges, des jeunes gens étudient la pensée marxiste-léniniste. Leur leader, Véronique, propose au groupe l'assassinat d'une personnalité. Réalisé un an avant les évènements de Mai 68, "la Chinoise" est considéré comme un film prophétique. Genre : Comédie dramatique Pays : France Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102428 92.1 N.1.1260 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102428URLLa musique de film / Gilles Mouëllic
Titre : La musique de film Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Mouëllic, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-369-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Son:Théories et socio-économie de la musique
Education par les médias:Arts et médias:MusiqueMots-clés : musique de film musique au cinéma films musicaux Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Des accompagnements en direct sur les pianos des salles du muet aux sons d'aujourd'hui mêlant les compositions symphoniques, les compilations de musiques contemporaines, les chansons populaires et les sons électroniques, l'histoire du cinéma est aussi une histoire de musiques.
L'auteur donne les repères historiques nécessaires à une bonne compréhension de l'évolution des rapports entre la musique et le film, mais il propose également des analyses qui éclairent le rôle joué par la musique dans la perception des images. Ces analyses, complétées par des témoignages, des textes théoriques et des documents, concernent de nombreux cinéastes parmi lesquels Charles Chaplin, Alfred Hitchcock, Roberto Rossellini, Jean-Luc Godard ou Quentin Tarantino.La musique de film [texte imprimé] / Gilles Mouëllic, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2003 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-369-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Son:Théories et socio-économie de la musique
Education par les médias:Arts et médias:MusiqueMots-clés : musique de film musique au cinéma films musicaux Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Des accompagnements en direct sur les pianos des salles du muet aux sons d'aujourd'hui mêlant les compositions symphoniques, les compilations de musiques contemporaines, les chansons populaires et les sons électroniques, l'histoire du cinéma est aussi une histoire de musiques.
L'auteur donne les repères historiques nécessaires à une bonne compréhension de l'évolution des rapports entre la musique et le film, mais il propose également des analyses qui éclairent le rôle joué par la musique dans la perception des images. Ces analyses, complétées par des témoignages, des textes théoriques et des documents, concernent de nombreux cinéastes parmi lesquels Charles Chaplin, Alfred Hitchcock, Roberto Rossellini, Jean-Luc Godard ou Quentin Tarantino.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301750 21 H.1.02677 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Un art sonore, le cinéma / Michel Chion
Titre : Un art sonore, le cinéma : Histoire, esthétique, poétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Chion (1947-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Collection : Essais Importance : 1 vol. (478 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-364-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Son:Sémiologie du sonMots-clés : son et cinéma cinéma et musique histoire du cinéma sémiotique et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Un art sonore, et pas seulement visuel, le cinéma, contrairement au cliché, l’a été dès 1895. Ce livre-somme, théorie globale du cinéma due au principal auteur sur ce sujet dans le monde, couvre toute l’histoire de l’expression cinématographique sur plus d’un siècle, avec un accent particulier mis sur les trente dernières années, celle du Dolby.
Tout en accordant une place d’honneur aux auteurs qui ont incarné la grandeur du cinéma sonore (comme Chaplin, Vigo, Hitchcock, Tati, Tarkovski, etc.), cet ouvrage montre aussi que celui-ci vit dans toutes les époques et tous les pays, et qu’il continue d’évoluer et de s’enrichir avec les nouvelles tendances du cinéma récent. Trois cent photogrammes éclairent les analyses et exemples sur lesquels s’appuie l’ouvrage. Un glossaire détaillé récapitule les concepts et instruments de description et d’analyse qui se sont dégagés de cette recherche, et qui, pour la plupart, sont proposés ici au lecteur pour la première fois.Un art sonore, le cinéma : Histoire, esthétique, poétique [texte imprimé] / Michel Chion (1947-....), Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2003 . - 1 vol. (478 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-364-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Son:Sémiologie du sonMots-clés : son et cinéma cinéma et musique histoire du cinéma sémiotique et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Un art sonore, et pas seulement visuel, le cinéma, contrairement au cliché, l’a été dès 1895. Ce livre-somme, théorie globale du cinéma due au principal auteur sur ce sujet dans le monde, couvre toute l’histoire de l’expression cinématographique sur plus d’un siècle, avec un accent particulier mis sur les trente dernières années, celle du Dolby.
Tout en accordant une place d’honneur aux auteurs qui ont incarné la grandeur du cinéma sonore (comme Chaplin, Vigo, Hitchcock, Tati, Tarkovski, etc.), cet ouvrage montre aussi que celui-ci vit dans toutes les époques et tous les pays, et qu’il continue d’évoluer et de s’enrichir avec les nouvelles tendances du cinéma récent. Trois cent photogrammes éclairent les analyses et exemples sur lesquels s’appuie l’ouvrage. Un glossaire détaillé récapitule les concepts et instruments de description et d’analyse qui se sont dégagés de cette recherche, et qui, pour la plupart, sont proposés ici au lecteur pour la première fois.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301748 21 H.1.02872 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 302561 21 H.1.03160 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Cinémas d'avant-garde / Nicole Brenez
Titre : Cinémas d'avant-garde Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicole Brenez, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2006 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-453-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental histoire du cinéma cinéma d'avant-garde Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Les cinémas d'avant-garde sont riches d'une histoire aussi longue et dense que celle du cinéma tout court. Après avoir définit la notion même d'avant-garde et son origine, l'auteur dresse un panorama des pratiques et des discours cinématographiques, pose des jalons et caractérise les différentes avant-gardes "historiques". Cinémas d'avant-garde [texte imprimé] / Nicole Brenez, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2006 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-453-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental histoire du cinéma cinéma d'avant-garde Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Les cinémas d'avant-garde sont riches d'une histoire aussi longue et dense que celle du cinéma tout court. Après avoir définit la notion même d'avant-garde et son origine, l'auteur dresse un panorama des pratiques et des discours cinématographiques, pose des jalons et caractérise les différentes avant-gardes "historiques". Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301962 21 H.1.02979 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Vocabulaires du cinéma / Joël Magny
Titre : Vocabulaires du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-321-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : sémiotique et cinéma terminologie et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Dès les années dix, Ricciotto Canudo, précurseur de la réflexion sur le cinéma, réclame, pour ce qu’il baptiste Septième art, un langage qui soit adapté à cet art nouveau, synthèse de tous les autres. La confusion règne, écrit-il en 1922, là où la définition des mots-idées ne s’est pas encore affirmée. Des mots sont alors inventés dont beaucoup disparaîtront, comme écraniste, au profit de cinéaste.
D’autre réapparaîtront des années plus tard, comme cinéphile. Les générations successives, les professionnels comme les critiques inventeront leurs vocabulaires. Celui qui aborde aujourd’hui le cinéma avec passion, peut alors être pris de vertige devant une telle profusion : qu’est-ce qu’un travelling panoté ? La transparence relève-t-elle de la technique ou de la philosophie ? Qu’est-ce qu’un staffeur ? Il n’y a pas un vocabulaire, mais des vocabulaires du cinéma, technique, esthétique, économique, historique…
Le but de cet ouvrage n’est pas l’exhaustivité, mais une proposition pour le lecteur non spécialiste de définitions claires et simples des termes qu’il a le plus de chance de rencontrer dans son approche du cinéma, en tant que spectateur ou d’apprenti-cinéaste. Des renvois terme à terme, des synthèses plus générales et une bibliographie pratique ouvrent vers des lectures plus transversales.Vocabulaires du cinéma [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Cahiers du Cinéma, 2004 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-321-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : sémiotique et cinéma terminologie et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Dès les années dix, Ricciotto Canudo, précurseur de la réflexion sur le cinéma, réclame, pour ce qu’il baptiste Septième art, un langage qui soit adapté à cet art nouveau, synthèse de tous les autres. La confusion règne, écrit-il en 1922, là où la définition des mots-idées ne s’est pas encore affirmée. Des mots sont alors inventés dont beaucoup disparaîtront, comme écraniste, au profit de cinéaste.
D’autre réapparaîtront des années plus tard, comme cinéphile. Les générations successives, les professionnels comme les critiques inventeront leurs vocabulaires. Celui qui aborde aujourd’hui le cinéma avec passion, peut alors être pris de vertige devant une telle profusion : qu’est-ce qu’un travelling panoté ? La transparence relève-t-elle de la technique ou de la philosophie ? Qu’est-ce qu’un staffeur ? Il n’y a pas un vocabulaire, mais des vocabulaires du cinéma, technique, esthétique, économique, historique…
Le but de cet ouvrage n’est pas l’exhaustivité, mais une proposition pour le lecteur non spécialiste de définitions claires et simples des termes qu’il a le plus de chance de rencontrer dans son approche du cinéma, en tant que spectateur ou d’apprenti-cinéaste. Des renvois terme à terme, des synthèses plus générales et une bibliographie pratique ouvrent vers des lectures plus transversales.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301964 21 H.1.02626 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cinéma d'animation / Bernard Génin
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301968 20.5 H.1.02680 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Sorti jusqu'au 05/07/2013