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6 recherche sur le mot-clé 'Emir Kir'
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Titre : Le péplum, un mauvais genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Aziza, Auteur Editeur : Paris : Klincksieck Année de publication : impr. Collection : 50 questions, ISSN 1764-4526 num. 50 Importance : 187 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-252-03738-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Péplums Histoire et critique Antiquité Red Park Mark Forrest Brad Harris Gordon Mitchell Kirk Morris Steve Reeves Riccardo Freda Sergio Corbucci cinéma italien Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le péplum est un cinéma de mauvais genre. Il raconte des histoires qui se déroulent en des temps mythiques ou lointains. Il chante les exploits de héros bodybuildés et d'héroïnes chastement dévêtues. Genre populaire et familial, il est obligé de tortiller de la caméra pour raconter les amours bibliques, les orgies romaines, les empereurs fous et les impératrices lubriques - sans choquer personne mais quand même.
Et pourtant, souvent faits avec trois francs six sous, tournés à la va-vite dans des décors de carton-pâte, troussant la muse de l'Histoire pour en montrer les dessous affriolants, ces films révèlent une autre Antiquité, sortie des manuels poussiéreux. Une Antiquité en technicolor et en relief, une Antiquité doublement vivante : à la fois parce qu'elle illustre nos fantasmes et parce qu'en voulant raconter le passé, elle nous parle en fait du présent.Niveau : secondaire supérieur et + Le péplum, un mauvais genre [texte imprimé] / Claude Aziza, Auteur . - Paris : Klincksieck, impr. . - 187 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (50 questions, ISSN 1764-4526; 50) .
ISBN : 978-2-252-03738-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Péplums Histoire et critique Antiquité Red Park Mark Forrest Brad Harris Gordon Mitchell Kirk Morris Steve Reeves Riccardo Freda Sergio Corbucci cinéma italien Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le péplum est un cinéma de mauvais genre. Il raconte des histoires qui se déroulent en des temps mythiques ou lointains. Il chante les exploits de héros bodybuildés et d'héroïnes chastement dévêtues. Genre populaire et familial, il est obligé de tortiller de la caméra pour raconter les amours bibliques, les orgies romaines, les empereurs fous et les impératrices lubriques - sans choquer personne mais quand même.
Et pourtant, souvent faits avec trois francs six sous, tournés à la va-vite dans des décors de carton-pâte, troussant la muse de l'Histoire pour en montrer les dessous affriolants, ces films révèlent une autre Antiquité, sortie des manuels poussiéreux. Une Antiquité en technicolor et en relief, une Antiquité doublement vivante : à la fois parce qu'elle illustre nos fantasmes et parce qu'en voulant raconter le passé, elle nous parle en fait du présent.Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301611 17 H.1.04171 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301611URL
[n° ou bulletin]
Titre : 11 - Eté 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 128 Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 11 - Eté 2018 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 128 : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401257 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401257.pngPortable Network Graphics
[n° ou bulletin]
Titre : 692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 163 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 163 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305216 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305216.pngPortable Network Graphics
[n° ou bulletin]
Titre : 425 - Novembre 1989 Titre original : Nanni Moretti: Palombella Rossa, l'Italie, la politique, le cinéma. Emir Kusturica: Le temps des gitans. Les partis pris de Cocteau. Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Importance : 90 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Emir Kusturica Nanni Moretti Jean Cocteau Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin] 425 - Novembre 1989 = Nanni Moretti: Palombella Rossa, l'Italie, la politique, le cinéma. Emir Kusturica: Le temps des gitans. Les partis pris de Cocteau. [texte imprimé] . - 2011 . - 90 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : Emir Kusturica Nanni Moretti Jean Cocteau Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400479 70 Archives n°3 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
Titre : Hara kiri : les belles images ; 1960-1985 ; journal båte et m¥chant Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Hoëbeke Année de publication : 2008 Importance : 317 p. Présentation : ill. en noir et en coul., jaquette ill. en coul. Format : 32 cm Note générale : Recueil de textes extraits de " Hara-Kiri ", 1960-1985 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : Humour Hara-kiri anarchisme provocation presse alternative 60's Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Le premier numéro du mensuel Hara-Kiri paraît en septembre 1960, né de la rencontre de François Cavanna, de Georges Bernier, alias le Professeur Choron, et de Fred. Le journal adopte immédiatement une ligne de conduite dont il ne se départira jamais : rire de tout. Autour de Cavanna se constitue rapidement une équipe de francs-tireurs d élite composée, entre autres, de Reiser, Cabu, Wolinski, Gébé ou Delfeil de Ton. Première victime : la presse de l'époque, que le mensuel pastiche avec entrain, en pervertissant les mièvres romans-photos de la presse populaire, les candides fiches cuisine des journaux féminins ou encore les fiches pratiques qui deviendront les délirantes « fiches bricolage du Professeur Choron », sans oublier l'érotisme édulcoré et hypocrite des revues spécialisées. Le mensuel invente aussi le détournement de la publicité : « La publicité nous prend pour des cons, la publicité nous rend cons », déclare le journal. Une d¥molition allegre, syst¥matique et caustique de la société de consommation naissante. Dès les premiers numéros, la joyeuse bande proclame le journal « Bête et méchant » pour passer aussi a la moulinette, dans un humour absurde souvent noir et brutal, tout ce qui mérite ailleurs respect et compassion : la patrie, la religion, l armée, la morale, la maladie, la vieillesse. Victime d interdictions de publication pour ses outrances et ses insolences, et en dépit de nombreux procès et saisies, l'aventure Hara-Kiri se poursuit durant vingt-cinq ans (le petit frère Hara-Kiri Hebdo sera créé en 1969 par la même équipe). Ces guérilleros aussi motivés qu'incontrôlables élargiront épisodiquement leur cercle a de nombreux artistes comme Francis Blanche, Romain Bouteille, Renaud ou Coluche. On voit passer au journal les amis de l'époque : Serge Gainsbourg, Christian Clavier, Thierry Le Luron, Pierre Perret, Alain Souchon, Carlos, chacun a son tour protagoniste des provocants romans-photos. Hara-Kiri, une saga unique qui a révolutionné la presse et l'humour. Un humour dont la force n'a pas faibli, qui vit encore a travers les complices de la grande époque, Gourio, Vuillemin ou Berroyer et ses fils spirituels : ceux qui aujourd'hui a la télévision ou ailleurs propagent l'esprit de l'épopée féroce et éminemment inconvenante d'Hara-Kiri. Genre : Humour Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Hara kiri : les belles images ; 1960-1985 ; journal båte et m¥chant [texte imprimé] . - Paris : Hoëbeke, 2008 . - 317 p. : ill. en noir et en coul., jaquette ill. en coul. ; 32 cm.
Recueil de textes extraits de " Hara-Kiri ", 1960-1985
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Littérature:Presse écriteMots-clés : Humour Hara-kiri anarchisme provocation presse alternative 60's Index. décimale : 58 Presse écrite Résumé : Le premier numéro du mensuel Hara-Kiri paraît en septembre 1960, né de la rencontre de François Cavanna, de Georges Bernier, alias le Professeur Choron, et de Fred. Le journal adopte immédiatement une ligne de conduite dont il ne se départira jamais : rire de tout. Autour de Cavanna se constitue rapidement une équipe de francs-tireurs d élite composée, entre autres, de Reiser, Cabu, Wolinski, Gébé ou Delfeil de Ton. Première victime : la presse de l'époque, que le mensuel pastiche avec entrain, en pervertissant les mièvres romans-photos de la presse populaire, les candides fiches cuisine des journaux féminins ou encore les fiches pratiques qui deviendront les délirantes « fiches bricolage du Professeur Choron », sans oublier l'érotisme édulcoré et hypocrite des revues spécialisées. Le mensuel invente aussi le détournement de la publicité : « La publicité nous prend pour des cons, la publicité nous rend cons », déclare le journal. Une d¥molition allegre, syst¥matique et caustique de la société de consommation naissante. Dès les premiers numéros, la joyeuse bande proclame le journal « Bête et méchant » pour passer aussi a la moulinette, dans un humour absurde souvent noir et brutal, tout ce qui mérite ailleurs respect et compassion : la patrie, la religion, l armée, la morale, la maladie, la vieillesse. Victime d interdictions de publication pour ses outrances et ses insolences, et en dépit de nombreux procès et saisies, l'aventure Hara-Kiri se poursuit durant vingt-cinq ans (le petit frère Hara-Kiri Hebdo sera créé en 1969 par la même équipe). Ces guérilleros aussi motivés qu'incontrôlables élargiront épisodiquement leur cercle a de nombreux artistes comme Francis Blanche, Romain Bouteille, Renaud ou Coluche. On voit passer au journal les amis de l'époque : Serge Gainsbourg, Christian Clavier, Thierry Le Luron, Pierre Perret, Alain Souchon, Carlos, chacun a son tour protagoniste des provocants romans-photos. Hara-Kiri, une saga unique qui a révolutionné la presse et l'humour. Un humour dont la force n'a pas faibli, qui vit encore a travers les complices de la grande époque, Gourio, Vuillemin ou Berroyer et ses fils spirituels : ceux qui aujourd'hui a la télévision ou ailleurs propagent l'esprit de l'épopée féroce et éminemment inconvenante d'Hara-Kiri. Genre : Humour Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301327 58 H.1.04066 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301327URL Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
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